Pour Faire Plaisir À Ma Salope
(Aux lecteurs : merci pour vos commentaires, ça fait plaisir :) D'ailleurs, n'hésitez
pas à m'écrire un mail si vous souhaitez me donner votre avis, et plus si affinités ;)
Bonne lecture !)
Pour faire plaisir à ma salope
Il était quinze heures lorsque jenvoyai un SMS à ma salope. Lunique pensée de mon
foutre se répandant dans sa chatte me donnait envie de me branler.
« Je passe te prendre chez toi à 19h. Jai bien dit, te prendre
Habille-toi sexy,
mini-jupe, bas, talons hauts. Sois prête lorsque jarrive. »
Je savais quelle le serait. Mais javais toujours quelques heures à , et ma bite
criait dans mon boxer. Je navais rien enfilé dautre de la journée. Je saisis ma
verge et entrepris de lents va-et-vient. Cétait bon. Cétait chaud. Un charbon ardent
destiné à la chatte de ma salope. De lautre main, javais saisi mes deux boules que
je massais. Je rêvais de tapisser la gorge de ma salope. Les mouvements de ma main
sétaient intensifiés, et ma bite se dressait dans lattente dune bouche. Patience.
Le soir venu, je savais que ma petite salope soffrirait toute entière. Je me rappelai
de la fellation qui mavait réveillé, de ses lèvres pulpeuses qui allaient et venaient
sur mon gland, sur ma verge, et de sa langue qui caressait, titillait mon frein. Je
fus presque surpris de sentir mon propre doigt sur mon anus, tel que ma salope me
lavait fait. Ça avait été ma première fois, de ce point de vue-là. Et jétais étonné
davoir trouvé ça bon. Mon trou sélargit sous la pression de mon majeur, et celui-ci
me pénétra bientôt. Ma petite salope me manquait. Mais il me semblait quil manquait
également quelque chose dautre à la place de mon doigt. Je ne pus mempêcher de
laisser échapper un râle de plaisir. Soudain je sentis tout mon corps se contracter,
sous les effets décuplés de ma main branlant ma queue et de mon doigt qui caressait ma
prostate.
côté de la porte ouverte. Cest alors que je remarquai une silhouette féminine se
découper dans lembrasure.
Avec stupeur, je découvris ma cousine qui navait pas perdu une miette de ma
branlette. Elle sapprocha de moi, tandis que ses mains effleuraient ses seins et
tentaient de se frayer un passage sous son top tendus par la grosseur de ses obus.
Elle se mit à genoux sur mon lit et dégagea dun coup lune de ses mamelles, et elle
entreprit den triturer le téton. Elle me regarda droit dans les yeux.
- Laisse-moi te rendre ce que tu mas montré, dit-elle sensuellement.
Je murmurai un bref « Avec plaisir », et lui laissai un peu de place, de sorte quelle
ouvrit son mini-short noir et plongea sa main droite à lintérieur. Elle laissa
bientôt séchapper des soupirs daisance, et je devinai quelle massait son petit
bouton tendu de plaisir. Elle rouvrit bientôt ses yeux, quelle avait fermés, et me
paralysa du regard. Restée à lair libre, ma bite se redressa dun coup et mes
pulsions me crièrent de la prendre sur le champ.
Je me relevai pour me jeter sur elle, mais sa main me percuta et me renvoya sur le
lit. Puis elle retira son short, et je découvris une petite culotte blanche en
dentelles ouverte, révélant son clitoris, sa fente et son trou du cul. Elle continua à
se branler et javais également repris mes va-et-vient sur ma queue dure comme de la
pierre. Je la regardai se toucher, lentendis gémir, vis ses doigts disparaître dans
sa chatte trempée et la défoncer. De son autre main, elle se malaxait un sein. Elle
laissait régulièrement échapper des gémissements témoignant du plaisir quelle prenait
à se toucher, là, devant moi et sans aucune pudeur. Je pouvais voir sa chatte trempée
de cyprine, et en entendre le clapotis au rythme de ses doigts.
dévorer sa chatte épilée en ticket de métro. Elle se jeta sur moi au même moment, le
bassin en avant. Je neus à avancer un peu les lèvres pour me mettre à sucer son
bouton. Elle posa sa chatte toute entière sur ma bouche, et je mappliquai à la faire
partir en vrille plus dune fois. Je jouais maintenant avec son petit trou, dun
doigt, puis de deux, et éventuellement de trois. Son anus sélargissait sans problème
; elle était sans doute habituée. Lorsque je lui en fis la remarque, elle mavoua
quelle prenait plaisir à se mettre un gode dans le cul. Je commençai à la
questionner, tout en continuant à masser sa chatte.
- Tu ty connais en sextoys ?
Elle se cambra et dut prendre appui sur le mur pour ne pas défaillir sous les spasmes
qui lagitaient.
- Jadore... lâcha-t-elle dans un soupir. Jen ai
quelques-uns
Je lui soufflai alors que javais besoin de ses conseils de femme pour maider à
préparer ma soirée avec ma salope. Nous continuâmes à nous toucher, à nous lécher, à
nous faire jouir, dans la bouche, sur ses seins, en soixante-neuf. On ne sest pas
embrassés. On na pas fait lamour. Cétait purement physique.
En début daprès-midi, nous nous rendîmes donc dans un sex-shop. Javais envie de
quelque chose de discret pour ma salope. Je voulais la faire jouir sans que personne
ne le remarque. Un string vibrant ? Un uf ?
- Les ufs, cest génial, me confia la vendeuse.
La vendeuse était une jeune femme blonde, dun peu moins de vingt-cinq ans à mon avis.
Elle avait une poitrine relativement plate, et des fesses fermes que sa mini-jupe
moulante dévoilait. Elle avait de jolis yeux bleus, soulignés dune touche de
maquillage qui lui donnait des airs de poupée. De poupée quon veut prendre. Durant un
instant je crus quelle avait lu dans mes pensées. Elle sapprocha de moi davantage,
trop même, pas comme laurait fait une vendeuse envers son client et me susurra à
loreille :
- Les ufs, cest génial
Jen ai un dans la chatte
Je suis trempée
Ma queue se dressa instantanément et elle dut sen apercevoir, car sa main gauche
sempara de la bosse de mon pantalon, tandis que sa main droite avait posé la mienne
sous lourlet de sa jupe.
à la place des lèvres trempées. Elle était nue sous sa mini-jupe ! Je tombai
rapidement sur le petit bout de ficelle rose que je sentis dépasser de sa chatte.
Jentrepris de tirer dessus, et elle se mit à gémir.
Ma cousine nous regardait dun air amusé du fond du magasin. Elle-même avait lair de
se masturber, à demi cachée derrière des rayons. Mais les déformations sur son visage
ne trompaient pas.
Lorsque luf atterrit dans ma main, je constatai alors à quel point il vibrait et
était mouillé. La jolie vendeuse saccrocha à mon cou et se laissa aller à la
jouissance. Elle reprit rapidement ses esprits, et me regarda dun air coquin :
- Tu vois ?
Au même instant ma cousine partit dans un orgasme qui se fit entendre jusquà nous.
La vendeuse me montra différents modèles dufs vibrants. Elle en avait essayé
quelques-uns et me confiait ses impressions. Elle men conseilla finalement un, qui «
devrait plaire à ta partenaire », dit-elle en désignant ma cousine. Elle ajouta
également que « si on était partants pour un plan à trois, elle était daccord ». Mais
cest une autre histoire
Au moment de payer, la vendeuse me fit un clin dil et déposa un petit paquet blanc à
côté du cadeau pour ma salope. Ma cousine arriva alors avec différents paquets entre
les bras : il y avait un ensemble en latex, qui consistait en un top court qui venait
se croiser sous son cou et sattacher derrière sa nuque, une jupe bien courte et des
bas assortis. Mais ce que je vis ensuite me fit froid dans le bas des reins : cétait
un gode-ceinture. Lun de ceux qui ont deux têtes : lune pour la porteuse, lautre
pour la personne qui reçoit. Elle sempara alors de mes fesses, pour bien me faire
comprendre quentre nous deux, cest elle qui désirait le pouvoir. Ça mallait.
Javais ma salope.
Ma salope chérie, tu me manques déjà. Si tu savais tout ce que tu vas jouir ce soir.
Tu nen pourras plus. Tu seras KO.
On est rentré chacun chez soi, ma cousine et moi, après quelques caresses de dernière
minute dans la voiture. Lorsque je me posai dans le canapé du salon, je me rappelai
soudain du paquet blanc que la vendeuse avait rajouté à mon achat.
- Dieu sait, marmonnai-je.
En ouvrant la petite boîte, je découvris avec stupeur un petit vibromasseur destiné à
stimuler la prostate. Il y avait un mot sur son emballage : « Pour que tu saches aussi
ce que ça fait ;) . » Je fis tourner pensivement lobjet entre mes doigts, puis le mis
en route. Il commença à vibrer doucement et je lapprochai de son emplacement. Mes
chairs sécartèrent avec plaisir et bientôt le jouet combiné à lexcitation avait fait
se dresser ma queue sans la moindre pudeur. Après avoir mis le sextoy en place, je
tournai un peu plus la petite molette à son extrémité, et il se mit à vibrer
davantage. Cétait bon. Jétais loin dêtre gay. Jamais je naurais laissé le moindre
homme se rapprocher trop près. Mais avec les femmes, rien nexcluait de faire usage de
toutes les possibilités. Les deux sexes possèdent cette même caractéristique, et il
ny a donc aucune raison de les différencier.
Je me branlai un moment encore, jusquà ce que je jouisse dans lextase la plus
totale. Et alors je sursautai, surpris par lheure qui avançait trop vite à mon goût.
Je devais désormais me préparer pour ma salope chérie.
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