Surprises Surprises. Comment Tout A Basculé
Je suis une belle femme ( cest ce que tout le monde dit) de 41 ans 1m68, 52kg longues
jambes fines et effilées, sportive, toujours bien apprêtée, il parait que je fais plus
jeune que mon âge. Je nai jamais embrassé ni couché avec un homme le premier soir ni
le deuxième. Je me suis toujours fait respecter. Je ne suis pas une fille facile mais
là tout à basculé
Il y a 3 ans en début daprès midi, alors que je retournais travailler, en marchant
sur un grand boulevard parisien, je tombe sur un ancien ami avec lequel javais
entretenu une relation pendant 5 ans ( 1ere surprise). Nous nous étions séparés car
Didier (pseudo) me trouvais trop excessive et surtout trop chiante.
Il est vrai quà lépoque je lui faisais des scènes pout tout et rien, je me
décommandais au dernier moment pour des we, des sorties, je lui menais une vie
imposible etc, sûre de mon fait dêtre une très belle femme.
Javais essayé de garder contact avec lui mais, il sétait éloigné de moi
inexorablement.
Il était là au coin du boulevard attendant que les piétons soient autorisés à
traverser.
Mon sang ne fit quun tour et jallais laborder. Il était toujours aussi beau depuis
les 8 ans de notre dernière entrevue. Habillé de façon classique, impeccable sur lui.
Je lui tapais gentiment sur le bras, il se retourna et eu quelques secondes de
réflexion. Il excisa un large sourire. Javais un peu dappréhension car il pouvait
être aussi chaleureux que cassant, mais son accueil me rassura. Après quelques minutes
de discussion, il minvita à prendre un café dans la brasserie la plus proche. Nous
nous racontâmes brièvement notre vie actuelle. Il ne chercha pas à savoir de quoi
était faite ma vie privée. Il me proposa de me raccompagner à mon travail, je fis mine
dhésiter pour ensuite accepter, afin de ne pas lui montrer que jétais sous son
charme.
un beau couple, je ne mennuyais jamais avec lui et surtout sexuellement ( je suis
très exigeante), il me faisait jouir de manière extrêmement longue et profonde. Nous
pouvions passer des WE à faire lamour.il était bien monté et très endurant. Je nai
jamais depuis notre séparation ressenti autant de plaisir.
Nous marchions vers sa voiture, il sarrêta devant un 4x4 anglais (2eme surprise), car
il préférait les petites voitures de sport. La voiture était de toute beauté, elle
sentait le neuf et les vitres sur le coté étaient surtintées. Je lui indiquais la
direction et lui fit part de mon étonnement quant à la voiture. Il me répondit quen
vieillissant on sassagit et surtout pour la clientèle cela passe mieux quune voiture
de sport.
Arrivés devant lentrée de mon entreprise, il me fit la bise en me demandant mon
numéro de tel. Je lui donnais sans aucune hésitation. Un petit signe de la main et il
séloigna.
Deux de mes collègues mavaient vu et je me suis faite charrier. Surtout quil y avait
Sophie(pseudo), une femme de 35 ans qui attirait les hommes et surtout qui ne
sembarrassait daucun préjugé lorsquelle en voulait un(je vous en reparlerai plus
tard).
Je regagnais mon bureau très troublée, je nai rien fait de productif de laprès midi.
Javais à lépoque une relation avec Bruno, mon ami officiel, qui me satisfaisait
moyennement surtout sexuellement.
Jétais contrainte dattendre son appel, car je navais pas oser lui demander son
numéro.
La fin de la semaine et le WE sécoulaient, je regardais régulièrement mon téléphone,
mais rien à lhorizon. Jétais déçu, mais jessayais de me contrôler ; en revanche la
fameuse Sophie men parlait plus quà son tour. Elle lavait trouvé beau, pour le peu
quelle lavait vu.
Mercredi de la semaine suivante, le téléphone sonna, un numéro masqué. Je ne réponds
jamais dans ce cas, mais là je pris lappel automatiquement. Cétait Didier, je
reconnus sa voix, jétais en émoi.
Il me proposa daller diner ensemble vendredi soir, un diner au champagne afin de
faire briller mes yeux. Il mindiqua un endroit chic de Paris et me dit « viens en
taxi je le paierai » 18h30 ( 3eme surprise). Il navait pas avec moi lhabitude que
nous sortions de bonne heure. Il aimait sortir tard le soir. Avant de raccrocher il me
demanda « habille toi jupe droite noire, chemisier blanc, veste de couleur vive et un
manteau »(4 eme surprise).
Je posais mon vendredi après midi pour être en pleine forme, bien habillée et
apprêtée.
Jallais même macheter des vêtements neuf pour loccasion, je voulais le faire
craquer.
Je commande le taxi, il memmène au lieu du RDV. Didier est déjà là, il mattend. Je
demande au chauffeur de sarrêter à coté de sa voiture. Il descend, il est très
élégant, il paie le taxi comme il me lavait dit et nous partons prendre un verre. Il
me complimente sur ma tenue, je croise et décroise mes jambes un nombre de fois
incalculables. Nous sommes devant un grand hôtel parisien, le voiturier sapproche en
le saluant et en lappelant par son nom ( 5 eme surprise). Il me dit quil vient ici
souvent avec des clients.
Lendroit est beau, nous sommes installés et il commande une bouteille de champagne de
grande marque.
Nous buvons en parlant, nous rions et je commence à avoir un peu chaud surtout aux
fesses.
Je vais au toilette, je suis trempée, il est vrai que cela fais 2 semaines que je nai
pas fait lamour.
Je reviens, il avait payé entre temps et nous sortons. Jai eu une appréhension quil
me plante là en me disant quil fallait quil rentre.
estompée, car en attendant la voiture, il me dit « nous allons aller diner », il était
19h30, 19h45. Jai la tête à lenvers, la concomitance de lexcitation dêtre avec
lui, le champagne, ma longue insatisfaction sexuelle, son charme et ladrénaline vont
me faire faire des bêtises.
Sur le chemin il me tend un cadeau emballé dans du papier avec un nud rose. Je suis
surprise. Au moment où je vais le prendre, il me le retire en me disant quil faut le
mériter en me disant « retire ta culotte et il est à toi »là je savais que quelque
chose allait se passer ce soir. Il sarrête dans un endroit pas trop éclairé et je
mexécute. Jouvre le paquet contenant un gode dans un mouchoir ( 6 eme surprise). «
Met le je lai nettoyé » il glisse sans problème et je suis à deux doigts de jouir.
Sa main vient entre mes cuisses et pousse un bouton générant des vibrations. En
arrivant au restaurant, il membrasse à pleine bouche. Pendant le diner je narrête
pas de me dandiner sur ma chaise, jai plusieurs orgasmes, qui ont lair de lamuser.
Au moment de sortir, je vais au toilette, Didier me murmure à loreille « retire ta
jupe, met ton manteau »je suis les fesses à lair. Pendant que nous roulons Didier me
tripote le clitoris, ce qui me fais jouir à mon grand étonnement ( je ne jouis que
très rarement de cette façon : 7eme surprise).
Il sarrête devant un hôtel, en me disant de descendre, il prend une chambre. Dans
lascenseur il me caresse copieusement. Nous entrons, il me met un bandeau sur les
yeux, me plaque contre le mur, comme jaime, il membrasse mouvre mon manteau, se met
à genoux devant moi me lèche. Il ouvre le lit me met à 4 pattes sur le bord, me retire
le gode et me pénètre, assez violement après avoir mis un préservatif. Je jouis
presque immédiatement, il me pilonne sans ménagement en me traitant de salope, pute,
chienne etc ( jadore ça, il na pas perdu la main si on peut dire) .
orgasmes. Ralentissant le mouvement il me retire mon chemisier, dégrafe mon soutien
gorge et tend un petit cylindre métallique assez froid en mordonnant de le sucer. Il
doit regarder avec les glaces qui sont sur le coté. Me demande plusieurs fois si
maintenant il est à bonne température. Lorsque je lui réponds par laffirmative, il me
dit de lui donner. Là il dépose de la salive sur mon cul, je nai pas le temps
démettre un refus que lobjet entre dans mon petit trou. Lorsque nous étions
ensemble, je refusais quil mintroduise ses doigts ou autres. Il lui fallait à
lépoque pour me sodomiser de nombreuses doléances. Je détestais, cela me faisait mal.
Mais la je ne disait rien (8eme surprise). Jétais en mini double pénétration. Une
fois ouverte, il me sodomisa avec sa bite. Je lui dis dy aller doucement, ce quil
fit. Il rentrait dans mon intimité inexorablement. Je ressentais un mélange de
douleurs et dexcitation. Une fois entré complètement il entrepris de petits
mouvements, je lui disais que javais mal. Dun coup je sentis le gode qui était à
lentrée de mon vagin. Il le poussa et la jétais en pleine double. Il me dit « tu te
rappelles salope lorsque je te mettais les doigts dans la chatte tu disais que tu
navais plus mal, alors maintenant tu as intérêt à jouir sinon je te défonce le cul
»ce qui ne manqua pas darriver rapidement. Jeu des orgasmes profonds, qui créaient
des spasmes me faisant mal au ventre. Il se mit à jouir sur mes fesses. Je me mettais
dans le lit retirant le gode de mon vagin, jétais bien. En sortant de la douche je le
trouvais tout habillé ( il sétait douché avant moi) et me dit « habille toi juste tes
bas, tes jarretelles et ton manteau. Je lui demandais « où allons-nous » et me
répondait « ne pose pas de question ». Nous repartîmes en voiture, il me caressait
copieusement, je jouissais aussi copieusement. Nous nous arrêtons devant un immeuble
cossu, nous descendons de la voiture en direction de lentrée, il est 22h45.
Il appuie 2 fois sur linterphone, la porte se déverrouille. Dans lascenseur il me
dit que je suis comme il mavait laissé la dernière fois. Nous nous dirigeons vers un
porte, il sonne, un homme ( Pascal psuedo) ouvre la porte ( un peu plus grand que
Didier bel homme) il membrasse nous entrons dans le salon, une bouteille de champagne
est dans un sceau avec 3 flûtes ( 9eme surprise). Là jai compris que jallais quils
allaient me baiser. ( je nai jamais fait lamour avec 2 hommes et cela me répugnait
avant, je disait que les femmes qui le faisaient étaient des putes).
Je massis entre eux deux, Pascal me dit que jétais ravissante en me tendant une
flûte. Nous trinquons et la Didier me passe la main sous mon manteau et me remonte les
jambes. Pascal sort sa bite et Didier me pousse la tête dessus en me soulevant les
fesses pour me pénétrer. Au bout de 10 minutes Didier me prend par le bras me remet
droite viens à califourchon sur moi me présentant sa bite quil me met dans la bouche
sans ménagement. Je sens les mains de Pascal me saisir les hanches pour me mettre les
fesses sur le bord du canapé, il me lève les jambes et me pénètre, il est encore plus
monté que Didier Sa bite dépasse les 20 cm, il tape au fond de moi. Je me fais
besogner la bouche et la chatte tout en me mettant des doigts dans le cul. Je jouis
comme une folle. Dun coup ils sarrêtent et memmènent dans la chambre. Je suis à 4
pattes Didier me prenant vaginalement et Pascal me baisant la bouche. Je me fais
défoncer aux extrémités. Pascal se retire de ma bouche et sallonge au même moment où
Didier me libère. Je sais que je vais subir une double. Jenjambe Pascal, il
sintroduit dans mon vagin et me plaque sur lui, Je sens Didier approcher mon cul, il
me pénètre sans problème tellement je suis excité et mouillée, mes cris sont étouffés
par Pascal qui membrasse à pleine bouche. Je me fais défoncer pour la première fois
en double pénétration par deux hommes. Je jouis comme une folle et même au bout dun
moment jai même un orgasme anale ( 10eme surprise).
Je me fais baiser toute le nuit sans ménagement ni moments trop longs de repos. Chaque
fois que je ressortais de la douche, ils avaient repris de la vigueur. Au petit matin
je suis épuisée, je suis enfourché sur Pascal qui me pilonne en me faisant monter le
cul bien haut, dun coup il sarrête, je sens la bite de Didier à lentrée de mon
vagin, je leur dis « non pas ça vous allez me déchirer, je vous en supplie tous mais
pas ça» Pascal me ceinture avec ses bras, Didier pousse et finit par entrer, jai la
bite de Pascal entière en moi et le gland de celle de Didier qui rentre de façon
continue. Jai beau crié et leur dire que jai mal, jen ai 2 entière dans le vagin.
Mon souffle est court, ils simmobilisent en moi sans bouger pendant 5 bonnes minutes
pour que ma chatte souvre et commence un va et vient simultané. Je suis à la limite
de perdre connaissance, jai mal, cela me parait interminable, mais au bout dun
certain temps, je me mets à jouir avec des cris stridents. Ils continuent
imperturbables leurs mouvements occasionnant un plaisir immense. Non content de
mavoir fait une double vaginale, Didier commence à menfoncer le gode dans le cul (
11e surprise). Je le supplie darrêter mais rien ny fait, jai limpression dêtre
écartelée. Ils me défoncent complètement. Ils ont fini par jouir et me libèrent, je
tombe sur le coté, ils me recouvrent, je mendors en regardant lheure sur la table de
nuit, il est pratiquement 9h00. Je me suis fais baiser quasiment non stop pendant
presque 10h. Je navais pas eu autant de plaisir depuis la dernière fois avec Didier.
Je suis réveillée tendrement par mes 2 amants qui mont préparé un petit déjeuner
servi au lit.
Ils membrassent lun après lautre en disant « tu as bien joui, ça fait du bien, tu
es toute belle prête à recommencer ». Je leur réponds « après le petit déjeuner je
souhaiterai dormir encore un petit peu. »
Ils mont laissé tranquille, javais le cul en feu mais quel pied. Je me suis endormi
dun sommeil profond et lourd. Jai été réveillée par la sonnerie du téléphone et la
conversation. Je croyais être au bout de mes surprise et bien non. La suite au
prochain épisode.
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