Petite Histoire D'Un Couple Pervers 1

Petite histoire d’un couple peu ordinaire

Je me dirige vers l’appartement d’Agnès sous une pluie d’orage, Agnès en effet
organise comme souvent une soirée chez elle, je suis en retard c’est une habitude chez
moi de plus quelle idée d’habiter dans un quartier ou les places de parking sont aussi
présentes que l’eau dans le désert de Gobi.

Enfin bon je suis trempée sous cette pluie ma robe fourreau noire me colle a la peau,
je m’essuie dans l’ascenseur et jette un regard sur la glace, pas trop de dégâts ouf,
bon je réajuste mes bas lisse ma robe sur ma peau, et d’un pas décidé je sonne.

Agnès jolie femme de quarante ans vient ouvrir, je pénètre dans son logis, déjà
beaucoup de monde, je me dirige vers le buffet espérant trouver une coupe de champagne
lorsque je sens sur moi un regard narquois d’un homme, je me retourne et je le vois
avec son regard ironique poser sur moi, bel homme d’une quarantaine habillé avec goût
mais avec je ne sais quoi de nonchalance d’ironie amer.
Je lui souris, il se dirige vers moi, ce présente il se prénomme Stéphane.. ; Je suis
sur la défensive,
Il déclare toujours ce petit sourire aux lèvres que je ressemble a une sirène sur un
banc de sable, merci… mais quelle idée aussi , et je le rassure lui indiquant que mon
maquillage est waterproof et qu’il n’a pas a s’inquiéter et que je suis peu sujette à
la grippe, son rire résonne dans la pièce.
Apres cette présentation on ne peut plus agressive il revient élégant avec deux coupes
de champagne, je le remercie et nous bavardons en faisant connaissance.

Il y a des instant magique dans une vie, ce soir en fut un, poussée par élan,
j’accepte de prendre un dernier verre chez lui.
Dans sa voiture ses mains douces se posent sur le haut de mes cuisses et naturellement
et aussi vicieusement possible caresse le haut de mes bas.

. Et trousse ma robe.
Ce qui est ne m’est jamais arrive je me laisse faire, envoûter par son charisme.
Nous arrivons devant un immeuble et dans son appartement de bon goût confortable.. Il
me précède et je m’assois dans un profond fauteuil en cuir.
Toujours aussi prévenant et aimable il nous sert deux verres de cognac et m’apprend
qu’il me cherche pas une femme ordinaire mais une partenaire de jeu, que seule la
perversité dans un raffinement de bon aloi l’intéresse et qu’il pense que je suis la
reine des garces.
Devant tant de compliment je lui précise en effet que je suis moi aussi à la recherche
d’un complice et j’accepte sa proposition de devenir sa partenaire de jeu et l’appât
de notre couple.
Nous continuons à bavarder à préciser nos attentes nos désirs nos limites, nos visions
sont semblables, notre fétichisme identique, une certaine harmonie se dégage.
Je me sens en confiance avec cet homme il est sûrement le partenaire idéal de mes
idées les plus vicieuses.

Sans un mot il se lève me prend par la main et m’embrasse dans un baiser à la fois
tendre mais volontaire nos langues se cherchent nos corps s’épousent comme deux aimant
qui se sont longtemps chercher et enfin se reconnaisse d’être de la même race ceux des
dominants…
Une de ses mains s’égare sur mon string ficelle noir dans un caresse aussi ferme que
précise, je m’abandonne je commence à devenir humide.
Mon souffle s’accélère j’écarte les cuisses me cambre, notre baiser n’en finis pas,
deviens plus animal, mes mains caressent la bosse de sa verge en train de bander sous
son pantalon de toile …
Félin il m’arrache mon string et porte ce petit morceau de tissu gluant de mon plaisir
entre nos lèvres, je lèche du bout de la langue avec lui dans un jeu aussi subtil que
vicieux, sa main continue a me fouillée a découvrir mon inimitée, j’ouvre son zip
libérant un membre gorgé de plaisir.

Sans un mot je m’agenouille et commence une fellation, j’y mets tout mon art lui
démontrant mes talents, il me complimente j’apprécie sa main qui se fait plus dure sur
ma chatte, je coule, dans un râle il jouit dans ma bouche pendant que je m’abandonne
sur sa main dans un spasme.

Ses seules paroles sont : je pense qu’un couple de félin est né chère milady, je luis
répond que je suis à sa disposition cher marquis.
En lui jetant un dernier regard je quitte son appartement. Dans le taxi qui me ramène
chez moi je repense à notre dialogue et à ce marquis.

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