La Trahison De Mon Épouse, Son Abattage Mérité (3)
Cette soirée marqua le début dautre chose. Je ne sais pas pourquoi en fait, je tombai amoureux à ce moment-là, pour ce quelle avait vécu, pour ce quelle était, je serai incapable encore aujourdhui dexpliquer tout cela.
Lorsquelle arriva fatiguée, laminée, défoncée, je sus alors que je ferais tout pour la garder près de moi et pour toujours. Elle prit une douche et se coucha à mes côtés, elle nen pouvait plus et cette fragilité me fit fondre tout simplement.
Malgré lexcitation de la soirée, je décidai de la laisser dormir, elle devait se reposer, elle avait pris beaucoup et à cause de moi. Je me réveillai au lever du jour. Javais mal dormi car javais repensé à tout cela, à sa soumission, à sa jouissance et à ce mec qui avait baisé sa bouche avec une violence incroyable.
Je pense encore que ce qui me fit le plus mal fut de savoir au fond de moi quelle avait aimait cela, être traitée comme une salope, une pute qui avale simplement pour un mojito à la con. Je me tournai vers elle, elle dormait encore paisiblement, elle navait dailleurs pas beaucoup bougé durant la nuit.
Javais envie delle et je voulais enfin en profiter, à mon tour. Il faisait bon ce matin-là, les premiers rayons du soleil berçaient la chambre et je retirai alors le drap pour la regarder nue.
Je descendis alors plus bas dans le lit, vers ses pieds, ils étaient chauds encore de la nuit, ils sentaient bons. Je les caressai doucement, je les sentis contre moi et les posai sur mes couilles.
Quelques minutes plus tard, jécartai ses jambes, je dégageai sa chatte et son cul, je collai ma bouche alors pour humer lodeur de son corps.
Je commençai à lécher son clitoris puis je remontai jusquà son anus en passant par son vagin toujours humide. Je rentrai alors ma langue bien à fond dans sa vulve. Cétait bon, elle commença à gémir tout doucement et gémit davatange lorsque jatteignis son trou du cul.
Je le suçai longtemps et elle mouilla chaque minute un peu plus que la précédente. Je réussis alors à entrer 2, 3 puis 4 doigts bien au plus profond de son vagin. Sa mouille facilita tellement la chose que je neus même pas à forcer le passage. Tout fut si facile.
Je sentis ses muscles se contracter autour de mes doigts quand elle jouit quelques secondes plus tard. Mes couilles me faisaient de plus en plus mal et je devais les vider. Je me lubrifiai quelques secondes dans son vagin mouillé et chaud et pointai mon gland à lentrée de sa rondelle. Elle poussa vers lextérieur, instinctivement sûrement, pour me faciliter lentrée et je menfonçai directement mais sans violence à lintérieur de son rectum.
Que cétait bon, que cétait chaud, que cétait serré. Dès mon entrée, jeus immédiatement envie de jouir, javais trop attendu ce moment et trop rêvé de cet instant. Il suffit alors de quelques mouvements pour que je me vide en elle sans quelle ait le temps de jouir. Cela navait aucune importance pour moi, cétait mon tour, elle avait pu jouir la veille et moi non.
Je restai dans son cul avant que son sphincter mexpulse avec un bruit obscène. Je me collai à son cou, elle respirait fort, elle transpirait légèrement et ne prononça aucun mot.
Je crois que je me rendormis à ce moment, fatigué de ces dernières heures et épuisé sûrement davoir libéré trop de tension. A mon réveil, elle navait pas encore bougé. Je me dis quelle ne voulait pas me réveiller. Je ne pouvais pas penser surtout quelle voulait ne rien faire qui pourrait magacer.
Je me rappelai alors et inutilement la soirée dhier et de ce quelle avait fait. Jétais responsable de tout sauf de linstant où elle jouit en recevant le sperme dun autre. Elle devait payer pour cela, je ne lacceptai pas en réalité, je naurais jamais pensé quune femme puisse jouir ainsi en recevant le jus dun homme au fond de sa gorge.
Ces pensées me firent rebander et mon gland se positionna de nouveau à lentrée de son anus encore ouvert de lassaut précédent.
Je reçu un jet encore chaud et javalai tout. Elle se remit sur le ventre, ma bite était tellement raide et son anus encore lubrifié que je menfonçai en elle dun coup. Ayant joui quelques minutes auparavant, je pus la besogner sans aucune retenue, comme je l'aurais fait avec une pute, je lui baisai le cul comme jamais, jentrai, je ressortis, je la défonçai et défonçai encore. Je crois quelle jouit du cul au moins deux fois avant que je me vide de nouveau en elle.
Durant des semaines, je pensais avoir trouvé la femme que je recherchais depuis si longtemps. Je navais aucune crainte avec elle, je pouvais tout lui dire, tout lui demander et je savais quelle nallait jamais me juger. Plusieurs fois, je métais interrogé sur ce qui aurait pu la choquer.
Quelques années plus tard, je me dis encore que jaurais dû évidemment minterroger, cela maurait permis de comprendre ce quelle voulait de moi en réalité.
Je pus assouvir de très nombreux fantasmes en lui disant tout et sans ménagement. Je lui racontais alors quand, adolescent, jappréciais déjà mintroduire des objets dans lanus. Je me revois encore lui raconter cela, un samedi après-midi, devant la télévision, sans aucune gêne, comme si cela était si naturel, je rougirais de honte aujourdhui à lui dire cela alors que je nose même plus lui avouer vouloir caresser ses pieds.
Je lui achetais des sex-toys et nous nous amusions de cela. Je les plaçais dans lappartement que nous avions loué, je les cachais, sur les étagères, dans nos affaires. Cétait puéril sûrement mais tellement mignon. Cétait un jeu entre nous , cétait bon et tellement simple, cest si loin aujourdhui.
Javais sûrement trop bu encore une fois ce samedi et jétais rempli de viagra.
Lorsque je la rejoignis, elle était équipée déjà de cette ceinture en latex noir, obscène et misérable. Je ne ressentis rien à part le sentiment de nêtre rien, jallais me faire enculer comme une merde. Elle me burina le fion comme jamais on ne me le fit auparavant.
Jacceptai cette soumission en repensant en boucle à la jouissance quelle avait eu la veille et cela me rendait tout simplement dingue. Elle mencula pendant de longues minutes et je savais quelle ne ressentait aucun plaisir à le faire. Mais je lui avais demandé alors elle sexécuta sans aucune opposition.
Je sonnai alors la fin de la récréation. Elle allait prendre chère car elle le méritait, cette salope, cette pute. Je la basculai sur le dos et ouvrai son anus directement avec mon gland, sans forcer particulièrement, il était travaillé et prêt déjà à tout accepter.
Lalcool fit son uvre et me permit de lui défoncer le rectum sans risque dune éjaculation trop rapide. Comme presque toujours, je la sentis jouir quelques minutes plus tard. Il aurait fallu attendre presque 50 ans pour quelle jouisse par le cul à chaque rapport, son ancien mari ne layant curieusement jamais sodomisée en plus de 25 ans de vie commune !
Sa jouissance fut si brutale quelle mit du temps à recouvrir ses esprits et je profitai de cet instant pour accélérer et accélérer encore. Je me vidai alors au fond delle sans éprouver dailleurs de réel plaisir. Jaurai du alors me retirer pour que nous puissions enfin dormir mais lalcool et le viagra changèrent complétement la donne. Ma bite resta raide et je décidai alors de recommencer mes va-et-vient, comme une machine et sans marrêter.
Je pense encore aujourdhui que ce fut la seule fois que je parvins à rebander après avoir éjaculé quelques secondes auparavant.
Lalcool que javais ingurgité comme un ivrogne cassa alors toutes mes limites et je passai 3, 4 puis 5 doigts. Jétais en train de lui asséner une double pénétration anale et elle aima ce moment, cet instant durant lequel elle fut rempli en totalité.
Je pense l'avoir enculée pendant au moins 20 minutes, son cul devait être tellement ouvert mais cela mimportait peu. Je ne pensai quà moi, jaimai ce que je faisais, je voulais jouir une autre fois et la remplir du sperme qui restait en moi. Enfin, je sentis que le jus montait et sans me soucier si elle allait jouir ou non, je me vidai enfin elle.
Nous dormîmes au moins 12 heures et au réveil, je voulus inspecter par curiosite ou par jeu létat de son anus. Je tins à vérifier si je lavais défoncé la veille comme il le fallait.
Il était tuméfié, violacé et encore humide. Alors quelle dormait encore, jenfonçai alors 4 doigts sans précaution particulière. Elle dormait encore et son anus était si distendu quelle subit cette intromission sans aucune réaction. Je passai alors le pouce et poussai vers lintérieur, je lui burinai le cul, je ressortis puis rentrai de nouveau, jutilisai ma main comme une énorme bite qui souhaitait entrer encore plus loin.
Je narrivai malheureusement pas à entrer ma main en totalité car elle nétait pas encore prête et je ne voulus évidemment pas lui faire mal. Je pensai alors bêtement que dautres occasions se produiraient. Je me trompai, tout allait être différent quelques mois plus tard.
Jadorais jouir dans son cul le matin puis lui enfoncer un joli plug anal bijou. Au début, je lui avais choisi le plus petit modèle, quelques semaines plus tard, le plus gros était parfait pour elle. Durant la journée, jaimais savoir quelle garde en elle le jus que je lui avais donné au réveil et rêvais du moment où nous allions nous retrouver. Le soir lorsquelle rentrait, je lui demandais alors de se mettre à quatre pattes, je dégageais son string, lui retirais alors le plug et collais ma bouche contre sa rondelle.
Jadorais recevoir mon jus mêlé à ses sécrétions et après avoir tout récupérer, je la sodomisais de nouveau en regardant sa rondelle de plus en plus ouverte.
Je n'ai jamais su pourquoi j'aime à ce point les pieds des femmes. Je pense que cela remonte à mon enfance lorsque sous la table de la salle-à-manger, âgé de quelques années, je posais déjà les pieds de ma mère sur mon visage pour les sentir. Je ne comprendrais jamais pourquoi cette partie du corps humain attire à ce point.
Jaimais jouir dans ses chaussures et savoir quelle se promènerait durant la journée avec mon sperme sur ses orteils. Elle mettait ses chaussures et rentrait en contact avec mon sperme. Il était chaud
il était épais
il n'était que pour elle.
Et comme pour son plug, le soir venu, je lui retirais ses escarpins, ses bottines, ses bottes ou ses baskets. Je voyais alors les tâches blanches laissées par mon jus sur ses collants ou ses bas. Je posais alors ma bouche sur la plante de ses pieds ou les prennais directement à pleine bouche. Ils sentaient toujours bons et me faisaient bander immédiatement. Je l'enculais alors sans ménagement et en les respirant.
Je pourrais continuer et continuer encore à vous raconter tous les fantasmes que j'ai pu assouvir pendant cette période.
Et puis je me dis que tout cela continuerait longtemps, j'ai pensé qu'elle acceptait tout pour moi uniquement et pour rien d'autre, j'ai lâché prise un jour et j'ai surtout perdu ce qui avait fait qu'elle se rapproche de moi.
En quelques jours, je ne suis devenu plus rien pour elle et j'ai décidé alors de me venger.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!