Leslie Ar22

Leslie AR22 - Les confessions d’Hélène, suite

« Aux vacances suivantes, le couple de nos amis du soir de mon initiation à la
sodomie, nous proposa d’aller passer nos vacances avec eux, dans un centre naturiste
dans les Landes, nous n’avons pas hésité et avons accepté.
Nous avons été accueillis par nos amis qui avaient loués un grand bungalow pour deux
couples, et évidemment, ils nous ont accueillis tous les deux nus.
Nous avons fait comme eux, car sitôt arrivés nous nous sommes mis nus. Ils nous ont
aidés à nous installer et à ranger nos affaires dans le bungalow. Ensuite, Roger a
ramené notre voiture au parking, la circulation des véhicules n’étant autorisée que
pour le départ et l’arrivée et ainsi préserver la tranquillité de tous.
Nos amis en couple depuis quatre ans, ils étaient un peu plus vieux que nous, lui
avait vingt-huit ans, il se prénommait Mathieu et elle avait vingt-trois ans et se
prénommait Claire.
Physiquement fins, adeptes de courses à pied et de vélo ils s’entretenaient et avaient
des corps bien proportionnés.
Lui blond aux yeux bleus, les muscles bien dessinés, le corps dépourvus de poils, il
avait un sexe long et fin, elle une blonde aux yeux verts, le corps légèrement
androgyne aux petits seins et aux hanches étroites, le sexe glabre aux lèvres fines
bien dessinées et légèrement proéminentes.
Une fois installés, nous avons ensemble bus un apéritif, pour notre bienvenue et je me
suis tout de suite sentie à l’aise avec eux et aussi dans ce camp, ou tout le monde se
saluait et respectait l’intimité d’autrui.

Ensuite après l’apéritif nous avons dinés, un repas délicieux préparé par Claire,
cette première soirée nous donna l’occasion de mieux nous connaitre encore, le fait
d’être nus y était certainement pour quelque chose. D’ailleurs à la fin du repas la
conversation se porta sur nos différentes anatomies et chacun y alla de ses
compliments pour l’un ou pour l’autre.

Claire et Mathieu parlèrent de leurs expériences échangistes et nous avouèrent que nos
ne les laissions pas indifférents, c’est Claire qui en parla volontiers de façon plus
précise en disant :
- Depuis le temps que nous nous connaissons, il est vraiment étonnant que nous
n’ayons encore jamais basculé ensemble…
- Tu sais, répondis Roger, il ne faut jamais présumer de ce qui peut arriver !
- Dois-je comprendre que vous ne seriez pas contre le fait de partager notre
couche, demanda Claire les yeux brillants.
- Laissons nous guider par nos désirs et nous verrons bien ou cela nous mène,
dit Roger.
Après s’être souhaité bonne nuit, nous sommes partis nous coucher, le voyage nous
avait un peu fatigués et nous avions le temps pour concrétiser cette éventuel échange
de partenaire.
Roger, ce soir-là, m’a fait l’amour comme une bête, certainement excité par les propos
de la soirée, mais je dois avouer que j’étais moi-même bien humide en me couchant.
Roger me sodomisa à ma demande et nous jouirent en silence.
Alors que nous reposions, peu de temps après avoir fait l’amour, nous entendîmes
Claire hurler son plaisir dans le silence de la nuit, cela nous excita et Roger me
refit l’amour de façon plus conventionnelle.
Avant de nous endormirent, il me demanda :
- Ça te dirait une partie avec eux ?
- Pourquoi pas, lui dis-je.

Le lendemain fut une journée de farniente, partagée entre la plage et le bronzage,
nous sommes rentrées avec Claire préparer le diner, laissant les hommes à une partie
de volley sur la plage.
C’est pendant que nous préparions le diner, alors que j’étais près de la paillasse
occuper à laver la salade, que Claire est venue dans mon dos se coller contre moi en
me disant à l’oreille :
- Tu me plais et j’ai envie de toi !
Le corps collé au mien elle prit mes seins dans ses mains et commença à me les
caresser, très vite mes pointes s’érigèrent et troublée je me suis laisser aller, j’ai
sentis une main descendre le long de mon ventre et trouver mon pubis, ses doigts
écartèrent mes lèvres et elle me dit :
- Mais tu es toute trempée !
Je ne pouvais parler, sa main me procurait tant de plaisir, même si j’avais eue dans
ma jeunesse une amie avec qui nous avions échangé des caresses, pour la première fois
de ma vie je me faisais masturber par une femme, qui en plus savait y faire.
Ses mains m’ont caressées de façon de plus en plus précise, ses doigts sont devenus
inquisiteurs, et quand elle un de ses doigt rentra dans mon anus je ne pus que sortir
de ma gorge un :
- Ohhh !
Claire me fouillait sans vergogne bien décidé à me faire jouir, mon clitoris était mis
à rude épreuve et mon petit trou visité de façon indécente, je l’entendis me dire :
- Je suis certaine que ce petit trou est visité souvent, il s’ouvre sans
difficulté, tu es une petite vicieuse ma chérie.
- Ohhh, oui, claire chérie.
Mon orgasme m’emporta et me retournant promptement elle posa ses lèvres sur les
miennes pour boire mon cri de jouissance.
Puis elle m’entraina sur la table de la cuisine et me couchant en travers elle me
prodigua un cunnilingus, encore une première pour moi, elle but ma jouissance et me
demanda de lui en faire autant, encore une première.
Je l’ai faite jouir de ma bouche et j’ai bu son nectar, en nous séparant elle me dit :
- Maintenant nous sommes amantes !

Quand nos hommes rentrèrent, la table tait mise et nous avons diné, je suis certaine
qu’à cet instant Mathieu se doutait qu’entre Claire et moi, il s’était passé quelque
chose, mais il n’en fit pas mention, se contentant de me regarder avec plus
d’attention que la veille.
Roger s’en aperçût et me fit un clin d’œil. A la fin du repas Mathieu nous proposa de
passer un film pour mettre de l’ambiance en disant :
- Un petit film de cul entre adultes consentants ne nous fera pas de mal…
Dès les premières images, nos esprits s’échauffèrent, assise dans le canapé entre
Claire et Mathieu, je regardais les images défilées en sentant mon sexe s’humidifier.
Roger dans son coin commençait à bander et le regard que jetais Claire sur son membre
en train de se redresser et grossir devait lui faire aussi de l’effet.
La main de Mathieu vint se poser sur ma cuisse et me fit frémir, je regardais Roger
qui avait vu la main de Mathieu se poser sur ma cuisse et d’un mouvement de paupières
il me fit comprendre de laisser faire.
Claire entretemps se mit à se caresser outrageusement la vulve en fixant Roger dans
les yeux, puis n’en pouvant plus elle se rua sur son sexe pour le prendre entre ses
lèvres.
Ce fut le déclic qui démarra notre première soirée d’échangistes, Mathieu remonta sa
main et commença à me caresser la vulve, trouva mon clitoris érigé sortit de sa
protection et le titilla pour faire monter mon plaisir.
Puis il me fit allonger dans le canapé et s’installa au-dessus de moi en soixante-
neuf, proposant son sexe long et dur à mes lèvres, tandis qu’il prenait possession de
ma chatte.
Ce ne fut par la suite que gémissements, Claire se faisait prendre par Roger assis
dans le fauteuil et elle le chevauchant en disant :
- Ohhh, qu’il est gros, ohhh que c’est bon.
De son côté Mathieu m’ayant installé à genoux dans le canapé me prenait, lui debout,
par derrière en me tenant par les hanches.
Son sexe long butait à chaque pénétration au fond de moi et m’emportait toujours plus
loin dans la jouissance, cette nouveauté de me faire prendre devant mon homme
décuplait ma jouissance et je ne fus pas longue à hurler le plaisir qui se rependait
dans mon corps.
Puis n’ayant pas jouit, il m’installa dans le canapé face à lui, le cul relevé
outrageusement et les jambes sur ses épaules et me posséda ainsi, son sexe allait
vraiment complètement au fond de mes entrailles et les orgasmes se succédèrent me
faisant hurler de plaisir.
Roger, derrière Claire, installée à genoux dans le fauteuil et la tête reposant sur le
dossier, la préparait à une sodomie. Il lui lécha le trou du cul humectant
copieusement sa rondelle de salive, puis il l’encula la faisant hurler de bonheur.
La soirée fut longue, nos hommes après avoir jouit en nous se reposèrent un moment en
nous regardant nous gouiner avec Claire, puis ayant retrouvé leur ils nous reprirent
chacun à leur tour nous baisant et nous sodomisant selon leur humeur.
Nous buvions à chaque occasion et un peu saoule, je ne me souviens plus combien de
fois je me suis faite posséder et enculer, mais quand je me suis endormie, j’avais le
cul en feu… »

A suivre…