Autobiographie D'Une Chatte ...
Au seuil de mes quatre vingt ans je vais finir ma vie de vagin, depuis quelques jours
cest une infirmière qui passe le gant de toilette sur mes quelques poils blancs
parsemés, mes lèvres ne se jointent plus, je ne regrette pas de partir, jai eue une
vie bien remplie si jose dire !
De tout bébé a dix douze ans je me suis éveillée doucement, ma maitresse, ma
propriétaire comme vous voulez, sappelle Maria, elle passait quelquefois ses doigts
sur moi, plus les années passaient plus je percevais les caresses qui déclenchaient un
courant électrique de plus en plus intense, quand mon premier poil est apparut elle
était folle de joie mais bientôt cest une vrai forêt luxuriante qui cachait mon pubis
et ma fente, cela ne lempêchait pas de me caresser souvent le soir bien au chaud
entre ses draps les cuisses écartées elle ouvrait mes lèvres pour puiser du lubrifiant
et enduire mon clito qui valsait sous ses doigts agiles jusqua ce que jexpulse une
quantité de plus en plus abondante de cyprine
A ses quinze ans jai eue la surprise de voir arriver une main de garçon sous la
culotte petit bateau qui me protégeais, celui pestait car les poils lempêchaient de
trouver aisément mon trou vaginal avec ses doigts, le lendemain ma maitresse, je dis
ma maitresse mais en réalité cétait moi qui la dirigeais par des ondes que je ne
saurais expliquer mais qui influaient directement sur une partie précise de son
cerveau , donc le lendemain a accroupie devant une glace, rasoir ciseaux peigne en
main elle ma fait une beauté pour la première fois je me voyais dans une glace , des
lèvres moelleuses dégagées de poils superflus cette fois ma fente est très accessible
! Tout en haut mon fidèle complice qui monte la garde sous son capuchon de chair,
cest lui qui a la première alerte me transmet les infos, je dois mouiller tandis
quil grossit, quelques jours après la même main de garçon est revenue, mais Maria
veillait au grain, elle ne laissait pas les doigts me pénétrer car elle tenait a ce
que mon opercule fine qui masque mon entrée reste intacte, elle refusait dôter la
culotte qui préservait sa virginité
.
A dix sept ans tous les soirs blottie entre ses draps Maria ouvrait les cuisses pour
me caresser, jétais aux anges je mouillais comme une fontaine, mais un soir
volontairement ou non elle a zappé notre rendez vous, vexée je me suis jurée de lui
faire payer dés le matin jai harcelés ses sens, elle frottait ses cuisses lune sur
lautre elle était en sueur, laprès midi elle a pris la direction dun parc et sest
assise sur un banc, pour la première fois jai sentis ses cuisses sécarter
exagérément et lair frais parvenir jusqu'à moi, je voyais de plus en plus le jour au
travers de sa culotte, sur le banc den face il y avait un homme qui ne perdait rien
de son manège, il massait une bosse énorme sur sa braguette, je me suis mise a
mouiller comme jamais, mon liquide suintait par les mailles du tissu
Lhomme sest levé et sest assis prés delle, une grosse paluche glissait sur son
entre cuisse, des ongles grattaient la culotte et le bombé de mes lèvres, le fond du
slip sest écarté
un gros doigt a ouvert ma fente, elle la retenu en lui expliquant
quelle était vierge, celui-ci sans se démonter sest levé et lui a dis : vient avec
moi nous somment allés en direction des fourrés et là, adossée a un arbre il lui a
relevée la jupe , la culotte a glissé sur ses cuisses, jétait dehors a lair libre ça
ne métait jamais arrivée ! il lui a ordonné décarter les pieds , un souffle chaud
sur ma vulve puis une chose rose épaisse a glissé entre mes lèvres, lhomme me léchait
tout en maintenant mes lèvres ouvertes avec ses pouces cétait merveilleux, elle a
poussé un cri strident quand jai lâché un suc épais dans mes poils et dans la bouche
suceuse
Il sest relevé, pendant un moment ils mont laissée sur ma faim, au mouvement des ses
bras jai compris quelle manipulait quelque chose, cette chose je lai vue arriver,
une grosse prune rouge plantée sur un manche de chair énorme que voulait il faire avec
ça ? Il a frotté ma toison avec cétait très doux, et dun coup il lui a relevé une
jambe, la prune sest positionnée sur mes lèvres qui ont épousées sa forme puis ça a
été lhorreur je me suis sentie déchirée, écartelée, enfoncée, une brulure atroce a
fait vaciller la fille maintenue puissamment par lhomme, une odeur de sang régnait
dans mon vestibule, puis le miracle sest accomplit, la douleur disparue la chose
raide est devenue exquise, elle frottait agréablement sur mes parois inexplorées, mon
utérus bousculé la chose a étiré ma gaine vaginale a nen plus finir je pissait
littéralement entre ses cuisses
Lhomme ma ramonée interminablement avec son piston de chair avant de me lenfoncer
au plus profond il sest arrêté de bouger, un torrent a giclé du bout arrondi et
fendu, jai cru me noyer avec cette semence abondante et odorante, le membre a
subitement diminué de volume il sest retiré me laissant ouverte, la plus grosse parie
du jus est tombée au sol, il a lâché la jambe et a disparut , elle a passé une main
sur moi pour constater les dégâts, avec ses doigt elle a recollées tant bien que mal
mes lèvres lune sur lautre puis a renfilée la culotte , arrivée a la maison elle a
joué longtemps avec moi examinant pour la première fois mon intérieur devant une glace
avant de se décider a me laver
A partir de ce moment là tout sest accéléré les petites tas de maintenant nont
rien inventé avec leurs jupes ras la moule jai vus défiler des tas de queues dans ma
grotte recouverte dune grande culotte et dune robe longue
A dix neuf ans Maria sest mise en ménage avec un attitré de mes lieux que jaimais
bien, il était doté dune verge très acceptable, un soir ils avaient un invité mais ça
nempêchait pas lattitré de me toucher, je me suis retrouvée sans rien dessus exposée
en pleine lumière, de nombreux doigts se disputaient lentrée de mon vagin, après
avoir trouvé un terrain dentente ils mont masturbée a deux, puis elle sest mise à
califourchon sur un garçon, lentement jai été investie par la queue de son compagnon
qui a commencé a me baiser, il sest arrêté de bouger cest là que jai sentie la
deuxième verge se présenter contre la première
.
déchirer ! Et lautre qui se laisse faire ! Au lieu de se dégager elle arque son cul,
ma fente sétire
.ça va céder
.Aaaaaaahhhhhh le salaud a trouvé une faille ! Me
voici plantée par deux verges, mes parois tendues à craquer prennent la forme de ces
envahisseurs qui se mettent en mouvement, les deux premiers allers retours sont
pénibles puis la glisse devient de plus en plus aisée, ce jour là jai compris tout le
sens du mot fornication
Le copain est revenu souvent et un soir comme a chaque fois je me suis retrouvée
coincée entre eux deux a un moment celui qui me prenait par derrière a glissé hors de
moi tant jétais poisseuse, mais en voulant me réinvestir il a manqué mon entrée cest
mon voisin qui la pris dans son trou sans fond, ce voisin cest un peu comme un
colocataire
Ce colocataire je men passerais bien ! Il est bruyant malodorant, je nose pas
raconter tout ce que je vois passer
..Bref Maria a hurlé a la mort a cause de la
surprise et de la douleur sans doute, je sentais le membre glisser sur celui qui
baisait mon conduit soyeux a travers la mince cloison qui nous sépare, puis elle a
cessé de crier et lui demandait de continuer a la limer, elle tendait son cul de
salope aux deux mâles , lattitré a déchargé très vite , je dégoulinais sur son ventre
, le copain la suivit de prés je sentais les contractions de la verge qui arrosait le
trou voisin
Après un moment de silence ils ont rit de bon cur, depuis ce jour là les deux trous
ont étés visités par des queues toujours plus imposantes il a bien fallu que je me
fasse a la mitoyenneté de mon colocataire !
Je croyais avoir tout vécu mais un soir jai décelé une présence féminine, il y avait
dans cette pièce une autre chatte qui dégageais des phéromones, donc en chaleur, jen
étais jalouse ! Maria se faisait toucher par quatre mains , elle sest laissée
déshabiller une main délicate est venue me solliciter, des ongles manucurés bien
taillés de façon a ne pas écorcher finissaient ses doigts fins qui savaient exactement
ou toucher pour faire du bien, jai rapidement mouillé, la culotte a été retirée les
jambes écartées jétais en première ligne , la bouche de cette femme sest collée a
moi , fantastique cette langue agile aidée par les doigts nen finissaient pas de
mouvrir, jai décollé deux fois puis sa bouche retirée elle a seulement laissé ses
doigts , tout ses doigts , mes parois sécartaient , la partie la plus large de sa
main était au seuil de ma craquette , cétait tellement bon que je me suis relâchée et
.
lèvres, même deux queues ne mouvraient pas autant !
Le poignet a commencé à tourner, les doigts grattaient mes parois comme cinq petites
verges, un liquide giclait hors de moi de façon inépuisable, je les entendais rire et
faire des réflexions : regarde là pisser cette salope de chatte, jamais elle na
mouillé autant avec moi ! - elle est comme moi quand ont la fist ta copine : femme
fontaine ! Continue à me baiser en levrette !
Le salaud ! Il baise la femme en même temps quelle me fait jouir, jétais à un stade
de décontraction telle que la main entrait et sortais entièrement sans peine
provoquant des bruits monstrueusement jouissifs, Maria hurlait de bonheur, ma mouille
giclait à plusieurs mètres, mes lèvres étaient tellement distendues quon ne les
distinguait plus, je ne me souciais même pas si je pourrais reprendre un aspect normal
après un tel ravage cétait si bon !
Un moment après la queue du copain est venue me voir, il sest engouffré entièrement
sans que je ressente quoique ce soit elle ne touchait pas les bords ! Il pestait après
Maria comme si cétait sa faute, nempêche quil était tellement excité quil ma
barbouillée rapidement
Après cette expérience Maria allait se promener dans des endroits ou elle savait
trouver des femmes et des hommes prêts à me rendre hommage, je ne regrette pas davoir
été rasée, baisée, écartelée, malmenée par des mains, des membres et des objets de
toutes sortes, je méteins doucement
.cest fini !
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