Ma Première Partouze

La gentille réunion entres amis se termine d’une autre façon que prévu. D’abord
j’étais invitée comme amie d’une amie pour des agapes. Je n’avais pas pensé à une
suite imprévue. Presque au milieu du repas, la maitresse de maison annonce bien fort :
- Maintenant nous sommes libres de faire ce qui nous plait.
Je crains le pire quand presque tous les convives crient :
- On peut baiser. Baisons, vite.
Les filles sont plus dévergondées que les garçons.
Je ne suis pas particulièrement bégueule, c’est la première fois que je me trouve dans
de telles conditions. Jusqu’à présent j’étais comme la majorité des gens. Je fais
souvent l’amour, soit avec des garçons soit seule soit rarement avec des filles,
toujours en petit comité sauf une fois où je me suis trouvée avec un couple à jouer
soit aux chandelles soit participante. Les voir s’aimer m’avait excité, j’ai joué le
jeu, je me suis laissé baiser et par elle et par lui ensemble. J’en garde un
merveilleux souvenir.
Comme nous sommes assis par couple, mon voisin de gauche qui semblait avoir une
préférence pour moi se penche pour m’embrasser sur la bouche. Il fait plus que ça, il
passe sa main sous ma robe (je m’étais bien habillée pour l’occasion) commence à me
caresser les cuisses. Un seul coup d’œil me montre que les autres ne sont pas en
reste. Mon amie aussi est avec un beau mec qui l’embrasse dans le cou en lui caressant
les seins : elle semble y trouver son compte. Donc elle devait se douter de la suite.
Je remarque que mon autre voisin a son sexe dehors, sa voisine le caresse lentement
pendant qu’il lui rend la pareille. Jusqu’à présent ce n’est qu’une partie de touche
pipi. Le repas traine au point de ne pas finir, chacun est plus intéressé par la suite
que par l’estomac.
L’hôtesse se lève à moitié nue, avec un homme d’une quarantaine d’années, déjà la bite
bien bandée dehors.

Je regarde le morceau de sexe très gros et large. Je n’en ai
jamais vu d’aussi longue. J’ai maintenant sur mon abricot bien mur la main du voisin.
Il sait bien s’y prendre pour me faire rejoindre les limbes du plaisir. J’ai ouvert
mon compas le plus possible, sa main en profite largement pour assaillir mon puits. Je
ne sais si les autres filles ont la même chance que moi, Je commence à sentir un début
d’orgasme quand il fait aller et venir ses doigts. J’oublie mon plaisir pour chercher
sa bite : j’arrive relativement facilement à la sortir. Il est bien monté, presque
aussi grosse et longue que celle du cavalier de l’hôtesse. J’ai rarement eu affaire à
des queues aussi grosses : je n’en ai jamais été déçue.
Je m’assure de bien la prendre dans ma main, je le masturbe à la même vitesse qu’il me
le fait. Il me semble qu’elle grossit encore plus. Seulement voilà, je ne peux pas
voir une bite sans avoir envie de la bouffer. Je tourne ma chaise pour lui faire face.
Ses doigts ont changé de position, il caresse le clitoris. Je me penche sur sa bite la
bouche ouverte. Heureusement pour lui j’arrive à bien le prendre dans la bouche. Ma
main est juste à sa base, ma langue lèche lentement le tour de son gland : il soupire.
Je dois être une des rares à bien le sucer. Je m’attarde sur le sillon. Il enfonce de
lui-même sa bite dans la bouche. Je retourne sur le sillon, ce petit repli entre le
gland et le reste de la queue. Je m’y incruste, je sais par expérience que les hommes
aiment bien jouir ainsi. Ca ne manque pas, malgré le ralentissement de ma langue je
reçois brusquement son sperme dans le bouche : quel bon gout de semence. Je devais lui
faire pas mal de bien pour qu’il m’oublie en route.
Je me relève, mes voisins sont lui assis sur la chaise, elle sur ses genoux, les
jambes bien ouvertes : elle se fait sodomiser. Mon amie se trouve assise sur la tables
les jambes ouvertes, lui debout qui la baise, enfin je pense.
Les autres sont soit
toujours près de la table, soit sur les divans, soit directement sur la moquette. La
partouze est bien en route. Je me trouve nue rapidement, je préfère ainsi : c’est
mieux pour profiter de toutes les occasions. Mon nouvel amant ne débande pas, vient
sur moi, prend ma place, me fait mettre sur la table. Il me met sa bite entre les
fesses. J’ai peur qu’il m’encule directement. Il vient calmement me la mettre dans la
figue mure.
Ma voisine qui vient de s’envoyer en l’air par le cul, se lève prend mes seins dans
ses mains, me caresse, me pelote puis me suce les pointes. Je sens ses mains qui
caressent mon dos en descendant. Je cherche à savoir ce qu’elle me veut : ses doigts
sont entre mes fesses. Elle caresse lentement : dès que je jouis et que la bite qui
était dans mon ventre sort, elle entre un puis deux doigts dans le cul. Sa bouche est
sur la mienne. Notre baiser est le premier que je donne depuis le début. J’ai été
baisée sans que la bouche de mon amant vienne sur la mienne. Drôle de façon, seul le
cul compte. Ma voisine qui doit avoir presque le double de mon âge voudrait baiser
d’avantage avec moi ; elle ne me déplait pas du tout. Nous glissons sur la moquette.
C’est mieux pour ce que nous voulons faire. Si au début nous nous caressons à peu près
partout, maintenant que nous connaissons mieux nos corps nous nous installons pour
jouir : 69 est notre passion. Si nos langues participent largement, ce qui est normal,
nos mains et nos doigts de chôment pas du tout. C’est d’ailleurs elle qui commence en
mettant deux doigts dans le cul. Sa façon de me sodomiser est très jouissive. Je le
lui rends bien, j’arrive à lui faire accepter quatre doigts dans l’anus. Je l’entends
gémir pendant que ma langue est dans son puits mouillé. Je reçois également plusieurs
doigts dans le vagin : elle sait exactement où toucher pour me faire longuement jouir.

Enfin nous parlons.
- Tu sais bien baiser pour ton âge !
- Je pratique depuis mes 14 ans.
- Si jeune ?
- Oui, au début je me branlais et ensuite j’ai eu droit à une bite dans le con et une
autre dans le cul.
- Le même jour ?
- En même temps, en double pénétration. J’ai aimé.
- Tu es un peu salope ?
- Non, beaucoup.
- Tu aimeras qu’un homme te baise quand je te suce ?
- Oui, l’aime.
- Attend j’en vois un libre, j’espère qu’il a récupéré pour bander.
- Oui, demande-lui.
Elle se lève, je peux la voir nue debout ; d’accord elle n’a plus les seins d’une
jeune femme, mais le reste est excitant. Je suis contente d’avoir baisé avec elle ;
Elle revient avec celui qu’elle visait. Un peu mur, mais belle queue. De toute façon
s’il est là c’est qu’il baise bien. Je me lève par politesse. Il me prend dans ses
bras, m’embrasse longuement : je sens sa banane se relever durcie sans doute ; Je
m’agenouille devant lui pour le sucer un peu. Mon amante m’aide dans cette partie de
l’amour. La queue grossit encore. Je me couche et lui demande directement de me baiser
(bonjour la politesse). Il vient sur moi, m’écarte les jambes aidée par ma chérie du
moment. Il est presque sur moi, sa bite est sur mon entrée bien ouverte. Ma copine de
l’instant le dirige vers mon coquillage. Quand il entre je sens mon vagin rétrécir je
ne sais pourquoi, la bite entre quand même, je ressens un plaisir plus violent.
J’arrive à le faire sortir de mon ventre pour que je puisse être sucée par la langue
féminine.
Nous sommes en 69, moi dessus avec sa bouche sur ma chatte et lui qui par derrière
arrive à me la mettre calmement : il félicite celle qui me suce parce qu’elle lui met
des doigts dans le cul. Pour moi c’est le paradis avec cette bite dans le sexe et
cette langue sur le clitoris, avec en supplément le gout de cyprine d’abricot que je
mange.

Je reçois ma dose de sperme dans le puits. Je jouis également depuis le clitoris.
L’hôtesse nous donne l’heure : 6 heures du matin. Nous avons baisé tout ce temps. Nous
repartons avec ma copine qui avoue avoir passé une bonne soirée avec deux types à la
fois ; c’était sa première double pénétration.
- Si tu veux on pourrait baiser ensemble.
Je conclu en l’embrassant sur la bouche. Nous baisons au moins une fois par semaine en
allant bien plus loin que le 69.

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