Mélodie

Elle s'appelait Mélodie. Une jeune fille de 16 ans, des cheveux noirs, des yeux bruns,
une petite bouche rose et surtout deux seins ronds et durs et une paire de fesses qui
me faisait durcir comme un fou. Moi, je m'appelle Vincent, j'avais le même âge
qu’elle, les yeux bleus, des cheveux bruns, une grande taille, une silhouette sportive
et surtout un sexe bien épais qui ne demandait qu'à déverser son jus dans la bouche de
cette fille de ma classe. Mais malheureusement, la situation ne jouait pas en ma
faveur: elle était au sommet de la popularité, alors que moi, je n’étais que très peu
admiré par les autres étudiants.
Mais mon désir n’en était pas diminué. Même si j’avais du mal à croire qu’un jour je
l’apporterai dans mon lit, je continuais à tout tenter pour réaliser cet excitant
projet.
Heureusement pour moi, le hasard me donna un jour, un coup de main. C’était pendant la
pause de midi, j’avais besoin de pisser et me suis rendu aux toilettes, mais arrivé
devant les deux portes, une pour les filles, une pour les garçons, je fus tenté par
l’envie de m’introduire dans celle qui m’était interdite. J’entrais et me cachais dans
une des cabines. Je dressais l’oreille pour finalement constater qu’il n’y avait
personne. Je n’étais pourtant pas décidé à en rester là, je comptais bien observer une
des jeunes filles de mon bahut. Je ne patientais pas longtemps, au bout de deux
minutes, j’entendis la porte s’ouvrir, et une fille rentrer dans ma cabine voisine. Je
me levais et essayais de regarder ce magnifique spectacle. Je crus que ma poitrine
allait exploser quand je reconnu les cheveux noirs et soyeux de Mélodie. La vue de sa
chatte à découvert me fit dresser la queue en un éclair, je crois que je n’avais
jamais été aussi excité. Je m’attendais bien sûr à ce qu’elle déverse sa pisse dans
les toilettes, mais elle m’offrit une toute autre prestation.

Elle se mit à se
doigter, à ouvrir la bouche pour laisser s’échapper quelques cris de jouissance et à
déverser sa cyprine qui semblait délicieuse. Sans m’en rendre compte, je me mis à me
masturber de la façon la plus naturelle possible. Je sorti mon sexe de mon caleçon
pour le toucher à nu. C’était divin. Je continuais à la regarder pendant de longues
secondes qui, pour mon plus grand plaisir, me semblaient interminables. Elle se
pénétrait de ses doigts en se malaxant la poitrine. Bientôt, elle se dévêtit
complètement, enlevant T-shirt, Jeans et culotte. J’avais à présent devant moi, la
plus belle fille que je n’avais jamais vu, sous ses aspects les plus torrides.
-Oui,...C’est tellement bon,...Oui,....Mmmmh,....Oh Oui!...Je vais jouir! Cria-elle.
Et au comble du miracle, j’éjaculais tout mon sperme contre la paroi de la cabine au
moment précis où elle hurla le cri de l’extase. Il n’y avait aucun doute à avoir, ce
fut l’un des meilleurs moment de mon existence.
C’est à l’instant où j’allais me retirer qu’elle finit par me remarquer. Nous étions
extrêmement gênés, autant l’un que l’autre. Je ne sus pas tout de suite si elle
m’avait reconnu. Mélodie sortit la première, rapidement et en panique et je finit par
faire de même, par la sonnerie et laissant derrière moi, une épaisse tâche de
sperme.

La semaine qui suivit fut pour le moins spéciale. J’avais eu le temps de me rendre
compte qu’elle avait vu que c’était moi qui l’avait maté pendant qu’elle se donnait du
plaisir en solitaire, car son regard avait complètement changé quand elle me voyait.
Cela m’a d’abord paru malsain, mais cette situation m’excitait plus qu’autre chose. Et
l’idée qu’une fille avait probablement découvert le reste de ma semence dans les
toilettes, ne faisait que me rendre plus chaud.
Il fallait par tout les moyen, que j’assouvisse cette envie de sexe, me branler ne
suffisait plus. Et c’est un mercredi matin qu’il me vint une sorte d’illumination. Je
connaissais suffisamment bien Mélodie pour savoir qu’elle possédait un certain cran et
ne refusais jamais une offre, surtout en cas d’invitation. De plus j’avais ce qu’il
fallait pour la faire chanter. Et je connaissais aussi une boîte de striptease, fermée
récemment, mais qui restait accessible pour celui qui était un peu malin. Quand
j’arrivais à l’école ce jour-ci, je déposais furtivement une lettre dans sa trousse,
posée sur son bureau. J’y avais marqué ceci: «Mélodie, si tu ne veux pas que je
dévoile ton secret, et si tu ne manques pas de courage, je t’attends au night-club, le
WetPussy, ce soir vers 21h00.»
Fier de moi, je fis attention de remarquer sa réaction, une fois revenue en classe.
Son visage avait viré au rouge, mais un sourire coquin s’était dessiné sur son visage.

Le Soir arrivé, après avoir ouvert le cadenas de la porte du club, j’attendis sur ce
qui était l’ancien comptoir. Je devenais fou d’impatience. Je m’imaginais déjà la
prenant comme une chienne, léchant sa chatte et gicler dans sa gorge. Mais pour ma
plus grande joie, elle fut ponctuelle et arriva pile à l’heure.
Mélodie était encore plus magnifique que d’habitude, portant une mini jupe et un beau
décolleté qui me fit saliver. Je pus lire une certaine folie dans ses yeux de
panthère.
-Alors c’est toi qui observe les filles aux toilettes, Vincent?
Je n’eu pas le temps de répondre. Elle se jeta sur moi, descendis ma braguette et en
sortit mon pénis qui avait déjà prit du volume. Jamais je n’aurais cru qu’elle suçait
si bien...
Elle titillait mon gland avec passion tendis que je lui caressais les cheveux. Une
fois bien excité, j’appuyais sa tête pour qu’elle l’avale en entier. Elle manqua de
s’ en prenant ma verge à pleine bouche, mais cela ne fit que nous exciter
encore plus. Je dis «nous», car une fois l’action faite elle redoubla de fureur.
-Oh Oui!...Vas-y! J’adore quand c’est bien hard mon bébé! Me dit-elle sauvagement.
A ces mots, je me suis levé, je l’ai prise par le cou, j’ai mis ma langue au plus
profond de sa gorge et j’ai commencé à malaxer ses seins. Enfin, j’avais réalisé un de
mes fantasmes les plus fous. Puis j’ai pris ses obus et les ai léchés. Je les ai même
mordus comme un chien enragé.
-Ahhhhh!!! Continue! Tu fais ça tellement bien mon chéri!... Ohhhhhh Ouais!...Oui, je
suis ta salope, ta chienne!
Voyant qu’elle se lâchait complètement, je décidais de faire de même.
-Maintenant, tu m’appelle «Maître» d’accord petite pute?
-Comme tu voudras...Maître. Me répondit-elle en souriant.
Après m’être délecté de ses seins, je me mis à la déshabiller totalement. Je pus enfin
toucher ses fesses sur lesquelles je fantasmais depuis des mois. Je les caressais, les
léchais, les embrassais, et bien sûr, l’envie irrésistible de les pénétrer me pris.
-Suis moi! Ordonnais-je.
J’amenais Mélodie dans une des ces chambres érotiques où les clients faisaient les
choses que leurs femmes refusaient d’accomplir.
On aurait pu penser que les chambres auraient été laissées dans un sale état, mais
celle-ci avait su rester très clean.
J’ai poussé ma petite salope sur le lit, de façon à avoir son magnifique cul devant
mes yeux.
-Pénètre-moi Maître! Pénètre-moi, je t’en suplie, je peux plus attendre...
Et d’un seul coup, j’enfonçais ma queue dans son anus. A cet instant, elle hurla comme
jamais. Je commençais plusieurs mouvements de vas et viens, tout en lui tirant les
cheveux.
-Ohhhhhh Oui! Oui! Je te sens bien! C’est trop bon! Mmmmmh... Ohhh tu baises comme un
dieu mon chéri! Oui! Vas-y! Oh Oui Maître, continue! T’arrêtes surtout pas!
Je crois que je devenais fou, je nageais dans l’extase. Je continuais à la pénétrer,
en embrassant, léchant et malaxant tout ce qui se trouvait à ma portée. Son dos, ses
fesses, ses seins, son ventre, son sexe, j’aurai voulu avoir plusieurs bras.
-Ohhhh! C’est tellement bon! Ohhh Oui! Je vais jouir Maître!
Et c’est dans un dernier mouvement qu’elle a hurlé le cri ultime, plus fort que celui
que j’avais entendu dans les toilettes de l’école.
Mais moi, je n’avais pas éjaculé.
-Viens prendre ta récompense ma belle! Lui dis-je.
Elle se retourna précipitamment, s’accroupit et ouvrit la bouche, tandis que je me
relevais et, tout en me branlant, je finis par lâcher un puissant jet de sperme.
Mélodie avala tout et me léchât la verge pour ne pas manquer une seule goutte de ce
précieux nectar.
-Mmmmm... Pas mal du tout Vincent!Me félicita elle en souriant.
Nous nous sommes alors allongés sur le lit, totalement nus et nous nous sommes
endormis paisiblement pendant que les dernières gouttes de sperme dégoulinaient sur
les draps.