Un Journalier Bien Particulier !

Les brumes se sont levées du lac. Les premières lueurs du matin ont traversé cette
brume en brillant sur la surface du lac. Sortant moi-même de mes brumes, je suis sorti
sur le ponton pour profiter du spectacle, tasse de café à la main et le sexe en
exaltation désirante, priant pour que je lui donne de l'attention.

Je l'ai ignoré. Je me suis assis sur une chaise couverte de rosée. Il faisait frais,
mais pas froid ; l'été, selon les pronostics devait être bon et il était vraiment
commencé. Je regardais à l’horizon au-dessus du lac, sentant la force du soleil me
gagner, sa chaleur sur mon visage comme un feu doux et chaud. La rosée s’est levée et
je regardais fixement vers le hangar à bateau et le quai, et au delà les beaux nuages
laissant filtrer la lumière d'or du matin.

Mon café fini, j'ai porté attention à mon sexe en érection qui se soulevait par à coup
pour me signaler son besoin. J'ai donc commencé à le frotter distraitement, ma main
glissant de haut en bas, lubrifié par des giclées claires de précum. J’ai poussé vers
le bas ses sept pouces et je l’ai laissé rebondir sur mon ventre. Il a claqué contre
mon ventre velu, le gland rebondissant jusqu’à mon nombril. Une bave de jus a sorti et
s’est étendue lisse et humide sur mon estomac. Je me suis lubrifié la main avec ce jus
et je l’ai délicatement remis sur mon pénis pour le lubrifier davantage. Pendant que
je me masturbais, je fantasmais sur un homme que j'ai connu auparavant. Il travaillait
au garage près du lac. Il était grand, avec une abondante barbe grise et noire, des
avant-bras forts, une forêt de cheveux et surtout une de ces bosses dans sa
combinaison de garagiste qui laissait supposer des couilles énormes. Je l’imaginais
ouvrir lentement sa combinaison alors que j’étais couché par terre sur un tapis
roulant de garage; pendant que lui était debout au dessus de moi, La tirette de sa
combinaison s’arrêtant sur le dessus de son gros engin, déjà en semi érection.

Il
sortait son robinet massif dur comme de l’acier du pantalon, au moins dix pouces de
long avec une circonférence à faire frémir. Il se crossait lentement, ses yeux
recherchant les miens, ne regardant même pas mon sexe durci que je crossais. Il a
juste continué à me regarder dans les yeux je voyais les mots qu’il murmurait, et je
regardais son sexe énorme qui giclait les premiers jaillissements de chaud précum qui
tombaient à terre, sur mes pecs et sur mon ventre. J'ai commencé à avoir aussi du
précum venant de mon robinet. Il a dit quelque chose que je pourrais juste faire
dehors, quelque chose comme....

Le « OH, Jésus, je suis désolé ! ». Alarmé, j'ai ouvert les yeux et là juste à côté de
moi se tenait un homme. Je ne l'avais jamais entendu arriver dans la cour arrière, je
ne savais pas qu’il pouvait y avoir quelqu’un d’autre que moi dans les environs. «
Fichu ! »

Je lui ai décoché. : « Vous arrivez toujours chez les gens comme cela sans prévenir ?
» Mon sexe a laissé sortir un jet de précum. J'ai essuyé ma main, couverte de mon jus
avec l’intérieur de mon peignoir. L'homme a détourné ses yeux. « Vraiment, je suis
désolé. Je suis ici pour travailler au boathouse. » Il était très grand, au moins six
pieds cinq, avec des cheveux foncés une barbe bien taillée. Il ne devait pas avoir
trente ans. Ses pecs étaient massifs, à peine contenu dans un T-shirt couvert de
peinture et déchiré à certains endroits. Les poils sur ses bras étaient comme un
gorille. Je me suis levé de la chaise en me couvrant avec mon peignoir et je suis
entré dans le chalet, mon robinet s'égouttant toujours. Je suis entré dans le chalet
pour aller me vêtir et je suis ressorti dehors il était à côté du boathouse. « Voulez
une tasse de café ? » Il me répondit. « Sûr, merci, noir svp. ». Son sexe semblait
serré dans son pantalon de peintre.
J'ai préparé le café et je suis allé le retrouver.
« Mercis beaucoup. Désolé pour... l'interruption. » « Pas de problème. Juste surpris
c’est tout. » « Bien, désolé. Maintenant, au juste qu’est-ce que vous voulez que je
fasse ici ? » « Entrez et jetez un coup d'œil à l’intérieur du boathouse. ».

« J'ai besoin que ces trois supports soient remplacés sur les murs, et je veux
repeindre l'intérieur. Il y a quelques planches lâches qui doivent être clouées au
plancher, et les carrés de cette fenêtre doivent être remplacés. » J'ai marché
jusqu'aux fenêtres donnant sur le lac. Mes deux canots étaient dans les supports de
bateau, inutilisés depuis l'été passé. Les avirons, les cordes et la toile sont
accrochés sur les murs. L'intérieur était lumineux, avec la lumière du soleil coloré
rouge réfléchissant sur les bateaux.

« Il y a quelques dommages de l’hiver ici, aussi. Voyez les taches sur la porte ? » Il
m’a montré le bas de la porte et a rayé le bois moisi. « Il y a de l'eau qui coule du
toit. Vous devez avoir quelques tuiles lâches sur la toiture. ». Il s'est penché
contre le mur et avec sa main, il a tâté un peu partout. Je le regardais faire et je
matais surtout son entrejambe et je regardais le contour distinctif de son robinet
dans sa culotte. J'ai feint ne pas noter. « Nous parlons de quatre ou cinq cents
dollars pour faire le travail entier. Ça devrait me prendre environ quatre jours pour
accomplir le tout. » « Cinq cents ? » C’est pas un peu beaucoup d'argent pour ce
travail en évitant de ne pas mentionner en plus qu’il m'a vu me branler. Un bon paquet
d'argent et d'embarras. Pas vraiment un bon début de relation d'affaires. « Bien,
peut-être nous pouvons arranger un plan de paiement si vous ne l'avez pas... » « Ce
n’est pas le cas, je la trouve juste difficile à prendre, c’est tout. » « Bien, les
pièces de bois doivent être coupés pour s'adapter, on doit trouver de nouvelles tuiles
de toiture, on doit faire préparer la bonne peinture à base d'huile pour
l'intérieur.
.. » « Je vois le travail à faire » Je marche sur le plancher. « OK. Je
vous prépare un chèque pour la moitié maintenant, et la moitié quand c’est fait. » «
Ok. Je vais prendre mes outils. » Il sort du boathouse et se dirige vers son camion
délabré. Pendant qu’il est parti, je suis allé pisser. Qu’est-ce que je pouvais faire?
Je n’avais aucun choix. Ici dans ce coin perdu du New Hampshire c’est difficile de
trouver de bons ouvriers. Je devrais simplement traiter lui. Je suis retourné dans la
maison et j’ai pris une douche, Après j’ai préparé quelques sandwichs.

Je me suis habillé avec quelques vieux vêtements pour travailler dehors, un vieux
jeans. Je suis retourné au boathouse avec la nourriture et du café. Le bourdonnement
et le gémissement d'une scie ont imprégné le calme du lac. Les cygnes qui nichent tout
près étaient disparus à cause du bruit.
Je suis entré par les portes ouvertes.

Le type se tenait contre le mur, essuyant la sciure de son visage. La sueur coulant
sur sa poitrine comme un fleuve et la sciure s'est accrochée là. «Voici des sandwichs
et du café. J’espère que vous aimez le jambon et le fromage. » J'ai placé le plateau
sur une petite table.

« Pourquoi, merci, c'est vraiment gentil. »
« Prenez une tasse pendant que le café es assez chaud. »
« Ouais, men sûr. C’est vraiment un service rapide ici, merveilleux. »

Il s’est approché de moi et m’a donné la main pour me remercier.
« C’est gentil, ça va m’éviter de retourner en ville pour le lunch. »

Il s’est essuyé la main sur son pantalon et a pris un des sandwichs.
J'ai versé le café pour lui. Il a pris la tasse et s'est assis sur une marche de
l’escalier qui monte au deuxième plancher. Il a mangé dans le silence.

J'ai pris un sandwich et me suis assis près de lui. « Depuis combien de temps vous
êtes dans le coin ici lui ai-je demandé entre deux bouchées.

« Environ douze ans il y a pas beaucoup de travail pour moi ici, cependant je fais des
heures. » Il engouffrait la moitié du sandwich dans une bouchée. Il a avalé d'un coup
sa tasse de café.

« Vous venez ici environ quatre ou cinq mois par année me demande-t-il ? »
« Oui à peu près. » Du coin de l’œil je zieutais sa fourche. Sa queue se développait
certainement à l'intérieur de son pantalon, et ce n'était pas mon imagination.
« J’hésitais à faire les premiers pas. »

Il s'est levé, son sexe grossissant à vue d’oeil.
« Peut-être vous devriez prendre une pause pour pendant quelque temps? À moins que
vous soyez pressé de commencer le projet, Ça peut attendre un peu plus tard cette
semaine. Je ne suis pas pressé. » « Une petite baignade, ça vous tenterait? » « Ne
soyez pas gêné. » « Pas besoin de maillot ici. Personne ne peut voir cette extrémité
du lac.

Je ne m'inquiète pas, quoi qu'il en soit. Je nage toujours sans maillot. » Il m'a fixé
pendant un moment. « Sûr, ce il me dit : laisses-moi juste ranger la scie au sec. »

Je suis sorti dehors sur le quai, le cœur me martelait dans la poitrine. Je n'étais
pas sûr s'il était intéressé à baiser, moi, par contre je l’étais. Ma queue commençait
à grossir dans mes shorts. Je suis allé à l'extrémité du quai et ai enlevé mes
vêtements, les jetant dans un tas. Ma queue continuait à gonfler pour atteindre son
maximum. Quand j'ai entendu ses pas sur le quai, j'ai sauté à l'eau. J'ai nagé un peu
loin du quai, et je me suis retourné pour lui faire face. Il se tenait nu sur
l'extrémité du quai, sa queue à moitié en érection. Il était impressionnant. C’était
sûrement la plus grosse que j’ai jamais vue. Il a sauté de l'extrémité du quai et a
plongé avec une grande éclaboussure dans le lac. « Fichu, toujours un peu frais ! Mes
boules se rétréciront jusqu'à rien'. » Il a nagé vers moi. L'eau s'égouttait de sa
barbe. Ses yeux bleus rougeoyaient presque dans la lumière lumineuse de midi. Il me
souriait. « Bonne idée Dan que vous avez eue. » J’étais à moins de trois pieds de lui.
«dirigeons-nous vers la petite île, là. C'est un court trajet à la nage. Allons ! »
J'ai commencé à nager en me dirigeant vers l’île. Il m’a dépassé rapidement, c’était
vraiment un bon nageur rapide, celui-ci ! Il a fait le papillon. Son crâne, couvert de
cheveux avec une natte, pendillait en haut et en bas dans l'eau. Il a atteint la
petite île et s'est levé dans l'eau, un bon cinquante pieds avant moi. J'étais
vraiment essoufflé lorsque je suis arrivé à côté de lui, j'attrapais mon souffle. Il
se tenait dans l'eau et je pouvais voir son poil pubien. Le soleil brillait sur sa
peau humide où il n'y avait aucun poil. Je me suis tourné vers lui. « Ouais, mais je
ne suis pas aussi en forme physiquement que toi. » J'ai regardé vers le bas la base de
son robinet. Il me tourmentait. J’en avais vraiment envie. « Bien, on ne peut pas tous
être bons à tout. Dans quel domaine travailles-tu ? » « Je suis dans la publicité. Tu
connaissais le film publicitaire de TV avec les trois filles vérifiant les trois
pingouins au restaurant ? C'est le mien. » Le « OH, ouais, drôle, je l’ai aimé lui. »
Il s’est étiré les bras, comme s’il prenait le lac en entier». Bien, moi j'habite à
New York la plupart du temps. J’ai tellement à faire que je n’ai pas beaucoup de temps
libre; c'est pourquoi j'ai acheté cet endroit, ainsi je peux passer les étés et
apprécier le calme et la nature à son meilleur. » « C’est un bon moment actuellement
pour être ici ? » « En ce moment, ouais. » Je suis sorti de l’eau et j’ai marché sur
le rivage de l’île, et me suis rendu un peu plus haut dans les roseaux.

« Viens ici, je veux te montrer quelque chose. » J'ai marché vers le centre de l'île.
C'était environ vingt pieds de large par environ soixante ou soixante-dix pieds de
long. Les grands roseaux cachaient tout le centre de la petite île de la vue. Il y a
deux ans j'avais placé trois chaises en bois à cet endroit. Je venais parfois déjeuner
ici. Je me suis assis sur une des chaises. Il était bon d'être au soleil au sortir de
l'eau fraîche du lac. Ma peau était comme du velours. Il a trébuché dans le dégagement
et m'a vu. « Bon, me voici. » Il s’est approché de moi et s’est assis sur la chaise à
côté de moi. « Comme c’est gentil ! Tu as organisé un petit endroit agréable ici. » Il
s’est étiré. « Ouais, j'aime beaucoup venir ici parfois. Vraiment beau la nuit aussi,
si tu utilise un anti moustiques. » Mon robinet a commencé à gonfler de nouveau. J'ai
jeté un coup d'oeil vers lui je me suis aperçu qu’il commençait aussi à bander. Ses
yeux étaient fermés. Je me suis penché vers lui et sans un mot, j’ai pris son gourdin
dans ma bouche. « Qu’est que … » Ma bouche était remplie avec un engin pareil. Il
devenait de plus en plus dur pendant que je suçais. Il a commencé à pousser dans ma
bouche. Son gland était énorme à l'intérieur de ma bouche, mais je réussissais à
l’enfoncer jusqu’au fond de ma gorge.

Le « OH, men, que c’est bon! Ouais. Suces-moi beau gosse. Quand je t’ai vu sur le quai
en train de te branler, j'aurais bien aimé te sauter dessus. Mais je ne savais pas si
tu aimais cela. » Il a saisi ma tête et l'a abaissé, empalant son robinet plus profond
dans ma gorge. Je salivais fortement. J’engouffrais son robinet pendant que ma tête se
déplaçait de bas en haut sur ce magnifique pénis. Il s’est baissé et m’a attiré vers
lui avec ses mains. J'ai gémi. « Quel baiseur ? » Il m’a attiré encore plus fort et me
serrais dans ses bras. Il m’embrassait avec fougue, me rentrait sa langue dans la
bouche et me faisait sentir son gland gonflé qui frottais contre le mien. Il a
commencé à m’embrasser dans le cou et doucement est descendu jusqu’à un sein et il me
mordillait le téton puis passait à l’autre. Je sentais sa queue s’infiltrer entre mes
deux jambes. Dieu que c’était jouissif de sentir ce membre entre mes cuisses. Puis il
me dit « tournes-toi et donnes-moi ta queue, je la veux dans ma bouche. » Je me suis
placé en soixante-neuf et j’ai moi aussi engouffré sa bitte qui commençait à
s’humidifier. Lui il léchait mon gland tendrement puis sans crier garde, il dardait sa
langue chaude dans et hors de mon trou de pisse. Puis il m’a sucée goulument en
prenant toute ma bitte dans sa gorge pendant que je lui faisais la même chose, j’étais
même capable de le prendre complètement dans la gorge. Pendant au moins une demi-
heure, nous nous sommes bouffés la queue et je commençais à sentir que j’étais sur le
point de non retour et que j’éjaculerais tout le foutre que j’avais dans les
entrailles. Mais il s’est rendu compte de mon état et lui s’était fait une autre idée
en tête. Il m’a pris dans ses bras et s’est levé pour m’étendre sur le ventre dans
l’herbe. « Pas tout de suite encore. Donnes-moi ton cul, je vais m’en occuper et je te
jure que tu en auras pour ton argent. » Il m’a soulevé en me prenant par les hanches
et en écartant mes fesses, il me cracha sa salive sur mon anus, puis il l’étendit avec
ses doigts rugueux sur ma rosette et doucement il commença à me doigter le cul,
c’était tellement bon et agréable, j’étais au septième ciel et j’en perdais la tête de
sentir d’abord un doigt me rentrer dans le cul mouillé puis deux doigts agiles qui
m’attendrissait l’entrée. À ce moment, c’était tellement jouissif que je me dis que je
devais certainement rêver que ça ne se pouvait pas d’avoir autant de plaisir à se
faire jouer dans le cul. Puis je sentis la tête de son engin gonflée, aux proportions
énormes, qu’il frottait le long de mes fesses. Il recracha de la salive entre mes
fesse et continuais de se frotter la bitte dans cette salive. Je sentais son zob
énorme qui m’écartais les fesse et j’avais envie qu’il me le rentre dans le cul. Je me
sentais prêt pour le recevoir dans le cul. Ça faisait tellement longtemps que je
n’avais pas été baisé par un mec. Je voulais qu’il me prenne et me fourre sa grosse
bitte dans le cul le plus rapidement possible. C’est alors qu’il me tourna sur le dos
et pris mes jambes pour les lever en l’air et les mettre sur ses épaules et ainsi
pouvoir écarter davantage ma rondelle. Il mit de la salive dans la main et me la mis
sur la bitte. Il commença à me crosser lentement avec sa salive et il me crossa de
plus en plus fort en serrant dans sa main cette bitte gonflé à bloc. Puis il me releva
davantage les jambes pour pouvoir se saisir de mon engin dans sa bouche et me sucer
comme s’il mangeait un « popsicle » puis il englouti une couille puis l’autre dans sa
bouche et même les deux en même temps. Après avoir longuement mouillé mon zob et mes
burnes, il continua jusqu’à ma rosette qu’il remplit encore de salive. Je gémissais,
perdu dans les sensations. « Je vais maintenant finir mon déjeuner qu’il a grogné ».
Et en me donnant une claque bien-chronométrée sur la fesse, il me replaça en position
les jambes sur ses épaules, j’étais comme en transe. Il me gratifia de quelques
claques, je sentais une sensation curieuse, une de convoitise intense telle que je
n'avais jamais éprouvée. Alors avec frénésie, il recommença à me jouer dans le cul
avec un doigt, puis deux ; il les a poussés dedans, crachant plus de salive sur eux et
puis, avec un grognement puissant, les poussait avec force pour me faire sentir sa
fougue. Alors deux doigts ont été remplacés par trois, puis quatre.

Je sentais mon cul complètement ouvert, et tout à coup je sentis la chaleur de son bat
contre mes fesses. « Maintenant, je vais te montrer comment je baise avec un mec. Tu
le veux ce poteau chaud dans ton trou, garçon ? » « Oui, oui, baises-moi, oui fourres
le moi dans le cul j’en rêve, défonces-moi... » J’aurais récité toutes les litanies
qu’il aurait voulues pour qu’il s’y mette enfin. Je priais pour qu’il remplisse ce
trou en feu et pendant qu’il me rimmait le cul j’espérais qu’il me crosse aussi avec
ses grosses mains rugueuses pour me faire gicler comme jamais je ne l’avais fait. Il
m’a poussé sa bitte d'un seul trait sans que je sente aucune douleur tant mon trou
était réchauffé et bien préparé pour le recevoir. Il m'avait lubrifié et étiré
tellement bien que j’avais seulement la sensation curieuse d'être bien rempli par ce
membre énorme. Il a commencé à me baiser par des coups longs et langoureux, chacun
ponctués par un grognement ou des hennissements comme un étalon. « Tu aimes te faire
baiser de la sorte mon homme ? Tu es un super baiseur. Tu es juste un jouet
merveilleux pour mon plaisir. C’est ce que tu voulais depuis la première minute où tu
m'as vu. C’est bien comme ça que tu voulais que ça se passe? La sens-tu ma grosse
bitte toute chaude à l'intérieur de toi, mon homme ? » « Unnnh, Unnnh. » Je haletais à
chaque poussée. « Oui, baises-moi, OUAIS, Unnh, ouais, tu me rends dingue, OUAIS,
l'OH, OUAIS, continues, ne t’arrêtes pas de me fourrer, j’en veux encore. J’aime
sentir ton engin dans mon cul, oui, oui, ouiiiiiiii je pense que je pourrai plus me
passer d’une telle bitte, ouais.... » Chaque poussée est devenue plus profonde et je
le sentais encore plus dur, il me fourrait de plus en plus rapidement et de plus en
plus furieux. Je ne pouvais plus parler du tout, seulement grognement et gémissement
pendant qu'il me baisait.

Tout en gémissant, il a retiré rapidement sa grosse bitte toute gonflée de mon cul en
feu et me gicla tout son foutre sur la queue et sur le torse j’en étais inondé
tellement il y en avait. J'ai pris ma verge et en me touchant, elle était tellement
lubrifiée qu’en quelques mouvements de crosse je giclai aussi à mon tour sur son bas
ventre et sur ses pectoraux. J’ai du avoir sept ou huit jets bien juteux qui sont
sorti de ma queue toute chaude et humide et remplie de son sperme.

Encore haletant pour retrouver mon souffle de cet orgasme complètement débile et en
voyant mon beau Brumel au dessus de moi qui tentait lui aussi de reprendre son souffle
tout en me fixant droit dans les yeux avec ses yeux sauvages, son robinet s'égouttant
et suintant des dernières gouttes de sperme qui s’écoulait de sa graine sur moi. En
reprenant son souffle, il s’étendit à côté de moi sans dire un mot.

Puis lentement, il recommença à me caresser le torse et le ventre alors que je
reprenais peu à peu mes esprits.

Nous nous sommes levés et on s’est jeté à l’eau pour se rafraichir puis on est
retourné s’étendre sur les chaises pour se laisser sécher au soleil.

Nous avons dépensé la majeure partie de l'après-midi là, à se suçer à plusieurs
reprises, déchargeant à trois ou quatre reprises jusqu'à ce qu'il n'y ait eu plus rien
à l'intérieur de nous. Nous avons nagé de nouveau au dock juste au moment où le soleil
commençait à se coucher au-dessous des arbres de l'autre côté du lac.

Nous sommes entrés dans le chalet affamés et repus. Nous avons mangé presque tout ce
qu’il y avait dans le réfrigérateur. J'ai fait un feu dans le foyer de la salle de
séjour et j’ai ouvert une bonne bouteille de mousseux que j’ai versé dans deux verres.
Nous nous sommes assis sur le plancher, s'embrassant et buvant le mousseux. Je lui ai
demandé comment il se sentait après cette journée passée à baiser comme des bêtes ? «
Merveilleusement bien, c’est sur et toi ? » Je lui ai demandé s’il voulait passer la
nuit avec moi et il ma répondu : Je n’attendais que cette question » en me gratifiant
de son plus beau sourire

Je me suis retourné vers lui et j’ai pris sa main et l’ai placé sur ma queue qui
commençait à prendre de l’ampleur. Il s'est levé sans hésitation. Il s'est penché et
m'a embrassé, puis s'est mis sur les genoux et m'a embrassé encore, cette fois très
dur, très brutal. « Tu me veux encore en toi ? » « Ouais, parce que je ne donnerai pas
un sous avant que tu ais fini les réparations que tu dois faire au boathouse. J'ai ri.
Il était beau, puissant, l'homme le plus beau que je ai jamais eu dans des mes bras. «
Bien, c'est une affaire. Mais pour toi, il n’y aura aucune charge. »

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