La Chienne De Monsieur (7)
Plusieurs semaines après que Monsieur mait fait part de son intention de me partager
avec Robert, son collègue de travail, je nai toujours aucune nouvelle de ce projet
excitant. Il ne ma rien dit jusquà maintenant et, puisque je ne dois pas être celle
qui initie une discussion, mais seulement répondre à Monsieur sil me pose une
question, je ne peux quattendre quil plaise à mon Maître de me tenir au courant.
Entretemps, il a continué à me façonner selon son désir en me soumettant à toutes
sortes de nouvelles obligations. Je dois désormais porter un string féminin en
dentelle à tous les jours, mépiler consciencieusement lanus et les parties génitales
ainsi que continuer à laisser pousser mes cheveux, qui tombent maintenant plus bas que
mes épaules, afin que Monsieur ait une meilleure poigne sur ma tête. Vous savez dans
quelles circonstances, jimagine.
Il a aussi parfait mon éducation de diverses manières. Un soir, par exemple, je ne
lai pas rappelé après quil mait contacté (jétais au cinéma, il faut dire). Dès le
lendemain, lorsque je me suis pointé chez lui, il ma à me déshabiller, a
conservé mes vêtements à lintérieur et ma laissé moisir dehors. Il ma ensuite lancé
mon gros pénis de silicone (quil gardait maintenant en permanence pour ne pas que je
lutilise sans sa permission) sur le balcon arrière et ma ordonné de me goder avec
jusquà ce quil juge que javais compris la leçon. Pendant une bonne heure, jai donc
dû menfoncer lénorme faux pénis aux yeux de toute la banlieue, devant Monsieur qui,
de lautre côté de la porte-fenêtre coulissante, se branlait sans me quitter des yeux.
Heureusement, cette fois-là, jai tout de même été récompensée en ayant droit à sa
semence.
Un matin, enfin, je reçois le message tant attendu de mon Maître : « Ce soir, tu
arrives vers 19h.
lui ai promis une salope hors pair, ne me déçois pas. » Déjà toute excitée par ces
simples paroles, je cours au centre commercial et entre dans une boutique de lingerie
pour me trouver des accessoires aguicheurs. Une heure plus tard, je ressors avec un
bustier rouge et noir, lacé dans le dos, des bas résille et un nouveau string, noir
lui-aussi.
Arrivée chez Monsieur, je cours à la salle de bain, revêt mes vêtements de
circonstances et me maquille pour me faire la plus séduisante possible. Jenfile
ensuite le collier de cuir, juste au moment où quelquun entre sans frapper. Monsieur
sapproche de moi et caresse mon flanc comme si jétais une jument dans un box.
- Je crois que notre invité sera satisfait.
- Je lespère de tout cur, Monsieur. Jai fait ce que vous maviez dit. Est-ce que je
dois mettre mon plug, Monsieur ?
Mon Maître approche alors son visage du mien et lève deux de ses doigts que je
m'empresse de sucer pour les enduire de salive. Nous ne nous quittons pas des yeux. Le
visage de Monsieur est à ce moment incroyablement doux et attentionné; je me sens
privilégiée de lui appartenir. Cet homme pourrait me faire faire n'importe quoi. Avec
plus de tendresse qu'à l'habitude, il enfonce ensuite ses gros doigts luisants dans
mon cul, lentement, et les fait tourner en serrant légèrement ma gorge de son autre
large main. Je suis à sa merci. Ma petite queue est bien dure dans mon string.
- Non, ça devrait aller. Je tai tellement élargie que tu es maintenant naturellement
ouverte. Cest signe que tu es une bonne chienne, ça.
- Merci Monsieur ! Cest mon plus grand désir.
- Tourne-toi, maintenant.
Monsieur attache ma laisse à mon cou et pose un bandeau sur mes yeux. Il passe
également une ceinture de cuir au-dessus de mes hanches. « C'est pour avoir une
meilleure prise », me murmure-t-il à l'oreille.
défaillir et je cherche frénétiquement sa bite à travers son pantalon, mais il me
frappe le bras pour me faire comprendre que ce n'est pas le moment.
- Tu me fais confiance ? me demande-t-il en enfonçant à nouveau ses doigts dans ma
chatte, sachant sans doute très bien que je ne peux rien lui refuser dans ces
circonstances.
- Oui, Monsieur, vous êtes mon Maître et savez ce que je mérite mieux moi, dis-je dun
ton tout de même un peu anxieux à lidée de me plonger ainsi dans linconnu.
Monsieur appuie ensuite sur mes épaules pour que je me mette à quatre pattes sur le
carrelage.
- Il tattend au salon. Tu vas me suivre jusque-là et nous obéir en tous points. Ce
soir, tu as deux Maîtres, Monsieur, et Monsieur Robert, et tu devras satisfaire le
moindre de nos désirs. Tu ten crois capable ?
- Oui, Monsieur, vous mavez dressée pour cela. Je suis prête et jespère que vous
serez fier de moi.
Monsieur tire alors brusquement sur ma laisse et nous avançons lentement vers le
salon, tel un maître et son animal de compagnie. Je soupçonne que lobjectif de cette
lenteur toute calculée est de me permettre de bien me cambrer et me déhancher pour
plaire à linvité de mon Maître. Une fois parvenus au salon, Monsieur me fait faire le
tour de la pièce pour que son invité puisse me contempler à sa guise, sous toutes mes
coutures, comme lors dune exposition canine. Puis, il me fait monter sur une sorte de
petit matelas disposé à peu près au centre du salon.
- Reste, mordonne Monsieur. Robert, je te présente Sarah.
- Cest une belle chienne que tu as là, dis donc ! répond une voix bourrue. Elle ma
lair cochonne à souhait et bien soumise. Je peux tâter la marchandise ?
- Bien sûr. Elle est toute à toi. Je vais te laisser te familiariser un peu avec elle.
Veux-tu une bière ? Jen ai des fraîches au sous-sol.
- Oui, merci.
Je sens vite une nouvelle odeur de mâle viril, plus musquée que celle de mon Maître,
pénétrer mes narines, au moment même où des mains noueuses commencent à me palper sans
douceur. Elles jouent avec cheveux, tâtent mes fesses, mes cuisses, se glissent sous
mon bustier pour pincer mes tétons. Jai hâte que mon Maître revienne. Je commence à
prendre peur, seule avec cet inconnu.
Soudain une série de claques sabattent sur mes fesses. Je ne peux mempêcher
déchapper un cri de surprise suivi de quelques gémissements de douleur tellement les
coups sont puissants.
- Je ne tai pas entendu me remercier, salope. À chaque fois que je te fais subir
quelque chose, que ça te plaise ou non, je veux entendre un « Merci, Monsieur Robert »
bien sincère.
- Bien, Monsieur Robert.
Clac !
- Merci, Monsieur Robert.
CLAC !
- Aïe ! Merci, Monsieur Robert.
Après une dizaine de claques bien senties, deux mains se mettent à écarter mon cul
hypersensible et tassent mon string pour dévoiler mon anneau plissé. Monsieur Robert
crache alors dessus et se dépêche dy appuyer avec un de ses doigts qui entre sans
trop de difficulté. Cest à ce moment que jentends mon Maître revenir et déboucher
les deux bouteilles de bière. Il sassoit ensuite dans un fauteuil.
- Tu navais pas menti, Louis. Elle est juste assez serrée ! Je bande comme tas pas
idée, tu peux me croire !
- Tu mavais dit que tu préférais quand cétait assez serré, Robert, cest pourquoi je
lui ai ordonné de ne pas porter son plug. Mais tu vas voir, quand elle est bien
excitée, elle souvre comme une fleur. Ou comme un garage, plutôt.
Apparemment satisfait, Monsieur Robert ajoute bientôt un deuxième doigt et augmente la
rapidité de ses mouvements dans mon conduit anal. Puis un troisième. Je mappuie sur
mes avant-bras afin de faire ressortir mes fesses davantage.
- Ça alors, cest vraiment une chatte quelle a, cette salope ! Elle aspire mes doigts
et elle mouille, en plus ! Et quel cul ! On dirait vraiment une femme !
- Aaahhh, merci, Monsieur Robert.
Je ne peux me retenir de gémir de plaisir pendant quil fouille violemment mon cul de
ses doigts. Cest vrai que je mouille tellement je suis excitée par la situation : mon
mâle ma prêtée à un autre homme comme on prêterait un livre ou un film. Et, en plus,
il me regarde prendre du plaisir. Il faut dire quau moins la moitié de ma jouissance
provient du fait que je sais le regard de Monsieur rivé sur moi. Je veux lui faire
plaisir autant quà son invité.
- Tu les sens bien, mes doigts ? Tu aimes ça quand je te défonce comme ça ? Imagine
comment tu vas gueuler quand ça va être ma queue !
- Aaahhh, oui, Monsieur Robert, merci ! Cest si bon, Monsieur Robert !
Il retire ensuite brusquement ses doigts et séloigne pour boire quelques gorgées de
bière.
- Agenouille-toi, me dit-t-il.
Il sapproche alors à nouveau et se positionne face à moi. Jentends un bruit de
ceinture quon détache, de fermeture-éclair, puis un son de vêtement tombé au sol.
- Donne la patte.
Instinctivement, je lui tends ma main droite. Monsieur Robert saisit fermement mon
poignet et pose ma main sur son sexe bandé. Dès que mes doigts se referment autour de
la hampe, je retiens un soupir de déception : le pénis de Monsieur Robert nest pas
aussi gros que celui de Monsieur.
- Elle est grosse, Monsieur Robert, lui dis-je, souriante, en prenant le ton de celle
qui est impressionnée et en commençant à branler lentement cette queue circoncise.
Après quelques minutes de cette sage masturbation, Monsieur Robert me retire son sexe
et recommence à tourner autour de moi. Je pose mes mains sur mes cuisses et reprend
une position bien droite. Il sassoit sur le canapé puis tire sur ma laisse pour que
je mapproche. À quatre pattes, cambrée, je me dirige vers lui et minstalle entre ses
jambes.
- Tire la langue.
Jobéis et reçoit rapidement un gland sur ma langue. Cependant, dès que je tente de le
happer de mes lèvres, le sexe se dégage dun coup.
- Tut, tut, tut, ma jolie, murmure Monsieur Robert dun ton menaçant, tu attends que
je te permette de la sucer. Noublie pas que cest pour mon plaisir que tu es là, pas
pour le tien.
- Pardon, Monsieur Robert. Je vous promets de vous obéir en tous points et de faire
tout ce que je peux pour satisfaire, Monsieur Robert, lui dis-je en souriant et en
tirant à nouveau la langue, bouche grande ouverte.
Il tapote ensuite son gland sur mes lèvres puis me frappe le visage avec sa bite. Les
coups sont violents et leur irrégularité me fait sursauter et pousser de petits cris.
Enfin, le gland est déposé doucement sur ma langue pendant que Monsieur Robert agrippe
ma tête dune main. Sa queue se fraie bien vite un chemin entre mes lèvres et,
puisquelle est plus courte que celle de Monsieur, je peux lavaler jusquà la garde
sans trop de difficulté. Monsieur Robert me garde ainsi la tête embrochée sur son
membre pendant de longues secondes et jen profite pour y faire courir ma langue.
- Oh oui, garde-la bien au fond. Allez, garde-la
Aaahhh
À plusieurs reprises, je tousse en laissant échapper des filets de salive, mais rien à
faire, je ne peux me libérer. Sans compter que, durant le temps que la bite demeure
bien au chaud dans ma bouche, je la sens prendre du volume : le gland ne senfonce pas
beaucoup plus profondément, mais il grossit énormément et je peine de plus en plus à
accueillir le sexe en moi.
Enfin, alors que jétais au bord de la noyade dans ma propre salive, Monsieur Robert
se retire et recommence à me frapper le visage avec sa matraque tandis que je
mefforce de reprendre mon souffle.
- Ça alors, Louis, tu ne mavais pas menti ! Cest vraiment une salope de première
classe que tu as trouvée là ! Allez, toi, arrête de chigner et reprends-la, dit-il en
me lenfonçant à nouveau et en me pinçant le nez. Je vais compter jusquà dix. Dix
neuf
huit
sept
Non, non, prends-la bien au fond, précise-t-il en appuyant derrière
ma tête, écrasant mon visage contre son pubis. Six
cinq
quatre
Oh oui, que cest
bon
trois
deux
. un
allez, encore un peu, encore
zéro ! Ahhh !
Il était temps ! Jétais au bord de lévanouissement à force de manquer dair. Pendant
les minutes suivantes, Monsieur Robert continue de me faire avaler sa queue. Étant
donné la longueur normale de celle-ci, il peut en faire aller et venir lentièreté
dans ma bouche débordante de salive et désormais habituée à son gland dune grosseur
hors du commun. Ce quil ne se gêne pas pour faire à toute vitesse. Soudain, pendant
un instant daccalmie où je suçote les bourses pendantes de Monsieur Robert, jentends
la voix profonde de Monsieur près de moi :
- Je peux ?
Jimagine que Monsieur Robert lui a fait signe que oui puisque je suis aussitôt pris
par les épaules, puis la grosse bite de Monsieur se fraie un chemin entre mes lèvres.
Un instant plus tard, celle de Monsieur Robert se pose dans ma main et je mefforce de
la branler tout en suçant celle de mon Maître du mieux que je peux. Pendant une bonne
dizaine de minutes, jalterne ainsi entre les deux sexes bien durs ou, plutôt, ceux-ci
alternent dans ma bouche puisque je ne contrôle absolument rien. Je nai quà garder
la bouche ouverte pendant que leurs mains sur ma tête me dirigent dune queue à
lautre comme on dirigerait un chien vers deux os en même temps pour le rendre fou
dexcitation. Vêtue de lingerie féminine, accroupie au milieu dun salon, en train de
me faire perforer la gorge par deux mâles en puissance, je suis aux anges et
recouverte de salive. Il ne se passe pas une seconde sans que jaie une queue à pomper
profondément, jusquau haut-le-cur. Et celle qui ne se fait pas sucer sert de gourdin
pour me frapper le visage.
On me retire mon bandeau et je peux finalement apercevoir Monsieur Robert. Son visage
comme taillé au couteau, son regard dur, ses yeux très clairs et ses cheveux noirs,
assez courts, lui donnent un air agressif, presque fou. Il est un peu plus jeune que
Monsieur, plus petit et beaucoup plus mince, maigre même. Quant à sa queue, elle est,
comme je lavais senti, circoncise, de taille normale, mais parcourue de veines si
saillantes et son gland est tellement surdimensionné quon dirait un sexe de taureau
installé sur un corps dadolescent. Elle est aussi très recourbée vers le haut.
Après que mes deux mâles aient tenté sans grand succès de faire entrer leurs deux
bites gonflées entre mes lèvres, Monsieur Robert me laisse avec la queue de Monsieur
au fond de la gorge et se dirige derrière moi. Il me remet à quatre pattes, en
position de levrette, et Monsieur sassied devant moi sans que son sexe sorte de ma
bouche. Il empoigne mes cheveux pour me guider le long de sa queue, me lenfonçant de
plus en plus profondément. Un instant plus tard, Monsieur Robert retire mon string,
claque mes fesses et force la porte de mon anus avec son gros gland. Puisque je suis
habituée au calibre de mon Maître, la queue de Monsieur Robert se fraie sans trop de
mal un chemin dans mon cul. Les compliments quil me lance sous forme dinsultes me
font onduler de plaisir tandis que Monsieur continue à profiter de mes lèvres et de ma
gorge. En signe de reconnaissance, puisque cest grâce à lui que je me trouve en ce
moment dominée par deux vigoureux étalons, je dévore son sexe avec voracité en le
fixant dun air soumis, sans doute accentué par le maquillage dégoulinant. Monsieur
sagenouille ensuite devant moi et, à chaque coup de pilon de Monsieur Robert, son
sexe maintenant parallèle au sol senfonce entre mes lèvres. Mes deux extrémités sont
alors toujours remplies par une bonne bite.
À un moment, la pénétration de Monsieur Robert est cependant tellement violente la
faute à la ceinture qui lui permet de me malmener à sa guise comme si je n'étais
qu'une poupée de chiffon, qu'un cheval de rodéo que je ne parviens plus à sucer la
queue de mon Maître qui, compréhensif, se contente de me donner de petits coups de
gland sur les joues en me regardant crier mon plaisir. Voyant que jai délaissé le
sexe de mon Maître, Monsieur Robert grimpe au-dessus de moi, empoigne brutalement mes
cheveux et tire ma tête vers larrière. Mon corps ainsi cambré, mes fesses relevées,
sa queue entre en moi plus facilement et presque à la verticale. Instantanément, je me
mets à gueuler tellement la pénétration est profonde et que le sexe recourbé vient
frotter contre ma prostate.
- Et dire que ma femme na jamais voulu que je lencule ! Je laurais fait gueuler
comme une salope ! Pas vrai que tes une salope ?
- Oh oui, Monsieur Robert ! Aahh, merci, Monsieur Robert ! Aaaaahhhh oui, je suis
votre salope ! Et votre grosse queue est tellement bonne, aaaahhhh, Monsieur Robert !
Ne vous arrêtez pas, sil vous plaît !
À chaque coup, sa large bite entre complètement en moi, ses couilles viennent taper
sur mes fesses et je me sens prise comme une chienne, secouée de toutes parts.
Visiblement satisfait, Monsieur se branle lentement, décalottant son gros gland devant
moi, contemplant sa petite soumise se faire casser le cul par une autre bite que la
sienne et crier sa jouissance, le visage déformé par le plaisir.
Après une bonne dizaine de minutes dune défonce qui me comble au-delà de mes désirs
les plus fous, Monsieur Robert sort son gourdin de mon cul et, toujours en me tenant
par les cheveux, me force à le suivre sur le canapé. Il me force alors à emboucher sa
queue tout juste sortie de mes entrailles. Encore à moitié assommée par ce que je
viens de subir, je nhésite pas un instant et me mets au travail. En fait, je nai
rien dautre à faire que douvrir la bouche et de faire attention à mes dents puisque
Monsieur Robert se charge de faire monter et descendre ma tête sur son sexe bandé.
Quelques secondes plus tard, il plante sa queue profondément dans ma gorge et y crache
dépais jets de sperme. Vu la quantité impressionnante et le fort râle de satisfaction
quil pousse, ça doit faire longtemps quil ne sest pas vidé !
- Avale bien tout, salope. Si tu en perds une goutte, tu vas le regretter. Montre-moi
encore quelle bonne chienne tu es.
Javale rapidement cette chaude semence au goût très épicé et remercie Monsieur Robert
avant de suçoter amoureusement son gland luisant. Au moment où il me force à reprendre
en bouche sa queue qui, bien que venant de se vider, est demeurée raide, je sens
derrière moi Monsieur écarter mes fesses, cracher un gros mollard sur mon anus béant
et y enfoncer à son tour son gland gonflé par lexcitation. Cependant, contrairement à
son habitude, il sarrête sitôt le gland entré et demeure ainsi immobile. Incapable de
supporter plus longtemps cette atroce sensation de vide dans mon cul, je mempale moi-
même sur toute la longueur de sa bite. Monsieur doit être heureux de mon initiative
puisquil commence aussitôt à faire coulisser son membre en moi, marrachant de
nouveaux gémissements.
Mes deux mâles se chargent ainsi de mes orifices insatiables pendant plusieurs
minutes, échangeant parfois leur position. Dans la pièce, tout nest qu'ahanements
defforts, gémissements de plaisir et bruits obscènes produits par mon cul et ma
gorge. Enfin, alors que je chevauche Monsieur affalé sur le canapé en même temps que
je lèche frénétiquement les couilles de Monsieur Robert, celui-ci se dégage :
- Laisse-moi voir sa chatte un instant, demande-t-il à Monsieur qui se dégage à son
tour et écarte mes globes pour montrer à son invité louverture sans doute extrême de
mon anus.
- Elle est prête, tu crois ? questionne Monsieur en promenant ses doigts autour et
dans mon conduit. Ça ma lair bien ouvert, en tout cas.
- Oui, je crois que ça ira, ajoute Monsieur Robert en saisissant un tube de lubrifiant
avant den étaler sur mon anus et den badigeonner son sexe.
Étourdie parce que fraîchement sortie de la transe qui mhabitait alors que jétais
remplie de partout, je ne parviens pas à comprendre à quoi ils veulent en venir. Cest
la première fois en près dune heure que mon cul est laissé vide plus de quelques
secondes et ma seule préoccupation est de savoir quand lui et mes lèvres pourront à
nouveau se refermer sur une bite bien dure.
****
Justement, Monsieur sempresse de replonger en moi et fait quelques allers-retours
rapides avant décarter une nouvelle fois mes fesses et de sarrêter, ce qui me fait
pousser un petit soupir de dépit. Une seconde plus tard, un autre gland essaie de
forcer la barrière de mon cul. Affolée parce quayant compris leur intention de me
prendre en double, je me débats comme je peux, mais constate bien vite que je suis
solidement maintenue et quil vaut mieux me concentrer à me relaxer le plus possible.
Le gland de Monsieur Robert est maintenant dans mon conduit et continue de progresser.
La douleur est à peine supportable et, appuyée sur le torse de mon Maître, je pousse
de longues expirations pour calmer la souffrance. Jai limpression que mon cul va
éclater tellement il est rempli par les membres de mes étalons. Enfin, Monsieur Robert
stoppe sa progression, quelque part à mi-longueur. Il reste de longues secondes sans
bouger puis ressort lentement, mais pas complètement. Il entame ainsi de lents va-et-
vient tandis que Monsieur reste immobile en moi. Peu à peu, la douleur sestompe et le
plaisir dêtre remplie comme jamais prends le dessus. Les deux sexes sagitent
maintenant en moi, alternant ascension et descente comme deux pistons, déformant
certainement à tout jamais mon cul. Toutefois, à cet instant, cette peur a tôt fait de
disparaître et, ballotée comme une poupée de chiffon, je mabandonne à ce mélange de
souffrance et de jouissance sans précédent, incapable de me retenir de hurler. Très
vite, je ne me reconnais plus dans cette chienne toute entière dédiée au plaisir. Jai
limpression de flotter au-dessus de mon corps, dêtre seulement un esprit immatériel
qui contemple une scène de débauche au ralenti. Soudain, au moment où je croyais que
jallais littéralement exploser tellement les sensations étaient intenses, je me vois
commencer à trembler et une explosion de jouissance me saisit. Les murs se mettent à
tourner avant de se confondre avec le plafond. Puis, tout devient noir, je mévanouis.
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