Le Manoir Du Péché (16)
La patronne mavait fait savoir quelle désirait que je vienne jusquà sa chambre. Elle me reçu- allonger sur son lit.
- Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant lintervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. Javais alors vu sur une belle culotte blanche. Yavait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela nétait pas pour me déplaire. Tout au contraire, jétais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir quelle venait y passer le week-end. Sachant quà tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi.
- Fermez la porte sil vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle.
Ceci fait, elle me priait dapprocher jusquà elle.
- Jespère que vous naviez rien de prévu pour cette nuit,
Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres.
- Non madame.
- Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon peau de chambre, voulez-vous.
- Avec plaisir madame
Augurant parfaitement ce quelle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors quelle avait quitté le lit.
Mais alors que je mapprêtais à méloigner, elle mordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper lélastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. Dun gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, quelle garda dans sa main.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en saccroupissant au-dessus du pot de chambre.
Le spectacle était dune saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard sattarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté.
Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à linstant où quelques gouttes séchappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient.
- Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager.
- Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle.
- Vous men voyez alors ravie, mon cher. Mais dîtes moi Alain, comme nous avons un petit moment pour nous, je voulais savoir si laugmentation avait été conséquente ?
- Oui et jen remercie Madame.
- Bien
vous men voyez soulager
me fit-elle alors que la
miction me semblait ne jamais finir.
Jétais un peu près certain que la coquine avait avalé un litre deau juste pour avoir le plaisir de pisser longuement devant moi.
Ce nétait pas la première fois que je voyais ainsi, en gros plan, une femme pisser. Et chaque fois cela me faisait autant deffets.
Comme tout à une fin, malheureusement pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées sécoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors quelle désertait sa place.
- Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, dune démarche provocante.
- Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je nétais pas derrière elle ajouta :
- Mais approchez donc.
Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer delle pour me tendre son bras pour approcher la culotte quelle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé :
- Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire
- Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes.
- Jen étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte.
Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors quelle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais javais envie delle. Elle sagenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha lanus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir menvahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea quil était préférable de sarrêter là. Elle se leva dun bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes.
Prenant cela pour une invite, jenfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides quavait cultivé son excitation. Une forte odeur sen dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir.
Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle
clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager :
- Cest trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !
Régalez-vous, nourrissez-vous
Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source
Je la mâchonnais. Il sen dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage quelle méritait. Je macharnais
sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait déjaculations. Jattendais quelle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. Jaimais beaucoup l'odeur poivrée qui sen dégager. Je ne pus me retenir dy passer une langue.
d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. Mencourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire.
Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant dassouvir immédiatement son besoin dêtre remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main
en direction de mon bas-ventre. Elle sempara de ma verge dressée quelle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsquelle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, sempalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur.
Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel menvahit, accentuait par la patronne qui, impatiente dêtre labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait dun regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir.
Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois quelle se laissait retomber sur mes cuisses pour sempaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je mintéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous lassaut. Javançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par lexcitation.
Elle arqua ses reins afin de mieux moffrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée.
- Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention
Oh, putain que cest bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre
Cest trop bon !... Oui !... Ça vient
Oh, non, je vais jouir !...
À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre
Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que jaille me rendre jusquà la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès.
La coquine jouait les voyeuses à présent.
- Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux quun film porno !
Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir quelle avait pris à nous espionner. Avant que jaie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à lintérieur de la chambre.
- Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se létait passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, saffaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, quelle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusquau parquet.
Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sur sur le lit, sallongea à ses côtés. Avant de lembrasser à pleine bouche. Lesprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je
mavançait à mon tour jusquau lit pour être au plus près de laction. Là, ma propre patronne, me fit part, quelle et Agnès avaient eu jadis des aventures, quelle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons
Sur le lit on aurait dit quelles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je nétais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusquà son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue doù suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, quelle glissait lentement jusquà ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. Là, elle fit onduler le bassin tout en continuant à branler son vagin. Puis comme prise dun désir soudain, elle retira sa main dentre ses cuisses, pour porter ses doigts maculés à sa bouche elle les lécha avec gourmandise, recueillant avec sa langue ses propres sécrétions. Après la dégustation Agnès rompit le silence, en laissant échapper :
- Alors tu veux ? dit-elle, en sadressant à sa sur, dune voix soudain devenue grave par lexcitation, toujours immobile. Tu te souviens de la dernière fois.
- Oui je me souviens très bien
, répondit sans façon la patronne.
- Cela te dirait de remettre ça ?
- Juste pour notre invité ?
- Pour lui, mais aussi pour nous
Et là tout se déchaîna. Chacune, mit la main entre les cuisses de lautre. Cétait comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Ce fut Agnès de réagir la première, soulevant son pubis dune façon saccadé, esquissant les mouvements dun coït, tout en secouant la tête, encourageant sa sur à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir :
- Oh oui ! Continue !
Plus loin !
Encouragée par les plaintes lascives quAgnès émettait, la patronne accéléra alors le mouvement de va-et-vient de son index et majeur accolés à lintérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Agnès tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était lobjet. Surtout que la sur y joignait son annulaire. Même si ce
dernier força quelque peu pour pénétrer dans caverne sexuelle, dilatant un peu plus lorifice suintant.
Je ne décelais quelconque souffrance sous la volumineuse pénétration digitale sur le visage de la branler. Alors que les trois doigts de la patronne, fouillèrent et explorèrent avec adresse son vagin bouillonnant, qui allait la mener au plaisir. Où après avoir bien jouit, Agnès se laissa tomber sur le lit, les joues rouges, les paupières closes, les gencives découvertes.
- Venez ! Mordonna la patronne, les bras tendus.
Mes sens affamés par ce qui sétait dérouler sous mes yeux se firent soudain très pressantes, au point de ne pas refuser linvite qui métait offert. Un sourire gourmand étirait les lèvres de la patronne. Je bandais, je bandais même très dur. Elle fit aller et venir son doigt le long de mon sexe. Cela me fit frissonner. Et cela lamusait, de voir mes réactions. Agnès à ses côtés restait écartelée, le souffle court, fascinée par ce qui se passait à seulement quelques centimètres delle. La coquine prenait son temps. Et moi, petit à petit, je mabandonnais de plus en plus au plaisir quelle provoquait.
Elle sarrêta néanmoins, pour sortir une langue pointue de sa bouche. Un frisson me parcourait des pieds à la tête, alors que je croisais son regard. Mélange de sérieux et de gourmandise. Elle lécha, à petits coups précis, dabord la tige, puis plus haut. Je gémissais quand elle sattarda sur le frein. Soudain la patronne arrêta de me sucer, memplissant dune frustration presque douloureuse. Mais pas le temps de moffusquer que déjà la bouche de sa sur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle sétait sans façon assise à côté de sa sur dans le but évident de partager avec elle ma verge.
- Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, lil étincelant. Cest tout de même mon amant.
Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha :
- Et alors ?
Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux surs relevèrent la tête vers moi, minterrogeant du regard.
- Quest-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cur.
Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de
Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle dAgnès. Jouissant du spectacle quelles moffraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position.
De voir ces deux femmes senlacer, jambes ouvertes, ventre La patronne mavait fait savoir quelle désirait que je vienne jusquà sa chambre. Elle me reçu- allonger sur son lit.
- Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant lintervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. Javais alors vu sur une belle culotte blanche. Yavait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela nétait pas pour me déplaire. Tout au contraire, jétais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir quelle venait y passer le week-end. Sachant quà tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi.
- Fermez la porte sil vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle.
Ceci fait, elle me priait dapprocher jusquà elle.
- Jespère que vous naviez rien de prévu pour cette nuit,
Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres.
- Non madame.
- Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon peau de chambre, voulez-vous.
- Avec plaisir madame
Augurant parfaitement ce quelle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors quelle avait quitté le lit.
Mais alors que je mapprêtais à méloigner, elle mordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper lélastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. Dun gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, quelle garda dans sa main.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en saccroupissant au-dessus du pot de chambre.
Le spectacle était dune saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard sattarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté. Que sa position faisait pointer les nymphes rougeâtres, ainsi que le clitoris dardé.
Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à linstant où quelques gouttes séchappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient.
- Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager.
- Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle.
- Vous men voyez alors ravie, mon cher. Mais dîtes moi Alain, comme nous avons un petit moment pour nous, je voulais savoir si laugmentation avait été conséquente ?
- Oui et jen remercie Madame.
- Bien
vous men voyez soulager
me fit-elle alors que la miction me semblait ne jamais finir.
Jétais un peu près certain que la coquine avait avalé un litre deau juste pour avoir le plaisir de pisser longuement devant moi.
Ce nétait pas la première fois que je voyais ainsi, en gros plan, une femme pisser. Et chaque fois cela me faisait autant deffets.
Comme tout à une fin, malheureusement pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées sécoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors quelle désertait sa place.
- Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, dune démarche provocante.
- Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je nétais pas derrière elle ajouta :
- Mais approchez donc.
Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer delle pour me tendre son bras pour approcher la culotte quelle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé :
- Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire
- Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes.
- Jen étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte.
Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors quelle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais javais envie delle. Elle sagenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha lanus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir menvahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea quil était préférable de sarrêter là. Elle se leva dun bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes.
Prenant cela pour une invite, jenfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides quavait cultivé son excitation. Une forte odeur sen dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir.
Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle
clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager :
- Cest trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !
Régalez-vous, nourrissez-vous
Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source
Je la mâchonnais. Il sen dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage quelle méritait. Je macharnais sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait déjaculations. Jattendais quelle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. Jaimais beaucoup l'odeur poivrée qui sen dégager. Je ne pus me retenir dy passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal essuyées d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. Mencourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire.
Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant dassouvir immédiatement son besoin dêtre remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main en direction de mon bas-ventre. Elle sempara de ma verge dressée quelle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsquelle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, sempalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur.
Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel menvahit, accentuait par la patronne qui, impatiente dêtre labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait dun regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir.
Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois quelle se laissait retomber sur mes cuisses pour sempaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je mintéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous lassaut. Javançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par lexcitation.
Elle arqua ses reins afin de mieux moffrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée. Sempalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésies. Incapable de contenir ses émotions, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la pièce. Parfaite écuyère sensuelle, elle agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de son plaisir. Il sélevait de sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis. Comme je sentais aussi un chaud liquide sinfiltrer entre mes jambes et me tremper les couilles. Ivre de volupté, ma verge plongée dans un magma incandescent, je compris que si elle ne ralentissait pas son allure, je ne pourrais contenir longtemps le plaisir que je sentais monter de mes entrailles.
- Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention
Oh, putain que cest bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre
Cest trop bon !... Oui !... Ça vient
Oh, non, je vais jouir !...
À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre
Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que jaille me rendre jusquà la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès.
La coquine jouait les voyeuses à présent.
- Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux quun film porno !
Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir quelle avait pris à nous espionner. Avant que jaie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à lintérieur de la chambre.
- Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se létait passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, saffaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, quelle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusquau parquet.
Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sur sur le lit, sallongea à ses côtés. Avant de lembrasser à pleine bouche. Lesprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je
mavançait à mon tour jusquau lit pour être au plus près de laction. Là, ma propre patronne, me fit part, quelle et Agnès avaient eu jadis des aventures, quelle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons
Sur le lit on aurait dit quelles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je nétais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusquà son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue doù suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, quelle glissait lentement jusquà ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. Là, elle fit onduler le bassin tout en continuant à branler son vagin. Puis comme prise dun désir soudain, elle retira sa main dentre ses cuisses, pour porter ses doigts maculés à sa bouche elle les lécha avec gourmandise, recueillant avec sa langue ses propres sécrétions. Après la dégustation Agnès rompit le silence, en laissant échapper :
- Alors tu veux ? dit-elle, en sadressant à sa sur, dune voix soudain devenue grave par lexcitation, toujours immobile. Tu te souviens de la dernière fois.
- Oui je me souviens très bien
, répondit sans façon la patronne.
- Cela te dirait de remettre ça ?
- Juste pour notre invité ?
- Pour lui, mais aussi pour nous
Et là tout se déchaîna. Chacune, mit la main entre les cuisses de lautre. Cétait comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Ce fut Agnès de réagir la première, soulevant son pubis dune façon saccadé, esquissant les mouvements dun coït, tout en secouant la tête, encourageant sa sur à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir :
- Oh oui ! Continue !
Plus loin !
Encouragée par les plaintes lascives quAgnès émettait, la patronne accéléra alors le mouvement de va-et-vient de son index et majeur accolés à lintérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Agnès tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était lobjet. Surtout que la sur y joignait son annulaire. Même si ce
dernier força quelque peu pour pénétrer dans caverne sexuelle, dilatant un peu plus lorifice suintant.
Je ne décelais quelconque souffrance sous la volumineuse pénétration digitale sur le visage de la branler. Alors que les trois doigts de la patronne, fouillèrent et explorèrent avec adresse son vagin bouillonnant, qui allait la mener au plaisir. Où après avoir bien jouit, Agnès se laissa tomber sur le lit, les joues rouges, les paupières closes, les gencives découvertes.
- Venez ! Mordonna la patronne, les bras tendus.
Mes sens affamés par ce qui sétait dérouler sous mes yeux se firent soudain très pressantes, au point de ne pas refuser linvite qui métait offert. Un sourire gourmand étirait les lèvres de la patronne. Je bandais, je bandais même très dur. Elle fit aller et venir son doigt le long de mon sexe. Cela me fit frissonner. Et cela lamusait, de voir mes réactions. Agnès à ses côtés restait écartelée, le souffle court, fascinée par ce qui se passait à seulement quelques centimètres delle. La coquine prenait son temps. Et moi, petit à petit, je mabandonnais de plus en plus au plaisir quelle provoquait.
Elle sarrêta néanmoins, pour sortir une langue pointue de sa bouche. Un frisson me parcourait des pieds à la tête, alors que je croisais son regard. Mélange de sérieux et de gourmandise. Elle lécha, à petits coups précis, dabord la tige, puis plus haut. Je gémissais quand elle sattarda sur le frein. Soudain la patronne arrêta de me sucer, memplissant dune frustration presque douloureuse. Mais pas le temps de moffusquer que déjà la bouche de sa sur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle sétait sans façon assise à côté de sa sur dans le but évident de partager avec elle ma verge.
- Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, lil étincelant. Cest tout de même mon amant.
Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha :
- Et alors ?
Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux surs relevèrent la tête vers moi, minterrogeant du regard.
- Quest-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cur.
Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de
Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle dAgnès. Jouissant du spectacle quelles moffraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position.
De voir ces deux femmes senlacer, jambes ouvertes, ventre offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
Assez pour me donner envie de magenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, lautre entre celles dAgnès. Les deux coquines sembrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans sintéresser à moi. Pris denvie, je plongeais mes lèvres dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée.
Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle dAgnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je narrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle dAgnès. En tout cas, pas avant davoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir.
- Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu toccupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ?
Elle releva pour ça ses genoux, afin dexhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, quelles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, jouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours.
Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me larrima. Après sêtre assuré quil était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en saccroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusquà ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement davant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains semparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant laffection et de lamour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à lenvie de mépancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient linfini plaisir quelle prenait.
Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. Joubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
Elle sagrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout lair de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça narrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
Jattendais quelle se calme, pour lui faire comprendre quil était temps pour moi quelle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement au moment où jessayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour garder prisonnier le gode avecun grognement de désapprobation.
Je comprenais quelle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je linvitais à se retirer. Elle me regardait, alors quun très beau sourire illuminait son visage.
Pendant quelle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que
offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
Assez pour me donner envie de magenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, lautre entre celles dAgnès. Les deux coquines sembrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans sintéresser à moi. Pris denvie, je
plongeais mes lèvres dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée.
Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle dAgnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je narrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle dAgnès. En tout cas, pas avant davoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir.
- Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu toccupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ?
Elle releva pour ça ses genoux, afin dexhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, quelles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, jouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours.
Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me larrima. Après sêtre assuré quil était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en saccroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusquà ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement davant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains semparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant laffection et de lamour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à lenvie de mépancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient linfini plaisir quelle prenait.
Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. Joubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
Elle sagrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un
cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout lair de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça narrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
Jattendais quelle se calme, pour lui faire comprendre quil était temps pour moi quelle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement
au moment où jessayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour
garder prisonnier le gode avec un grognement de désapprobation.
Je comprenais quelle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je linvitais à se retirer. Elle me regardait, alors quun très beau sourire illuminait
son visage.
Pendant quelle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que
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