Club Des Cinq - Denise 3

En fait ce fut une semaine de rêve… j'avais l'impression de l'avoir passée à baiser….
Quelle déconvenue ensuite… un lundi triste et morose avec la seule masturbation pour
tromper mon ennui. Au bout de trois ou quatre jours je commençais à me calmer…
heureusement. Notez bien, mon mari en profitait largement le soir car je ne lui
laissais pas de répit et comme il se montrait à la hauteur… tout allait bien dans le
meilleur des mondes. Sauf qu'en discutant, il finit par m'avouer qu'il aurait bien
aimer me voir me faire sauter par son copain… genre : il film porno en "live". Bien
que de prime abord saugrenue, l'idée ne me choqua pas trop et s'insinua en moi. J'y
repensais le lendemain et finit par trouver cette expérience intéressante. J'en fis
part à mon époux. Comme à l'accoutumée Joël n'eut aucun mal pour la mettre en scène et
me proposa un scénario. Comme Serge devait passer se faire régler la facture des
travaux, je n'avais qu'à lui téléphoner en lui demandant de venir beaucoup plus tôt et
de me faire l'amour avant l'arrivée de mon mari. Lui, caché, pourrait ne rien rater du
show. Je n'eux aucun mal à convaincre Serge, son ego et son orgueil de mâle s'en
trouvèrent confortés lorsque je lui murmurait que sa queue majestueuse me manquait
terriblement au point que je rêvait la nuit…. Rendez-vous fut fixé et je jour J, à
l'heure H, j'étais nue attendant mon amant. Mon époux s'était éclipsé et reviendrait
plus tard en silence et en catimini.
Serge me sauta dessus, lui aussi avait une farouche envie de moi et nous commençâmes
par un soixante neuf torride. Lui étant en dessous, n'avait pas fait attention au
léger craquement d'une des marches de l'escalier. Le visage masqué par mon sexe, qu'il
léchait copieusement, lui cachait aussi la silhouette de Joël dans l'embrasure de la
porte. Voyant cela j'en profitais pour en rajouter priant Serge de me mettre, de me
tirer, de me défoncer la chatte avec son énorme bite, que je la voulais, que j'en
avait envie, etc….

n'en pouvant plus il me fit mettre en levrette et fit exactement ce
que j'avais demandé…. Il se mit à me baiser impitoyablement…quand soudain….
Quand soudain… une voix me fit… nous fit sursauter. Bien sûr c'était celle de Joël,
mais d'après ce qui était prévu il devait se contenter de jouer les voyeurs. Au lieu
de cela, il intervenait :
"Alors !... on ne s'ennuie pas ! Ma femme et mon meilleur ami quel tableau !"
Je sentis Serge débander quelque peu. Sûrement, Joël avait prévu cela car très vite il
continua.
"Ne t'inquiètes pas mon vieux ! Je suis au courant de tout depuis le début. C'est même
moi qui ai demandé à Denise de te brancher. Ne t'arrêtes surtout pas, le spectacle est
magnifique et puis, Denise aime tellement que tu la baise ! Crois-moi elle ne tarit
pas d'éloge sur ton savoir faire !"
"C'est vrai cochonne ce que dit Jo ?"
"Oooo ouiiii Serge !"
"Depuis le début tu lui racontes tous ?"
" ouiiii Serge….ooooh…encore !"
"Ça alors ! Vous me la jouez après avoir tout manigancé ?"
Un double "oui" répondit à sa question. Après un bref instant d'incertitude il se mit
à me posséder à coups de rein rageurs. Son érection était de nouveau parfaite et il se
remit à l'ouvrage avec la fougue que je lui connaissais. Par contre la surprise vint
encore de Joël. Pendant tout ce dialogue il avait contourné le lit pour se retrouver
face à nous. Je devrait plutôt dire face à moi car, tout en causant il me fixait en
touchant son entrejambe. Avec surprise, posément, je le vis dégrafer son pantalon et
le baisser. Il nous rejoint sur le lit queue tendue face à mon visage et ordonna :
"Allez, ma petite salope adorée, suce ton mari pendant que tu te fait fourrer par son
pote !"
Il poussa sa pine vers l'avant au contact de mes lèvres qui s'arrondirent pour lui
ouvrir le passage. Pour moi, il fut évident d'accepter cette nouvelle expérience…
m'occuper de deux hommes en même temps.
Ce fut un moment que je ne suis pas prête
d'oublier. Novice en matière de pluralité, je me laisser aller au rythme de Serge. A
chacun de ses coups de boutoir, j'engloutissais le sexe de mon mari. Ma fellation
était soumise à l'allure de sa pénétration sans que j’aie beaucoup de répit puisque
lorsque que le vit de Joël s'échappait de ma bouche, il me prenait par les cheveux
pour me la faire ré ingurgiter. L’orgasme vint vitre, presque trop vite. J’aurais
voulu encore que mon excitation monte encore d’intensité pour hurler (si j’avais pu)
ma jouissance. Joël, lui aussi, vint vite vraisemblablement trop sous pressions pour
tenir. Je me rendis compte du pied qu’il avait prit en me regardant car son
éjaculation fut beaucoup plus copieuse qu’à l’accoutumée. Serge lui aussi arriva en
bout de course et jouit en me traitant, non plus de cochonne comme il le faisait
habituellement, mais cette fois de salope. Mentalement je notais cette progression
dans l’échelle des valeurs masculine. Tous trois un peu essoufflés nous reprîmes nos
esprits et en nous regardant… nous éclatâmes de rire et Serge y alla de sa boutade :
"Le plus trompé n’est pas celui qu’on pense !" proféra-t- il.
Puis il s'excusa au près de nous deux en disant que les mots avait dépassé sa pensé en
me traitant de salope. Ce fut Joël qui répondit en minimisant et en rétorquant qu'il
n'y avait pas de mal à cela. Il ajouta même :
"De toutes façons, elle adore cela… faire la salope… et qu'on lui dise ! Alors ne te
gênes pas !"
A l'interrogation de Serge, je confirmais.
Mon mari m'indiqua que Serge resterait à dîner et qu'ensuite nous pourrions reprendre
notre "petite conversation" à trois. Il précisa :
"Prépares-nous vite un petit quelque chose à grignoter pendant que je vais régler les
travaux !... et penses à t'habiller un peu !"
Je fus surprise de cette dernière demande.
Comme je le regardais d'un air
interrogatif. Il s'approcha de moi et m'embrassant dans le cou, me murmura :
"Juste un porte-jarretelles et des bas se sera suffisant !"
J'avais comprit… Joël voulait que je sorte le grand jeu à son copain. Il tenait à lui
offrir sa femme telle que lui en raffolait… style vraiment salope…. Aussitôt dit
aussitôt fait je filais à ma chambre raflait la tenue limitée qu'il avait choisit et
gagnait la salle de bain pour me recoiffer et me maquiller. Serge n'avait pas tout
vu…. Dans cette tenue et apprêtée de la sorte j'étais certaine de lui plaire et que
son érection allait être la juste récompense de mon effort. Juchée sur mes talons
aiguilles je regagnais la cuisine. J'entendis les deux hommes revenir au salon et je
fis mon entrée….
Les yeux de Serge s'arrondirent et le compliment fusa :
"Ah la vache !... tu es sublime !... bandante à souhait !"
De fait sa virilité fut agitée de soubresauts prometteurs. Mon chéri me demanda :
"Tu sais Serge nous à fait une belle réduction sur sa facture, sers-nous donc l'apéro
Denise !... pour fêter cela !"
"C'est la moindre des choses !" répliqua Serge et il enchaîna subtilement :
"Je ne pouvais quand même pas faire payer plein pot à un ami, dont je défonçais celui
de sa femme tous les jours !"
L'hilarité fut générale devant cette boutade si spirituelle…
Comme demandé je me mis à servir l'apéritif en laissant bien soin de laisser pendre
mes gros seins sous yeux lorsque je me baissais pour servir et lorsque je leur
tournais le dos, toujours penchée en avant que ma vulve et ma raie soit bien à la
hauteur de leur regard. Je les avais si bien allumés qu'ils bandaient ferme quand je
m'assis entre eux. Délaissant un peu les amuse-gueules, leurs mains préférèrent
s'amuser avec mes seins qu'ils pressèrent, triturèrent, léchèrent et sucèrent à qui
mieux-mieux.
Je leur proposais de les pomper à fond. Une double ration de foutre
aurait avantageusement remplacé mon apéritif. Ils refusèrent préférant se réserver.
Bons princes quand même ils me laissèrent les sucer un peu alternativement. Nous
prîmes ensuite la collation que j'avais préparée. Là encore, encadrée par les deux
hommes, je fus généreusement caressée. Pendant que je desservais, j'entendis Serge
complimenter mon mari :
"Quelle soirée… mon vieux ta femme est super ! Et en plus Denise à un cul magnifique
!"
"J'espère que tu vas lui prendre devant moi ! Elle m'a raconté comment tu la
bourrinais ! J'aimerais voir çà !".
"Pas de problème mon vieux ! Si cela peux te faire plaisir… je ne pense pas que cela
déplaise à Denise … et moi je suis toujours partant pour une telle paire de fesses !".
Ma mine gourmande conforta les deux hommes. Je me ré assis. De fait un petit quelque
chose de plus fit son apparition dans leurs attouchements fureteurs. En plus de ma
chatte copieusement doigtée auparavant, ma rosette fut la cible de leurs attentions
envahissante. Comme elle ne demandait qu'à être sollicité pour s'ouvrir….
La suite se passa au salon. Priée de me mettre en levrette sur le canapé, je laissais
Serge maître des opérations. Il débuta par une feuille de rose bienvenue afin de me
lubrifier la rondelle puis un à un ses doigts s'infiltrèrent dans le but avoué de
distendre mon muscle et d'offrir un cul le plus ouvert possible à la pine qui allait
le remplir. Trois des gros doigts de Serge firent parfaitement leur office pendant que
Joël jouait les voyeurs. Il put se régaler car mon amant ayant retiré ses doigts
présenta son gros gland contre mon anus devenu accueillant. Il poussa, le gland passa
sans problème et le reste de la tige s'enfonça lentement (mais sûrement) entre mes
reins pour ne stopper que lorsque son ventre s'abuta à mes fesses et les burnes à mon
sexe. Histoire de marquer un petit temps d'arrêt Serge fit remarquer ma propension à
"prendre du rond" si facilement. Il sen étonna un peu. Mon cher et tendre répondit
brièvement que "j'avais toujours aimé ça". Il conclurent tous deux que plus l'engin
serait gros plus j'aimerais. J'abondais dans leur sens.
Comme il l'avait fait tout à l'heure, Joël me présenta son sexe à sucer. La posture
reprit comme auparavant sauf que cette fois j'étais sodomisée. Au bout d'un moment
Serge proposa :
"Dis donc Jo !... tu veux qu'on la prenne à deux… en sandwich ?"
Ce dernier sauta… sur l'occasion en indiquant qu'il avait toujours rêvé que je sois
prise ainsi. Serge remercia pour cette première. Pour ma part, je n'avais pas
d'objection. Pour avoir vu cette scène de nombreuses fois dans des films porno et
avoir testé deux godemichés ou le sexe de Joël plus un god dans l'un des deux orifice
laissé vacant, inutile de dire que j'étais partante pour subir cette double
pénétration en réel. Doucement Serge se libéra du douillet étui ou il se trouvait.
Joël s'assit sur canapé. Je m'agenouillais de part et d'autre de lui, prit sa pine et
l'enfournais dans mon vagin surchauffé et prit bien mes aises pour qu'il me pénètre
bien à fond. Ensuite, je l'embrassais voracement et lui demandais (bien que
connaissant d'avance la réponse) :
"ça te plais, hein cochon ?"
"Oh que oui… prépares-toi Chérie, ce bon Serge va t'en mettre plein le cul !"
Ce fut lui qui me prenant une fesse dans chaque main, me les écarta, offrant l'entrée
de mon orifice, en principe le plus intime, à son ami. Écrasant mes seins contre lui,
je me cambrais au maximum pour faciliter le travail de Serge. Il se positionna contre
mon anus bien assoupli et commença à me pénétrer à son tour. Il prit son temps,
laissant mon intimité s’adapter à la taille de sa queue, et peu à peu s’enfonça en moi
facilité en cela par Joël qui avait stoppé ses va et vient, et devait son membre
glisser contre le sien de l’autre coté de la mince paroi qui séparait les deux
orifices jumeaux.
La sensation fut très particulière de sentir cette énormité prendre toute la place
restante. Il ressortit, puis me pénétra à nouveau… m'écartelant me laissant empalée
sur les deux bites qui lui fendent en deux. Joël reprit progressivement ses va-et-
vient, en alternance avec Serge. De temps à autres mon mari délaissait ma taille et
mes hanches où il s'agrippait, pour me malmener les nichons. Je les encourageais à me
pistonner par mes râles de plaisir :
"Oohhhh… ouhhh…ouuuiiii c’est bon !… c’est trop bon !"
"Ah ce cul !… il est bon ton cul Denise … !" criait Serge.
"Oohhhh… je vous sens… c'est trop… ! Oohhhh …sentir vos deux sexes en moi !"
Pour la première fois, je me faisais prendre par deux mâles à la fois, me laissant
aller à des pulsions encore inconnues pour leur plus grande joie. Je prenais un pied
pas possible, en redemandant sans cesse, en m'offrant comme la dernière des traînées :
"Ooouuuiii donnez moi tout... encooooore ! Oh Chéri baises-moi… Ouiiii Serge, toi
aussi… prends-moi le cul…. Je suis votre salope… défoncez-moi… je veux être votre
puuuuute !
"On va te faire jouir comme tu n’as jamais joui, cochonne!"
"Oui, faites-moi jouir, faites-moi sentir vos grosses bites !"
Ce soir, je me donnais dans une jouissance totale.
"Qu’est-ce que t’es bonne ma Denise chérie… ! Tu la sens ma queue ?"
"Oui, elle est bien dure… mon Chéri… baises-moi… ! Celle de Serge est dure aussi… il
mencuuuule !
"Tu les aimes nos bites, hein… ? Vas Jo baise-la ta salope de femme ! Allez… jouis ma
belle, vas-y, jouis…"
"Oui, oui… ! Aaaaaaaaah je jouiiiiiiiis
Tous trempés de sueur, soufflant comme des bêtes, sentis ma jouissance monter
inexorablement, les des sexes bien durs profondément planté en moi, le corps pris de
tremblements j'explosais
Quelques secondes plus tard ce fut au tour de Joël, puis de Serge de m'inonder la
chatte et le cul de leur semence, en criant de plaisir.
"Putain, c’est bon… ! Quel cadeau vous m'avez fait… le premier sandwich de Denise !
Qu’est-ce que c’est bon de te baiser le cul "
Les yeux clos, le souffle court, je m'abandonnais
"Vous m’avez donné un plaisir fou, merci Serge… merci Joël mon amour !
Je me penchais vers mon époux et l’embrassait d’un long baiser à pleine bouche, langue
contre langue, avant de faire de même avec Serge.
Nous demeurâmes assis tous les trois un long moment, savourant ce plaisir
Nous en reparlâmes évidemment le lendemain en tête à tête. Je voulus savoir si tout
avait été prémédité. Joël me répondit que non. Tout ce qu'il avait pensé, lui,
c'était nous surprendre et s'inviter à nous rejoindre. Le reste était venu au fur et à
mesure du déroulement de la soirée. Soirée qu'il ne regrettait surtout pas. Il fut
enthousiasme sur ma première double pénétration et mon comportement lubrique. Ce fut
peu de dire que je lui répondis avec exaltation que, assurément, j'avais plus
qu'aimé…. Il conclut :
"Donc…. "
"Donc ?"
"Donc, tu es partante pour recommencer ?"
"Avec Serge ?"
"Oui, avec Serge… ou un autre pourquoi pas…."
"Avec Serge, c'est d'accord. Autrement, ce n'est pas quelque chose qu'on pratique
couramment !
Il eut une moue peu convaincue et tout de suite me proposa le samedi en quinze. Au
début, je biaisais … Comment !... si tôt !... déjà…. Puis prise par mes propres désirs
de renouveler cette expérience extravagante, j'acquiesçais vite à cette malhonnête
proposition. Joël ne s'en tint pas là, et pour ne pas laisser retomber la mayonnaise,
il me rappela ce rendez-vous tous les jours. En conséquence à mes moments perdus de
femme oisive, que voulez-vous que je fisse… j'y pensais sans arrêts….
Pour être à la hauteur des espérances et des souhaits de mon mari, je lui demandais
quelle tenue je devrais porter. Je me doutais que ce serait léger. La réponse fut
brève et claire :
"Comme une pute !"
Devant mon air incrédule, il précisa :
"Oui, c'est bien cela… comme une pute…. Je veux qu'il n'y ait pas d'équivoque ! Je te
veux salope au dernier degré. Je veux qu'il comprenne en te voyant que tu es là pour
te faire fourrer par tout les bouts. En plus je veux absolument que tu t'exprimes
grossièrement, qu'avec des mots crus. Tu as bien saisi ?"
"Oh oui mon chéri ! Tu veux que ta petite femme passe pour une pute ? Eh bien tu vas
être servi ! Il ne faudra rien me reprocher après, d'accord ?"
"D'accord !"
Ce fameux samedi arriva finalement assez vite. Je savais que Joël adorait me voir
telle une actrice de porno ou telle une prostituée. J'allais me dépasser et lui en
donner pour son argent. Je fis quelques emplettes que je dissimulais soigneusement et
environ deux heures avant l'arrivée de Serge, sur un ton dégagé, je fis :
"Bon ! Je vais me préparer !"
Douche et brushing histoire de donner du volume à mes cheveux. Je passais au
maquillage ensuite. Yeux de biches… non, de salope plutôt !... et bouche de… de
salope, aussi ! Faux cils, yeux agrandis et soulignés, bouche idem… blush sur mes
joues préalablement légèrement poudrées après le fond de teint… voilàaaaa ! …bieeeeen!
Je passais un porte-jarretelles noir et des bas résille. Puis je sortais mes achats de
leur cachette. J'avais acheté une mini jupe ou plutôt une micro jupe jaune citron. Qui
ne cachait que le renfort de mes bas lorsque j'étais debout. Autant dire que lorsque
je m'asseyais… on avait une belle vue sur ma case trésor. Pour le haut j'avais opté
pour un bustier violet, en peau, sans bretelle très ajusté qui s'agrafait dans le dos.
Pour les chaussures j'avais fait fort. Dans un sex-shop par correspondance (vive
Internet) j'avis trouvé une paire de chaussures à plateforme et talon aiguille type
panthère. Leur socle faisait trois centimètres et on arrivait à quatorze pour les
talons (donc onze en réalité). Ainsi rehaussée cette dernière acquisition me faisait
des jambes au mollet bien galbé et une démarche provocante. La démarche contribuait
aussi à autre chose. Mon bustier… s'il était très serré au niveau de la taille, du
ventre et des cotes donnait l'impression que mes gros seins étaient juste posés sur un
balconnet limite. Un ou deux pas et le tressaillement mammaire faisait que l'on
apercevait le haut de mes aréoles brunes… trois mètres et mes tétons étaient à l'air…
six mètres, c'étaient mes seins qui étaient à l'air. En me contemplant (le mot n'est
pas trop fort, tellement j'avais réussit) je me fit la réflexion que je ressemblait
véritablement à une pute. J'allais devoir mettre au diapason. La perspective du la
soirée me faisait déjà mouiller et je pensais que cela ne serait pas trop dur… pari
tenu ?
Histoire de tester je sortis de la salle de bain et descendit. Avant d'entre dans le
salon ou était Joël, je lançais avec ostentation et effronterie.
"Alors mon chéri ! Je te plais ?"
Les yeux de mon époux répondirent pour lui. Il en bégaya presque…. Il me trouva
parfaite… au delà de ses attentes.
"Ma chérie tu es terrible ! Tu vas faire bander Serge comme un cerf… moi c'est fait !"
Effectivement… la bosse en disait long. Histoire qu'il put bien apprécier mon allure,
je me pavanais un peu devant lui. Un claquement de portière me fit stopper mes
évolutions. Bigre, pensais-je, il n'est pas en retard…ça doit presser….
Il sonna. Joël voulut que j'aille lui ouvrir. Lui aussi resta bouche bée.
"Oh ben çà… ben ça alors ! Ah la vache…. Putain la surprise !"
Prenant la pose avec une voue provocante je rétorquai :
"Eh bien, eh bien… tu ne vas pas rester sur la pas de la porte…. Tu vas prendre
froid…. Viens que je te réchauffes…."
Je tournais les talons et me dirigeais au salon. Il me suivit tellement estomaqué
qu'il me pensa même pas à mettre la main au panier….
Les hommes se saluèrent et se laissèrent tomber sur un canapé. J'étais face à eux.
Serge s'adressa à mon chéri :
"Mon vieux Jo ! Elle est terrible ! Plus vraie que nature ! Tu n'as jamais pensé lui
faire faire le trottoir, en vrai ?"
Même s'il l'avait pensé, Joël n'en dit rien. Mais j'en voulais quand même un peu à
Serge pour cette réflexion. Non pas que me choque, mais Joël était assez lubrique sans
que l'on vienne lui donner des idées qui allaient faire on chemin dans son cerveau aux
pensées parfois malsaines.
Il me demanda de bouger dans la pièce et je l'entendis dire à Serge que j'étais, ce
soir, à leur entière disposition pour satisfaire tout leurs désirs et envies sans
restrictions. Histoire de plaisanter comme à son habitude, Serge demanda si cette
disposition n'était valable que pour cette soirée là. Joël répondit laconiquement :
"Et plus si affinités…."
Revenant à des choses plus concrètes, il m'apostropha :
"Allez chérie… à poil !"
Lentement je défis et retirais ma jupe, révélant mon pubis glabre encadré par les
jarretelles noires. Un ou deux tours sur moi-même pour les émouvoir avec la vision de
mes fesses. Puis face à eux je fis quelques mouvements d'épaules. J'avais répété… ces
quelque mouvements permirent à mes lolos de bondir hors de leur maigre cachette.
Jambes écartées je leur tournais ensuite le dos pendant qu'agrafe après agrafes je me
libérais du bustier. Je me retournais ensuite vers eux… prête à l'emploi….
Je les interpellais, j'espère, avec vulgarité :
"Alors mes gros loups… j'espère que vous êtes en forme ! Denise va vous assécher les
burnes… vider vous petites couilles…."
Des grossièretés du genre "fais pas ta maligne salope" ou prépares ton cul sale pute"
firent écho à cette provocation. Serge qui avait reprit…ses esprits en profita pour
demander :
"Excites-nous encore un peu… avant !"
Cuisses semi-ouvertes et bassin en avant, je mis à onduler lascivement devant eux.
Pourtant la main à mon sexe ou me touchant légèrement les seins. Cela leur plut. Il
fallut que je me caresse les nibards en faisant rouler les bouts si sensibles. Sous
leur ordre, il fallut aussi que je me lès lèches. Joël proposa à Serge :
"Tu veux qu'elle se branle devant nous ?"
Proposition retenue et … exécutée. Il me firent mettre sur un fauteuil que je dus
placer face à eux et jambes posées de par et d'autre des accoudoirs je dus commencer à
me titiller le clitoris et non content ils m'ordonnèrent d'ouvrir ma moule et d'y
fourrer mes doigts. Je fis ce qui m'était demandé dans un clapotis révélateur de mon
état. Ce qui ne passa pas inaperçu et je dus me nettoyer les doigts avec la langue.
Joël se leva, quitta la pièce pour revenir muni d'un godemiché qu'il me présenta. Il
remplaça mes doigts dans un va et viens plus ample. Serge fit une nouvelle demande,
explicite également :
"Le cul maintenant !"
Je retirais le god et remontais mes jambes un peu plus pour mieux offrir la vision de
mon (pour peu de temps encore) petit trou. Je léchais un de mes index puis l'enfonçais
en gémissant. Un petit mouvement tournant et hop, je fis de même avec mon second
index. Les deux mis en place j'eus plus qu'à étirer les bords jusqu'à ce que mon
muscle anal soit suffisamment relâché. Un coup de langue lubrificateur sur mon
godemiché, je présentais l'objet dans l'alignement de mon rectum et poussait afin de
le faire pénétrer. Au bout de deux ou trois mouvement d'avant en arrière une
importante longueur avait disparue dans mon conduit anal. Au moins autant qu'un sexe
masculin… plus je crois même…. Je me mis à l'agiter et d'un ton que je voulus vulgaire
je posai cette question :
"Pas envie de prendre la place… elle est chaude…."
"T'en fait pas pour ton cul, il aura sa dose, crois moi ! En attendant… la pipe !...
et gardes on truc dans le fion".
Ça c'était tout Serge….
Je me levais et vint m'agenouiller docilement près d'eux leur faisant signe de se
lever et de venir me rejoindre. Les queues qu'ils avaient mises à l'air pendant ma
prestation étaient bien tendues. Après quelques coups langues pour rendre les glands
bien luisant, invité oblige, j'engloutis la bite de Serge, suçait un peu et passait à
celle de mon mari… et ainsi de suite. Je suçais l'une, masturbant l'autre et
inversement. Je n'oubliais pas non plus les belles boules qui ne demandaient qu'à être
pressées, sucées, gobées. Ils voulurent que j'aille jusqu'au bout de ma pipe. Me
promettant qu'après, il s'occuperaient de moi sans problème tant je les excitais. Donc
puisqu'ils le désirait… je leur fis ce plaisir allant même, sur leur demande jusqu'à
prendre leur s deux pines en même temps dans ma bouche. Ce ne fut pas trop commode
mais j'y arrivais, apparemment pas mal du tout. En fin de course, ils s'arrangèrent
pour tout me larguer dans la bouche, à la suite l'un de l'autre pour que je les
déguste bien. Effectivement, vu les doses… je pus me régaler (de toute façon
j'adore…).
Ils tinrent ensuite parole et m'entreprirent. Joël me fit jouir avec cunnilingus des
plus réussit aidé par Serge qui me suçait divinement et efficacement les seins tandis
que son majeur était fiché bien au fond de mon anus. Vint ensuite l'heure de me
prendre. Pas de conciliabule… directement le sandwich….
Cette fois ce fut l'inverse de l'autre… Serge devant et Joël derrière. La… les
jouissances furent à la hauteur de tout ce qui précéda. Je jouis trois fois dans les
pires grossièretés (je crois) que je n'avais jamais proféré.
Nous fîmes une pose boisson et collation. Très naturellement, Serge me proposa de me
sodomiser à son tour. Evidemment j'étais partante. Me faire enfiler le troufignon par
cette grosse verge et le tout devant mon mari… comment refuser…. Qu'auriez vous fait
mesdames ?
Serge voulut donc que je m'empale sur lui. C'était la première fois que j'allais faire
cela. Les autres fois il m'avait mise…. Assis queue dressée, il m'attendit. Je me
penchais, le suçais un peu et lui tournais le dos. Je me saisis de son membre et le
mis au contact de mon oeillet. Je maintins ma prise pendant que le gainait de mon
fourreau anal. Je remontais… redescendis… remontais… redescendis plus loin… remontais…
redescendis encore plus loin… à fond. Mes jambes en tremblaient et ma respiration
était haletante. Quand ses bras me ceinturèrent et qu'il m'amena en arrière je lâchais
feulement rauque. Est-ce ça qui redonna énergie à Joël ou la vision de mon anus
écartelé autour de la bite de Serge ? Je ne sais pas, toujours est-il qu'à nouveau il
bandait. Serge le vit et luis proposa de venir me prendre la moule. Il ne fit pas
prier et un second sandwich démarra. Il dura plus longtemps, plus en profondeur.
Jusqu'à présent (mais j'étais loin de me douter) je n'avais jamais été enculée aussi
profond (sauf peut-être par mon god tout à l'heure. Deux fois… encore… je pris mon
envol pour des orgasmes peut moins intense, mais plus long, plus "travaillés"…. Les
hommes aussi prenaient bien leurs pieds. Joël, mes mollets sur ses épaules me tenait
les jambes écartées et Serge cramponné douloureusement à pleines mains à mes nichons
me faisait aller en alternance avec mon mari le long de sa trique.
Ils n'avait (je suppose) pas de pratique commune (quoique…) de ce genre posture, cela
n'était que la troisième fois, mais ils se coordonnèrent brillamment et ce jusque dans
leur éjaculation qui fut d'un synchronisme étonnant, abondant et dévastateur….
Cette fois le mari cocu et l'amant comblé étaient out et la pute rassasiée….
Bien sûr, les jours qui suivirent nous reparlâmes de nos récents écarts et une fois de
plus Joël fut surprenant. Serge, me dit-il, avait très envie de me revoir (cela ne
m'étonna pas outre mesure). Je répondis que nous pourrions de temps à autre organiser
une petite "sauterie" comme celle que nous venions de vivre. En fait ce n'était pas à
ça que Joël songeait. Il m'expliqua qu'il aimerait bien que son ami devienne mon amant
et que je le rencontre en dehors de sa présence. Je vus abasourdie par cette demande.
Il m'expliqua que ce n'était pas par altruisme qu'il se monterait complaisant par bien
par luxure. Il tenait absolument à se remettre dans la peau du mari trompé. Enfin,
trompé avec son assentiment et par une épouse libertine qui lui narrerait ses
galipettes en détails et dont il se servirait ensuite. Présenté ainsi….
Présenté ainsi… j'acceptais le manège. Je décidais aussi de corser le jeu. En cachette
je téléphonais à Serge. Au courant de la situation, il fut évidemment impatient
d'accueillir sa maîtresse. Ce que je voulais c'était faire semblant de rien. Comme si
je trompais réellement Joël qui serait informé par Serge quelques jours à l'avance
pour qu'il marine un peu. Nous nous fixâmes rendez vous pour un après-midi de la
semaine suivante. Joël visiblement au courant tourna autour du pot tous les jours qui
précédèrent, mine de rien. Je fus évasive et laconique. Lorsqu'il me demanda, la
veille, ce que je ferais le lendemain, je répondis juste que j'allais faire quelques
courses. Il me posa cette question pour me jauger :
"J'espère que tu ne vas pas vider quelques bourses…."
Ce à quoi je rétorquais :
"Te me connais mon chéri… le contenu est trop précieux pour être dilapidé…."
La situation était plaisante, je savais qu'il savait… que je savais qu'il savait. Je
me rendis donc chez Serge comme convenu et en cachette. En arrivant chez lui, je
commençais par croiser ses deux employés qui évidemment me reconnurent (la
reconnaissance du bas-ventre…) et me firent de grands signes. Serge me précisa qu'il
les avait envoyé sur un chantier éloigné et que nous serions tranquille tout l'après
midi. Ce fut vrai et il me baisai et me sodomisa comme un dieu. Il regretta quand même
ma tenue. Il avait suprêmement apprécié ma tenue de femme de petite vertu. Je lui
répondis que je ne pouvais pas traverser le village ainsi. Joël, lui et moi étions
connus. Il fut dubitatif et trouva vite un palliatif : notre prochain rendez-vous
aurait lieu dans un petit hôtel un peu particulier. De mon avis il s'agirait d'un
hôtel de passe ni plus, ni moins, vu son air polisson. Il m'informa aussi que ces
ouvriers regrettaient d'avoir été expédié ailleurs. Ils regrettaient ma bouche…. il
émit l'idée pour une prochaine fois de les convier à participer. Il promit d'en parler
à mon époux. Là, je n'étais pas trop partante, je n'avais pas envie de me farcir toute
son entreprise. J'étais certaine qu'en en parlant à Joël, ce dernier allait trouver
l'idée excitante et allait me demander d'y soumettre. Je priais Serge de ne rien en
faire. Sa réponse ne me rassura guère. Le soir venu quand Joël rentra de son atelier,
j'avais repris l'apparence de la femme modèle lisse et tranquille. Il ne tenait plus
en place mais ne voulant pas perdre la face il ne voulut rien me demander. Il dut
attendre que nous nous couchions pour que, mutine, je lui narre mon après midi. Nous
nous endormîmes tard, très tard… car mon récit dut être très détaillé et après il
fallut que je satisfasse monsieur, très en forme. Sa conclusion fut qu'il fallait que
je continue car il avait passé un moment terrible à m'imaginer avec mon amant. Je
donnais mon accord à cette demande à la curieuse et terriblement excitante

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