Un Drôle De Chantage
Je me suis fait prendre au piège du chantage, mais une situation plus que particulière
et à la limite de la déviance sexuelle, même si je suis consciente que certains hommes
aiment ça. Ce maitre chanteur était vraiment quun gros porc, je nappellerais pas ça
un homme.
Tout ça pour mêtre fait prendre dans ma voiture par un type, un jeune stagiaire que
jai eu avec moi en cours durant une semaine.
Ce nétait pas vraiment un canon, mais assez athlétique, donc bien foutu, âgé de 27
ans. Il venait de la région parisienne, logeait à 1 km du lycée et nayant pas de
voiture, venait à son stage en vélo.
Dès le deuxième jour de stage, il a commencé à me faire du « rentre dedans », sans
être grossier, mais assez direct. Je laissais faire, nous étions souvent que tout les
deux en fin de cours ou à des pauses, cétait plutôt agréable pour une femme de plus
de 40 ans de se voir être la convoitise dun jeune homme. Layant parfois, pour cause
de temps pluvieux, ramené chez lui, nos rapports étaient devenus un peu plus
quamicales.
Bref, le dernier soir de son stage, nous avons quitté le lycée ensemble, il ma
raccompagné à mon véhicule et nous avons discuté quelques minutes devant la voiture
avant de nous dire adieu.
Sauf quau moment de nous faire la bise, ses lèvres se sont collées aux miennes, je
nai pas résisté, seul angoisse sur le moment, être vu. Etant stationné dans la rue
voisine du lycée, lendroit était plutôt désert et la nuit commençait à tomber, mais
par reflexe jai ouvert la porte arrière, plus par soucis de discrétion quautre
chose.
Il a du prendre ça comme une invitation, sen était peut-être une inconsciemment, je
me suis retrouvé allongé sur la banquette, lui sur moi, membrassant et me caressant
les cuisses, la portière grande ouverte, tout sest passé très vite, ma jupe relevée,
il ma prise, je nai opposé aucune résistance, ça na duré que quelques minutes.
Pourquoi ne pas avoir résisté ? Peut-être le manque de sexe dans mon couple ? Les
qualités très médiocres de mon mari en tant quamant ? Mon état dexcitation fréquent
à chacune de ses « attaques » tout au long de nos têtes à têtes ?
Quoi quil en soit je métais faite baisé comme ça, presque en pleine rue, moi une
mère de famille mariée, comme une nymphomane en chaleur. Avec du recul, je parlerais
plutôt de deux adultes consentants qui se donnent du plaisir avec un plan cul rapide !
Cet épisode était pour moi oublié, un simple petit écart de conduite, beaucoup moins
torride que mes quelques aventures adultérines précédentes.
Sauf quun mois plus tard, lun de mes collègues, que je nommerais « X », professeur
despagnol, a demandé à sentretenir avec moi à lécart des regards !!!
X est un homme de 55 ans, proche de la retraite, de nature très réservée, voir une
timidité maladive, toujours à lécart, écoutant les conversations discrètement mais
sans jamais y prendre part. Dune taille moyenne, une calvitie naissante sur des
cheveux grisonnants, un visage très banale et assez éloigné du critère de la beauté,
en fort surpoids, pas obèse mais vraiment très gras. La description peu paraitre
maladroite ou tout du moins blessante, mais il est loin de lhomme qui attire le
regard dune femme, que se soit par son physique que par labsence dattrait total,
aucun charme ne ressort.
Le type même du professeur ressassant inlassablement ses cours sans aucune motivation
et intérêt pour ses élèves, peut-être en avait-il eu au début de sa carrière, mais
aujourdhui il apparaissait aux yeux de tout le monde, professeurs et élèves, comme
une personne attendant patiemment la retraite. Sa seule qualité, toujours propre sur
lui et une certaine autorité sur les élèves malgré une attitude molle et effacée, ce
qui mavait toujours surprise.
Dune maladresse totale avec les femmes, un regard fuyant, je dirais même pervers, pas
quelque chose dangoissant pour une femme, il donnait même limpression den avoir
peur. Célibataire, ce quon appelle un « vieux gars », il aurait été surprenant quil
ait pu draguer une femme un jour ! Peut-être était-il différent dans sa jeunesse, mais
jen doute.
Mais ce coté pervers me dégoutais, javais pu à quelques reprises le surprendre à me
scruter de façon obscène, cétait tout du moins mon ressenti, fuyant mon regard quand
je me tournais vers lui, baissant la tête honteusement, pour recommencer dès que je
relâchais mon regard. Et dans les couloirs, javais pu observer cette même perversité
lorsquil fixait son regard dans le dos délèves féminines.
Doù ma surprise lorsquil osa sadresser à moi, avec maladresse et angoisse dans son
attitude dailleurs, quest quil pouvait bien me vouloir, pourquoi « à lécart des
regards » ? Ca ne me faisait pas peur de me retrouver seule avec lui, je pense même
que sest lui qui avait peur de moi, surtout des femmes en générales. Cette demande me
paraissant tellement inappropriée que je lai pris comme une maladresse de langage,
pensant quil voulait simplement mentretenir dun sujet tout à fait banal. Je lui
réponds tout naturellement :
- Ce soir, je parts à 17h00, si tu es là, on discutera à la sortie ?
Lui :
- Heu
oui
merci
Et je le vois quitter la salle des profs immédiatement, baissant la tète comme à son
habitude. Comment peut-il avoir de lautorité sur ses élèves ? Un mystère, ou peut-
être lexpérience ?
A 17h10, je sorts du lycée et japerçois X légèrement à lécart sur le parking un peu
plus haut à droite, je me dirige vers lui, essayant davoir une attitude la plus
conviviale possible, il a fait leffort de venir vers moi, peut-être me suis-je
tromper sur lui, autant lui donner une chance.
Arrivé à sa hauteur, je sors mon plus grand sourire et lui dit :
- Alors, tu voulais me parler de quoi ?
Il me regarde dun air gêné, et me tend son portable :
- Heu
de ça
Surprise, je regarde lécran de son portable
Une photo de moi et du stagiaire dans
la voiture !!! Il reprend son téléphone et fait défiler une dizaine de photos de la
même scène sans dire un mot.
Je suis estomaqué, je nen crois pas mes yeux, les photos ne sont pas dune qualité
extrême, mais on nous voit bien nous embrasser et on devine aisément ce qui se passe
dans la voiture, surtout que trois des photos sont prises dassez près, il avait du
prendre le risque de sapprocher au plus près ce gros connard.
Jessaye de reprendre mes esprits, il me regarde béatement scrutant ma réaction.
Inutile de dire que mon sourire avait totalement disparu :
- Tu joues à quoi, ça tamuse de faire ça
Il cherchait ses mots, ne sachant comment réagir, nosant pas me fixer, puis comme un
gamin stressé lors dun examen doral, je vois à son visage quil va se lancer :
- Ils sont sur mon ordinateur aussi
. Je pourrais les mettre sur le net
.
Moi :
- Sur le net ? Mais tu nes pas bien, ça fait un mois que tu tamuse avec des
photos de moi, tu es un grand malade, tes plus un gamin, alors arrête de dire
nimporte quoi
Lui :
- Heu
Désolé
mais je pourrais le faire
Je les regarde souvent
Jétais dans un état dénervement total, quun jeune ose faire ça, oui, mais lui, un
pauvre type, à 55 ans !!! :
- Ok, si ça taide à texciter, tant mieux pour toi, mais tu veux en venir où
avec ton pseudo chantage du net ? Si tu crois que je vais te payer ou coucher avec
toi, tu te mets le doigt dans lil
Il ne savait plus où se mettre, il ne sattendait certainement pas à une telle
agressivité dans ma réponse.
un terme à ces photos :
- Bon tu tes bien branlé sur moi, cest possible et tant mieux pour toi si tu
as pris du plaisir, mais tu sais très bien le mal que pourrais faire ces photos, que
ce soit du coté professionnel comme dans mon couple. Je ne pense pas que tu sois le
genre de type capable de porter atteint à ma carrière, alors tu oubli les photos ou au
moins tu les garde que pour toi, ok et on en parle plus.
Jessayais davoir une attitude agréable en sortant ces paroles, lui souriant comme
pour minimiser la situation et le rendre plus à lécoute.
Ca semblait fonctionner, il me regardait honteux et il se force à parler :
- Je tassure
je ne te veux surtout pas de mal
tu es très belle
je
noserais pas
Moi :
- Voilà cest mieux, on oubli tout, daccord
Lui :
- Oui, mais tu sais
je ne cherchais pas de largent
ni du sexe avec toi
je
ne me permettrais pas
Moi :
- Ne tinquiète pas, cest oublié, ok
Lui :
- Pardon
Je
.
Il range son téléphone et part comme un voleur en direction de sa voiture !!!
Dans un sens, je préfère ça, il voulait certainement profiter de ces photos, plus pour
samuser avec moi que pour autre chose, il avait du croire que sétait la chance de sa
vie, pauvre type quand même, il a suffit que je ménerve pour quil sécrase. Si ce
mec nest pas puceau, ça ne peut être quavec une prostituée, incapable de prendre
lascendant sur moi alors quil avait un net avantage !!!
Bon, malgré tout, il va falloir que je me rapproche de lui de temps en temps et que je
sois plus avenante avec lui, mieux vaut éviter de prendre des risques.
Je monte dans ma voiture pour rentrer chez moi, quelque peu chamboulé par ces photos
il faut bien lavouer.
Toute la soirée jétais perturbé, mon mari sest aperçu de mon inquiétude, jai
prétexté une journée difficile et le tour était joué. Ce nétait pas le moment non
plus pour quil est envi de sexe, mais avec lui sest rare, heureusement.
Impossible de suivre le film à la télé, je me mets sur lordi, un peu de dialogue sur
facebook avec des copines ça me changera les idées.
Jouvre ma session et là surprise, une demande dami de X !!!!!!!!!! Quoi faire, après
réflexion je me dis quil faut mieux laccepter et éviter de le froisser, après tout
autant lamadouer en faisant copain/copine. Je laccepte.
A peine fait, il me prend en dialogue « ça va », du culot quand même, il essaye de se
faire pardonner, autant jouer le jeu et on dialogue quelques minutes avec des échanges
sans grands intérêts. Tout un coup, il me propose un nom de site internet quil
voudrait que je regarde, un nom plus quévocateur « French domin
» !!! Après des
petites questions de ma part sur le pourquoi de cette demande, il continu à insister
pour que je surf sur ce site, me suppliant même.
Je fini par capituler et discrètement, sans que mon mari puisse douter de quoi que ce
soit, je tape ladresse du fameux site, vu le nom du site, je suis persuadé que mon
mari serait surpris de me voir regarder un tel site.
Le site fait apparaitre plusieurs vidéo, payante dailleurs, mais avec des extraits
gratuit. Je mets les écouteurs, le volume assez faible et je me tente à regarder le
premier aperçu, continuant avec quelques autres par la suite. On y voit selon les
vidéos, des femmes de tout âge, vieille comme jeune, belle et laide (il faut bien le
reconnaitre), avec à chaque fois un homme, avec des profils aussi hétéroclite que les
femmes, mais un point commun à toutes ces scènes, lhomme est entièrement soumis à la
femme, lui léchant les pieds, nu et chaussés, parfois humilié verbalement, voir giflé
sur certaine vidéo. Pas vraiment un truc SM, les femmes étant habillées normalement
sans accessoires particuliers, pas de sexe direct, mais des hommes qui semblent
prendre plaisir à leur lécher les pieds et a leurs être totalement dévoués !!! Sur
certaine, ils finissaient par jouir en se branlant !!!!
Ouahou, particulier le truc
Je reprends la discussion facebook en commençant par un simple « jai vu », et là il
se lâche complètement, me faisant comprendre sa passion pour les femmes et jeunes
filles autoritaires, son plaisir de leur être soumis, faisant un paragraphe entier sur
la suprématie féminine
.
Comment peut-il être aussi à laise avec moi sur le net et surtout oser me raconter
tout ça, alors que je ne le connais à peine, on se croise simplement, toujours
incapable de me regarder en face !
Cest un vrai malade, comment peut-on avoir de tels fantasmes ? La suprématie
féminine, si seulement tout les hommes partageaient cette idée, quel bonheur pour
nous, quoi que
Jessaye de rester courtoise, ne comprenant pas très bien pourquoi il me racontait des
choses aussi intimes à moi !!! Je répondais de temps en temps par des « ah bon », « je
vois »,
sans rentrer vraiment dans le sujet, ne sachant que dire.
Au bout de 10 mn, son monologue se transforme en question direct « Jai envi dêtre à
tes pieds », « tu voudrais me gifler », « que je sois à genoux devant toi »,
!!!! Là
cest moi qui suis gêné, prise au dépourvu.
Mon absence de réponse semble lénerver, ça cest nouveau :
- Tu préfère te faire baiser hein, salope je vais mettre les photos sur le net
Mais quest-ce quil fait ce con :
- Non, attend, tu mas surprise, cest tout
et les photos on avait tiré un
trait dessus, non ?
Lui :
- Cest toi qui a décidé de ne plus en parler, pas moi, si tu veux ten
débarrasser, viens chez moi demain matin, tu ne travailles pas, jai vu ton planning
Venir chez lui ? Il croit quoi ce vieux con :
- Cest facile devant un ordi, en face tu la ramène moins, arrête de rêver, je
viendrais pas chez toi pour me faire baiser, tu es loin dêtre mon type mon pauvre et
pour les photos, si tu tamuse à ça, moi je ferais savoir à tout le monde que tu nest
quun pervers juste bon à se mettre aux pieds, à se faire gifler par les femmes, tu
crois que le lycée va te garder après ça.
Lui :
- Oui tu as raison, je veux que tu me gifle, tu es belle, stp
Et pour ma
carrière, je men fous, je sais très bien ce que tout le monde raconte sur moi, je
prendrais ma retraite avec quelques mois davance et alors
Soyons clair, je te
propose un truc
Moi :
- Vas y, je técoute
Il me débite tout un scénario quil souhaite me voir réalisé, précisant quil ne me
toucherait pas, pas de sexe et quaprès je nentendrais plus parler de lui,
sengageant à supprimer les photos.
Pas très intéressé, mais devant un ordinateur il est plus prolifique que dans la
réalité, il serait peut-être capable de les publier ces photos ce con, et après tout,
il ne posera pas ses mains sur moi, si ça lui plait de se faire traiter comme un sous
homme (cest lui qui a employé ce terme), après quil est giclé, on en parlera plus.
Reste à massurer de son engagement à supprimer les photos, je lui réponds :
- Ok pour ta proposition à une condition, tu me laisse accéder à ton portable et
ordinateur et cest moi qui supprime les photos, cest ça ou rien.
Lui :
- Aucun problème, mais il faut que tu joues le jeu, que tu me traite vraiment
comme je te lais dit, ensuite je te laisserais faire tout ce que tu veux avec mon
téléphone et ordinateur.
Et il rajoute :
- Tu peux commencer maintenant que je puisse voir si tu as compris
Commencer là, devant lordi ? Impossible ! Il faut que je trouve un truc sinon il est
capable de péter les plombs de nouveau
Le vouvoiement, et oui il me la rappelé à
chacune de ses phrases :
- Cest « vous » quen tu tadresse à moi gros porc, cest compris
Jai du taper juste, la réponse est équivoque :
- Pardon, excusez-moi madame
« Madame », il est à fond dedans ce connard, bon il me fatigue, jen profite pour
stopper :
- Allez dégage, on verra ça demain
Et je coupe
Dans quoi je me suis embarqué, un vrai truc de dingue, on verra ça demain. Je
prétexte un cours demain matin à mon mari et lui dit que je suis crevé, je vais me
coucher. Une bonne nuit de sommeil maidera à me remettre les idées en place.
Le lendemain matin, mon mari est déjà parti travailler quand je me réveille, je
commence à réfléchir à ce qui mattend dans quelques heures. Je suis vraiment folle
davoir accepté, en plus cest contre nature pour moi, dominer un homme alors que
japprécie tout particulièrement les mecs virils, voir machos, qui prennent les
initiatives et là cest moi qui vais devoir prendre les choses en main avec un gros
porc à lopposé de mes attirances masculines.
Je reste quelques minutes à mimaginer la scène, me remémorer sa demande de scénario,
lhumilier, linsulter
cest vraiment un malade ce type, à se demander si passé la
quarantaine les hommes ne deviennent pas de vrai gonzesse en terme de sexe, mon mari
nen est pas à ce point mais quand même.
Il me reste à me préparer, le seul avantage, pas la peine de réfléchir à ma tenue, il
la choisi pour moi, il devait me mater grave pour connaitre toute mes tenues, toutes
les femmes devait être regardées de la tête aux pieds par ce gros vicieux, les élèves
filles incluses je pense.
Je prends ma douche, puis choisi un ensemble de sous vêtements, il ne pouvait
connaitre mes sous-vêtements, il a seulement précisé sexy, assortie, en dentelle
noire. Mon choix se fixe sur un petit tanga à dentelle noire évidemment, très échancré
sur les hanches, avec un petit cordon au dessus des fesses, ce qui agrémente le coté
érotique pour moi, il me rentre bien dans les fesses et me donne un petit cul rebondi.
Coté soutien gorge, jen ai deux assortis au tanga, jopte pour le balconnet, moins
confortable mais beaucoup plus sexy, mettant mes seins en valeur.
Je sors ma robe, une petite robe mi courte, au niveau des genoux, de différents
dégradés de gris, sans manche à col rond et large laissant paraitre un petit
décolleté, assez sympa et très légère, plus vraiment de saison mais il avait du me
voir avec lors de la préparation des cours fin août. Ce nest pas ma préféré, pas
spécialement sexy, même si parfois la légèreté du tissus peut sapparentée à de la
transparence.
Coté maquillage, le tout reste léger, mais je décide daccen un peu plus le rouge
à lèvre et de mattacher les cheveux, ça me donnera un air plus sévère, cest de
rigueur.
Le tout surmonté par des escarpins gris foncés à petites lanières serrées les unes
contre les autres, je les aime bien même si elles ne sont plus de saison non plus, je
pense que sest les talons assez haut qui ont du lui plaire sur ces escarpins, ça doit
être mes plus haut à lexception dune paire de botte, je ne suis pas fan des talons
très haut, ceux là font 8 cm, ce qui est énorme pour moi, je ne dépasse rarement les 5
cm.
Je suis dailleurs assez surprise de navoir aucun stress pendant ma préparation, pas
danxiété, jessaye de prendre ça comme un jeu.
Jenfile un manteau, monte dans la voiture et me dirige à son domicile.
Arrivée dans le petit lotissement, je cherche la rue et le numéro transmis, cest là,
une petite maison assez simple, un petit jardin plutôt bien entretenu devant. Je
stationne devant le muret de la maison et descend de la voiture, à peine devant le
portillon que jentends « bonjour madame
» ! Cest une femme de 35/40 ans, la
voisine, qui me dit bonjour, elle me connait, il me semble que javais du avoir son
fils il y a deux ou trois ans. Je lui rends le bonjour et elle croit comprendre ma
présence en précisant « cest vrai, monsieur X est dans le même lycée que vous », je
lui fais un signe de tête attestant sa remarque et lui fait part de la préparation
dune réunion délève pour expliquer ma présence. Avais-je besoin de lui exposer un
motif à ma venue chez X, non, suis-je bête, mon empressement à donner une explication
paraissait lavoir surprise.
Joubli ce contre temps, prend la petite allée donnant sur lentrée principale de la
maison, je me retourne machinalement après avoir frappé à la porte et vois la voisine
qui mobservait toujours du coin de lil, je maperçois que tous les volets sont
fermés et comprends sa surprise de me voir rentrer dans une maison entièrement close
aux regards.
La porte souvre, je ne mengouffre rapidement à lintérieur voulant me soustraire au
regard de cette voisine.
La porte se referme, je fais face au propriétaire des lieux, toujours aussi vieux et
gros, habillé dun pantalon de toile et dune chemise blanche, jôte mon manteau, ses
yeux sont figés sur ma silhouette comme hypnotisé ! Je le sort de sa stupeur :
- Oh oh le vieux, mon manteau
Il prend mon manteau, le pose avec précaution sur une chaise, jen profite pour
regarder lintérieur de son salon, beaucoup plus contemporain que je laurais pensé,
même si ce nest pas dans mes goûts, mais extrêmement propre. Je prends place dans le
canapé, jambes croisées (comme prévu dans le scénario).
Le plus drôle, cest que la voisine ma permis de rentrer chez lui sans aucune
angoisse, elle ma involontairement servi de diversion.
X sapproche de moi maladroitement, toujours aussi surpris de mavoir chez lui, il est
rouge de honte ! Pourtant cest lui qui est à lorigine de tout ça. La tête baissé
vers mes escarpins, il me demande :
- Tu veux boire quelques choses ?
Je sais parfaitement quà ce moment là, je dois me lever, le gifler pour mavoir
tutoyé et lui demander de se mettre à genoux. Mais son attitude pitoyable quil a
devant moi, attendant sa correction me fait pouffer de rire. Mon rire se calme, je le
regarde en souriant et lui dit très gentiment :
- A genoux
Il ne comprend pas, certainement surpris de mon initiative de modification du
scénario, je reprends toujours avec calme et sourire :
- Allez, à genoux
Il sagenouille enfin devant moi, je souris toujours autant, je le trouve tellement
pitoyable que ça mamuse. Je reste assise bien confortablement dans le canapé,
bougeant légèrement mon pied droit autour de son menton, le sourire aux lèvres, je le
regarde prendre son plaisir à être ainsi sous mon emprise. Je me redresse vers lui, ma
main se saisit de son menton, le relève pour que je puisse bien me rendre compte de
son regard de soumission, il ose à peine me regarder, jen souris et lui dit avec une
voix douce :
- Regarde-moi gros porc
Il relève les yeux, obéissant à ma demande et dit :
- Vous êtes belle, très belle
Je ne réponds pas, je tiens toujours son menton, aucune parole pendant la minutes qui
suit, un large sourire sur le visage et je lui décroche une gifle monumentale,
beaucoup plus forte que je my attendais. Il est même obligé de poser sa main au sol
pour ne pas tomber, jentends un léger son qui sort de sa bouche dans le même temps :
- Merci madame
« Merci » !!! Cest sûr maintenant, il aime ça ce con.
Je change de main et lui remet une seconde gifle, moins forte celle-ci. Je me ré-
adosse confortablement au dossier du canapé, je le fixe :
- Un café avec un nuage de lait
Il ne sest plus ou il en est, cest bon de changer le scénario, il me répond
maladroitement :
- Heu
Tout de suite madame
Il se lève et se met à me préparer mon café
Tout en lobservant, je me surprends à réfléchir à cette situation, drôle de sensation
que de se faire servir aussi docilement, mais pas désagréable, javoue même y prendre
un certain plaisir.
Il revient avec la tasse de café, me la remet gentiment, une nouvelle fois je ne peux
mempêcher de rire en le voyant. Il nose pas me regarder, je maperçois quil fixe
mes cuisses, en me ressayant après la dernière gifle, ma robe se trouvait remontée,
les jambes croisés dans un canapé plutôt confortable mais assez profond avait libéré
mes cuisses de tout tissu. Par reflexe, jai dabords voulu réajuster ma robe, puis je
me suis dit, autant lexciter ce vieux pervers il giclera plus vite.
Moi :
- Arrête ça tout de suite vieux porc, à genoux et lèche mes pieds
Lui :
- Pardon madame mais vous êtes belle, vous avez de jolies cuisses
Moi :
- Je sais, je suis trop belle pour toi, un sale chien comme toi ça se met aux
pieds, dépêche toi connard
Tout ça était bien sur à sa demande de scénario, il fallait que je reconnaisse ma
beauté exagérément et lui fasse comprendre que je lui faisais une faveur en la
partageant avec lui ! Bizarre, mais cest lui qui le souhaitait, insultes inclus, il
mavait même demandé de le traiter de salope, de Pd, de pouffiasse, terme plutôt
féminin, pas facile à dire.
Bref, il se retrouve de nouveau à genoux penché sur mes pieds, les embrassant. Je le
laisse prendre son plaisir, si ça lamuse, je profite de mon café. Tout dun coup je
lentends :
- Madame, vous voulez que je me déshabille ?
Merde, javais oublié cette partie, lui ordonner de se mettre nu et me moquer de son
physique, sa virilité
Moi :
- Tu attends quoi, oui met toi à poil tout de suite
Il défait tout tremblotant les boutons de sa chemise, lenlève puis me regarde,
attendant mon impression sur ce que je voyais ? Franchement, tellement gras quil
avait des seins, du bide
Bref rien de plaisant :
- Tes gros, tu crois vraiment que tes un homme avec des seins comme ça
Je pose mon café (pour passer à la suite du scénario), me met debout, il dégrafe son
pantalon toujours à genoux, oups jai été trop vite, il fallait dabords quil se
mette totalement à poil. Trop tard :
- Lâche ton pantalon, je nai pas envi de voir ta petite bite de Pd pour le
moment (un de placé)
Il est surpris de ce nouveau changement dans le déroulement du scénario, je ne lui
laisse pas le temps de réagir, je pince ses tétons avec mes doigts, il grimace, pousse
un petit cri de satisfaction :
- Tu aime ça, hein, tu nes pas un homme, tu nes quune pouffiasse
Il aime ça, je ne cache pas un certain plaisir à voir un homme, même vieux et gras,
entièrement soumis, sous mon emprise. Je ne mattendais pas à y prendre une certaine
satisfaction, pas de lexcitation, mais une impression de pouvoir qui nest pas pour
me déplaire.
Il se touche par-dessus son pantalon, en me matant denvie, toujours sous mes
pincements, il ne peut sempêcher de me dire que je suis belle, excitante
. Il est à
bout, je vais pouvoir terminer plus vite que je le pensais, mais il prend la parole :
- Tu peux enlever ta robe stp
A quoi il joue ce con, je lâche ses seins de gros porc, lui déclenche une claque :
- Cest « vous » gros porc
Il semble un peu énervé par ma gifle, pourtant cest son truc, il me répond avec plus
dassurance quavant :
- Oui vous cest vrai, mais enlève
je veux dire enlevez votre robe, jai envi
de me branler en te ma
enfin je voulais dire vous
Il ne sait plus vraiment où il en est, si ça peut laider à gicler. Je commence à
relever ma robe, je regarde sa réaction, il est comme scotché à mes cuisses, mon
tanga, mon ventre
Je passe ma robe par-dessus mes épaules, je me retrouve en sous
vêtement devant lui. Je veux en finir rapidement, lexcitation lui donne de
lassurance, comme à tous les mecs dailleurs. Je décide de finir la séance !
- Ca texcite, mets toi à poils et branle ta petite bite, tas jamais vu une
femme devant toi, hein, tu es encore puceau
En finissant ma phrase, un fou rire me prend, il se lève fasse à moi, baisse son
pantalon entrainant son slip ou caleçon, je nai pas fait attention. Mon fou rire
stoppe net, mes yeux se fixent sur son sexe, raide oui, mais petit non,
impressionnant, je ne mattendais pas à ça, longue et très large. Peut-être est-ce
lopposition entre limpression que je men faisais et la réalité qui me laissait la
voir plus grosse encore, je ne sais pas, mais je dois lavouer, ma surprise était
totale.
Je ne pouvais détacher mon regard, je vois sa main qui enveloppe sa bite et commence
les va et vient, jentends :
- Taime ça les grosses bites salope
Je reprends mes esprits et lui réponds honnêtement :
- Je my attendais pas cest tout et ce nest pas la peine de me traiter de
salope, branle toi et gicle
Lui :
- Tu mexcite, je nai jamais baisé de femme et toi tu me donne envie
Moi :
- On se calme mon gros, que tu sois puceau à 55 ans je men tape, mais me
baiser ça jamais
Lui :
- Pourquoi, taime ça, avec le stagiaire tu ne disais pas non, salope
laisse
moi te gicler dans la bouche
Ca commençait à mal tourner, ok il avait une grosse bite, ce qui avait peut-être
entrainé une petite excitation chez moi, je le reconnais, mais le reste ne mattirait
pas du tout :
- Ta gueule, tu te calme tout de suite, tu gicle et sest tout, pas sur moi
Il semblait près à jouir, je le voyais à son visage, il nécoutait plus. Je sens sa
main sur ma hanche, elle monte sur mon ventre, il est brutal dans ses gestes,
tellement brusque quil me fait maffaler sur le canapé, il sappui sur moi, mes
jambes coincées entre les siennes, assises sur le canapé, ou plutôt enfoncé dans le
canapé, sa main sur mes seins, il savance tout en se branlant :
- Salope, sale pute tu va me faire gicler
Avant même que je puisse me dégager, il met ses genoux sur le canapé, sa bite à
quelques centimètres de mon visage et il me gicle dessus en me traitant de tous les
noms, jen reçois sur les seins, mon visage, dans les cheveux
. Je cris :
- Dégage, merde,
Il se lève tout penaud, se met à genoux et membrasse les piedst en me disant « merci
» !!!
Mais il est malade ce type, je ne bouge pas, tellement il me scotche, il continu à
membrasser les pieds en disant « pardon », « excusez-moi », « vous êtes trop belle »
Il ménerve, je me redresse et lui lance deux gifles coup sur coup, je ressens de la
méchanceté dans mon geste, je ne suis plus dans le jeu. Je me lève et lui cris :
- Donne-moi une serviette gros connard et rhabille-toi
Il essaye de mexpliquer son geste, sest la première fois quil a une femme aussi
jolie devant lui, il na pas pu se retenir
Cest surtout la première fois quil a
une femme en sous vêtement en face lui, belle ou pas belle.
Moi :
- Cest bon, va me chercher une serviette pour messuyer
Il quitte la pièce et revient quelques secondes plus tard avec une serviette, il me
demande si je veux prendre une douche !
Moi :
- Une douche chez toi, oh tu va redescendre sur terre, donne moi ton téléphone
et le code de ton ordi plutôt
Lui :
- Il est la bas à coté de lordinateur, il ny a pas de code, je vis seul
Moi :
- Ca je peux le comprendre, qui voudrait dun porc comme toi
Jétais plus quénervé, méchante oui, surtout que je commençais à apprécier cette
domination avant quil me traite comme une vulgaire salope.
Je messuie comme je peux, il men a mis partout ce gros con, mon soutient gorges est
collant. Je me dirige vers lordi, je massois devant, tout est prêt, le dossier des
fameuses photos saffiche directement, au moins ça il lavait fait correctement, je
supprime les photos, contrôle quil nen reste plus, ordi comme téléphone, cest fait.
Je reviens vers le canapé, il est là à genoux, toujours à poil, mobservant, il me
regarde prendre ma robe ! Autant le laisser faire et partir au plus vite, en plus je
vois quil commence à bander de nouveau, 55 ans mais encore en forme ou le faite que
ce soit une première pour lui de voir une femme à moitié dénudée devant lui. Il me
fait pitié, je décide même de lui faire plaisir, il a lair inoffensif, dans son coin
comme un bon toutou, mon soutien gorge colle trop, je lenlève, il a les yeux exorbité
me voyant dégrafer mon sous vêtement, jen rigolerais presque, je prends mon temps,
ôte mon soutien gorge lentement en le regardant faire, sa main sur sa bite, il se
branle encore une fois en fixant mes seins libre de tout corset. Je continu mon petit
manège en remettant ma robe toujours aussi doucement. Il est comme un fou, il profite
de ce quil voit au maximum, lâge est là, dur de gicler, pourtant il se branle comme
un dingue.
Je réajuste ma robe, prend mon manteau, au moment de partir je me retourne vers lui,
il se branle toujours ne me lâchant pas du regard. Je reviens vers lui :
- Cest bon, ten profite gros connard hein, cest la dernière fois
Et je lui mets de nouveau une gifle, ça semble lui faire plaisir une nouvelle fois,
franchement quel homme accepterait ça ?
Jouvre la porte et je lui dis :
- Je te laisse mon soutien gorge, ça te fera un souvenir gros dégueulasse, allez
branle-toi bien gros porc
Et je claque la porte, sauf quen arrivant à la voiture jentends :
- Cest fini la réunion ?
La voisine ! Je me retourne avec le plus de naturel possible, un grand sourire :
- Oui, on est obligé de faire comme ça, au lycée on na pas toujours le temps de
préparer nos réunions, bonne journée
Jespère quelle na pas entendu la dernière phrase en sortant de chez X, en tout cas
je nai pas entendu de rumeur qui courait sur moi. Je reste persuadé quelle a du
remarqué mon absence de sous vêtement, une femme voit ce genre de chose.
Je monte en voiture et rentre chez moi,
Monsieur X sest mis en arrêt maladie jusquà la fin de lannée scolaire, normalement
je ne devrais pas le croiser, ce qui est une bonne chose. Comment le regarder en face
sans limaginer à mes pieds prenant du plaisir sous mes gifles.
Jai au moins compris une chose, certains hommes sont de vrai soumis devant une femme,
et une femme peut y prendre plaisir, mais heureusement quil existe aussi de vrai mec
pour nous faire jouir.
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