Marie Ma Nouvelle Voisine - 01 - Le Samedi
Cello : Informaticien en semi retraite, j'ai 60 ans, je suis allé hier soir me
présenter à mes nouveaux voisins, un couple d'une quarantaine d'années. Sachant qu'une
journée de déménagement n'est pas de tout repos, Je leur ai proposé de venir boire un
verre en fin de journée, et même s'ils le souhaitaient, de dîner chez moi, ce qui leur
permettra de trouver par la suite leurs repères dans leur nouvelle demeure
Marie : C'est par pure gentillesse que vous avez fait la proposition et c'est mon
mari, qui vous a ouvert la porte et répondu positivement en vous invitant à boire un
verre pendant qu'on faisait une pause et c'est à ce moment que nous avons fait
connaissance. Moi je suis assez timide, prude, complexée par mes formes, mais tout de
même joviale et parfois même naïve. Ce jour là, je suis en jogging, pantalon moulant
et haut ample, mais vous remarquez tout de suite que la nature m'a dotée d'une
poitrine qui semble assez imposante. Nous trinquons aux bonnes relations entre voisins
et nous donnons rendez-vous le soir chez vous pour un repas simple.
Cello : J'ai préparé quelques amuse-gueules et prévu vous inviter à manger une
bolognaise en ma compagnie pour faire plus ample connaissance avec ce couple dont la
femme à des atouts que j'affectionne tout particulièrement- Je me suis rendu chez le
pâtissier acheter une tarte aux pommes et chez l"épicier acheter quelques bonnes
bouteilles- L'on sonne à la porte, je vais ouvrir me demandant si cette très belle
femme a gardé sa tenue ou revêtu une autre tenue.
Marie : Le déménagement terminé en ce début d'été caniculaire, Hervé et moi prenons
une douche pour nous remettre de la fatigue et lui met un jean et une chemise tandis
que j'enfile une robe d'été, boutonnée devant, avec des bretelles sur mes épaules et
le haut du dos nus.
bretelles larges sont visibles. Ainsi habillée, je ne dévoile rien, mais je fais tout
de même un effort, car je suis complexée par ma forte poitrine et je n'aime pas mettre
des tenues trop près du corps. Hervé sonne une bouteille à la main et vous nous faites
entrer chaleureusement.
Cello : Je vous fait entrer, remercie Hervé pour sa bouteille de vin et vous propose
de prendre place sur le canapé, Je vais chercher une bouteille de champagne, qui est
au frais et les amuse-bouches. Je pose le tout sur la table de salon, débouche la
bouteille, remplis les coupes et m'assois dans un fauteuil en face de vous, plutôt en
face de toi. Nous trinquons et demande à Hervé :
« Que faites vous dans la vie ? » Alors que je regarde tes jambes que tu as croisées.
Hervé dit :
« Je suis commercial dans les bâtiments industriels, je couvre toute la moitié Est de
la France, mais en ce moment c'est dur, il n'y a pas beaucoup de projets alors je
cours un peu après les architectes pour nous positionner, mais il n'y a pas grand
chose qui tombe ».
Marie - Pendant ce temps moi je bois mon verre de champagne en regardant la décoration
sans faire attention que dans ce canapé bien profond où je suis assise bas, j'ai les
genoux relevés et je dévoile une partie de mes cuisses. Pendant que je vous laisse
parler tous les deux, je me penche en avant pour attr un petit four et sans m'en
rendre compte, je vous offre pendant quelques instants une vue imprenable sur mon
décolleté.
Cello : « Et vous Marie, que faites vous ? » dis je regardant tes cuisses, alors que
tu t'es redressée dans le fauteuil et espérant que tu décroiseras les jambes la
prochaines fois que tu te pencheras pour prendre des amuse-gueules.
Marie : « Je vais m'occuper de la maison, avec le déménagement il va falloir la
décorer, repeindre des pièces et puis tout ranger.
m'occuper du jardin et peut être l'année prochaine je chercherai un boulot à mi-
temps... »
Et Hervé mange à son tour en finissant son verre, il vous complimente, car c'est très
bon et je me penche pour attr à mon tour un petit four et comme je suis polie, je
prends le plateau et vous le tends ... J'ai les jambes décroisées, mais serrées l'une
contre l'autre et même si vous pouvez voir mes cuisses, vous ne voyez pas la culotte
... De toute façon, ainsi penchée vers vous, vous êtes trop concentré pour ne pas
regarder trop visiblement mon décolleté ... Vous voyez que mes gros seins, malgré un
soutien gorge adapté, semblent vraiment lourds...
Cello : Oui je regarde ton décolleté tout en prenant un canapé, et réponds :
« Je pourrais vous donner un coup de main, si vous vous le désirez pour refaire la
peinture, j'aime bien bricoler et ce sera avec plaisir que je vous aiderais ».
Marie : « Ho ! C'est gentil mais je ne veux pas r de votre temps ... ».
Mais Hervé ajoute :
« Allez ne sois pas timide ma chérie, si Monsieur Cello te le propose, ça nous donnera
l'occasion de l'inviter à dîner de temps en temps ... ».
Marie : « Bon et bien d'accord, merci j'accepte avec plaisir, j'avoue que je n'ai pas
beaucoup d'expérience, alors vous pourrez me montrer comment faire ... ».
Cello : « Bien sûr, j'ai de l'expérience, ainsi vous serez mon élève » dis je en
souriant. Puis te demande « et vous Marie vous rechercher du travail dans quel domaine
? ».
Marie : Ne me rendant pas compte du double sens de ce que vous dites (surtout avec la
fatigue et les 3 coupes de champagne que j'ai déjà bues en plus de ma naïveté
naturelle je réponds :
« Heu oui mais je vous préviens je n'ai jamais fait ça et même si ça me gêne que vous
nous aidiez, je vous avoue que ça me rassure que vous vous y connaissiez .
travail, je ne sais pas, en fait je n'ai jamais travaillé depuis mes études de
comptabilité.
Cello « De la comptabilité ! Mais je pourrais vous trouver quelque chose, j ai des
clients qui me donnent leur compta à faire, je pourrais prendre plus de dossier et
vous en donner, si cela vous intéresse le moment venu, mais si nous passions au chose
sérieuse et allons à table, je vous ai fait une bolognaise, j espère que vous aimerez
»
Marie : Je suis flattée que vous puissiez me faire confiance, mais je ne veux pas
faire celle qui saute sur l'occasion :
« Heu
« Oui pourquoi pas l'année prochaine ... »
Et j'ajoute en riant :
« En attendant vous pourrez déjà voir si je suis une bonne élève avec un pinceau ».
Nous nous levons tous et Hervé ajoute :
« Cello, je vous remercie pour votre invitation, ça arrive au bon moment ce repas, je
vous avoue que nous sommes un peu fatigués et des bolognaises vont nous requinquer !
Et puis merci aussi de votre proposition pour aider Marie à s'occuper de notre maison
».
Cello : « Oh ! Ce n est rien, et puis entre voisin il est naturel de s'entraider ».
Je vous place face à face de chaque coté de la table en ayant prévu de me placer au
bout de celle ci entre vous deux. Asseyez vous je vais chercher le vin, les pâtes et
la sauce bolognaise. Hervé est déjà assis.
Marie : « Attendez monsieur Cello, je ne vais pas vous laisser tout faire vous même,
vous avez déjà tout préparé, laissez moi vous aider, qu'est ce que je peux faire pour
vous soulager ? »
Vous proposez alors : « Heu
Bien pendant que Hervé fini la bouteille (la 2ème) de
champagne, je veux bien oui, venez avec moi... »
Cello : Alors que je te laisse passer devant moi pour entrer dans la cuisine, je pose
ma main sur ton dos en te disant :
« Puisque vous voulez m'aider, je vais vous laisser mettre la table, pendant que je
réchauffe les plats et ouvre une bonne bouteille de chianti ».
Marie : Je sens votre main sur mon dos juste au dessus de la taille, un peu plus au
centre et bien que cela me surprenne je ne vois rien de mal à cela.
« Bien monsieur, dites moi juste où je peux trouver la vaisselle ».
Cello : « Les assiettes sont dans le meuble sur l'étagère du bas »
Je prends le tire bouchon et tout en débouchant la bouteille, je te regarde me
demandant si tu vas te baisser ou si tu vas t accroupir et me place de façon à mater
ce que tu vas me proposer.
Marie : Comme je ne suis pas du genre à rester jambes tendues pour me pencher en avant
en montrant mes fesses, je m'accroupie et je prends les assiettes presque au niveau du
sol, vous offrant à nouveau sans m'en rendre compte une vue sur mon sillon mammaire
... Et je vais au salon mettre la table
Cello : Je reviens de la cuisine à mon tour, posant la bouteille et les plats sur la
table puis masseyant, je te dis sur le ton de la plaisanterie :
« Allez marie je vous laisse faire le service, ce soir vous êtes la maîtresse de
maison ».
Marie : Oui lorsque vous revenez, j'ai mis la table et viens juste de m'asseoir et
face à votre demande, je ne peux qu'accepter et puis ça ne me dérange pas du tout. Je
me relève et je commence à servir les spaghettis bolognaises à chacun en essayant de
ne pas faire d'éclaboussures, car comme chacun sait, la bolognaise, ça tache ! Donc je
vous sers, puis je sers mon mari. Hervé d'ailleurs est à la fois gêné et fier de ce
que je dévoile involontairement en servant penchée en avant ... Il est fier que moi
son épouse provoque une attirance visuelle sur mes seins lourds (il a bien vu que vous
regardiez discrètement) et en même temps il est gêné, car il me sait coincée et
complexée sur ce sujet et que c'est lui qui m'a offert cette robe légère et a insisté
pour que je la mette en disant que c'était l'été et que je n'allais pas mettre un pull
! Une fois les pâtes servies, je sers le vin, vous fais goûter puis sers mon mari et
moi. Le repas se poursuit tranquillement et surtout dans la bonne humeur, il faut dire
que nous venons de finir la 3eme bouteille de la soirée.
Hervé s'est endormi sur le canapé pendant le digestif, vous et moi, on continue à
picoler, je suis courbaturée et j'ai mal au dos, vous me proposez un massage (vous
avez avant, mis en route votre camera cachée) pendant que je suis assise à coté de mon
mari endormi, vous massez simplement les épaules, mais progressivement, vous faites
glisser les bretelles de ma robe et de mon soutien gorge, comme je suis saoule et que
ça me fait vraiment du bien je ne fais pas attention au fait que j'ai la poitrine à
moitié dénudée qui bouge à chaque pression de vos mains sur la partie entre mes
épaules et ma nuque ...
Cello : « Vous savez ma petite Marie, je remarque que vous avez une poitrine qui
semble très lourde, ça ne m'étonne pas que vous ayez mal au dos, il est normal avec un
tel poids qui repose sur un cm de large, que les bretelles appuient trop fortement sur
vos épaules ».
Marie : « Ho oui ! Vous avez raison, c'est vraiment gênant mais je n'ai pas trop le
choix ».
Cello : « Si vous avez le choix, pour éviter de fatiguer vos épaules et être obligée
de compenser avec une posture douloureuse pour votre dos, vous devriez parfois ne pas
en mettre, au moins quand vous êtes chez vous ... ».
Marie : « Vous croyez vraiment que le fait de ne pas mettre de soutien gorge parfois,
peut me faire du bien »,
Cello : « Bien sûr, et en plus cela musclera votre poitrine, qui n'en sera que plus
belle ».
Marie : « Ha oui vous croyez ? Mais je n'ose pas trop, je heu
Ca me gène d'en parler,
mais vous savez ils sont lourds et quand je n'en porte pas ça se voit ... Mais bon
c'est vrai que chez moi je pourrais essayer... Hoo en tout cas merci pour ce bon
massage je suis toute étourdie »
Et je remets mes bretelles sur mes épaules sans avoir remarqué que vous avez bien
profité de la situation pour mater mes seins qui étaient à moitié visibles, ni que
nous étions filmés ...
Cello : Puis je propose ;
« Voulez vous que je vous aide à ramener Hervé chez vous, il ne me semble pas en état
de rentrer seul et vous aurez du mal à le porter ».
Marie : « Ho oui ! il est bien saoul, on arrivera pas à le réveiller et moi je suis si
détendue avec votre massage que je ne pourrai pas le porter ! ».
Cello : Je saisis Hervé par les épaules, le met debout et le prenant par dessous le
bras son autre bras sur mes épaules, je porte Hervé jusqu chez toi,
« Vous aviez raison Marie, il est lourd le bougre ! ».
Arrivée chez toi je te demande :
« Votre chambre est au rez-de-chaussée ou à l'étage ? Car tant que je le tiens je
l'emmène jusqu'au lit »
Marie : « Venez je vous guide jusqu'à notre chambre, c'est au rez-de-chaussée, voilà
posez le sur le lit même au milieu, de toute façon il va ronfler je vais aller dormir
au salon. En tout cas merci monsieur Cello, pour votre invitation, votre proposition
pour m'aider à m'occuper des changements à faire chez moi, du super repas et de votre
massage ... Je Heu
Excusez moi, je heu
Vous allez trouver ça bête mais même si vous
m'avez fait ce massage en tout bien tout honneur, je préférerais que vous n'en parliez
pas à mon mari, il est un peu jaloux ... ».
Cello : « Ne craignez rien, je ne lui dirais rien puisque vous me le demandez, ce sera
notre petit secret à tous les deux, et si vous avez du mal à récupérer, n'hésitez pas
à venir me voir pour vous faire dautres massages, car parfois il en faut plusieurs
pour que cela soit réellement efficace ».
Marie : « Merci monsieur Cello, je heu
Ce n'est pas que je veux lui cacher vous
comprenez ... Heu
Oui mon dos, si je heu
Si j'ai à nouveau mal je vous demanderai
... »
Je vous raccompagne à la porte de ma nouvelle maison et au moment de se séparer, nous
nous approchons l'un de l'autre pour nous faire la bise et vous posez une main sur mon
épaule, l'autre sur ma taille et m'embrassez sur une joue puis de l'autre coté
lentement à la commissure des lèvres tandis que vous posez votre autre main sur ma
taille ... J'en suis très troublée et surprise à la fois et avant que j'ai pu dire
quoi que ce soit, vous êtes parti ...
Cello : Je m'éloigne de la maison, quand en me retournant, je remarque que les volets
ne son pas clos et qu'une fenêtre est éclairée. Supposant que c'est la fenêtre de la
pièce ou tu as prévue dormir, je m'approche doucement sans faire de bruit, et regarde
à l'intérieur. Il n'y a personne dans la pièce, mais peu de temps plus tard, je te
vois revenir en peignoir et une petite couverture dans les bras. Tu poses la
couverture sur le canapé, puis ôte ton peignoir, et tu m'apparaît nue de dos, et
lorsque tu t'allonges sur le canapé, je peux pendant quelques instants voir ta
poitrine généreuse que tu recouvres de la couverture.
Marie : Dès que mon voisin est parti, je ne penses ni à tromper mon mari, ni n'ai
conscience du désir qui monte en moi, mais je me sens troublée et décide de me coucher
sans prendre de douche, je suis trop fatiguée. Je vais me déshabiller dans la salle de
bain et reviens au salon en peignoir, je l'enlève et m'allonge nue dans le canapé en
me recouvrant d"une couverture. Sans penser à quelque chose en particulier, ma main
glisse sous la couverture et je commence à me caresser ... La couverture glisse et
découvre ma poitrine. je ne me la caresse pas je suis trop complexée par mes
protubérances pour oser les toucher, je sais au fond de moi qu'ils sont sensibles et
je n'ose pas me donner de plaisir mammaire, pas plus que je n'accepte que mon mari ne
me les touche non plus... Allongée sur mon canapé je me masturbe, la couverture glisse
par terre, j'ai une jambe relevée sur le dossier du canapé et je jouie en me mordant
les lèvres ...
Cello : Je te regarde quelques instant, regrettant de ne pas avoir sur moi mon
appareil photo pour te prendre en "flagrant délit de plaisir, puis je rentre chez moi
et vais me coucher. J'ai du mal à trouver le sommeil, car la vision de toi nue sur le
canapé te caressant me hante. Je pense aussi à ce moment là que tu me sembles très
docile, en manque et suffisamment naïve pour faire de toi une maîtresse soumise.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!