Leslie Ar25

Leslie AR25 - Les confessions d’Hélène, suite et fin

« Peu de temps après, lors d’une sortie en club échangiste, nous avons été remarqués
par un couple qui nous plaisait bien, après avoir bus un verre ensemble et sentant que
nous étions partants pour les suivre, ils nous ont entraînés dans une pièce
particulière afin de ne pas être dérangés.
La femme, une belle grande brune plaisait à Roger et son homme me plaisait aussi, une
fois installés dans la pièce nous nous avons changé de partenaire et avons été chacun
de notre côté vivre notre aventure d’un soir.
Roger et la femme firent leurs affaires de leur côté ne se souciant pas de nous.
Très rapidement je me suis retrouvée nue dans les bras de mon futur amant et c’est en
le déshabillant qu’un frisson m’a parcouru.
En fait j’avais comme futur amant, un véritable étalon pourvu d’un sexe hors norme, je
n’en avais pas vu de si imposant, long et très large et circoncis, il faisait un peu
peur, mais le pire c’est que durant nos caresses et nos baisers, j’ai senti que cet
homme désirais me sodomiser.
Ce n’était pas la première fois que durant nos séances échangistes je me faisais
sodomiser par mes amants de passage, amis quand il a introduit deux doigts dans mon
petit cul, j’ai vraiment flippé.
J’avoue que, comme j’étais bien excitée, cela ne m’avait pas déplu, mais de là à ce
qu’il entre en moi avec son membre si imposant il y avait un grand pas à franchir.
- Mets-toi à quatre pattes, dis l’homme, j’ai envie de voir ton petit cul.
Il retire ses doigts de moi et j’ai une sensation de vide dans mon corps, je suis
néanmoins trempée, ce qui prouve mes désirs, alors je me mets à genoux, puis en
levrette.
Immédiatement, l’homme caresse mes fesses, passe un doigt entre mes lèvres intimes et
atteint mon petit bouton tout érigé de plaisir, soudain l’envie de me sentir pénétrée
me prends et je dis :
- Prends-moi, j’ai besoin d’un sexe en moi.


Sans me répondre, il laisse mon clito et remonte entre mes lèvres, cette fois-ci avec
deux doigts, je les sens passer sur mon petit trou, où ils s’arrêtent un bref instant
pour une câlinerie appuyée, assez agréable.
Puis, son chibre pointe sur mon minou, qui s’ouvre sous la poussée inexorable de cette
monstrueuse colonne de chair.
Je sens son chibre entrer en moi d’un seul coup, puis l’homme pose ses mains sur mes
hanches et débute ses allers et retours dans mon vagin enflammé de désir.
Je me sens remplie comme jamais, mon sexe est dilaté par cette colonne de chair qui va
et vient en moi.
- Ohhh oui, c’est bon, dis-je.
Les mouvements de cet homme dans mon corps m’amènent graduellement au septième ciel,
je sens que je vais jouir, je vais jouir parce que j’imagine mon sexe dilaté par ce
membre, je vais jouir en sentant son chibre me défoncer sans relâche. C’est l’extase !
Cette position m’amène toujours sur des sommets de jouissance, mais avec un tel sexe
c’est de la pure folie.
Maintenant il continue à aller et venir plus doucement et lentement en moi, il se
colle contre mon dos et m’embrasse dans le cou, ce qui me donne des frissons, et me
fait contracter mes muscles vaginaux sur son sexe.
Il me redresse contre lui, toujours embrochée sur son membre et me caresse les seins,
puis une main descend entre mes cuisses pour titiller mon clito pendant quelques
instants.
J’adore cette caresse quand je suis dans la jouissance, je reste sur un plateau et
souvent, il ne m’en faut pas beaucoup pour que je reparte. Ensuite, il retire sa main
qui quitte mon bouton, passe derrière moi, entre nous, et trouve le chemin de mon cul.
- Tu es vraiment mouillée, et j’ai vraiment envie de ton petit trou.
En même temps qu’il parle, je sens un doigt appuyer sur mon anneau intime et son sexe
vibrer dans ma chatte, il est toujours dur et me remplit bien.

- Même ton petit trou est imbibé de mouille, me dit-il, et il est entrouvert.
Aussitôt après, le doigt plonge dans mon anus, me faisant sursauter.
Ensuite il me lubrifie avec sa salive et je l’entends dire :
- Tu es prête !
J’ai compris, mais j’ai un peu peur d’avoir mal, alors comme pour me rassurer il
rajoute :
- Je ne veux pas te faire de mal !
- Oui mais tu es très épais et je n’ai pas l’habitude, je ne voudrais pas que tu
me déchires.
- Je vais faire doucement, et puis le passage est fait ce n’est pas la première
fois que tu te fais enculer.
- Non, mais vas-y doucement !
Cette fois, c’est deux doigts qu’il rentre dans mon petit cul et il tourne ses doigts
à l’intérieur et distend mon muscle pour le préparer à la pénétration de son membre.
Puis il retire ses doigts de mon petit trou et son membre de mon vagin.
Il pose son sexe sur mon anneau froncé et je sens une pression sur ma rosette, mon
amant entame la conquête de mon cul.
Je ressens une distension de mon muscle et j’ai un peu mal, mais visiblement je suis
bien mouillée et le sexe de l’homme continue à entrer en moi. Je commence à me sentir
écartelée et je suis sur le point de lui dire d’arrêter quand il me déclare :
- Ça y’est, j’ai entré entièrement entré le gland, tu es dilatée au maximum.
J’arrête un moment pour que ton corps s’habitue.
Je ne ressens plus de douleur intense, seulement une vague sensation de tiraillement,
maintenant j’ai envie qu’il continue, aussi, je pousse mon cul en arrière.
- Tu es impatiente dirait-on ! Dit-il.
- Oui, mais vas-y doucement, ne me défonce pas !
D’abord, il exerce de légers va-et-vient, et à chaque fois qu’il rentre en moi, il
gagne un peu de terrain. Progressivement, son membre me remplit complètement, son bas-
ventre touche mes fesses.
Il passe sa main par-dessous moi et la pose sur mon pubis, et aussitôt, un doigt se
dirige vers mon clitoris, il sait y faire, il va me caresser le bourgeon pour me faire
oublier une éventuelle douleur.

Il reste sans bouger, bien planté dans mon petit cul, il me laisse m’acclimater à
cette intrusion inhabituelle en caressant doucement mon clitoris.
Après quelques titillements de mon bouton d’amour, il démarre de lents et courts
allers et retours dans mon petit trou. Je perçois son sexe jusque dans ses moindres
détails. Sa tige glisse en moi en dilatant mon anneau et ses doigts continuent à jouer
avec mon clito.
Bientôt, je discerne la montée du plaisir qui revient, lentement, malgré une
persistante impression de tiraillement de mes chairs les plus intimes.
Ohhh, continu, je te sens bien dans mon petit cul, tu es gros et dur !
À partir de ce moment, ses va-et-vient entre mes fesses deviennent plus amples, j’ai
même l’impression qu’il ressort presque de moi. Je n’ai plus aucune sensation de
douleur, la jouissance qui monte a tout effacé. Je ne pensais pas que je pourrais me
prêter aussi aisément à une telle pénétration.
Je profite de l’instant et laisse le bien-être me gagner. Je commence à onduler en
même temps que mon amant s’agite en moi, je m’empale toute seule. Il m’embrasse dans
le cou, ce qui me donne des frissons de plaisir qui parcourent ma colonne vertébrale
et contribuent à m’amener aux portes de la jouissance.
La sensation est affolante, mes muscles intimes enserrent son sexe, ses coups de
boutoir qui fouillent mon cul se font plus profonds. La force de ses mouvements me
semble plus intense, puis son ventre vient, régulièrement, buter sur mes fesses.
Mon amant est endurant et tient encore, je ne ressens plus aucune douleur,
certainement aidée par les caresses délicates qu’il poursuit sur mon clito. Lentement,
il accélère le rythme, tandis que je m’entends geindre.
Cette fois, il ne ménage pas ses efforts et il ne me ménage pas non plus, il me
pilonne carrément le petit trou. Je suis au bord de l’explosion, je ne croyais pas
qu’il m’était possible d’accepter avec autant de bonheur une telle tige de chair et
d’en éprouver un tel plaisir.

Je commence à trembler, tout mon corps est envahi par l’orgasme et je perds tout
contrôle. Puis son plaisir arrive et quand je reçois sa semence, qui jaillit dans mes
entrailles, c’est littéralement démentiel, je ne sais plus où je suis.
Un moment plus tard, je reprends pieds, j’entends le souffle de mon amant qui
s’apaise. Il est toujours en moi et je me sens bien.
Maintenant, Roger va pouvoir m’appeler sa petite enculée.
Il se retire doucement de mon petit orifice, mes chairs intimes reprennent leur place
et j’ai comme une sensation de vide, et certainement le trou ouvert.

Ma vie du temps de Roger n’a été que plaisirs partagés dans une confiance totale et
commune, maintenant seule le plaisir n’est plus le même, mais je ne rate pas une
occasion d’avoir du plaisir. »

A suivre…

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