Ils M'Ont Eue
Je ne suis pas bégueule et j'accepte beaucoup de choses. J'ai 29 ans, je ne
suis pas la dernière à baiser. Je plais beaucoup tant aux hommes qu'aux
femmes, tout au moins à certaines. Hier, invitée chez des amis, je me suis
retrouvée entourée de plusieurs couples et d'isolés. Nous avons bavardé un
moment avant de passer aux chose que j'aime: l'amour.
Je me suis trouvée propulsée en première ligne par mon amant, qui entre
nous baise très bien. Il m'a embrassée et bien sur je répondais, surtout
quand il m'a déshabillée. J'étais le seule fille nue de l'assemblée.
Pourquoi moi seule. J'allais apprendre de quoi il s'agissait: je devais
être à la merci de tous. Je n'avais rien contre à condition que je soit
d'accord avec ce qu'on me fait et ce que je dois faire.
Normalement j'aime au début me faire mettre dans la moule bien mouillée et
ensuite me trouver avec une autre fille pour la faire reluire pendant
qu'elle répond en me léchant ou me branlant. Ensuite, si j'en ai encore
envie j'aime bien m'offrir deux queue, une dans la chatte
et l'autre dans le cul. En principe je suis comblée et j'arrête là. A la
rigueur si ce que je vois m'excite je me masturbe sans grande honte devant
tout le monde.
Bref hier au soir je devenais la seule proie de la soirée. Mon amant m'a
offerte à tous les amateurs ou amatrices. Je n'en connaissais que peu
finalement: mon amant et deux filles. Je commençais à avoir quelques
craintes. Au début je n'ai eu droit qu'à la bite de mon ami dans la chatte,
juste pour que je jouisse une fois. J'étais couchée sur un divan et dès mon
orgasme je pensais pouvoir disposer de mon corps comme je voulais. J'allais
me relever quand je recevais une gifle d'un homme que je ne connaissais
pas:
- Restes tranquille salope: tu es à notre entière disposition pour ce soir:
ton corps est à nous, nous en ferons ce que nous voudrons.
Ce discours avait tout pour me révolter. Je n'aime pas qu'on me dicte ce
que je dois faire, surtout pour baiser. Je voulais me relever. Je recevais
une autre paire de gifles plus appuyées encore, cette fois d'une des filles
que je ne connaissais pas. Si j'aime les caresses féminines, je n'aimais
pas ce genre de diplomatie. Pourtant cette fille et une autre me tenaient
et m'obligeaient à écarter les cuisses. Je sentais deux mains étrangères
s'insinuer vers ma chatte. Une main est arrivée sur mon bouton et l'autre
sur l'entrée de mon cul. Une des deux me caressait le clitoris d'une telle
façon que je mouillais. Elle en profitais pour me branler comme si j'avais
dit oui. L'autre main posait un doigt sur mon cul et y rentrais
relativement facilement un puis deux doigts. Je voyais les deux files
s'embrasser devant moi. Elles se décidaient à venir me sucer les tétons et
les faisaient gonfler. Malgré moi je commençais à apprécier leurs caresses
et autre suçons. Je gémissais. et d'un seul coup sans le faire exprès je
jouissais. La fille qui me caressait le cul se levait pendant que
l'autre reprenait sa masturbation double, puisque si elle me branlait, elle
s'en faisait autant. Cette fille me présentait son con et le clitoris en
avant me disait:
-Suces moi, salope, n'oublie surtout pas que tu est là pour le plaisir de
tous. Suces moi bien
plusieurs fois, j'ai envie que tu me fasses jouir plusieurs fois.
Je voyais son con grand ouvert s'approcher de ma bouche. Je ne pouvais pas
refuser sous peine de gifle. Je cherchais à peine le clitoris: je le
léchais plusieurs fois pour qu'elle ai ses orgasmes.
Elle partait enfin. Je pensais en avoir fini: la deuxième à son tour venait
poser son con contre ma bouche. Je la suçais aussi. J'étais en train de
faire ce cunnilingus quand je sentais des mains d'homme écarter mes jambes.
Je ne pouvais pas voir qui c'était. Sans préparation je devais accepter une
grosse queue qui me baisait. Au début cette grosse bite me faisait mal.
Elle était maniée de belle manière: je commençais à ressentir les prémisses
d'un jouissance. Malheureusement pour moi; cet homme que je n'ai jamais vu
jouissait sans se préoccuper de moi.La suite ne tardait pas: si la fille
que je suçais était partie, je recevait encore dans ma bouche un sexe
masculin: celui de mon amant. Je me préparer à le faire bien jouir. Il a
bien jouit en se servant de ma bouche comme s'il se branlait: il voulait un
résultat rapide et il l'a pris: je recevais dans ma bouche son sperme.
J'avais tout juste le temps de l'avaler que j'avais déjà encore dans ma
bouche une autre bite que je ne connaissais pas. cette fois j'ai
eu des instructions:
- Suces moi salope et prend ton temps, fais moi bien jouir avant que je te
baise.
Je l'ai longuement sucé. Il a jouit dans ma bouche et ne débandait pas: il
m'a baisée et là il m'a faite jouir.
J'étais devenue l'esclave de tout ce beau monde. Quelque fois je pouvais
jouir parce que l'amant du moment prenait le temps de me donner du plaisir.
Je ne sais plus combien de temps ça a pu durer. Au moins sous cette forme.
Ils ne m'avaient pas encore touché le cul.
J'ai du me mettre en levrette avec pour instruction d'ouvrir mon cul et
d'accepter encore une fois tout ce qui y rentrerait. Je ne sais combien de
queue m'ont défoncé le cul. J'y avais mal à tel point que je me trouvais
violée sans cesse.
Le dernier à me sodomiser était mon amant. Et là il m'a prise comme jamais.
Il était tendre avec moi que cette fois il me faisait jouir comme une
folle: il faut dire qu'une des filles que je connaissais s'était glissée
sous moi et me léchais le clitoris. Je pouvais enfin me relever et vois que
tout le monde était parti, sauf mon ami et la fille.
demandais poliment de lui faire l'amour. Nous nous sommes mignotées un bon
moment: j'avais de la tendresse à recevoir et elle n'en manquait pas. Nous
nous sommes branlées, sucées et avons fini en 69. Mon amant, excité encore
par l'amour que nous faisions avec l'autre fille voulait baiser, non pas
avec moi, mais avec autre fille qui refusait: ou nous baisions tous les
trois ensemble où elle ne voulait plus rien. J'appréciais beaucoup ce
qu'elle disait. Mon amant, finalement, nous a prise en même temps: une avec
sa queue et l'autre avec sa langue.
Je me suis jurée de ne plus participer à ce genre de soirée où je ne serais
qu'un objet entre les mains de je ne sais qui.
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