La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 146)
Apeurée et troublée (histoire à plusieurs mains)
Histoire commencée par Barbara
Barbara venait d'entrer dans ce magnifique château. Grand hall imposant. Mélange de
pierre, de marbre, de velours et lanternes. Devait-elle partir ou rester? Elle avait
peur de ce qu'elle pourrait découvrir. Allait-elle être assez forte ? Son cur battait
vite. Est-ce du à la peur ou à ce trouble qu'elle a au fond d'elle. Car il faut bien
l'avouer, ce château est bien particulier. Barbara est troublée par la soumission et
pouvoir servir un maître ou une maîtresse. Mais la question est de savoir si elle
allait intéresser quelqu'un. Elle si inexpérimentée ? Si jeune ? Si novice? Elle avait
peur de se faire rejeter. Si c'était le cas, qu'allait-elle devenir? Si un maître ou
une maîtresse ne pourrait pas la guider, lui apprendre les bonnes manières...
Voudra t'il/elle perdre son temps ? Barbara s'arrêta au milieu du hall complètement
perdue. Des portes, un escalier... où aller?
D'une voix timide...
- Il y a quelqu'un ?
Suite écrite par Souphie
Mais il était trop tard, elle était là... le château s'animait à sa demande, elle
devait assurer......assumer.
A cet instant Walter, le majordome de Monsieur Le Marquis entre dans le hall
majestueux et il l'invite à le suivre dans un des salons du Château où sont installés
confortablement, Monsieur Le Marquis, qu'elle reconnut immédiatement pour avoir lu sa
description dans nombre des ses récits, ainsi qu'un bel homme, élégant, d'âge moyen.
Elle apprendra lors des présentations qu'il s'agit de Maître Hiram.
Se trouvent également présentes, autour de la table du salon, confortablement assises
sur les sofas luxueux quatre femmes de tous âges...qui semblent fort à l'aise dans cet
environnement pourtant fort intimidant, comme sorti d'un autre temps.
Monsieur Le Marquis invite Barbara à s'asseoir à côté de la plus jeune des dames.
Cette dernière lui adresse son plus beau sourire... Barbara, toujours au bord de
l'évanouissement, s'exécute lentement.
Chacun et chacune à tour de rôle se présente. Il y a, en dehors de notre hôte et de
Maitre Hiram, Marie, Valjira, Musia et Souphie.
Barbara est troublée, la seule des femmes dont elle se souvienne du nom, le tour de
table terminé, est sa voisine immédiate, Musia.
Walter, sur proposition de Monsieur Le Marquis, offre à Barbara de prendre une boisson
chaude ou froide.
L'ambiance est conviviale et chaleureuse.....Barbara se détend....et Monsieur Le
Marquis prend la parole.....
Miracle....ces gens dont Barbara s'était fait une image rigide, hostile, sont tout ce
qu'il y a de plus "normal", de plus "classique".
Ils seraient même plutôt sympathiques....Barbara se dit même qu'il est possible
qu'elle ait croisé l'un d'entre eux sans pour autant savoir qu'ils ne vivaient pas
tout à fait comme "tout le monde".....rien ne les différencie....
Barbara ferme doucement les yeux....chasse de son esprit toute pensée négative, elle
sait que rien ne pourra lui arriver.... elle est au bon endroit, elle va enfin pouvoir
se livrer, se libérer et sans doute vivre ce qu'elle a au fond d'elle sans crainte
d'être jugée ou cataloguée....il règne ici un esprit de tolérance....elle est bien...
Suite écrite par Barbara
Mon estomac était en pelote de laine, pendant la montée de cet escalier. Ou allais-je
arriver ? Des images sombres voire noires commençaient à germer dans son cerveau.
Avait-elle enfreint quelques règles ? La porte souvrit sur une salle magnifique. Mon
regard fut attiré par la Maître de ce château. Je ne dis pas un mot. Trop intimidée.
Puis les présentations.
jeune des femmes. Walter me proposa du thé, que jacceptai. Tenant la tasse, jécoutai
les paroles du Marquis. Chaleureuses, douces et cultivées. La tension tomba petit à
petit au fur et mesure que le temps passait.
Elle commençait à se sentir bien effectivement. Jécoutais les différentes
conversations. Musia me proposa même de visiter le château. Mon sang ne fit quun
tour. Visiter le château ? Je pensais en moi-même. *Mais cest impossible.. ouvrir une
porte sans autorisation* Peut-être voir ou écouter des choses dont je ne suis pas
invitée
. Je frissonnais dinquiétude, me mordant ma lèvre inférieure.
Suite écrite par le Marquis d'Evans
Musia se lève et fait face Au Maître des Lieux...
- "Monsieur Le Marquis, je me proposais de faire découvrir Le Château à cette jeune
femme" dit-elle en montrant Barbara qui baisse instinctivement les yeux, lorsque tous
les regards se tournent vers elle.
- "Pourquoi pas" lance Le Marquis avec un geste de la main, comme pour congédier les
deux femmes.
Musia tend la main à Barbare qui s'en saisit comme une naufragée à une bouée... elle
serre la douce main qui enlace ses doigts et se met debout... s'approche de Musia.
Quelle étrange sensation que de ne pas oser faire même le plus banal des gestes.
Barbara a la sensation d'avoir plongé dans un univers dont elle ne sait rien, ignores
tout des règles, de sus et coutumes... Musia la tenant toujours par la main, elles
font deux pas lorsque retentit la voix Du Marquis...
- "Eh bien !!!" la voix résonne dans la vaste pièce... "On ne se déplaces pas en Ma
Demeure sans respecter certaines règles" ajoute-t-il...
Tous les présents fixent les deux femmes, Musia serre fort la main de Barbara
- "Je suis stupide, j'aurai dû y penser, pardonnez-moi Maître" glisse-t-elle.
elle fait pivoter Barbare afin que celle-ci puisse faire face à la tablée. Le Marquis
se lève alors lentement, avec toute La Majesté qui sied à Une Personne de Sa Qualité.
Et Il s'approche des deux femmes. Musia fait un pas en arrière afin de légèrement
séclipser et se tient immobile. Barbara, privée de ce soutien, de cette "béquille"
vacille un peu... Si elle n'était pas totalement paralysée, peut-être prendrait-elle
ses jambes à son cou pour fuir... Mais elle est bien incapable de bouger ou même
d'esquisser le moindre mouvement.. Le Marquis est maintenant à moins d'un mètre. Il la
regarde intensément, droit dans les yeux. Instinctivement, Barbara a baissé les
siens... elle se tient immobile, les bras le long du corps. Une main se saisit de son
menton et la force à relever la tête
- "Regardes moi... je veux voir tes yeux, je veux y lire celle que tu es" dit-il d'une
voix qui n'admet qu'une seule alternative : l'obéissance.
Barbara se soumet et regarde Le Marquis dans les yeux...
- "Enlève ta chemise" ordonne-t-Il sur un ton glacial mais sans élever la voix, dune
voix calme mais si froide
Lentement, comme mue par une force extérieure, Barbara s'exécute. Elle hésite dans sa
tête, mais ses gestes sont plus rapides. Elle se déboutonne donc, ouvrant les pans de
sa chemise qu'elle laisse ensuite glisser sur le sol, révélant un soutien-gorge
pigeonnant, en dentelle blanche, mettant en valeur le galbe de ses jolis seins... Le
Marquis la scrute
- "Un soutien-gorge, quelle idée absurde ! Enlève ce chiffon ! Et n'en portes plus,
sauf si on t'en intime l'ordre"
Barbara rougit, baisse les yeux et se fait immédiatement rappeler à l'ordre
- "J'ai dit de me regarder ! " immédiatement Barbara obéit tout en dégrafant son
soutien-gorge. Elle rougit, elle qui avait choisi son plus bel ensemble.
le Marquis pour la culotte assortie ? Le soutien-gorge rejoint la chemise sur le sol
de marbre... Barbara sent un léger courant d'air sur la peau délicate de ses seins
nus. Elle sent tous les regards posés sur les deux globes de chair pâle... mais elle
n'ose quitter le Marquis Des Yeux. Et dans le regard posé sur elle, elle sent Une
lueur de triomphe.
- "Mets tes mains dans le dos et ne bouges plus" ordonne Le Marquis d'une voix calme,
égale...
Bien loin des idées préconçues que Barbara s'était forgées. Elle imaginait parfois un
univers fait de cris, d'ordres lancés d'une voix menaçante, de gémissements... Or rien
de tout cela ... luxe, calme et volupté, aurait-elle pu commenter, mais avec cependant
une évidence qui peu à peu s'emparait d'elle : elle était là pour obéir et on ne lui
laisserait aucune latitude. Le Marquis qui la dominait de Sa Haute Stature n'avait pas
besoin de tempêter pour obtenir ce qu'Il voulait. Un mot suffisait... cela du moins
elle 'lavait déjà compris. Plusieurs paires de yeux inquisiteurs s'attardaient sur sa
poitrine ainsi exposée. Barbara le savait, mais elle demeurait subjuguée par Les yeux
qui ne la quittaient pas... elle sentit juste un léger effleurement sur les seins
impudiquement exposés... à peine plus qu'un souffle, mais qui suffit à faire s'ériger
les points roses...
- "Sensible" s'amusa à dire Le Marquis, "c'est bien j'aime ça. Nous allons bien nous
amuser avec ces petits nichons de chienne"...
Marquis dEvans
Suite écrite par Barbara
Le Marquis est là, juste devant moi. Mimposant à lever la tête de mes 1 mètre 69.
Mobligeant à LE regarder droit dans les yeux Je sens Ce regard passer sur moi comme
sIL voyait mon âme. Ce qui me déstabilisa. Sa voix si douce, calme mais certaine
faisait voler en éclat mes préjuger sur les maîtres criant et insultant les soumises.
Là rien, juste une phrase, un mot
mais surtout ce regard. Ne pouvant pas my
soustraire, je me trouvais poitrine nue. Déjà ses premiers ordres tombèrent, plus de
soutien-gorge. Je devais le regarder. Ainsi exposée, debout, les bras dans le dos. Un
frisson sur ma peur. De peur, de désir, de honte ? Je ne serai le dire. Le Marquis
avait toujours son regard plongé dans le mien, et un effleurement. Je ne pus retenir
un petit gémissement de surprise. Immédiatement, Il sut que jétais sensible de mes
seins. Mes tétons sérigèrent impudique devant Le Marquis et cela malgré moi. Je
sentais des regards vers moi, mais je restais la devant Lui sans bouger. Sa dernière
phrase me fit comprendre où était ma place. Je me sentais si seule
mais toujours ce
regard dans le mien. Est-ce pour me tester ? Mes seins tendus, le souffle court. Je
nose rien dire, ni bouger comme tétanisée. Toujours Ce regard en moi, je sens comme
une goutte de sueur couler le long de mon dos
mais est-ce mon imagination ?
Etrangement, je ne suis pas effrayée mais une appréhension grandit de plus en plus et
une excitation monte dans bas de mon ventre
(à suivre)
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