A Travers La Vitre
Tu es au volant, nous nous dirigeons vers laccès à lautoroute. Cest le milieu de laprès-midi et il y a de la circulation.
« Il y a du passage
», commentes-tu avec une voix érotique.
Tu te gares sur un parking où une voiture est stationnée. Des véhicules qui sortent de lautoroute passent à une dizaine de mètres de nous, en freinant pour sarrêter au stop un peu plus loin. Les conducteurs ou passagers pourraient nous voir.
Tu mas bien allumé avec des paroles cochonnes pendant tout le trajet et je nai pas pu me retenir de sortir ma queue pour me caresser, en répondant docilement à tes questions provocantes. Je glisse ma main libre sous ton tee-shirt, caresse larrondi de tes seins, et passe mes doigts entre ton soutien-gorge et ta peau. Tu soupires et laisse tes lèvres entrouvertes.
Tu poses ta main droite sur ma queue
Tu me branles doucement en continuant à minterroger :
-tu veux que je te suce ? Cest ça ?
-oui, je nen peux plus
-dis-le.
-suces moi, sil te plaît
-tu aimes ça te faire sucer sur un parking, en risquant de te faire surprendre ?
-oui, jaime ça
Tu me lances un sourire narquois et baisses la tête en direction de ma queue. Tu entrouvres les lèvres et touche mon gland avec le bout de ta langue. Tu prends ma queue à pleine main et entrouvres un peu plus les lèvres, pour y faire disparaître mon gland. Tu ne vas pas plus loin et le suce comme une boule de glace sur son cornet. Puis tu avales ma queue en entier et commence à monter et descendre sur ma tige avec lenteur. Tu penches la tête pour me lancer un regard salace et retournes à ton occupation, en accélérant. Ta main se fait de plus en plus rapide.
Soudain je vois la portière de la voiture stationnée à une vingtaine de mètres souvrir. Un homme en sort et fait quelques pas en regardant dans notre direction. Il doit voir que tu es penchée sur moi, par la vitre de ta portière.
Je te préviens :
-il y a un mec qui vient de sortir de la voiture
Tu te relèves rapidement et reprends tes esprits.
-Tu crois quil a vu que je te suçais ?
-Oui, il a dû sortir pour vérifier.
-Il nous a interrompu au moment où je te sentais venir. Je ne peux pas te laisser comme ça mon chéri.
Tu me souris et remets la main sur ma queue. Tu te retournes vers ta gauche et je devine que tu souris à ce mec. Je tentends même laisser séchapper un petit gémissement en sa direction. Sûre quil est en train de te regarder, tu te tournes à nouveau vers moi, et te penches vers ma queue, que tu avales goulument.
Je suis interloqué. Toi qui est plutôt du genre à tirer les rideaux quand nous faisons lamour dans le salon, tu mamènes sur un parking fréquenté et me suces devant quelquun. Mon esprit senflamme et je sens ma queue gonflée à bloc.
Tu sors ma queue de ta bouche : « quest ce quil fait ? » puis reprends la fellation.
-Il regarde dans notre direction. Il a fait quelques pas vers nous.
-Hummm
-Il a mis la main dans sa poche, il se caresse
A ces mots, je te sens te déchaîner sur ma bite, en faisant des va-et-vient de plus en plus rapides. Tu lavales profondément, en faisant du bruit, et la ressort en entier, en laissant ta salive couler sur le gland.
-Il sest rapproché ?
-Non, toujours au même endroit
-Fais lui signe dapprocher, alors.
Je suis un peu gêné, mais jobtempère et lui fais un signe de la main.
Il se rapproche à cinq mètres de la voiture, de ton côté. Je te le dis, ce qui a pour effet de te faire redoubler dardeur sur ma queue.
Lhomme déboutonne alors sa braguette et sors une jolie queue bien raide, de taille moyenne, qui déjà disparaît et apparaît dans sa main active. Tu sens que je me raidi encore dans ta bouche et me demande de te décrire ce quil se passe dans ton dos.
-Il a sorti sa queue et se branle lentement en te regardant. Il se rapproche encore de la voiture, il nest plus quà un mètre. Je ne vois pas son visage, que sa bite tendue.
Tu cèdes alors à la curiosité et te retourne vers lui. Tu pousses un petit cri de contentement en voyant cette belle queue à un mètre de toi. A la différence de moi, tu peux voir son visage par la vitre de ton côté. Tu lèves sur lui des yeux vicieux, plein de sexe. Vous vous regarder en silence. Tu te mords la lèvre inférieure. Je me demande ce que tu vas faire. Te caresser ? Recommencer à me sucer ? Non : sans lâcher son regard, tu reposes ta main sur ma queue et me branle vigoureusement. Tu tadresses à moi :
-Elle est belle sa queue. Presque autant que la tienne. Un peu plus petite, mais tout à fait à mon goût.
Alors, je te vois ouvrir la bouche en direction du mec et rapprocher ton visage de la vitre. Tu lui dis, au travers de la vitre :
-Approche ta queue de ma bouche
Le mec sexécute, sans savoir à quoi sattendre. Il a maintenant la bite juste de lautre côté de cette vitre, à vingt centimètres de ton visage. Je suis comme un fou. Nos quatre yeux sont braqués sur cette bite, si proche de nous, mais pourtant hors datteinte. Tu me branles de plus en plus fort, sentant monter la jouissance. Tu me dis :
-Ça te plaît quun autre homme se branle devant moi ?
-Oh oui !
-Jai envie de le faire gicler
-Vas-y, fais le jouir
Tu avances ton visage. Ta bouche est à dix centimètres de sa queue. Lui se branle si prêt que sa queue vient frapper le carreau de temps à autres. Tu lui lances :
« Donne-moi du sperme ! »
Je sens la jouissance monter du tréfonds de mon ventre. Je te vois ouvrir la bouche en grand, avec une lubricité rare, et coller ta langue sur la vitre. La bite frappe le carreau juste au niveau de ta bouche ouverte, à chaque aller-retour de la main qui accélère dun coup son mouvement. Et subitement, en même temps quun cri profond, un jet épais est propulsé sur la vitre, à hauteur de tes yeux. Tu les fermes subitement, comme si tu allais recevoir la semence en plein visage. Plusieurs giclées viennent sétaler à côté du premier, accompagnés dun long râle.
Tu as les yeux toujours rivés sur les grosses tâches de sperme, qui coulent lentement, à quelques centimètres de ton visage. Tu lèves les yeux vers lui et lui lance un regard encore brûlant, comme si cette vitre tavait volé quelque chose.
Toujours sans me regarder, tu remontes ta main droite vers ma bouche. Je comprends que tu veux que je la nettoie. Le mec, curieux, se baisse pour te regarder faire. Tu timpatientes devant mon hésitation, et me plaque la main sur la bouche en me barbouillant, avec un « Lèche » qui nautorise pas de délai. Je mexécute, devant celui qui était à deux centimètres de te recouvrir de sperme. Tu ne me regardes toujours pas, mais souris à ton admirateur. En redémarrant la voiture, tu descends ta vitre de quelques centimètres, et je tentends lancer à notre voyeur, qui a encore sa queue bien raide dans la main : « A demain, heu
à bientôt ! ». Un frisson me parcourt, mais déjà nous sommes repartis et je ne relève pas.
Lui
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