Marie Ma Nouvelle Voisine - 02 - Le Lundi Matin
Marie - Le lendemain, Hervé et moi nous levons tard, rangeons la maison et dès le
lundi matin je me retrouve seule pour la semaine ... Je reste un bon moment au lit et
en me levant j'enfile un jogging sans mettre de soutien gorge, je me dis que personne
ne le saura et qu'on ne sais jamais, que peut être ça me ferait du bien au dos ... Je
passe mon lundi matin à nettoyer le jardin, installer au bon endroit des pots de
fleurs de notre ancienne maison. Tout au long de mes activités, je sens mes seins
bouger sous mon haut de jogging, j'en suis un peu gênée, mais en même temps je trouve
cela agréable. il faut dire que je suis assez prude et en plus complexée par mes seins
et que je ne m'étais jamais offert cette liberté. Avec mon mari je ne le laisse pas
non plus toucher mes seins, car ils sont sensibles et j'ai trop honte d'en ressentir
par ma poitrine. En fin de matinée, épuisée je m'installe au soleil pour boire un
porto ...
CELLO - Ne vous ayant pas vu ni toi, ni Hervé durant le week-end, je viens sonner à ta
porte, en espérant bien sûr que tu sois seule et qu'Hervé est parti au travail pour la
semaine.
Marie : Tranquille au soleil, je somnole, et j'entends sonner, je me lève à moitié
endormie et vais ouvrir sans penser à ma tenue. Si j'avais été éveillée, je serais
vite rentrée enlever mon haut de jogging genre sweet-shirt coton à fermeture devant et
enfiler un soutien gorge avant de le remettre, mais là je vais ouvrir sans y penser,
sans être alertée par mes seins qui bougent à chaque pas, sûrement habituée d'avoir
été seins nus toute la matinée.
« Ho ! Bonjour Monsieur Cello Ca me fait plaisir de vous voir, qu'est ce qui vous
amène, vous avez le temps de prendre un verre ? Je bois un apéro dehors »
Cello: « Bien volontiers ! Prendre un verre avec une jolie femme est toujours
agréable.
cette après midi et vous pourriez profiter de l'occasion, si vous avez des achats à
faire. Puis, je te suis jusquà la terrasse ou tu m'abandonnes quelques instants, le
temps d'aller me chercher un verre. Lorsque tu reviens pour me servir, je suis assis
sur la terrasse et remarque ta poitrine lourde bougée à chaque pas. Alors que tu te
penches pour me servir, je te dis :
« C'est bien ! Vous avez suivi mes conseils et évitez le soutien gorge ce matin »
Marie : Naïve et grisée par les 4 ou 5 verres de porto que j'ai bus au soleil, je ne
me rends pas compte que vous commencez à me draguer et vois dans vos compliments de la
simple gentillesse, ce qui fait que je suis d'autant plus gentille en retour ...
Lorsque je vous sers, et que vous faites référence au fait que je ne porte pas de
soutien gorge, je deviens toute rouge.
« Je heu
Et bien je heu
Oui je suis désolée, j'étais seule ce matin et je ne pensais
pas recevoir de visite, mais je vais aller me changer, je m'excuse encore monsieur
Cello »
Cello « Non n'en faites rien, vous êtes parfaite comme cela, je vous assure »
Marie : Je reste debout hésitante face à vous avec mon haut de survêt en coton à
fermeture sur le devant.
« Je heu
Vous êtes sur que ça ne vous gène pas ? Parce que je heu
Enfin hoo
Je suis
désolée, mais je suis assez pudique et je ne me suis jamais promenée comme ça sans
enfin juste avec une veste de jogging ... »
Cello : « Ne vous inquiétez pas, vous êtes parfaite »
Puis prenant une gorgée de porto, je dis :
« Allez à la votre »
Et nous trinquons.
Marie - Nous discutons en toute sympathie pendant un moment et sans s'en rendre compte
la bouteille se vide lentement, j'ai un peu la tête qui tourne mais je me sens bien au
soleil,
« Monsieur Cello je dois vous remercier à nouveau, je suis vraiment heureuse d'avoir
emménagée ici avec mon mari, vous êtes un très bon voisin ».
Cello: « Vous me flattez, mais pas seulement en voisin j'espère, en ami aussi.
D'ailleurs avez vous toujours mal aux épaules et à votre dos ?"
Marie: « Et bien c'est vrai maintenant que vous m'en parlez, je n'ai ressenti aucune
douleur aujourd'hui. Merci pour le massage il m'a fait beaucoup de bien ».
Cello: « Si vous voulez, je peux vous en faire un autre pour vous détendre et
amplifier le bien que celui d'hier vous à fait, mais avant trinquons à notre
voisinage, notre amitié et notre coopération dans le bricolage et autre ».
Marie ; « Oui trinquons à l'amitié et à notre coopération ... Slurp !... D'ailleurs
merci d'avoir insisté pour me proposer d'être mon professeur, je dois vous avouer, je
n'y connais rien en peinture et pour le massage et bien je ne sais pas, je ne veux pas
r »
Cello- « Oh vous n'z pas,, mais dites moi Marie, si on se tutoyait puisqu'on est
appelé à passer du temps ensemble, ce serait plus simple, tu ne trouves pas. J'aime
faire les massages et procurer ainsi du bien à la personne qui se trouve entre mes
mains ».
Marie : « Je heu
Vous pouvez me tutoyer, mais moi je n'ose pas, je préfère vous
vouvoyer ça ne vous dérange pas ? »
Cello: «A la condition que tu acceptes que je m'occupe de toi, allez ! Un dernier
verre et massage de toute façon la bouteille va être vide autant la finir ! »
Marie : « Allez banco on la vide, je crois que je suis un peu saoule, mais ça fait du
bien de se détendre ! »
Vous passez derrière moi et posez vos mains sur le haut de mon dos.
Cello : Je pose mes mains sur tes épaules par dessus ton sweet et après quelques
secondes de palpation, je te dis :
« Hé bien ! J'avais raison d'insister, tu es encore toute nouée, il va vraiment
falloir que je te fasse plusieurs séances pour que tout cela soit malléable et
réceptif.
Marie : « En tout cas, je vous avoue que je ne suis pas sure d'avoir encore besoin,
mais ça fait du bien, je me sens bien mieux ».
Cello : « Tu permets ? »
Et sans attendre ta réponse je descends le zip dune dizaine de centimètres et écarte
lencolure du vêtement pour pouvoir poser mes mains sur tes épaules nues.
Marie : Même descendu de quelques centimètre, vous ne pouvez masser que les cotés de
ma nuque. D'ailleurs le haut de partie fermée est remontée jusque dans mon cou quand
vous avez écarté l'ouverture du col pour y glisser vos mains, aussi vous me demandez
de l'ouvrir encore, ce que je fais naturellement sans même être gênée tant je ne me
rends pas compte de ce qui est en train de se passer. Mon haut de survêt serait ouvert
plus que de raison s'il était resté en place mais comme il est remonté, il ne me fait
même pas un décolleté particulièrement ouvert ... Tout du moins quand vous êtes
attentif à bien l'écarter sur mes épaules ... Moi je ferme les yeux en profitant et
par moment vous repositionnez le sweet et par dessus vous voyez mes gros seins dans
leur totalité, avant de reprendre le massage pour ne pas me brusquer.
« Humm
monsieur Cello c'est bon merci, continuez »
Cello : Encouragez par tes propos, je descends un peu plus le zip pour faire masser en
totalité tes épaules jusqu'au omoplates et devant jusqu'à la naissance de tes seins.
Marie : Pas encore sur le devant, mais oui jusqu'aux épaules et aux omoplates. Vous
redescendez un peu le zip, mais je ne me rends pas compte qu'une simple pression
pourrait maintenant ouvrir mon sweet-shirt vous devez vous retenir de ne pas glisser
vos mains pour me prendre les seins que vous voyez distinctement quand vos mains
reviennent près de ma nuque, de même que vous vous retenez de ne pas faire s'ouvrir
mon haut de risque que ça me braque.
vous me parlez lentement, je réponds en faisant des « humm ... » et me sentant prête
car je réponds « Humm » à tout, vous me demandez :
« Le mieux ce serait que tu te penches en avant et que je fasse le dos en entier, tu
veux ?! »
« Hum ! »
Et vous me poussez un peu en avant pour que je me penche et tirez sur le sweet qui
s'ouvre vous me dites :
« Mets tes bras en arrière je vais ôter les manches pour accéder au milieu de ton dos
... »
Et j'obéis sans encore me rendre compte. A ce moment, j'ai les yeux fermés et il vous
suffit de vous mettre de coté pour voir mes gros pis de profil ...
Cello : Tout en te massant le dos entièrement, je profite du spectacle de tes outres
pendant outrageusement lorsque je me place de coté et j'appuie un peu sur ton dos
parfois pour les faire se balancer au rythme de mes mains. Puis alors que tu te sens
totalement détendues et en confiance, je te prends les épaules et te fais te redresser
sur ton siège, et fais descendre les mains sur le devant de tes épaules.
Marie - Oui j'ai les outres qui pendent et se balancent en rythme de votre massage !
Je me redresse mi endormie, mi hypnotisée par votre massage et vous continuez à me
masser le haut du dos, les épaules et commencez doucement à me faire le devant des
épaules ... Je ne réagis pas encore ne me rendant pas compte que je vous expose mes
gros siens tout gonflés malgré moi
Cello - Moi aussi je suis hypnotisé par la vue de tes grosses mamelles que j'ai envie
de prendre à pleines mains pour les malaxer, les pétrir, mais me retenant je ne fais
qu'effleurer la partie haute de ta poitrine pour voir comment tu vas réagir, car je ne
souhaites pas te brusquer
Marie : Je me laisse masser le devant des épaules, le cou, le haut des seins sans que
vous ne les touchiez vraiment et comme vous vous doutez que je risque de sursauter si
vous les touchez vous faites un gros effort pour vous retenir et me dites :
« Voilà c'est fini, c'était bon hein Marie ... »
Quand j'ouvre les yeux à moitié éblouie et à moitié encore dans le brouillard, je ne
réalise pas encore que je suis seins nus face à vous et ce n'est que lorsque vous me
dites :
« Tu sais Marie avec des gros siens comme les tiens pas étonnant que tu aies mal au
dos, il faudrait renforcer tes muscles avec un traitement approprié, mais je n'ai pas
osé les toucher, on se connais encore peu... »
A ces mots, je réalise et panique un peu, je les prends en main pour les cacher et
comme une cruche je vous remercie :
« Heu
Oui merci je heu
Vous avez eu raison je heu
Je heu
Personne ne me les a
jamais massé, même mon mari, je n'aime pas trop ... Je heu
Ho mon dieu ! J'ai si
honte si vous saviez monsieur Cello »
Cello: « Tu sais, tu as tord d'avoir honte de ta poitrine, elle est magnifique, il y a
tant de femme qui voudraient avoir une paire de seins comme les tiens. Et j'avoue
encore moins comprendre que tu n'aimes pas qu'on te les touche. Je suis certain que
comme quasiment toutes les femmes, tu aimerais cette sensation, car il doivent être
très sensibles. Enfin, si tu ne veux pas qu'on te touche je ne pourrais pas te
soulager totalement ».
Marie : « Je heu
Merci vous êtes vraiment gentil monsieur Cello mais je heu
C'est
que ça me gênerait trop je pense, je heu
Je vous avoue, entre vous et moi que c'est
justement parce que je suis assez sensible que ça me gêne, vous comprenez ? »
Cello - « Oui je te comprends, enfin quand tu seras prête, tu sais que je pourrais te
soulager ».
Puis en te souriant j'ajoute :
« Pour savoir qu'ils sont très sensibles, c'est que tu te les caresses parfois
lorsque tu es seule petite coquine ? »
Marie : Déjà toute rouge je deviens écarlate ... Je voudrais remettre mon sweet-shirt
mais il est par terre et je n'ose pas le demander et à ce moment, me sentant
vulnérable vous me dites :
« Lève toi Marie, viens avec moi te regarder dans la baie vitrée de ton salon, je
comprends que tu as honte de tes gros seins, mais si tu te voyais comme ça debout à
coté de moi tu pourrais te sentir fière
»
Jhésite et sans comprendre j'obéis, je me lève les bras croisés devant mes seins ...
Vous me tendez une main, je vous donne la mienne ne cachant plus ma poitrine que de
mon avant bras et je vous suis jusquà la baie vitrée du salon ...
Cello- Je tentraîne devant la baie vitrée et là, te lâchant la main, je me place
derrière toi, et prend la main qui cache encore l'un de tes seins, t'obligeant ainsi à
dévoiler totalement tes mamelles et aussi profitant de ce geste pour effleurer ton
téton. Posant ma tête sur ton épaule et mes lèvres près de ton oreille je te dis :
« Regarde comme tu es belle, ainsi, tu sembles épanouie et radieuse près de moi a tes
cotés ».
Marie: Je suis paralysée de honte et vous laisse prendre ma main pour l'écarter,
dévoilant dans la vitre mon reflet, debout nue, vous derrière me parlant à l'oreille.
« Je heu
Je ne sais pas je heu
Ils sont vraiment gros je trouve que ça fait ...
Enfin ça fait pas respectable »
Cello « Pas respectable ? Mais ma chérie tu dis des bêtises, tu veux dire que seules
les femmes avec des petits seins sont respectables et que les autres sont des salopes
Drôle de préjugés tu ne trouves pas ? »
Marie : « Je heu
Non pas du tout, je heu
Vous avez raison monsieur »
Cello « Et que dire des femmes qui prennent du plaisir ? Elle n'ont pas droit à ton
respect ? »
Marie: « Si bien sur ! »
Cello : « Une femme aimante n'a pas le droit de se comporter comme une femme et
d'exprimer sa sensualité, son plaisir ? »
Marie : « Si bien sur je heu
Vous avez raison mais je heu
Je suis un peu coincée et
je n'ai pas l'habitude »
Cello: « Et si là près de toi devant cette baie vitrée, je te les caressais que ferais
tu ? »
Marie: Prise de panique, je n'ose pas répondre, à part un :
« Je heu
Heu
"
Et vous passez vos mains sous mes seins pour les remonter, les presser lentement en
disant :
« Tu vois et je suis sûr que tu aimes ... Viens près de la table je vais te les masser
avec de l'huile »
Et moi, je vous suis, sans plus me cacher laissant mes seins bouger à chaque pas, me
disant que je ne devrais pas, mais je vous suis quand même.
Cello- Arrivée près de la table, je te dis :
« Approche ! Je vais t'aider pour t'allonger dessus »
Et te prenant par les hanches, je te lève pour t'asseoir sur la table, et te prenant
par les épaules, te fais basculer en arrière tout doucement avec beaucoup de
tendresse.
« Mets tes mains le long du corps, mais décollé de lui et laisse toi aller. »
Je te parle doucement, tendrement tout près de ton oreille et dépose un baiser sur ta
joue très près de la commissure des lèvres avant de poser mes mains de chaque cote de
ton corps tout près de tes seins
Marie: Je me laisse faire comme une poupée apeurée mais confiante ... Vous posez les
mains sur moi, les laissez un instant puis les enlevez et vous faites couler de
l'huile dessus, puis les reposer sous mes seins, et les prendre en main ...
Cello- J'enduis tes seins d'huile délicatement en passant bien sur tes aréoles et tes
tétons et l'effet escompter ne tarde pas à arriver, je constate que tes tétines
durcissent aussi je n'insiste pas pour l'instant et remettant de l huile sur tes
mamelles, je commence à les malaxer doucement puis j'augmente la palpation de tes
nichons en les pétrissant de plus en plus fort
Marie: Je me laisse faire et je découvre ce plaisir, moi si prude que je n'osais pas
laisser mon mari me les toucher de part la honte de ressentir un peu de plaisir
mammaire, je sens celui-ci monter en moi au fur et à mesure de votre massage.Vous y
allez de plus en plus fort et je me retiens de ne pas gémir tellement c'est bon et
tellement j'ai honte de moi, mais c'est trop fort
« Humm ! Hoo ! Humm ! Oui Monsieur je
Humm c'est bon
Continuez »
CELLO- Je ne te le fais pas dire deux fois, et continue le traitement de tes nibards
en les malaxant de plus en plus fort, puis en pinçant tes tétines je tire dessus et
commence à les faire bouger ainsi jusqu'à ce qu'il se cogne entre eux.
« Clac ! Clac ! Clac ! »
Marie: Oui vous les malaxez fort puis passez à mes mamelons que vous branlez
littéralement puis les pincés en tirant dessus et en les secouant et à ce moment dans
un mélange de honte et d'humiliation, je jouie des mamelles sous vos yeux.
« Haa ! Hooo ! Hummm ! Oui hoooaaaaa mon dieu ! Houu ! Hummm ! »
Je prends mes seins dans mes mains, tellement ils sont devenus sensibles et une vague
de honte me submerge.
Cello - Je lâche tes tétines et reprends mes caresses tendres pour faire retomber la
pression puis je t'aide à te redresser. Tu es maintenant face à moi la poitrine
dénudée et les tétons érigés et je te dis :
« Alors ma petite marie, regarde comme ils sont fiers et beaux et admet que tu y as
pris du plaisir à te faire masser ainsi ».
Marie: « Je hoo ! Monsieur Cello je heu
Mon dieu je
Oui j'ai pris du plaisir,
beaucoup mais heu
J'ai honte, vous comprenez je suis mariée, j'aime mon mari je
n'aurais pas du, et en plus si mon mari savait, il me quitterait, sil vous plait, ne
lui dites rien monsieur je heu
Excusez moi mais je crois que je devrais me rhabiller
»
Cello- « Oui tu as raison, je vais t'aider à remettre ton sweet »
Et prenant le vêtement qui se trouve sur l'un des fauteuils, je t'aide à l'enfiler et
à fermer le zip tout en effleurant ta poitrine. Puis j'ajoute :
« Ne crains rien, je ne dirais rien à Hervé, mais je te rappelle que nous n'avons rien
fait de répréhensible, juste un massage pour fortifier ta poitrine et qui t'a donné du
plaisir ».
Marie : « Je heu
Merci monsieur Cello, vous êtes très délicat et je vous en suis très
reconnaissante mais je heu
Je sais bien que c'était juste pour mon dos et fortifier
ma poitrine mais le problème c'est que j'ai pris plaisir et je ne m'y attendais pas,
pas de cette façon là et j'ai honte ».
Cello « Tu sais Marie, tu ne dois pas avoir honte de prendre du plaisir, c'est tout
a fait normal d'aimer se faire caresser les seins, et je
Si tu caressais tes seins
plus souvent, tu aurais encore une plus belle poitrine »
Marie : « Je heu
Oui peut être je ne sais pas vous savez, j'avais pris l'habitude de
ne pas trop m'en occuper, car justement ils sont sensibles, je heu
Je vais y
réfléchir en tout cas merci, je heu
Vous voulez rester manger ici ou bien sinon on se
revoit plus tard pour la peinture ? J'espère que vous allez ne pas rester pour
reprendre mes esprits
Cello « Je te propose d'aller te changer et je repasse te prendre dans une heure,
nous irons ensemble choisir la peinture et puis nous dînerons ensemble en ville, que
penses tu de ce programme ? »
Marie : « Je heu
Oui merci je veux bien mais pour le dîner, je heu
Je ne sais pas,
vous comprenez si nous croisons quelqu'un que je connais il pourrait penser enfin vous
comprenez ... »
Cello - Tu préfères que l'on dîne chez moi ? Alors ok je vais profiter dêtre en ville
pour passer chez le traiteur, mais a une condition. »
Marie : « Oui je préfère chez vous si vous voulez bien, je vous remercie, ce n'est pas
que je ne veux pas vous comprenez, mais chez vous c'est avec plaisir et pour le
traiteur je peux aussi vous préparer le repas mais si vous préférez je ferai comme
vous voulez et j'accepte votre condition à l'avance, mais de quoi s'agit il ? »
Cello « Que tu ne mettes pas de dessous sous ta robe » (sous entendu pas de culotte
non plus, mais n'ose te le dire pour ne pas te choquer).
Marie : « Je heu
Ne pas mettre de dessous, mais je heu
Monsieur Cello voyons je
Mais heu
Pourquoi je ne comprends pas ... Je heu
Pour aller acheter la peinture ou
pour aller chez vous ? Je heu
Mais pourquoi ne pas mettre de dessous ? »
Cello - Te voyant paniquer, je trouve rapidement une idée pour rattr mon
initiative afin qu'elle ne vienne pas te braquer et au contraire que tu continues à te
laisser manipuler, aussi je te dis :
« C'est pour faire un essai pour ton dos, voir comment tu te sens une journée entière
sans rien sous ta robe, et c'est aussi une expérience pour te prouver que personne ne
va te jeter des pierres en tinsultant ... »
Marie : « Ha je heu
Et bien je ne sais pas mais heu
D'accord, mais je mets un petit
gilet par dessus ma robe pour que ça ne se voit pas »
Je ne le sais pas encore, mais au contraire avec le gilet, ce n'est pas la forme de
mes seins sous le tissus qui va se voir, mais leurs ballottements qui fera bouger tout
le haut de mon gilet à chaque pas et qui rendra évident à tout observateur attentif
que mes seins sont libres de toute entrave.
Cello : « Oui j'accepte que tu mettes un petit gilet, bon je te laisse te faire belle,
je repasse te prendre dans une heure environ ».
Marie : Alors que c'est moi qui obéis, je ne peux m'empêcher de vous être
reconnaissante de votre accord.
« Merci monsieur Cello, je me prépare pour être prête quand vous reviendrez me
chercher dans une heure ».
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