Ma Moitié ... Partagée ...
Cétait un matin après le petit déj
javais encore les cheveux debout, et déjà la
tête au boulot
Isabelle, dans sa nuisette bleu pastelle, ample, juste ce quil faut
pour laisser ses seins libres, se mouvoir à leur guise, effleurant le tissu soyeux de
leur téton tendre et que je devine, me narguant, sublimes et sadiques à la fois.
Elle sent le matin chaud, jai la trique, elle le constate en me croisant et dun
geste faussement maladroit, en passant, oublie sa main sur mon gland, le comprime
légèrement
je veux la retenir
elle est déjà passée
se retourne, un large sourire
aux lèvres, désirable à la folie, ses tétons poussent à travers le doux tissu de sa
nuisette
je reste interdit, bouche ouverte, le sexe à la main, pour contenir mon
désir, comme un idiot, nayant pas su saisir loccasion qui soffrait.
Dans ses moment là, elle peut tout me demander, et elle le sait
mon amour, mon désir
fulgurant masservit, jai envie de son nez, de sa bouche, de ses fesses, de ses
seins, jai envie dêtre en elle !
Je lentends dans la salle deau, elle me parle
je vacille quelques secondes... et
suis obligé de la faire répéter
jai dû mal entendre
« - oui, je disais,
tu veux toujours que je me le tape ?! »
« - Hein ?! mais qui ça ? »
« - Et bien
Alain ! tu sais bien
Parce que maintenant jveux bien ! Tu mas
tellement poussée à le faire et
je commence à me faire à cette idée
»
Je tousse, éclabousse un peu de café partout et tâche ma chemise
Je ne trouve plus mes mots
mais qua-t-elle ce matin ?!
Elle enchaine
« - Parce quhier tu sais, jétais avec Véronique
à la plage
il était avec un de ses
potes ... il na pas arrêté de nous lorgner
cétait mignon
ça ma touchée
tavais raison, je crois quil en pince pour moi »
.
«- Et puis
je dois dire,
je ne lavais jamais vu en maillot
il est bien pourvu le
salopard. »
Ces paroles affolent mes neurones, Isabelle les a prononcées avec un tel détachement
japerçois son air satisfait dans le miroir de la salle deau. Pensait-elle vraiment
ce quelle vient de me dire ou est ce une de ces pics quelle me lance, pour se venger
de la brouille quon a eu la veille ?
Je lavais il est vrai, souvent taquinée avec ce fantasme, mais ça faisait un bout de
temps maintenant quon en navait pas reparlé
et puis elle mavait toujours répondu
sèchement, que ce nétait pas son style, quelle navait pas besoin de ça !
Et là !, aujourdhui
je la sens sincère, je la sens prête, ça me trouble plus que
je ne limaginais.
« - Mais ce qui me plairait
cest une partie à trois, avec toi bien sûr
tes
toujours daccord ?
cétait ton idée, tu te souviens ?»
« Mais quest ce qui
cest vraiment,
de lavoir vu à la plage qui
»
« Oui sans doute, ils étaient tous les deux allongés sur le sable
ils nous
zieutaient, nous souriaient et dans leur slip de bain, ça faisait une jolie bosse
mais je pense quils bandaient
ou alors,
ben ça promet !
Même Véronique, tu sais, ça la rendu toute chose
En tout les cas moi, cest vrai que jai mouillé
je ne savais plus ou me mettre,
jamais ressenti ça avant ! Je crois quun petit câlin avec lui,
ça me plairait
vraiment !... jaime bien sa petite gueule ! »
« -Ma minette, je ne te reconnais plus !
tas pris quelque chose ou quoi ?!
Elle me dépose un bisou sur le nez, me prend par le bras, mamène jusquà son
ordinateur, ouvre un fichier :
« - Tiens, regarde, cest lui me la envoyé hier soir. Il a dû comprendre mon émotion
sur la plage .. il naurait jamais osé sinon !
Ce qui saffiche sur lécran de son PC me met la boule au ventre, me paralyse !
Alain, sinvite en catimini sur le PC de ma belle,
dans le plus simple appareil !
Mais ce qui me dérange le plus, cest ce quil a entre les jambes ! Je cache mon
embarras comme je peux
!
Elle me regarde et se délecte de mon étonnement, de ma gêne à constater quun de mes
congénères, il faut bien le dire, est bien mieux équipé que moi, question bistouquette
!
Il se tient, debout, une main sur la table de son séjour, comme le ferait un chanteur
interprétant Schubert, une main sur le piano.
attributs, de sa belle queue qui prend la lumière, pendante entre ses cuisses, arquée
comme il faut, lourde, le prépuce à moitié retroussé, tentant de retenir le gland qui
semble vouloir sévader.
.
-« cest beau, ça donne envie non ?! » Me demande t elle.
-« Je ne sais pas ... cest toi qui sait, moi ces choses là
jai pas davis
»
-« et bien moi, ce corps, ce sexe !
huuum !
»
Je balbutie
:
« - Cest si soudain,
tu
tu me prends de court
»
Je me rends compte que lexpression est mal choisie
« Naie crainte, avec lui, personne ne sera pris de court !
Ma belle Isa me rit au
nez, satisfaite de son bon mot. Son petit nez fripon, qui bat des ailes à chacun de
ses éclats de rire me fait fondre. Jai envie de la couvrir de baisers
nom de Dieu,
que cest beau une jeune et belle femme qui tout à coup ne pense plus quau sexe !
A lévidence, je ne peux pas laisser cette occasion me passer sous le nez. Isabelle ne
sera jamais aussi désirable que maintenant.
Jai peur
jai peur quAlain en tombe éperdument amoureux
comme moi
y a des
risques !...
Isabelle est aux anges.
Jaccepte
Une semaine passe
nous nous rejoignons pour déjeuner à la brasserie, à deux pas de
mon boulot comme tous les mercredis. Je la trouve plus guillerette que dhabitude !
Son visage respire la quiétude, la joie de vivre, elle est jeune et belle, la
brasserie est pleine, je ne vois quelle
le serveur nous amène les plats quand elle
mannonce le programme du week-end, dune insouciance juvénile, désabusée, presque
ailleurs
« - Tiens au fait, Alain passe samedi,
prendre
le thé !
cest bon pour toi, tu
seras là ? »
« - jai le vertige,
heu
ah oui ?
tu las vu récemment
, »
« - Ba oui
enfin par Mail !
mais cétait sympa quand même
si tu savais ce quil
mécrit
il me drague grave ! Sa prose est des plus cochonne, ça me change de Proust,
mais ça me fait de leffet
Elle me lance des illades, mobserve entre deux bouchées de carpaccio, son sourire
mintimide maintenant, et se marie délicieusement au fait quelle ait choisi ce midi,
un plat de viande crue !
« - Tu seras en forme ?
« - Ben je ne sais pas si jpeux
jme demande si jai pas
»
« - Tsss !
tu ne vas pas te défiler maintenant ? .
« Mais quest ce que tu lui as dit, bon sens !»
« -Tout !
nos fantasmes
de plan à trois
il a dit oui
»
Isabelle est radieuse, minaude entre deux gorgés de coca, jai envie de la prendre,
là, sur la table !
« Il ma même dit que si tu veux, il pourra soccuper de toi aussi ! »
La tête que je fais doit la surprendre, elle pouffe et ne parviens pas à se calmer
quand le garçon vient nous demander si nous voulons un dessert.
malaise
Nous sommes samedi,
et la sonnette chante, jai le trac
Isabelle se précipite,
Alain entre...
« - Et bien voilà, Alain, un collègue de bureau, et tombeur des plages de la région à
ses heures perdues
Simon, mon mari que jaime et qui maime
»
On se serre la main, la gêne est palpable, seule Isabelle semble être à son aise.
« - Messieurs, je vous sens bien tendus,
mettez vous à laise
prenez lapéro, moi
je vais prendre une douche. »
Elle séclipse puis réapparaît quelques minutes plus tard, pointe son joli petit
minois dans lentrebâillement de la porte et devant notre difficulté à nous dérider,
nous chuchote le sésame consacré, qui ne laisse plus aucun doute quant à ses
intentions
« - Jaurais besoin de quelquun pour me frotter le dos
et il y a de la place
pour trois ! »
Fallait il quelle se pense bien sale pour quelle réclame notre concours
deux jeunes
mâles
pour la toiletter là où il faut ?!
Nous ne nous faisons plus prier. Dans ma tête, il est clair que le signal est donné.
Jouvre la porte de la douche, je découvre Isabelle adossée à la paroi, une mousse
onctueuse la préservant encore dune complète nudité, comme une dentelle parfumée,
suggérant quil y a encore matière à dévêtir.
Comme le mien, le regard dAlain est hypnotisé, happé par cette belle poitrine
soffrant au travers de la mousse, sublime, ferme, deux beaux fruits mûrs prêts à
déguster.
Qui de nous deux, sera le premier à les peloter, à les honorer de nos baisers ?
Alain est déjà en slip, je limite
nous entrons, il fait chaud, le jet est caressant
premier contact, sa poitrine sécrase sur celle dAlain, leffet est immédiat, ses
tétons bourgeonnent, le plaisir sinvite en elle, je la connais, elle ne pourra plus
reculer
lenvie la rend impatiente, belle à croquer ...
« - Hé, les garçons ?
que sont ces vilains restes de pudibonderie ? Vous avez
oublié de quitter une étoffe ! »
Isabelle sagenouille, le visage au niveau de ce qui nous reste de tissu, fait glisser
mon slip, mon intimité ainsi dévoilée me rend la verge timide
jai besoin de temps
Elle sapprête à faire de même avec Alain, le slip est chez lui déjà bien gonflé, le
tissu résiste, mais le sexe finit par jaillir, à la manière dun polichinelle sortant
dune boite à surprise
le membre est encore souple et pourtant dune taille qui fait
sursauter Isabelle !
« - Ooooh
dis donc !
»
Elle met sa main devant ses lèvres comme pour cacher son émotion
mais ses yeux
trahissent lémoi qui la saisit, ses mains engagent déjà la conversation. Le sourire
béat, fascinée, une main câlinant ses bourses, lourdes, gorgées de sève damour,
lautre, prenant possession du membre, épais, dune réactivité surprenante, bientôt
au meilleur de sa forme.
Elle dévisage Alain,
le fixe, lui sourit
« - Elle est grosse !
»
Oui effectivement, elle est
enfin, cest une belle pièce !
je crains de ne pas
faire le poids, mais bizarrement, la vue de cette belle bite réveille ma libido, et je
sens la mienne prendre du volume
Ses lèvres humides, sons joli petit nez légèrement retroussé, nos haleines qui se
mélangent, nous sommes là pour le plaisir, pour la baise, je tremble dexcitation
Isabelle goûte linstant, elle est radieuse et nous souffle, instinctivement, dune
voix à peine audible comme neutralisée par le désir :
« - Qui commence ?
chacun son côté ? Alain à gauche
et mon minet damour
à
droite ?
»
Je lembrasse sur la joue, Alain fait de même sur son côté, je bise le côté droit de
son nez, lèche cette narine que je connais par cur et dont les courbes me fascinent
depuis si longtemps. Alain nest pas en reste, nous nous appliquons sur ce visage qui
soffre, nos langues se font velours, caressantes, onctueuses, tendres
Isabelle senivre de nos haleines dhommes excités,
séduite par lattrait de la
nouveauté, elle craque, et je la contemple proposer sa bouche aux baisers gourmands
dAlain.
« - Huuum
muoiii
Alaiiiin !... tu sens bon
tu es bien fait, tu es joli
»
Je mexcite sur sa joue, sur son nez, je nen peux plus
Isabelle le comprend et vient
me rassasier dun baiser mouillé, sa langue saffole au contact de la mienne
je nai
rien vécu daussi fort,
Isabelle est heureuse, se repait de notre désir, se laisse
déguster.
Elle saisit nos mains, les dépose sur ses seins, lâche nos bouches, ne pouvant
contenir son plaisir.
« - Oooh
mes hommes !
ouiii
allez !
chacun le votre
»
Alain, le téton déjà en bouche, grogne et sétouffe sur son sein.
Jopte pour une caresse plus suave, contourne son téton majestueux de ma langue, puis
énerve la tétine de petits coups de langue appliqués,
ne pas semballer
puis
leffleurer seulement
longtemps
que cest bon
Garder le rythme devient insoutenable, jabdique
et tète goulument
je
mabandonne, je prends mon plaisir sur sa chair tendre et parfumée
à chacun son sein
Isabelle délire :
« - Hummm
Aaaah , ouiii
cest bon
cest booon ! ça mexcite
putain !!! »
Je la sens perdre les pédales
elle soustrait Alain de son seins et lui gobe la langue
ils sembrassent avec fougue, spectacle foudroyant, de cette femme qui sexhibe,
de ce petit lot qui sexcite sur cet homme.
Belle et égoïste, elle a obtenue ce quelle souhaitait, elle fait lamour avec Alain,
cest simple, cest beau
Je suis bien décidé à amplifier son plaisir comme je peux, sur ses fesses, ses seins.
Ma main, câline, explore, titille et ose une visite dans sa jungle brune, Isabelle
râle
son plaisir est trop fort, elle se détache dAlain, les yeux mi clos,
essoufflée, guidée par linstinct de femelle qui désormais la gouverne, elle pèse sur
nos têtes qui glissent le long de son ventre chaud, elle nous prie de descendre encore
la vulve est gonflée, dégoulinante de bonheur
« - oui là
oh oui .., Ooooooh !
»
La tessiture de son bonheur grimpe dune octave
« - ouuuuh
vous êtes fous .. . vous êtes boooon !
»
Nos langues fouillent son antre, la douche, comme écrin, protège nos ébats, personne
ne viendra troubler ces trois êtres qui copulent. La douche se garnie de nos bruits
damour, toute retenue abandonnée, une odeur entêtante de fornication juteuse sen
dégage.
La promiscuité masculine de nos deux langues ne me perturbe pas bien longtemps, la
liqueur est trop bonne
comme Alain, je lape je lèche jembrasse le bord de son sexe,
et nous passons à tour de rôle sur son bourgeon damour
à celui qui la fera gémir
le plus intensément
encore et encore
« - Ooooh
jnen peux plus
peux pluuus !!!
jai envie !...Si vous voulez me
baiser, cest maintenant !
avec ça !... Elle saisit nos membres, les réunit, collés
lun contre lautre,
je ne suis pas à mon avantage, la bite dAlain est
outrageusement impressionnante, Isabelle sen amuse. Je lincite à choisir, celle qui
la tente le plus, comme un convive à qui lon donne la préférence des plats. Je ne me
fais aucune illusion, elle na pas lâché du regard le gros pieu dAlain.
Elle soupèse les bourses, empoigne les membres et pense à voix haute :
« - Huuum
mon coquin de plagiste, ! Inutile de mesurer,
jen napprendrai pas
davantage ! Cest dingue, ce que la nature ta gâté !... »
Jencaisse !
lexcitation tempère mon désarroi
Elle me bredouille une excuse :
« - Simon
tu permets
ya urgence !
je prends la grosse ! Tu ne men veux
paaaaaaaas !!!! »
Mais Alain oublie bienséance et savoir-vivre, Isabelle naura pas le temps de se
justifier davantage,
lheureux élu la déjà enfournée !
Devant mes yeux écarquillés, Isabelle se fait pilonner sans ménagement, je suis
derrière elle, collé à sa peau, les courbes de son corps simpriment sur le mien, le
nez dans son cou, la verge blottie au creux de ses fesses, je sens tous les coups
quAlain donne,
il prend sa jolie petite tête, la couvre de baisers, puis lui pompe
littéralement la langue.
Je me saisis de ses seins, ma queue est au chaud, au creux de sa raie,
je veux ma
part aussi,
je me masturbe sur son fessier savonneux, je me surprends à chercher son
anus, je navais encore jamais osé
je tâtonne,
jhésite,
je pousse
jentre !
Isabelle crie dans la bouche dAlain
se raidit
puis se relâche,
dans les reflets
des parois de la douche, je devine sa surprise,
puis son extase,
« - Non !!!... Ooh Simon ?!
quas-tu fait ?!
»
Je me fais tendre afin ne pas la blesser, mais ne peux mempêcher de manimer,
doucement dans ses entrailles moelleuses
Alain semporte, fait claquer son pubis contre celui dIsabelle, faisant gicler le
surplus deau qui sest accumulé dans leurs poils
linstant est obscène,
dans cette
atmosphère moite, les odeurs fortes de corps en sueurs qui se mélangent aux fragrance
de parfums de grandes marques, ne font quattiser leur passion, les va-et-vient
sintensifient, deviennent plus profonds
Mon Isabelle
Son regard
il change
dexpression, elle semble sinquiéter, puis son visage sillumine,
Alain est en train
la faire jouir
Isabelle crie son plaisir
tremble de tout son corps
jouit bruyamment sur le membre
dAlain
, je lobserve... se délectant de son orgasme
son corps convulse,
son anus
me nappe, menserre
me comprime le gland,.. elle me tue
je me rends ..
« -
Isabelle
mon amooour !
»
Je me déverse dans ses reins
elle mexpulse presquaussitôt
ma semence sécoule de
son puits damour, je pose ma tête sur sa nuque, épuisé, comblé,..
Alain perd le contrôle, se tétanise, me transperçant les tympans ... succombe à son
tour, soulevant Isabelle, de puissants coups de reins. Empalée sur la queue de son
amant, je la contemple, le nez dans la chevelure dAlain, respirant à pleines narines
lodeur de cet homme qui la rend heureuse, bredouillant des mots que je ne comprends
plus, couverts par les râles dAlain,
Isabelle lui reprends la bouche
pour quil se taise ?
parce que le désir
latt à nouveau ? je ne sais pas
je men fiche
cest beau
cest
inoubliable
Le calme revient
elle a les yeux dans le vague
défaite par nos assauts,
sur ses
jeunes lèvres, un sourire
Isabelle est calme et sereine
dans les bras dAlain
samuse avec mon sexe mou
« - Ce que vous mavez fait mes coquins !
cétait bon
cétait bon
cétait bon
»
Séduite, amoureuse, et apaisée, elle nous fait sa demande, attendrissante, émouvante
« - vous mépousez ? la vie va être délicieuse
avec vous deux ! »
je ne suis plus seul, dans la vie dIsabelle !
Scorpion
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!