Mariette
Je suis une « housefife », mais pas « desperate« . Heureuse en ménage. Un ménage
particulier, jen conviens. Je vis avec mon amour Mariette. Cest elle qui travaille
dehors, dans un bureau que je connais pour y avoir passé de fabuleux moment de
plaisir. Depuis que nous sommes pacsées, le choix a été vite fait : je restais à la
maison.
Il marrive souvent davoir des moments de repos. Au début je regardais la télé, puis,
un jour, une scène ma excité. Sans penser à mal je me suis caressée pour finir par un
orgasme. Je recommence souvent seule, sans le dire à Mariette. Je ne sais même pas
pourquoi je lui cache ce plaisir que je partage souvent avec elle. La seule raison est
que mes fantasmes portent sur le même sujet : les débuts de notre liaison quand nous
ne nous connaissions pas encore trop bien.
Pour moi cétait plus important que pour elle : cétait ma première fille alors que
jétais sa énième.
Cétait chez un couple damis communs. Nous fêtions lanniversaire de la maitresse des
lieux. Les convives nombreux mettaient une folle ambiance de divertissement. Tout
aurait pu être parfait si un des invités proposait de jouer à un jeu totalement con. A
chaque erreur de réponse le perdant devait enlever une pièce de son vêtement. Je
trouvais ça drôle quand je perdais sur une question de politique courante. Je devais
enlever mon top. Me retrouver devant tous les seins nus, ne me plaisait pas tellement.
Cest Mariette qui ma sauvé en enlevant elle-même son corsage à ma place.
Pour la remercier je lui donnais un baiser sur la joue. Je ne sais comment nous nous
sommes arrangées, nous avons les lèvres qui se sont retrouvées collées. Lhabitude
davoir une bouche sur soi faisait que nos langues ont commencé à se chercher.
La suite normale a eu lieu au moment de partir : elle ma proposé de me ramener chez
moi en voiture.
que le simple baiser allait mentrainer fort loin. Je ne pouvais faire autrement que
de linviter à venir chez moi passer un moment ce quelle acceptat.
Nous commençons à bavarder comme des pies jusquau moment où à ma grande surprise elle
membrasse encore. Cette fois je me laisse faire comme un gamine. Je réponds avec
passion, ce qui la fait me prendre dans ses bras. Elle profite de linstant dabandon
pour caresser mes seins à travers le peu de vêtement que je porte. Cest assez
agréable, je me laisse faire, comme pour la suite.
Sa bouche descend vers mon cou : je penche la tête pour en profiter. Jusquà présent
elle se comporte comme nimporte quel homme en plus doux. Sans un mot, elle défait ce
que je porte pour sortir mes seins quelle caresse avant de les sucer.
Je défaille, même si ce nest pas la première fois que quelquun me fait ça. Il me
semble même quelle réussit mieux que mon dernier copain. Jaurais pu moi aussi
chercher à la caresser : je narrive pas à le faire par timidité sans doute.
Jécarte mes cuisses dès quelle pose sa main sur les jambes. Je sais que jaurais pu
refuser, mais là, je suis dans lexcitation du moment, je refuse de me défendre. Je
sais que jai la chair de poule sur mes cuisses pendant quelle les caresse lentement.
Jai hâte, tout en ayant peur, quelle arrive à ma chatte.
Enfin je suis sur un nuage quand Mariette trouve mon petit bouton, quelle le caresse
lentement, comme jaime, pour me faire jouir finalement trop vite. Depuis que je suis
seule dans la vie, cest la première fois que je suis masturbée par une autre main que
la mienne. Cest à la fois bon et hors de mes murs. Je ne peux rien dire : sa bouche
est sur la mienne. Je trouve que ce quelle me fait est aussi bon quune bite dans le
sexe ou lanus.
Elle me fait lever pour membrasser et me déshabiller. Je me laisse faire comme un
bébé. Sa bouche est toujours sur la mienne. Nos langues ne chôment pas du tout. Je me
retrouve nue contre elle qui se déshabille aussi. Elle est collée contre moi depuis
ses seins jusquà son pubis. Jai à peine le temps de voir le corps de Mariette avant
quelle ne se colle à moi. Japprécie la chaleur de son corps.
Elle se baisse devant moi, ouvre sa bouche sur ma chatte pour la dévorer. Cest bon de
sentir sa langue fouiller mon intimité. Ses mains sur mes fesses se débrouillent pour
passer dans la raie et descendre lentement vers mon rectum où elle caresse mon cul.
Je me décide à réagir en mettant moi aussi une main entre ses jambes. Jy trouve un
coquillage presque trop humide. Je cherche un moment son bouton que je trouve : il est
bien plus gros que le mien. Je le prends entre deux doigts pour la masturber. Cest
comme une petite bite remarquablement bien sensible puisque je la sens jouir vite.
La voilà maintenant qui se couche, me couche sur elle, à lenvers. Sa bouche est
contre ma chatte. Ma figue supporte à peine sa langue quand elle lèche. Elle me fait
jouir trop vite à mon sens. Je suis encore nigaude pour la sucer, jarrive quand même
à prendre le clitoris dans mes lèvres pour le relâcher avant de recommencer. Je
lenvoie au paradis : elle hurle son orgasme.
Pour mon premier 69 avec une autre fille, je pense avoir réussi mon examen de passage.
Elle continue, je limite en tout, pour mettre un doigt dans le cul. Sa sodomie est
moins bonne quavec une bite. Il nempêche que je jouis encore.
Jen suis à bout de fatigue et pourtant elle continue son travail de sape. Je trouve
quelle exagère sauf quand elle me donne encore le grand frisson en me faisant partir
au ciel.
Nous passons la nuit ensemble sur mon lit. Nous nous réveillons plusieurs fois pour
recommencer.
Le lendemain matin nous nous levons ensemble fatiguées, repues dorgasme. Pourtant
elle est sur le lit, elle écarte les cuisses pour me monter comment elle se fait du
bien. Je la laisse faire en me branlant aussi.
Je ne sorts quà ce moment le gode dont je me sert souvent. Elle le prend pour me
baiser en 69 : sa langue sur mon clito et le gode dans mon con. Elle sait bien se
servir de cette fausse queue : elle me fait jouir plusieurs fois à la suite.
Cest à mon tour, je reste en 69, ma langue fait des ravages dans son abricot pendant
que je lencule. Elle part dans un immense orgasme quelle me dédie.
Quelques jours plus tard nous habitions ensemble. Nos baises devenaient
pluriquotidiennes. Cest à la suite dune nuit totalement dédié à la baise que le
matin je ne pouvais plus me lever : jai arrêté de travailler. Nous nous sommes mises
en pacs.
Maintenant nous vivons comme un couple normal avec des disputes des réconciliations
sur loreiller. Nous avons agrandit la collection de jouets érotiques qui nous permet
de connaitre tous les plaisir du sexe, y compris les boules de geisha : cest-ce que
je porte tous les jours et la cause de mes masturbations.
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