Délassement Après Le Travail
Notre boite fonctionne fort bien : nous nous occupons de relations publiques. Le
hasard fait que nous sommes entre filles, ce qui ne signifie que nous vivons comme
toutes les autres femmes, même et surtout dans la vie de tous les jours. Nous avons
presque toutes un mari ou un amant. A dire vrai pour nous ce nest pas notre
préoccupation principale : il faut que la boite fonctionne bien.
Nous avons des moments surbookés, et de rares moments de calme. Nous sommes
actuellement dans la charrette, à tel point que je suis obligé de prendre du travail à
la maison au grand désespoir de mon époux.: mais « bisness is bisness » .Heureusement
quil sabsente souvent plusieurs pour son job en Allemagne.
Je moccupe dun nouveau client avec Nicole, ma collègue. Une nouvelle boite aux dents
longues comme toutes les nouvelles boite avec du pèze.
Nous commandons une pizza pour diner en paix en travaillant. Une bouteille de
Corbières pour faire passer ce que nous mangeons. Enfin vers 1 heure, le matin nous
finissons. Nicole me demande de laccueillir pour la nuit : elle a peur de rentrer
toute seule si tard. Elle a raison, nimporte quel homme lui sauterait dessus
tellement elle est mignonne avec ce quil faut là ou il faut.
Dans la chambre nous nous déshabillons sans trop de tralala. Si je porte un semblant
de chemise de nuit transparent, elle na strictement rien. Entre nous ce nest pas
grave nous nous connaissons assez pendant les après midi piscine.
Je le trouve quand même vachement sexy. Au fond de mon ventre sallume une petite
lueur : je suis un peu excitée de la voir ainsi nue devant moi. Couchée, je ne la vois
plus, pourtant je pense encore à son corps merveilleux. La fatigue de la journée et
lheure tardive font que je mendors rapidement.
Plus tard dans la nuit, je me réveille : Nicole à plat ventre passe un bras sur mon
corps.
faire en pensant quelle pourrait me faire du bien. Son souffle régulier montre
quelle dort bien. Pourtant sa main est sur mon ventre. Je prie pour quelle me la
mette sur le sexe. Sa main oublie mon ventre pour aller sur le pubis.
Je la voudrais bien plus bas, alors que je ne connais aucune caresse féminine, sinon
les miennes. Jattends encore quand elle se tourne sur le dos, les jambes écartées. Je
sais que je suis excitée que je mouille tant jai envie delle. Je ne vais pas rester
ainsi inactive. Je commence par le plus pressé : me soulager.
Jécarte les cuisses, place ma main droite sur le clitoris, je me masturbe lentement
pour ne pas la réveiller : que penserait-elle de moi ? Je suis comme toutes les
femmes, arrive le moment où mon corps réclame davantage de profondeur. Deux doigts de
ma man gauche entrent dans mon puits. Ma masturbation prend de lampleur, comme mon
plaisir arrivant. Je gémis juste au moment de lorgasme. Je dois jouir trop fort, ce
que je ne voulais pas arrive : Nicole se réveille.
- Tu te branles ?
- Oui, je viens de jouir.
- Tu nas pas oublié quelquun ?
Je ne sais que dire. Par contre elle sait quoi faire, elle pose ses lèvres sur les
miennes pour les mordiller avant de faire entrer sa langue dans ma bouche. Elle me
donne encore envie de jouir. Je rends son baiser : nos langues participent activement.
- Tu sais tu es la première fille que jembrasse sur la bouche.
- Moi aussi.
- Tu sais on dit que les filles sont meilleures que les hommes pour faire jouir les
filles. On essaie ?
Je pourrai ajouter que cest la première fois que je suis excitée et prête à céder à
une fille.
- On essaie, daccord, mais commence.
Je laisse volontairement ma place, si je sais me caresser je ny connais rien avec les
autres.
longuement. Nos langues semblent luter dans nos bouches. Japprécie sa salive. Elle se
colle contre moi, je sens sa chaleur contre mon corps. Quand elle me fait déshabiller
cest pour mieux caresser ma poitrine. Elle se penche sur moi : je sens ses seins
contre les miens : cest excitant au possible. Une main caresse mon ventre avant de
descendre là bas en bas. Elle caresse à peine ma fourrure pour chercher ma véritable
intimité. Je sens ses doigts sur mes lèvres : elle les ouvre. Nicole cherche un peu
avant daller juste dans mon nid. Ses doigts me font du bien, mieux que les miens.
Elle abandonne mon vagin pour chercher le petit bouton qui me fait toujours jouir. Là,
elle sait comment faire : elle commence sans appuyer, manière de mexciter encore
plus. Je gémis de plaisir. Elle va de plus en plus vite : juste la vitesse que jaime
pour jouir, ce que je ne manque pas de faire. Sa langue est insistante dans ma bouche
pendant la durée de lorgasme.
- Maintenant à ton tour, donne-moi le grand frisson.
- Je ne sais pas si je vais bien te faire jouir, tu es ma première fille.
- Tu es bien ma première aussi. Tu as bien joui ?
- Oui. Je vais te branler.
- Non je préfère que tu me suce.
Je suis un peu récalcitrante, pourtant je descends en bas du lit, entre ses cuisses :
ma tête monte vers sa chatte. Je sens son odeur avant dy arriver : une odeur que je
ne connais pas, agréable. Enfin ma bouche arrive sur son sexe. Elle est toutes
mouillée.
Elle pose ses mains sur ma tête comme pour me guider. Je cherche un peu en passant
entre ses lèvres où je trouve dabord son trou principal. Maintenant je connais le
chemin pour arriver. Son clitoris est plus gros que le mien, je peux le prendre
facilement entre mes lèvres. Ma langue entre en action pendant que mes deux mains
empoignent les seins que je pelote doucement.
très durs, comme je lèche son bouton.
Elle gémit longuement de plaisir. Je sens ses crispations de jouissance qui ne
marrêtent pas pour continuer à la lécher. Jai pris un avantage en aimant sa cyprine.
Elle marrête pour que nous fassions un 69, position que jadore avec mon mari, sauf
que là je naurais pas de bite dans la bouche et pas de sperme. Tant pis, ça doit être
aussi bon entre filles.
Cest bon entre filles. Je me trouve sous elle, son con contre ma bouche et le mien
contre sa bouche. Nos langues font ce quelle savant faire et nos doigts participent à
laction. Nos anus servent à nous donner du plaisir surtout quand cest une langue qui
est dessus.
Nous sommes déchainées, envoutées par le plaisir. Nos mains ne quittent pas le sexe de
lautre. Notre pudeur est au rancard. Elle peut me demander ce quelle veut, je le lui
donne.
- Tu sais jai dans mon sac un gode, je men sers presque tous les jours au bureau. Si
tu le veux je pourrais tenculer avec.
- Jen ai un aussi. On pourrait senculer ensemble.
Munies de ces instruments idéals pour le plaisir des femmes, nous nous couchons
encore. Cette fois cest sérieux, nous allons nous sodomiser. Cest rare de trouver
deux filles qui se font mousser ainsi.
Toujours en 69 nous pouvons facilement changer de comportement. Nous ne sommes plus
des filles, nous devenons des mâles uniquement préoccupés de jouir. Dabord chacune
mouille le gode à la source du plaisir avec sa cyprine. Bien mouillés ils peuvent
aller dans les arrières trains.
Cest elle qui arrive la première à me la mettre profondément. Je cris presque mon
bonheur de me trouver ainsi enculée. Je vois son cul près de mes yeux, je lui mets le
gode dans le rectum. Nos mouvements sont coordonnés au point que nous arrivons à jouir
ensemble.
Nous avons passé la plus grande partie de la nuit à baiser. Nous sommes mortes en
revenant au bureau.
Notre récompense est que le client est satisfait de notre projet. Depuis nous navons
jamais recommencé.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!