Aimée

Aimée porte bien son nom. Tous, dans le quartier nous la respectons: elle aime rendre
service à tous, presque trop. Comme disait ma grand-mère, plus on est bête, plus on
devient con. Nous habitons le même palier, de ce fait nous nous rendons de menus
services, faciles. En échange un jour nous nous sommes retrouvées au lit ensemble,
nues dans une position qui ne laisse aucun doute sur notre amitié particulière.
Personne ne le sait, alors pourquoi s’en faire.
Un jour elle décide, sur un coup de tête d’acheter un camping-car. Nous étions en fin
de printemps: pour l’essayer elle me propose de l’accompagner pour l’essayer. Dans son
esprit il ne s’agissait que de faire un centaine de kilomètre pour trouver un bel
endroit, nous y installer pour passer les nuits du vendredi au samedi et du samedi au
dimanche.
Sortant de Montpellier, nous partons en vadrouille vers le Larzac. Nous y somme vite
en passant par l’autoroute gratuite. Le véhicule roule bien en montée. Par précaution
Aimée s’arrête au premier parking pour faire refroidir le moteur.
- A ta place je ne l’aurais pas fait, trouve un endroit où passer la nuit.
Elle répond:
- Je me suis arrêtée exprès pour que nous puissions nous aimer, j’en ai envie depuis
le départ.
- Pourquoi tu ne me l’a pas demandé avant.
- Je n’ai pas trouver d’endroit.
- Je n’ai pas envie de toi sur un parking, n’importe qui pourrai nous voir.
- Ca me plairais bien d’être vue, et qui sait quelqu’un pourrai taper à la porte pour
se mêler à nous.
Je ne dis plus rien, je suis assez pudique et qu’une personne étrangère me voit
pendant l’amour, quand je suis nue me gêne un peu. Mais pour faire plaisir à Aimée, je
suis prête à sacrifier à Lesbos, même si une autre personne nous regarde.
Pratique Aimée ouvre le lit, sans fermer les vitres ni surtout les caches des
vitrages.

Elle me fait lever du fauteuil du passager pour m’entrainer dans nos amours.
Son baiser sur la bouche me fait de l’effet en m’excitant. Je sens sa main se poser
sur ma chatte par-dessus le jean. Je répons par une caresse sur un sein gonflé déjà.
Elle a les seins naturellement durs, dans son 90C, alors maintenant ……
Je lâche sa bouche pour embrasser ses lobes d’oreille: je sais qu’elle aime bien ça,
entre autre. Mon jean est ouvert, la ceinture défaite et la fermeture éclair en bas.
Sa main entre dans le jean, pour venir se coller contre ma chatte: elle me fait
mouiller plus que d’habitude, sans doute la situation et le risque d’être vues. De
moi-même j’enlève et le jean et le string: plus rien de la gêne pour me caresser.
J’écarte les jambes quand sa main force à peine entre mes cuisses.
Aimée sait parfaitement ce qu’il faut faire pour m’expédier ailleurs, au pays des
orgasmes. Aujourd’hui elle s’y prend bien mieux. Elle caresse à peine mon clitoris
pour entrer deux doigts à l’endroit sensible de mon puits. Son doigtage est efficace:
je jouis une fois;
J’enlève le polo d’Aimée pour faire ressortir sa poitrine, je lui enlève la jupe sous
laquelle elle a oublié de mettre une culotte. A mon tour d’agir. Je la prends contre
moi pour avoir sa poitrine contre la mienne, mes mains sur les fesses. Je les caresse
doucement, comme celles d’un bébé. Je passe un doigt entre les globes. Aimée sait
parfaitement où je vais. J’arrive lentement sur son rectum: je le caresse comme elle
aime en faisant le tour sans trop appuyer. Elle se tend en arrière: je lui fais du
bien. Mon pubis va sur le sien. J’ai envie de la faine jouir avec. Je la pousse sur la
couchette ou elle se laisse tomber les jambes ouvertes: elle me fait voir tout son
sexe: j’ai beau le connaitre par cœur, j’ai toujours un moment d’excitation
supplémentaire quand elle me le montre sans pudeur.

Je me couche sur elle comme si j’étais un homme. Je ne sais comment j’ai fais,
j’arrive à poser ma chatte sur la sienne; Mon pubis arrive à lui caresser le clitoris:
elle geint sans cesse.
- Oui, Baise moi, encore, viens sur moi.
- Oui, je te baise bien, jouis ne fais pas autre chose, jouis, ne pense plus à rien
d’autre.
Je lui prend la bouche en me relevant. Il me semble que sa langue est plus agile que
tout à l’heure; Elle prend en charge ma béatitude. Aimée me branle lentement, sans
appuyer, elle me donne un orgasme moyen: elle peut mieux faire et elle le fait en
mettant sa bouche sur mes lèvres d’en bas: je suis léchée de haut en bas, plusieurs
fois. Elle avance sa langue plus profondément vers mon anus, ce qu’elle fait rarement.
Elle ne lèche le tour, comme je lui fait avec mon doigt, elle va plus profond quand
elle transforme sa langue en petite bite qui m’encule. Pour une première c’est réussi:
je jouis longuement surtout qu’elle met un doigt dans le puits.
Quand Aimée m’enjambe elle me donne toute sa chatte pour que nous fassions un 69. Pour
ma part je ne sens même plus où elle met sa langue: elle me donne un plaisir complet
qui m’octroi des orgasmes continus. Je tente de lui en faire autant; je n’arrive qu’à
la lécher une fois partout. Je la fait jouir par à coup. Elle ne s’en plaint pas. La
nuit est tombée depuis longtemps, les lumières du parking sont allumées leur halos
entre dans la cabine. Nous avons arrêté de nous aimer pour prendre un peu de repos.
Nous sommes enlacées sur la couchette un peu étroite.
Aimée se remets vite pour reprendre une autre partie d’amour. Elle m’embrasse les
seins:
- Aimons nous encore, je vais te faire jouir comme jamais.
- Merci. Je te rendrai le tout avec intérêt.
Nous nous remettons en 69. Cette fois je suis dessus. C’est bien plus commode pour
donner du plaisir à son amante.
Je passe directement entre ses lèvres: ma langue est
curieuse pour chercher son réceptacle à plaisir. Elle a le sexe doux à l’intérieur. Ma
langue pour l’occasion s’est transformé en queue. Je ne peux pas entrer à fond bien
sur, je me contente de lécher vers le haut, juste sur le point G. Je sais par
expérience que maintenant je la tiens pour longtemps. Elle n’a même pas le courage de
me baiser. Je la fais jouir, c’est le principal.
Fatiguée de baiser, elle se met toujours nue au volant pour poursuivre la route sur le
causse. Je suis sur le siège à coté, comme elle nue. Qui peut nous voir ? Personne à
cette heure ci. Pour passer le reste de la nuit, elle trouve une chemin d’entrée dans
une prairie, si on peut dire, c’est juste bon pour les fèdes (les brebis). Elle y
rentre dans l’espoir d’y être tranquille. Nous rejoignons chacune notre couchette pour
la nuit.
Le jour se lève, nous entendons des bruits de sonnailles: un troupeau est là ainsi
qu’in chien de berger. Qui dit berger, dit aussi berger tout court. Seule une fille
garde les moutons. Elle s’approche tranquillement du camping car. Elle y jette un coup
d’œil avec curiosité pour voir deux nanas nues. Aimée la trouve à son gout. Elle
n’est pas mal, j’avoue. De là à la convaincre de venir baiser avec nous, il y a un
écart que je n’ose pas franchir.
Aimée n’a pas mes scrupules, elle sort pour bavarder avec cette inconnue. Toujours
nue, elle la convainc de venir dans le véhicule après l‘avoir embrasser sur la bouche:
elle ne manque pas de toupet. Entre donc une fille habillée pas mal, un peu gênée tout
de même quand elle me voit. Aimée la rassure: je suis son amante et d’avance elle
l’assure que je participerai à cette expérience unique d’un baise en trio de filles.
Elle la déshabille lentement en embrassant tous les morceau de peau qui ressortent. Je
reste en embuscade pour moi aussi participer à cette curée.
La fille se laisse faire
en commençant à prendre des initiatives: elle caresse les seins d’Aimée. J’en suis
excitée encore. Quand une paire de fesses apparait je pose mes main dans la raie
culière. Elle aurait pu protester: elle ne dit rien. J’arrive assez vite sur son cul
où je met directement deux doigts: la fille doit avoir l’habitude de la sodomie: elle
réagit en accompagnant mes mouvement.
Elle surprend Aimée quand elle se penche pour lécher le clitoris. L’orgasme qui suit
est des plus forts. Quand elle suce ma amante, je me masturbe. J’aurais pu attendre un
peu: dès la jouissance d’Aimée, la fille s’intéresse à mon sexe. Je suis assise: elle
prend tout ma chatte dans la bouche. Seule sa langue cherche partout: ses recherches
me font jouir aussi. La seule différence est que par-dessus son dos, j’arrive à
trouver son bouton que je branle. Nous voilà parties ensemble vers le 7° ciel. Elle
demande à Aimée de faire un 69 sous prétexte qu’il y a longtemps qu’elle n’en a pas
eu.
Elles s’installent ensemble sur l’autre couchette: je peux le voir s’aimer: par contre
je ne peux retenir ma main droite qui caresse toute ma chatte.
Plus tard, bien plus tard notre bergère, qui s’avère être une étudiante en vacance
s’en va repue de sexe. Nous pouvions rester dans le près toute la journée et même la
nuit: elle reviendra nous voir à ce moment là, nue comme nous.

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