Pause Déjeuné
Ton téléphone vibre. Tu sursautes. C'est un SMS : "je t'appelle dans 5 minutes, sois
dispo !". Aie, tu n'avais pas prévu que je t'appelles aujourd'hui. Lexcitation se
mêle à une certaine peur. Tu sais que je peux te demander n'importe quoi...
Tu t'arranges pour être seule et tranquille. Ton téléphone sonne, tu décroches sans
hésiter.
- Bonjour toi, en forme ?
- Oui, ça va, et toi.
- Parfait. T'es habillé comment ?
- (Petite voix) Jean, Tee-shirt, chaussures plates.
- Aie. Ça va te coûter cher ! J'imagine que dessous c'est à l'avenant ?
- Oui...
- Et tu as mon rosebud ?
- Oui dans mon sac.
- Tu rigoles, tu crois que je te l'ai offert pour que tu l'enfouisses au fond de ton
sac ?
- ...
- Alors écoutes moi : tu vas aller chercher ton rosebud, tu vas aller aux WC, tu te le
mets, t'en profites pour enlever ta culotte et ton sous-tif. A midi je passe te
prendre.
- Oui
- A tout à l'heure.
Une fois raccrocher, tu retournes à ton bureau, tu prends ton sac, direction les
toilettes. Une collègue te demande "ça va ? tu as l'air toute chose". Machinalement tu
réponds "Oui oui", mais au fond une petite boule se pointe. Tu sais qu'à 10h tu as une
réunion avec ton chef et 2/3 autres cadres. Sans culotte et avec un rosebud dans le
petit trou c'est déjà pas facile, mais sans soustif tu sais que tous les mâles en
présence n'auront d'yeux que pour tes tétons.
Mais impossible de passer outre, tu sais que tu n'arriverais pas à me mentir. Et puis
surtout tu adores ça, susciter lexcitation autour de toi.
La fin de matinée approche. La réunion est passée tant bien que mal. Ton minou palpite
a chacun de tes pas. Tu sors, je t'attends à la sortie. Sans un mot tu me suis.
Au premier hall d'immeuble, je te prend par le bras et t'attire à l'intérieur.
bouche trouve la tienne. Je te souffle "Bonjour ma belle". Puis je te retourne face au
mur. Mes mains se posent sur tes seins. Je sens tes tétons bien tendus. "Bien,
vérifions en bas maintenant...". Mes mains glissent, je fais sauter ton bouton de
jeans. Une main devant, une autre derrière, l'assaut provoque chez toi un sursaut, tu
pousses un petit cri. "Et bien ma cochonne, t'es prête à ce que je vois, mais va
falloir un peu patienter, j'ai réservé une table avant"
Nous ressortons dans la rue. Direction le resto. En chemin tu me racontes ta réunion.
Ton excitation monte encore d'un cran.
Au resto on a une table à l'écart. Je n'arrête pas de te titiller. Avant de partir je
te dis "Je vais payer, en attendant tu vas aller aux toilettes. Tu enlèves ton
rosebud, tu me le ramènes. Mais à la place tu mets ça !" Et je te tends un petit sac.
Je t'empêche de regarder dedans.
Tu te diriges vers les WC. Tu fermes la porte et tu baisse ton jeans, tu enlèves tout
doucement ton rosebud. Puis tu ouvres le sac et tu découvrent de belles boules de
geicha, d'une bonne taille. Tu te demandes si elles vont renter ? Tu te cambres un
peu, tu présentes la première, tu appuies dessus doucement, elle s'enfonce. Arrivée au
milieu tu grimaces un peu, donne une dernière poussée avec le doigt et, magie, la
boule disparaît. Tu recommence avec les 2 suivantes, tu te dépêche un peu pour ne pas
te faire gronder. Cette fois elles y sont toutes. Tu refermes ton jeans. Ton premier
pas est un supplice, tu gémis et te dis que tu n'arriveras pas à marcher sans éveiller
les soupçons. Mais tu es fortes, tu me rejoins l'air juste un peu plus crispé qu'à
l'habitude.
Je t'embrasse et souhaitons bonne journée à la compagnie.
Une fois dans la rue, tu me confies ton trouble. Heureusement nous ne sommes pas loin
de chez toi.
dans l'ascenseur.
La porte a peine refermer je t'arrête : "Déshabilles-toi !" Tu ne te fais pas prier.
Une fois nue devant moi, je te tourne afin de voir ton cul. Magnifique ! "Mets-toi à
quatre pattes !" Tout doucement tu obtempères. "Bras à plat, visage contre le sol !"
Ainsi, les fesses pointées vers le ciel, je te regardes. Le petit anneau attaché au
fil des boules de geicha pendouille gentiment contre ta chatte.
Je passe à côté de toi et je vais masseoir dans le canapé. "Viens ici, à quatre
pattes, et n'hésite pas à tortiller des fesses !" Tu relèves la tête mais sans lever
les yeux. Tu avances doucement et tu n'as pas beaucoup à te forcer pour remuer les
fesses, les boules t'y aident beaucoup. Tu arrives devant moi et tu t'arrêtes.
"Regardes moi !" Tu lèves les yeux, je me penche et t'embrasse goulûment. Je me
redresse et fais sortir ma bite déjà bien dure. "Manges moi mais sans les mains !" Ta
bouche experte avale mon sexe, ta langue commence ses mouvements de succion, ta tête
monte et descend, vite, puis doucement. Je pose ma main sur ta tête et la maintiens,
mon sexe est entièrement dans ta bouche. Je te tiens ainsi quelques secondes, puis je
relève ta tête d'un coup en tirant sur tes cheveux. Je te regardes, tu est tout
simplement belle ainsi, la bouche grande ouverte pour reprendre ton souffle, un peu de
bave te relie à mon sexe.
Je me lève et repose ta tête sur le canapé. J'att une corde et un foulard. Je
t'attache les bras dans le dos et te masque les yeux.
Puis je me déshabille, maccroupis derrière toi. Sans prévenir ma langue plonge dans
ton sexe, aspire ton clito. Tu jouis ! Avec mon doigt je tiraille un peu sur l'anneau
des boules de geichas. Tu jouis encore.
Je me relève et je te pénètre.
fil disparaître dans ton petit trou. Je commence mes mouvements, et en même temps je
tire un peu plus fort sur le fil. La première boule se présente. J'arrête de bouger,
tire encore sur le fil, la boule arrive au milieu, et hop elle sort d'un coup, et dans
la même seconde je redonne un coup de rein. Je continue ce petit jeu jusqu'à ce que
toute les boules soient sorties.
Une fois ton cul libéré, je te fais basculer. Tête en bas, tes fesses en appuie sur le
canapé, tes jambes de chaque côté de ta tête. Ton petit trou bien ouvert me fait des
clins d'oeil. Je t'encule sans autre forme de préparation. Tu jouis à nouveau. Tout en
défonçant ton petit cul, je branle sévèrement ton clito. Je finis par éjaculer à
lorée de ton trou.
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