Leslie Ar23

Leslie AR23 - Les confessions d’Hélène, suite

« Le lendemain matin, quand je me réveille, Roger a préparé le petit déjeuner avec des
croissants tous frais qu’il est allé chercher à la boulangerie du petit centre
commercial du camp.
Mathieu et Claire sont déjà levés et boivent le café.
- Alors, la marmotte a bien dormi ? M’interpelle Claire.
- Quelle nuit, je crois que j’ai trop bu.
- Pourtant cela ne t’a pas empêché de bien jouir, réplique Claire, car tu as
apprécié la partie de jambe en l’air que nous avons eus semble et tu es tombée dans
les bras de Morphée comblée de plaisir.
Elle avait raison, cette nuit avait été une révélation et maintenant plus rien ne
serait comme avant, l’échangisme me plaisait et mettrait du piment dans notre couple.
A ce moment-là je me suis sentie un peu salope, mais le plaisir est à ce prix.
Après cette première nuit d’échangisme avec Mathieu et Claire, pendant nos vacances,
beaucoup d’autres ont suivies.
Tout d’abord avec ce couple d’amis pendant ces vacances, et aussi avec eux et un autre
couple qui s’est joint à notre groupe un soir. Puis par la suite pendant plusieurs
années au fil de nos rencontres…

Toutes ces vacances je les ai passés sans mettre une seule fois une culotte, ce qui,
avec Roger, nous a fait vivre quelques moments cocasses.
C’est pendant ces vacances que j’ai pris la décision de m’épiler désormais
intégralement, pour le plus grand plaisir de Roger, qui me trouvait ainsi encore plus
désirable dans cette nudité intégrale.

Par exemple, un jour en fin d’après-midi alors que nous étions sur une plage éloignée
du camp et où nous étions venus en voiture. Resté seuls, nos amis étant rentrés plus
tôt pour préparer le diner, après avoir replié nos affaires, j’ai passé ma petite robe
et nous sommes partis rejoindre le parking où était garée notre voiture.

Pendant toute notre marche Roger n’arrêtait pas de me peloter les fesses et au moment
où je déposais les affaires dans le coffre, légèrement pliée, il n’a pas hésité à
relever complètement ma robe sur mes reins pour découvrir mon postérieur, offrant
ainsi ma nudité aux éventuels regards indiscrets.
Voyant que je ne faisais pas un geste pour recouvrir mon intimité et que je restais
ainsi offerte et consentante, il ouvrit son pantalon et me posséda comme un hussard.
Son sexe bandé me pénétra la chatte me coupant le souffle et me faisant me redresser
et constater que personne ne nous observait, puis j’ai entendu Roger me dire à
l’oreille :
- T’aurais bien aimé croiser le regard d’un homme qui t’observait pendant que je
te baisais !
Il avait raison, j’aurais bien aimé…

De même lorsque nous sortons, dans la voiture, chaque fois qu’il peut, il passe une
main entre mes cuisses et s’arrange pour relever ma robe et découvrir mon intimité,
puis comme pour la soirée de ma première sodomie, il me doigte la chatte et le cul en
disant :
- T’es vraiment une petite cochonne !
Un jour, alors que nous allions faire quelques emplettes, il me doigtait comme à
l’accoutumée dans la voiture, et alors que je feulais de plaisir, il me dit :
- Le risque de faire voir ton intimité à des étrangers, entrain de te faire
doigter, te mets dans tous tes états.
- Est-ce que tu crois que cela les gêneraient ? Dis-je à mon coquin de mari.
- Non ! Je ne pense pas, dit-il, mais ils seraient étonnés de voir une friponne
comme toi se faire doigter sans vergogne.
- Et alors, ils n’en perdraient pas la vue pour autant et puis ça m’excite
aussi.
Arrivés au petit centre-commercial, Roger me prend la main et nous commençons nos
courses. A un moment, je me penche pour saisir un article dans un linéaire situé assez
bas. Je ne me suis pas rendu compte immédiatement que Roger était resté derrière moi.
Il glisse, alors, sa main sous ma robe et entreprend de me caresser le minou d’un
doigt fureteur, et il s’exclame :
- Dis donc ! Ça te fait de l’effet, tu es toute mouillée.
- C’est de ta faute, tu n’arrêtes pas de me tripoter.
- Te trimballer cul nu et sentir mes désirs, t’excite, attends un peu !
En fait, c’est vrai, me savoir totalement nue sous ma robe au milieu des gens me
réjouit, et quand je sens Roger excité je deviens folle.
Alors qu’il est entrain de me titiller le bouton du doigt, j’écarte les jambes pour
lui faciliter la tâche et m’offrir totalement à sa caresse à laquelle je suis très
sensible. Très vite, je suis dans un état d’excitation avancé, je me sens humide de
plaisir et le plaisir monte en moi.
Mon chéri a dû le sentir, dans mon dos il prend mes mains pour les appuyer sur le bord
des rayonnages du magasin et je sens ma robe se relever sur mes fesses et une fraction
de seconde plus tard, le membre de mon homme appuie à l’entrée de mon puits d’amour.
J’aime bien être prise à la hussarde dans des lieux insolites et un seul coup de rein
lui permet de pénétrer mon sexe avide de son membre et sans attendre, il débute des
mouvements de va-et-vient rapides dans ma chatte.
Il s’agrippe à mes hanches et moi aux rayonnages, il s’enfonce en moi à une vitesse de
folie, ses impulsions profondes et cadencées m’entraînent inéluctablement sur le
chemin de la jouissance.
Je sens la montée du plaisir déferler en moi et Roger déverse sa jouissance au fond de
mon corps profondément enfoncé en moi.
Il se retire et nous remettons de l’ordre dans nos tenues et il m’embrasse en disant :
- C’était super ! Chérie, j’adore te faire l’amour dans des endroits
impossibles, surtout quand tu es aussi bien disposée.
- Tu ne m’as pas fait l’amour, tu m’as baisée, espèce de gros cochon !
- Dis-moi que ça ne t’a pas plu, je ne te croirais pas.
- Bien sûr, tu le sais bien, n’empêche que tu as profité de la situation et de
la facilité d’accès à mon corps.
- J’avoue et je ne regrette pas.
- Je m’en doute, mais maintenant c’est moi qui suis toute trempée et je coule de
partout, il faut vite rentrer pour que j’aille me laver.
Ce petit moment de jouissance, dans le centre commercial, fut un instant merveilleux,
tant par le côté insolite du lieu, que par la rapidité de l’acte, et aussi le fait de
nous faire surprendre.

Les vacances avec Mathieu et Claire furent enrichissantes de nouveautés et nous
confirmèrent que nous étions avec Roger près à vivre d’autres aventures échangistes,
avec ou sans ce couple avec qui nous avions fait nos premiers pas dans ce domaine.
Avec le recul et l’absence de mon homme je suis certaine que j’ai, avec lui, vécue des
moments fantastiques.

Je me souviens aussi d’autres moments, après ces vacances torrides, au top de mon
indécence et de ma sexualité, je sortais désormais sans culotte, même pour aller au
boulot ou simplement faire les courses, n’hésitant pas à être provocante en me
dévoilant pour allumer les voyeurs potentiels.
Ma vie sexuelle était remplie par Roger qui me satisfaisait chaque jour et dans nos
parties d’échangismes où à chaque fois mes nouveaux compagnons m’apportaient de la
nouveauté, en fait j’étais heureuse et insouciante de l’avenir.

A suivre…