Leslie Ar21
Leslie AR21 - Les confessions dHélène, suite
Etant au bord de la mer, chaque jour, nous marchions un peu sur la plage, cest comme
ça que nous avons découverts une plage naturiste.
Tous les plaisanciers étaient nus et Roger ma dit :
- Une nouvelle expérience à faire !
Je métais déjà baignée nue, dans des coins isolés ou dans les traditionnels bains de
minuit de mon adolescence, mais jamais je ne mise nue sur une plage, offerte aux
regards des autres. Même si cela ne me dérangeait pas, outre mesure, le faire en plein
jour sur une plage était une nouveauté, mais peut-être que Roger aimerait bien que
dautres hommes me regardent.
Roger a enlevé son maillot, sans problème, exhibant son sexe aux yeux de toute la
plage, il faut dire que gauler comme il létait, il pouvait susciter des jalousies et
des envies, puis sétait rassis sur la serviette en me disant :
- Allez, enlève ton maillot.
Jai enlevé le haut, puis le bas en restant assise sur ma serviette, comme par pudeur
ou timidité, je ne saurais le dire, alors que je savais que si je voulais aller me
baigner, il faudrait bien que je me lève et me monter dans ma nudité intégrale.
Et pour la première fois, je me suis retrouvée nue sur une plage aux regards de tous.
Un peu plus tard, Roger ma proposé daller nous baigner. Il sest levé et ma tendu
la main pour maider. Nous sommes partis main dans la main montrant pour la première
fois nos nudités, et surtout mon joli petit cul.
Jai mis quelques minutes à entrer dans leau, Roger a plongé tout de suite et
quelques minutes plus tard, il me demandait :
- Alors, quest-ce que ça te fait de te baigner toute nue ?
- Cest très agréable. Tu sais, je lai déjà fait, mais de nuit.
- Oui, comme beaucoup de monde, je pense, mais aujourdhui cest de jour et donc
différent, surtout que tu as été regardé.
- Ça ne me dérange pas, car je suis avec toi, en plus tu dois aimer quon
mobserve.
- Parfaitement, car tu es très désirable, et ça me plait bien que les autres te
regardent avec envie.
Nous avons nagé et sauté dans les vagues, jai apprécié dêtre nue dans leau, et
quand nous sommes remontés vers nos affaires, jai remarqué que lon nous regardait,
et en fait jen ai éprouvé un certain plaisir.
Nous avons fini nos vacances en allant toujours sur cette même plage pour nous baigner
nus.
Jai découvert que le fait de se promener dans le plus simple appareil et de se
baigner nue était vraiment très agréable.
Avec Roger, nus tous les deux, nous avons souvent marché le long de la plage, comme
pour que je mhabitue à être nue et dévoilée aux regards inconnus.
Lors de nos ballades au bord de leau, nous avons souvent rencontré des gens qui
longeaient la plage, et les messieurs ne se privaient pas de lorgner discrètement sur
mon anatomie exposée à leurs regards, et je sentais Roger heureux et cela me
remplissait de bonheur.
Au retour des vacances, lannée qui suivit, la première année de notre mariage, fut
remplie de nouvelles expériences sexuelles avec Roger, fous amoureux lun de lautre,
chaque instant était prétexte à faire lamour.
Ainsi nous avons fait lamour dans des endroits insolites, dans des halls dimmeubles,
comme dans des endroits isolés lors de nos ballades dans la campagne et chaque fois
jai eu un plaisir fou, Roger était tendre et attentionné, mais ne manquant aucune
occasion de réveiller mon appétit sexuel qui grandissait jour après jour.
Il ma ainsi appris à le sucer et aussi à prendre du plaisir à avaler sa jouissance.
Chaque fois que loccasion sy prêtait il me doigtait de ses mains habiles me mettant
dans des états incroyables, cest ainsi que je me suis mise à sortir sans culotte afin
que sa tâche lui soit aisée.
gorge, ma petite poitrine peu volumineuse me le permettant.
A la maison, au début de lautomne lors de nos ébats, pendant les préliminaires ou
lorsquil me faisait lamour, je sentais un doigt venir me caresser mon anus, une
nouvelle caresse quaucun homme ne mavait prodiguée. Bien que je ressente du plaisir
à cette caresse intime, mon corps se contractait et Roger ninsistait pas.
Un soir dhiver alors que nous rentrions dune soirée chez des amis, naturistes et
échangistes, où la conversation avait été chaude et tournant surtout autour du sexe,
je me sentais particulièrement excitée et prête à me laisser aller dans les bras de
mon homme aux pires folies sexuelles.
Aussitôt installés dans la voiture, Roger, délicatement, releva ma jupe sur le haut de
mes cuisses dévoilant le bas de mon corps. De sa main droite il commença à me caresser
me faisant gémir, jai reculé au maximum le siège et basculé le dossier en arrière
pour mieux moffrir à la caresse de mon homme et jai écarté les cuisses au maximum.
Je me trouvais allongée, la robe remontée haut sur mon ventre, indécemment offerte aux
regards des passants et à la main de mon homme. Très rapidement il a trouvé mon
clitoris quil a agacé du bout du doigt, me faisant feuler de plaisir, puis il ma
doigté tout en continuant de jouer avec mon bouton damour, lorsque jai jouis je me
suis arquée soulevant mon corps du siège, cest le moment que Roger à choisit pour
envelopper mon pubis du plat de la main et poser son majeur sur mon anneau intime.
Lorsque je suis redescendue son doigt sest enfoncé en moi me faisant tressaillir de
stupeur et de surprise, en poussant un :
- Ohhh !
Il a enfoncé doucement son doigt en moi sans que je refuse cette pénétration si
nouvelle et si intime, et me doigtant lillet il ma emmené vers de nouveaux plaisirs
inconnus jusqu'à lors.
En arrivant à la maison jétais dans un état second, le sexe trempé par mon propre
plaisir et lanus entrouvert palpitant des caresses précédentes.
Roger derrière moi ma attrapé dans le salon et ma basculé le corps contre le canapé.
Jétais pliée en deux le ventre contre le dossier, la tête en bas vers lassise du
canapé, le corps cambré aux désirs de mon homme
Il a relevé ma robe sur mes reins dévoilant mes fesses nues et ma écartées les jambes
en se positionnant derrière moi, et tout en se défaisant il ma chuchoté à loreille :
- Ne tinquiètes pas, je vais être doux mais surtout ne te crispe pas
Jai senti son sexe dur dans mon sillon, puis son gland jouant à lentrée de ma
chatte, caressant mes lèvres du bout et senduisant de ma liqueur de plaisir.
Jai compris que jallais vivre ma première sodomie et la peur menvahit, comment le
sexe de mon homme allait pouvoir entrer dans mon conduit intime si serré et encore
inviolé, son sexe large et épais navait rien à voir avec son doigt, jai soupiré en
disant :
- Non, chéri tu es bien trop gros !
Je le sentais excité dans mon dos et certainement le peur ou son excitation mont fait
penser quil était encore plus gros que dhabitude, mis son gland se posa sur ma
rosette et il me dit :
- Chérie, laisses-toi aller et ne te contracte pas, tu vas voir je vais être
doux.
Je savais quil serait doux, comme toujours, mais cela ne me rassurait pas, mais il
commençait déjà à pousser son sexe en moi et ma rondelle sélargissait sous la
poussée.
Javais envie de lui faire plaisir et de me donner complètement à lhomme que
jaimais, jallais être enculée comme une chienne à la hussarde, alors je me suis
détendue en pensant que le plaisir viendrait peut-être après la douleur, et son gland
à passer mon muscle anal.
La douleur vrillait mes reins et je me sentais distendue par cette pénétration, puis
la douleur sest estompée et il sest enfoncé lentement en moi me faisant hurler.
Ma première sodomie ne ma apporté que le plaisir de lui donner le sien, lorsquil a
jouit au fond de mes entrailles un certain bonheur ma comblée, mais lorsquil sest
retiré mon anus était douloureux.
- Ma chérie, me dit-il, je taime.
- Moi aussi, je taime, lui dis-je.
Il ma emmené dans notre chambre, et ma couché, sur le ventre, nue sur le lit, puis
il est venu au-dessus de moi et ma écarté les fesses, dévoilant à ses yeux mon anus
encore entrouvert et douloureux, puis il a plongé sa tête entre mes fesses pour me
prodiguer une caresse de sa langue sur ma rondelle endolorie.
Le contact de sa langue sur mon anneau ma fait frémir, il sest mis à me lécher le
pourtour en noubliant aucun recoin, sa langue apaisait la douleur et de petits
fourmillements envahir mon anus se propageant jusquà mon clitoris. Bientôt un sourd
plaisir me remplit le bas ventre et la chaleur se propagea dans tout mon être, me
faisant couiner de plaisir.
Quand sa langue est entrée dans mon petit trou, jai hurlée de bonheur et à cet
instant jai compris que jallais éprouver du plaisir dans cette pratique, je sentais
que jallais devenir accroc à sodomie, et le bonheur mêlé au plaisir memportèrent.
Avec Roger, par la suite, la sodomie est devenue une pratique incontournable de nos
ébats, plus tard Roger macheta des bijoux intimes que je portais régulièrement.
A suivre
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