Autobiographie D'Une Verge ...
Cest fini, mon maitre Maurice, âgé de soixante dix ans sort de la clinique ou il
vient de se faire opérer de la prostate, on lui a annoncé que je ne me redresserais
plus jamais, il a longtemps pleuré en se remémorant notre vie bien comblée
Tout bébé je ressemblais a une petite nouille posée sur une petite poche rose, Plus
Maurice grandissait plus je mallongeais, vers dix douze ans je mesurais douze
centimètres, la poche est devenue un sac ou naviguaient librement deux boules dures,
des poils noirs et frisés sont apparut, il tirait sur moi comme si jétais un
élastique puis un jour au lieu de tirer sur ma peau il la retroussée, je me suis mis
à enfler, enfler, enfler !! Mon bout est devenu tout rouge, la peau coincée derrière
ce bout cramoisi ne pouvait plus repasser dessus tellement il a grossi, paniqué il ma
manipulé davant en arrière pour recouvrir mon gland mais ça ne marchait pas et ça me
faisait un tel bien que jai craché une belle quantité de liquide blanchâtre par à-
coups, comme par enchantement jai désenflé, il venait de découvrir la branlette !
Après cette expérience, tous les jours enfermé dans sa chambre il me caressait
fougueusement jusqu'à ce que je crache dans un mouchoir!
On dit que le gland dun homme a plus de neurones que le crane ce qui le pousse à
forniquer a la moindre alerte ! pour ma part cest ce que je faisait, doté de ce sens
dés que je sentais une occasion propice je manuvrais Maurice qui a commencé à
regarder les filles différemment, une fois il a attiré une petite voisine dans sa
chambre il là obligée a me toucher jai adoré ses doigts menus sur ma peau satinée,
jétais raide comme jamais, ce qui devait arriver arriva jai vomis dans sa main, elle
a crié puis par curiosité a senti cette étrange crème, trouvant lodeur a son goût la
pointe de sa langue a léché cette sauce épaisse avant den aspirer la totalité
contenue dans le creux de sa main, depuis elle avale directement a la sortie de mon
gland
Un jour après mavoir sucé elle lui a demandé de lui lécher ce quelle avait entre les
cuisses, a quoi ça pouvait ressembler chez une fille ? Je lai su très vite, elle
était allongée cuisses ouvertes, un tapis de poils recouvrait tout jusque dans les
aines, pas de zizi qui dépasse comme moi, elle a écartés ses poils une fente rose est
apparue ça brillait dhumidité, mon propriétaire ma approché de ça jétais raide
comme du bois, mon nez a frotté longtemps sur cette fente humide avant doser aller
plus loin, je me suis sentis enveloppé par la peau veloutée complètement dans le noir,
jai buté sur un obstacle tendu comme une toile daraignée, la fille sest crispée la
membrane a cédé, toute ma longueur a glissé dans cette caverne visqueuse et brulante
cela me faisait un bien extraordinaire de pousser et frotter la parois qui sadaptait
a ma forme, jallais et venais comme un jeune fou grâce aux mouvements déchainés de
mon patron, elle aussi fabriquait un liquide lubrifiant jétais noyé dans un bain
dense que cétait bon de se prélasser dans cette mélasse !
La fille gigotait en tous sens, cétait si bon que je nai pas tenus trois minutes
jai tout lâché au fond de cette gaine étroite, une fois mes bourses vide jai
rétrécis et glissé hors du manchon devenu glissant, je me sentais comme un héros
auquel aucun obstacles ne pouvait désormais me résister ! Je ne désirais quune chose
: y revenir au plus vite !
A dix huit ans Maurice sortait souvent avec un copain, un jour ils se baladaient dans
la campagne jai eu envie de pisser, rien de plus normal, mais ce qui nétait pas
normal cest que ce nest pas sa main qui me tenait mais celle du copain et il se
laissait faire le Maurice !! Par malice ou par désir sexuel la main ma masturbé
évidement jai grossit, ils riaient et soudain le copain ma embouché, là jai
découvert quun homme suçait mieux quune femme, la langue savait ou appuyer et
insister, je me suis laissé aller a gros bouillons dans la gorge avenante
Mais je nétais pas au bout de mes surprises Maurice sest mis a genoux, le cul bien
cambré je pendais lamentablement vers le sol, son copain vicieux est venus lui lécher
le trou qui me côtois, un doigt lubrifié par de la salive est entré, puis deux, et la
queue du copain a investit les lieux, il bousculait ma prostate comme une queue de
billard laurait fait sur une boule ce qui a provoqué chez moi une érection sans
laide de mains, jai même arrosé le sol ! Moi qui croyais quil était attiré
uniquement par les femmes jai déchanté !
Peut après une fille sétait jointe a eux dans une chambre, les garçons ont commencé à
la caresser nue, jétais gonflé prêt a dans ce slip étroit heureusement que
la main de cette audacieuse ma libéré pour jouer avec moi et ma délicieusement sucé,
le copain se disputait la place, je passais de bouche en bouche avant déjaculer sur
leurs visages, puis la fille a enjambé Maurice, la fente graisseuse ma engloutit,
jétait a mon aise dans cette chatte quand un autre membre qui ne pouvait être que
celui du copain ma poussé sur le coté pour venir lui aussi dans la caverne , frotter
contre une autre queue était plutôt jouissif dailleurs jai tout lâché rapidement !
Pour ma part je me serais bien arrêté là mais une heure plus tard la fille une fois
reposée nous a masturbés a nouveau
.
gland
.. A quatre pattes elle présentait outrageusement son illet gonflé, donc jen
ai déduit que les filles malgré le trou prévu pour laccouplement aimaient aussi se
faire sodomiser ! Maurice me serrait dans sa main et me poussait à pénétrer cette
cible bizarre, et comme on dit : une fois que la tête est passée les épaules passent !
Entièrement comprimé dans ce boyau étroit et
. quand même plus odorant que le vagin
je pistonnais allégrement quant lautre est venus me rejoindre mais par la chatte
et a travers la parois il coulissait sur moi ! la fille hurlait de joie, mais le
terrain était tellement devenu marécageux quil est sorti complètement, quand il a
voulus re-rentrer dun coup la queue a dérapé
cest avec moi qui sest engouffré !
elle gueulait quil fallait quil se retire de son cul que ça lui faisait mal mais il
a insisté et cest elle qui a la fin sembrochait sur nous, cette fois jai tenus le
coup ! lautre après mavoir copieusement arrosé de son sperme ma laissé toute la
place ,jétais aux anges ça glissait comme sur une patinoire ! elle ronronnait de
bonheur et demandait a Maurice de ne pas sarrêter mais toutes les bonnes choses ont
une fin et a mon tour jai bavé dans le conduit qui est resté ouvert longtemps après
mon départ
Quand jai découvert que Maurice était a voile et a vapeur jai été déçus je préférais
quand même une bonne vulve a un trou masculin ! Mais je navais pas le choix ! Il
fréquentait les lieux de rencontres saunas boites de nuit, cinémas, bois, ou il savait
trouver hommes, femmes, couples, il répondait a ceux qui lui faisaient des réflexions
: - ça ne suse que dun millimètre tous les cent ans ! Nempêche que des
blémoragies jen ai eu ma part !! Est-ce lié avec la maladie qui lui a rongé la
prostate ? Toujours est-il que je me recroqueville dans ma coquille A JAMAIS
.
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