Un Drôle De Deal
Le camion de larmée sarrête aux abords dun point deau, épargné par les
bombardements et la pollution de la guerre. Leau y est très claire. La bâche souvre,
et deux prisonniers irakiens descendent de larrière, accompagnés de deux marines,
Andrew et Scot. Puis, le camion reprend la route.
-Amusez-vous bien, on vous récupère dans la soirée, dit le chauffeur.
Les prisonniers savancent près du point deau, se mettent entièrement nus et
plongent. La baignade dure une dizaine de minutes. Hossein sort le premier est
sassied à cheval sur un tronc darbre. Aussitôt, Andrew sapproche de lui, et
commence à lui caresser la bite. Hossein ne le repousse pas, certainement habitué à ce
genre de situation.
-Suce-moi, ordonne le prisonnier irakien
je sais que tu aime les hot dog.
Andrew se penche, décalotte la bite, et la prend en bouche. Sous leffet de la
fellation, celle-ci prend des proportions dantesques. Sans un mot, le marine ôte ses
vêtements.
-Allez, poursuit le prisonnier, fait le chauffer maintenant.
Andrew enjambe alors Hossein, et sempale sur son énorme bite. A peine un petit râle
au passage, ce qui laisse supposer quils ne sont pas à leur premier coup dessaie.
-Hum, grogne le prisonnier
vas-y, danse au bout de ma queue
bouge ton cul
mieux que
ça
Le soldat américain fait de son mieux. Accroché au cou de son prisonnier, il envoie de
violent coup de reins sur le pieu qui le fouille.
-Ha
quest-ce-que tu me fais salaud, gémit le soldat
-Je tencule, tout simplement, sourit Hossein
et laprès midi nest pas fini
Andrew accélère ses mouvements de hanches, et sent le sperme chaud gicler dans ses
entrailles. Hossein ne peut contenir un cri de bête quand il éjacule. Celui-ci
saperçoit, que sans un bruit, le marine sest vidé les couilles sur son ventre.
-Enfoiré, reproche-t-il, tu ne pouvais pas te retenir.
-Je nai pas pu, sexcuse Andrew, cétait trop bon
Hossein pousse Andrew qui roule au sol. Il ne lui laisse pas le temps de se relever et
le bloque sur la grève en le maintenant par les hanches. Le petit trou dAndrew est à
porté de bite. Le prisonnier irakien fléchit sur ses jambes, et glisse sa bite entre
les reins du marine.
-Non, rouspète Andrew
ce nétait pas prévu comme ça
un coup on avait dit
un seul.
-Pourquoi, répond Hossein, ce nest pas bon de se faire niquer en levrette
on dira que
cest un acompte.
Hossein lance le bouchon encore plus loin. Il glisse une main sous le ventre du jeune
militaire, lui caresse les couilles, se permet de lui prendre la queue, et de lui
taper une branlette, ce quapprécie le jeune soldat. Andrew reçoit pour la deuxième
fois la colère da la bite du jeune irakien, en prenant une puissante décharge dans les
entrailles, tandis que lui se contente de larguer sa semence sur la grève
-Ah
Tu en profites enfoiré, soupire Andrew
pense que ça ne va pas durer
Après un court instant de répits, les deux hommes vont se rincer. Là encore, Hossein
essaie de sodomiser le soldat, mais celui-ci refuse catégoriquement. Après sêtre
rincé copieusement le cul, Andrew regagne le bord. Il a à peine fini de sessuyer,
quand il entend des plaintes provenant de derrière un buisson. Il savance en silence,
et découvre Scot avec Mostafa, lautre prisonnier.
Ce dernier est plus sadique que son collègue, nhésitant pas à jouer avec les parties
sensibles du jeune soldat. Là, il est allongé sur le dos, une main derrière la nuque,
en train de se faire sucer le zob. Lautre main serre les couilles de Scot. Le
prisonnier irakien prend plaisir à lentendre couiner de douleur.
-Allez
taille moi une bonne pipe maintenant
prend ta came
Seules les couilles de Mostafa dépassent de la bouche de Scot, quand le prisonnier
éjacule copieusement au fond de sa gorge.
labondance de sperme, quil avale en partie. Andrew reste impuissant devant la
perversité humiliante de lirakien. Il serre les poings en voyant son copain darmée
marcher à quatre pattes, tenu par les couilles par Mostafa. Celui tombe à genoux,
astique sa bite en érection, et la place contre le petit trou du marine. Dun coup
sec, il le pénètre sauvagement. Scot ne peut retenir un cri de douleur. Le prisonnier
lime violemment le cul du jeune soldat, qui hurle de douleur.
-Quest-ce-que tas à crier, sourit Mostafa, taimes pas, cest pourtant pas la
première fois que je tencule.
-Assez
assez, implore le marine
jai mal
Mostafa na cure des plaintes de Scot, qui au contraire lexcite davantage. Dans un
ultime coup de reins, le prisonnier largue son foutre dans les entrailles du soldat.
-Ha
ha
prend ça petit pédé, souffle-t-il
cest bon de se faire enculer, hein
Scot gémit sous les coups de boutoir de lénorme bite. Il sent la semence chaude
sécouler en lui.
-Calme toi mon bébé, tu sais bien que jen ai pas fini avec toi
viens, je vais te
niquer dans leau
Les deux irakiens jouent avec les deux marines, les font rouler dans leau. Andrew et
Scot essaient de se révolter, mais les prisonniers savent par ou les prendre pour les
maitriser. Ils les forcent à se mettre à genoux devant eux, et là, les mains sur les
hanches, se font pomper le dard jusquà la dernière goutte de sperme.
-Oh putain
ils sucent mieux que des femmes
en plus ils avalent
Andrew et Scot commence à apprécier, même sils se sentent humilier. Leur langue
senroule autour du gland de leur dominateur, le nettoie. Ils sont déçus dentendre le
camion qui doit les récupérer. Ils auraient bien pris un autre coup de queue.
-Alors les filles, sourit le chauffeur, cet après-midi sest bien passé. Vous vous
lêtes bien fait mettre jespère, vous en avez pris plein le cul je suis sur.
salopes.
Le camion regagne le camp. Le soir, le commandant de la compagnie reçoit un document,
et une lettre.
« Voici les renseignements que vous nous avez demandés. Ce fut un réel plaisir davoir
travaillé avec vous. Nous vous remercions pour les deux salopes que vous nous avez si
gentiment offertes. Nous espérons quils ont pris du plaisir à se faire sodomiser.
Encore merci. Signés: Hossein et Mostafa»
Quand à la lettre, cest une requête formulé par les deux marines.
« Mon commandant, Andrew et moi-même vous demandons lautorisation de partager la même
tente, afin de pouvoir satisfaire nôtre nouvelle envie sexuelle, la sodomie. Davance,
merci. Signé : Scot »
Les nuits entre les deux marines sont chaudes. Ils évoquent souvent leurs relations
avec les prisonniers irakiens, leurs bites énormes qui leur limaient le cul,
regrettent de ne pas sêtre plus donner.
Les deux indics irakiens sont remis en liberté, relâchés dans la nature en quête dun
nouveau deal, si possible avec des militaires femmes.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!