Ma Moitié ... Partagée ...

C’était un matin après le petit déj … j’avais encore les cheveux debout, et déjà la
tête au boulot … Isabelle, dans sa nuisette bleu pastelle, ample, juste ce qu’il faut
pour laisser ses seins libres, se mouvoir à leur guise, effleurant le tissu soyeux de
leur téton tendre et que je devine, me narguant, sublimes et sadiques à la fois.
Elle sent le matin chaud, j’ai la trique, elle le constate en me croisant et d’un
geste faussement maladroit, en passant, oublie sa main sur mon gland, le comprime
légèrement … je veux la retenir …elle est déjà passée …se retourne, un large sourire
aux lèvres, désirable à la folie, ses tétons poussent à travers le doux tissu de sa
nuisette… je reste interdit, bouche ouverte, le sexe à la main, pour contenir mon
désir, comme un idiot, n’ayant pas su saisir l’occasion qui s’offrait.

Dans ses moment là, elle peut tout me demander, et elle le sait … mon amour, mon désir
fulgurant m’asservit, j’ai envie de son nez, de sa bouche, de ses fesses, de ses
seins, j’ai envie d’être en elle ! …

Je l’entends dans la salle d’eau, elle me parle … je vacille quelques secondes... et
suis obligé de la faire répéter … j’ai dû mal entendre …

« - oui, je disais, … tu veux toujours que je me le tape ?! »
« - Hein ?! mais qui ça ? »
« - Et bien … Alain ! tu sais bien … Parce que maintenant j’veux bien ! Tu m’as
tellement poussée à le faire et …je commence à me faire à cette idée… »

Je tousse, éclabousse un peu de café partout et tâche ma chemise …
Je ne trouve plus mes mots … mais qu’a-t-elle ce matin ?!

Elle enchaine …

« - Parce qu’hier tu sais, j’étais avec Véronique… à la plage… il était avec un de ses
potes ... il n’a pas arrêté de nous lorgner …c’était mignon … ça m’a touchée …
t’avais raison, je crois qu’il en pince pour moi » ….



«- Et puis … je dois dire, …je ne l’avais jamais vu en maillot … il est bien pourvu le
salopard. »

Ces paroles affolent mes neurones, Isabelle les a prononcées avec un tel détachement…
j’aperçois son air satisfait dans le miroir de la salle d’eau. Pensait-elle vraiment
ce qu’elle vient de me dire ou est ce une de ces pics qu’elle me lance, pour se venger
de la brouille qu’on a eu la veille ?

Je l’avais il est vrai, souvent taquinée avec ce fantasme, mais ça faisait un bout de
temps maintenant qu’on en n’avait pas reparlé… et puis elle m’avait toujours répondu
sèchement, que ce n’était pas son style, qu’elle n’avait pas besoin de ça !

Et là !, aujourd’hui … je la sens sincère, je la sens prête, ça me trouble plus que
je ne l’imaginais.

« - Mais ce qui me plairait … c’est une partie à trois, avec toi bien sûr… t’es
toujours d’accord ? … c’était ton idée, tu te souviens ?»


« Mais qu’est ce qui … c’est vraiment, …de l’avoir vu à la plage qui … »

« Oui sans doute, ils étaient tous les deux allongés sur le sable … ils nous
zieutaient, nous souriaient et dans leur slip de bain, ça faisait une jolie bosse …
mais je pense qu’ils bandaient …ou alors, … ben ça promet !

Même Véronique, tu sais, ça l’a rendu toute chose…
En tout les cas moi, c’est vrai que j’ai mouillé … je ne savais plus ou me mettre,
jamais ressenti ça avant ! Je crois qu’un petit câlin avec lui, … ça me plairait
vraiment !... j’aime bien sa petite gueule ! »

« -Ma minette, je ne te reconnais plus ! … t’as pris quelque chose ou quoi ?!

Elle me dépose un bisou sur le nez, me prend par le bras, m’amène jusqu’à son
ordinateur, ouvre un fichier :
« - Tiens, regarde, c’est lui me l’a envoyé hier soir. Il a dû comprendre mon émotion
sur la plage .. il n’aurait jamais osé sinon !

Ce qui s’affiche sur l’écran de son PC me met la boule au ventre, me paralyse !

Alain, s’invite en catimini sur le PC de ma belle,… dans le plus simple appareil !
Mais ce qui me dérange le plus, c’est ce qu’il a entre les jambes ! Je cache mon
embarras comme je peux … !
Elle me regarde et se délecte de mon étonnement, de ma gêne à constater qu’un de mes
congénères, il faut bien le dire, est bien mieux équipé que moi, question bistouquette
!
Il se tient, debout, une main sur la table de son séjour, comme le ferait un chanteur
interprétant Schubert, une main sur le piano.
.. mais nu comme un ver … Fier de ses
attributs, de sa belle queue qui prend la lumière, pendante entre ses cuisses, arquée
comme il faut, lourde, le prépuce à moitié retroussé, tentant de retenir le gland qui
semble vouloir s’évader.
.
-« c’est beau, ça donne envie non ?! » Me demande t elle.
-« Je ne sais pas ... c’est toi qui sait, moi ces choses là … j’ai pas d’avis… »
-« et bien moi, ce corps, ce sexe ! … huuum !… »

Je balbutie … :

« - C’est si soudain,…tu… tu me prends de court … »
Je me rends compte que l’expression est mal choisie …
« N’aie crainte, avec lui, personne ne sera pris de court ! … Ma belle Isa me rit au
nez, satisfaite de son bon mot. Son petit nez fripon, qui bat des ailes à chacun de
ses éclats de rire me fait fondre. J’ai envie de la couvrir de baisers…nom de Dieu,
que c’est beau une jeune et belle femme qui tout à coup ne pense plus qu’au sexe !

A l’évidence, je ne peux pas laisser cette occasion me passer sous le nez. Isabelle ne
sera jamais aussi désirable que maintenant.

J’ai peur … j’ai peur qu’Alain en tombe éperdument amoureux … comme moi … y’ a des
risques !...

Isabelle est aux anges.

J’accepte …

Une semaine passe … nous nous rejoignons pour déjeuner à la brasserie, à deux pas de
mon boulot comme tous les mercredis. Je la trouve plus guillerette que d’habitude !
Son visage respire la quiétude, la joie de vivre, elle est jeune et belle, la
brasserie est pleine, je ne vois qu’elle… le serveur nous amène les plats quand elle
m’annonce le programme du week-end, d’une insouciance juvénile, désabusée, presque
ailleurs …

« - Tiens au fait, Alain passe samedi, … prendre … le thé ! … c’est bon pour toi, tu
seras là ? »
« - j’ai le vertige, … heu … ah oui ? … tu l’as vu récemment …, »
« - Ba oui … enfin par Mail ! … mais c’était sympa quand même…si tu savais ce qu’il
m’écrit…il me drague grave ! Sa prose est des plus cochonne, ça me change de Proust,
mais ça me fait de l’effet …
Elle me lance des œillades, m’observe entre deux bouchées de carpaccio, son sourire
m’intimide maintenant, et se marie délicieusement au fait qu’elle ait choisi ce midi,
un plat de viande crue !

« - Tu seras en forme ? …
« - Ben je ne sais pas si j’peux …j’me demande si j’ai pas … »
« - Tsss ! … tu ne vas pas te défiler maintenant ? .
. Maintenant que j’ai envie …
« Mais qu’est ce que tu lui as dit, bon sens !»
« -Tout ! … nos fantasmes … de plan à trois … il a dit oui … »
Isabelle est radieuse, minaude entre deux gorgés de coca, j’ai envie de la prendre,
là, sur la table !
« Il m’a même dit que si tu veux, il pourra s’occuper de toi aussi ! »
La tête que je fais doit la surprendre, elle pouffe et ne parviens pas à se calmer
quand le garçon vient nous demander si nous voulons un dessert.

… malaise …

Nous sommes samedi, … et la sonnette chante, j’ai le trac …
Isabelle se précipite, …Alain entre...

« - Et bien voilà, Alain, un collègue de bureau, et tombeur des plages de la région à
ses heures perdues… Simon, mon mari que j’aime et qui m’aime …… »

On se serre la main, la gêne est palpable, seule Isabelle semble être à son aise.

« - Messieurs, je vous sens bien tendus, … mettez vous à l’aise … prenez l’apéro, moi
je vais prendre une douche. »
Elle s’éclipse puis réapparaît quelques minutes plus tard, pointe son joli petit
minois dans l’entrebâillement de la porte et devant notre difficulté à nous dérider,
nous chuchote le sésame consacré, qui ne laisse plus aucun doute quant à ses
intentions …

« - J’aurais besoin de quelqu’un pour me frotter le dos …et il y a de la place
pour trois ! »

Fallait il qu’elle se pense bien sale pour qu’elle réclame notre concours …deux jeunes
mâles … pour la toiletter là où il faut ?!…
Nous ne nous faisons plus prier. Dans ma tête, il est clair que le signal est donné.

J’ouvre la porte de la douche, je découvre Isabelle adossée à la paroi, une mousse
onctueuse la préservant encore d’une complète nudité, comme une dentelle parfumée,
suggérant qu’il y a encore matière à dévêtir.

Comme le mien, le regard d’Alain est hypnotisé, happé par cette belle poitrine
s’offrant au travers de la mousse, sublime, ferme, deux beaux fruits mûrs prêts à
déguster.
..
Qui de nous deux, sera le premier à les peloter, à les honorer de nos baisers ? …


Alain est déjà en slip, je l’imite …nous entrons, il fait chaud, le jet est caressant
…premier contact, sa poitrine s’écrase sur celle d’Alain, l’effet est immédiat, ses
tétons bourgeonnent, le plaisir s’invite en elle, je la connais, elle ne pourra plus
reculer… l’envie la rend impatiente, belle à croquer ...

« - Hé, les garçons ? … que sont ces vilains restes de pudibonderie ? Vous avez
oublié de quitter une étoffe ! »

Isabelle s’agenouille, le visage au niveau de ce qui nous reste de tissu, fait glisser
mon slip, mon intimité ainsi dévoilée me rend la verge timide … j’ai besoin de temps …
Elle s’apprête à faire de même avec Alain, le slip est chez lui déjà bien gonflé, le
tissu résiste, mais le sexe finit par jaillir, à la manière d’un polichinelle sortant
d’une boite à surprise …le membre est encore souple et pourtant d’une taille qui fait
sursauter Isabelle !

« - Ooooh … dis donc ! … »

Elle met sa main devant ses lèvres comme pour cacher son émotion … mais ses yeux
trahissent l’émoi qui la saisit, ses mains engagent déjà la conversation. Le sourire
béat, fascinée, une main câlinant ses bourses, lourdes, gorgées de sève d’amour, …
l’autre, prenant possession du membre, épais, d’une réactivité surprenante, bientôt
au meilleur de sa forme.

Elle dévisage Alain, …le fixe, lui sourit …

« - Elle est grosse !… »

Oui effectivement, elle est …enfin, c’est une belle pièce ! … je crains de ne pas
faire le poids, mais bizarrement, la vue de cette belle bite réveille ma libido, et je
sens la mienne prendre du volume …
Ses lèvres humides, sons joli petit nez légèrement retroussé, nos haleines qui se
mélangent, nous sommes là pour le plaisir, pour la baise, je tremble d’excitation …

Isabelle goûte l’instant, elle est radieuse et nous souffle, instinctivement, d’une
voix à peine audible comme neutralisée par le désir :

« - Qui commence ? … chacun son côté ? Alain à gauche … et mon minet d’amour … à
droite ? … »

Je l’embrasse sur la joue, Alain fait de même sur son côté, je bise le côté droit de
son nez, lèche cette narine que je connais par cœur et dont les courbes me fascinent
depuis si longtemps. Alain n’est pas en reste, nous nous appliquons sur ce visage qui
s’offre, nos langues se font velours, caressantes, onctueuses, tendres…

Isabelle s’enivre de nos haleines d’hommes excités, …séduite par l’attrait de la
nouveauté, elle craque, et je la contemple proposer sa bouche aux baisers gourmands
d’Alain.

« - Huuum … muoiii … Alaiiiin !... tu sens bon …tu es bien fait, tu es joli…»

Je m’excite sur sa joue, sur son nez, je n’en peux plus… Isabelle le comprend et vient
me rassasier d’un baiser mouillé, sa langue s’affole au contact de la mienne… je n’ai
rien vécu d’aussi fort, … Isabelle est heureuse, se repait de notre désir, se laisse
déguster.

Elle saisit nos mains, les dépose sur ses seins, lâche nos bouches, ne pouvant
contenir son plaisir. …

« - Oooh … mes hommes ! … ouiii … allez ! … chacun le votre … »

Alain, le téton déjà en bouche, grogne et s’étouffe sur son sein.
J’opte pour une caresse plus suave, contourne son téton majestueux de ma langue, puis
énerve la tétine de petits coups de langue appliqués, … ne pas s’emballer …puis
l’effleurer seulement…longtemps …que c’est bon …
Garder le rythme devient insoutenable, j’abdique … et tète goulument …je
m’abandonne, je prends mon plaisir sur sa chair tendre et parfumée …à chacun son sein…

Isabelle délire :
« - Hummm … Aaaah , ouiii … c’est bon … c’est booon ! ça m’excite… putain !!! »

Je la sens perdre les pédales …elle soustrait Alain de son seins et lui gobe la langue
…ils s’embrassent avec fougue, spectacle foudroyant, de cette femme qui s’exhibe, …
de ce petit lot qui s’excite sur cet homme.
Belle et égoïste, elle a obtenue ce qu’elle souhaitait, elle fait l’amour avec Alain,
c’est simple, c’est beau …

Je suis bien décidé à amplifier son plaisir comme je peux, sur ses fesses, ses seins.
Ma main, câline, explore, titille et ose une visite dans sa jungle brune, Isabelle
râle …son plaisir est trop fort, elle se détache d’Alain, les yeux mi clos,
essoufflée, guidée par l’instinct de femelle qui désormais la gouverne, elle pèse sur
nos têtes qui glissent le long de son ventre chaud, elle nous prie de descendre encore
…la vulve est gonflée, dégoulinante de bonheur…

« - oui là …oh oui .., Ooooooh ! … »

La tessiture de son bonheur grimpe d’une octave…

« - ouuuuh … vous êtes fous .. . vous êtes boooon ! … »

Nos langues fouillent son antre, la douche, comme écrin, protège nos ébats, personne
ne viendra troubler ces trois êtres qui copulent. La douche se garnie de nos bruits
d’amour, toute retenue abandonnée, une odeur entêtante de fornication juteuse s’en
dégage.
La promiscuité masculine de nos deux langues ne me perturbe pas bien longtemps, la
liqueur est trop bonne …comme Alain, je lape je lèche j’embrasse le bord de son sexe,
et nous passons à tour de rôle sur son bourgeon d’amour … à celui qui la fera gémir…
le plus intensément … encore et encore …

« - Ooooh … j’n’en peux plus … peux pluuus !!! …j’ai envie !...Si vous voulez me
baiser, c’est maintenant ! … avec ça !... Elle saisit nos membres, les réunit, collés
l’un contre l’autre, …je ne suis pas à mon avantage, la bite d’Alain est
outrageusement impressionnante, Isabelle s’en amuse. Je l’incite à choisir, celle qui
la tente le plus, comme un convive à qui l’on donne la préférence des plats. Je ne me
fais aucune illusion, elle n’a pas lâché du regard le gros pieu d’Alain.
Elle soupèse les bourses, empoigne les membres et pense à voix haute :

« - Huuum … mon coquin de plagiste, ! Inutile de mesurer,… j’en n’apprendrai pas
davantage ! C’est dingue, ce que la nature t’a gâté !... »

J’encaisse ! …l’excitation tempère mon désarroi…

Elle me bredouille une excuse :

« - Simon … tu permets … y’a urgence ! … je prends la grosse ! Tu ne m’en veux
paaaaaaaas !!!! »
Mais Alain oublie bienséance et savoir-vivre, Isabelle n’aura pas le temps de se
justifier davantage,… l’heureux élu l’a déjà enfournée !

Devant mes yeux écarquillés, Isabelle se fait pilonner sans ménagement, je suis
derrière elle, collé à sa peau, les courbes de son corps s’impriment sur le mien, le
nez dans son cou, la verge blottie au creux de ses fesses, je sens tous les coups
qu’Alain donne,… il prend sa jolie petite tête, la couvre de baisers, puis lui pompe
littéralement la langue.
Je me saisis de ses seins, ma queue est au chaud, au creux de sa raie, …je veux ma
part aussi,…je me masturbe sur son fessier savonneux, je me surprends à chercher son
anus, je n’avais encore jamais osé … je tâtonne, …j’hésite, …je pousse …… j’entre !…
Isabelle crie dans la bouche d’Alain …se raidit … puis se relâche, … dans les reflets
des parois de la douche, je devine sa surprise,… puis son extase,

« - Non !!!... Ooh Simon ?! … qu’as-tu fait ?! … »

Je me fais tendre afin ne pas la blesser, mais ne peux m’empêcher de m’animer,
doucement dans ses entrailles moelleuses …
Alain s’emporte, fait claquer son pubis contre celui d’Isabelle, faisant gicler le
surplus d’eau qui s’est accumulé dans leurs poils …l’instant est obscène, … dans cette
atmosphère moite, les odeurs fortes de corps en sueurs qui se mélangent aux fragrance
de parfums de grandes marques, ne font qu’attiser leur passion, les va-et-vient
s’intensifient, deviennent plus profonds …Mon Isabelle …Son regard …il change
d’expression, elle semble s’inquiéter, puis son visage s’illumine, …Alain est en train
la faire jouir …
Isabelle crie son plaisir … tremble de tout son corps … jouit bruyamment sur le membre
d’Alain …, je l’observe... se délectant de son orgasme …son corps convulse, … son anus
me nappe, m’enserre … me comprime le gland,.. elle me tue… je me rends ..

« - … Isabelle… mon amooour ! … »
Je me déverse dans ses reins … elle m’expulse presqu’aussitôt … ma semence s’écoule de
son puits d’amour, je pose ma tête sur sa nuque, épuisé, comblé,..
Alain perd le contrôle, se tétanise, me transperçant les tympans ... succombe à son
tour, soulevant Isabelle, de puissants coups de reins. Empalée sur la queue de son
amant, je la contemple, le nez dans la chevelure d’Alain, respirant à pleines narines
l’odeur de cet homme qui la rend heureuse, bredouillant des mots que je ne comprends
plus, couverts par les râles d’Alain,…
Isabelle lui reprends la bouche … pour qu’il se taise ? … parce que le désir
l’att à nouveau ? je ne sais pas … je m’en fiche … c’est beau … c’est
inoubliable …

Le calme revient … elle a les yeux dans le vague … défaite par nos assauts,… sur ses
jeunes lèvres, un sourire …Isabelle est calme et sereine …dans les bras d’Alain …
s’amuse avec mon sexe mou …

« - Ce que vous m’avez fait mes coquins ! … c’était bon…c’était bon … c’était bon … »
Séduite, amoureuse, et apaisée, elle nous fait sa demande, attendrissante, émouvante
…
« - vous m’épousez ? la vie va être délicieuse… avec vous deux ! »

…je ne suis plus seul, dans la vie d’Isabelle ! …


Scorpion

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