Leslie Ar 28

Leslie AR28 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite

Nous entrons dans un salon et fermons la porte et même si dans ce salon nous allons
avoir notre intimité et ne pas être dérangés, nous savons, que par les vitres sans
teint, nous pouvons être observés.
A la vue de l’intimité dont Benoît et Laure font preuve, je pense que pendant que
j’étais avec Passy sur la piste de danse, ils ont du faire plus amples connaissance,
je dirais plus intimement même.
D’ailleurs très rapidement laure se retrouve allongée sur le lit du salon les cuisses
largement ouvertes avec la tête de Benoît sur sa vulve, Laure ne portait plus son
string quand ils sont venus nous chercher.

Tandis que je m’occupe d’enlever le string noir en maille de Passy, j’entends Laure
gémir doucement, un petit cri attire notre attention et ensemble avec Passy nous
regardons Benoît et Laure.
La langue de Benoît remonte lentement de son petit trou à son vagin, puis elle
s’insinue fébrilement dedans. Il a plongé entre ses lèvres et savoure son intimité
bien ouverte et humide, c’est fois-ci elle gémit doucement. Un doigt vient accompagner
sa langue pour titiller son clitoris, ce manège se prolonge un moment.
Pendant ce temps-là le string de Passy git au sol et je doigte ma compagne qui soupire
doucement en disant :
- Ohhh, oui, c’est bon, oui.
La langue de Benoît devient toujours plus gourmande et s’active de plus en plus sur
les muqueuses de Laure, tandis que son doigt joue avec son petit bouton. Laure sent
l’orgasme monter en elle et se crispe, elle s’abandonne vite dans un cri de démence.

Benoît entreprend aussitôt de se défaire de son pantalon et bientôt un slip sombre
apparaît odieusement déformer par l’excitation de son sexe que l’on devine emprisonné.
Il se penche, les genoux en appui sur le lit, la main de Laure est passé entre ses
cuisses et flatte doucement ses bourses à travers le slip, elle les caresse un
instant.


Puis libérant le sexe de Benoît de sa prison de tissu, elle peut admirer ce qui se
présente à elle, moi aussi d’ailleurs tout en continuant de doigter Passy qui feule
comme, une lionne.
Le sexe de Benoît est de taille respectable, mais normale parcouru de grosses veines
bleues.
Laure reprend ses caresses et en profite pour le décalotter avant de le prendre en
bouche.
La langue de Laure vient trouver son gland puis elle prend la moitié de son sexe dans
sa bouche, ses lèvres enserre le sexe de Benoît et caresse le gland de sa langue.
Benoît soupire de plaisir et caresse les cheveux de Laure en souriant, puis il a
basculé la tête en arrière dans un plaisir qui le foudroie.

Maintenant nous sommes là avec Passy, nos corps dénudés prêt à se donner du plaisir,
Passy vivre sous mes doigts attendant la pénétration qui va la libérer et l’emporter
vers d’autres horizons, la main en arrière enserrant mon membre dans un branle de
folie.
Passy prenant appui sur le dossier d’une chaise se courbe et se cambre, m’offrant
impudiquement ses reins, en me disant :
- Maintenant, prends-moi !
J’approche mon sexe bandé à mort de l’intimité de Passy, elle est toute trempée et je
n’ai aucune difficulté de rentrer toute la longueur de mon sexe en elle. Passy et
étroite et sous ma pénétration elle gémit de douleur mêlé de plaisir. Maintenant je
m’active en elle pendant qu’elle hurle son plaisir.

Laure alors se place de dos, complètement cambrée vers l’arrière, puis Benoît place
son sexe au bord des lèvres de Laure, offerte et fébrile. Ses grandes mains sont
passées de chaque côté de ses fines hanches et les enserrent comme de petits jouets.
Enfin dans une poussée son gland écarte ses lèvres et il entre doucement en elle, il
bouge doucement un peu, puis commence des va-et-vient plus rapides. Malgré sa volonté,
Laure ne peux réprimer de bruyants gémissements quand l’a secoue, le membre enfoncé en
elle.

Bientôt il trouve sa cadence quand il est complètement rassurer du plaisir de Laure,
il a pris appui sur ses cuisses et profite de sa cambrure et de ses jambes pour
s’appuyer avec force et accen son mouvement.
Leurs corps sont collés l’un à l’autre dans une fusion totale, Laure est littéralement
soulevée par chaque coup de reins qui l’enfonce en elle, et chaque aller et venu
écarte ses lèvres et force délicieusement son vagin.
Il entre et ressort d’elle, je me mets à mon tour à son rythme, Passy s’en rend compte
et jouit de bonheur, nous plongeons ensemble jusqu’au fond des chattes de nos
compagnes, accompagnés par leurs gémissements de plaisirs.
Elles sont terriblement éprouvées par cette levrette interminable que nous leur
infligeons, et dans un grognement de plaisir, nous nous abandonnons en elle en
inondant abondamment leur intimité.

Puis reprenant nos esprits, Benoît nous dit :
- Allez, à la douche maintenant !
- Ensemble alors, dit Passy.
- J’espère bien, dis-je.
Sous la douche avec nos compagnes réciproques, je ne me suis pas occupée de Benoît et
de Laure, trop accaparée par la belle Passy. En nous rendant à la salle de douche elle
se colla à moi en me disant :
- Encore ma chérie, j’ai adorée !
Sous l’eau bouillante, elle se place dos à moi, et commence à frotter son petit cul
sur mon bas ventre, faisant renaitre ma virilité qui se redresse fièrement. Mes doigts
pénètrent ses chairs intimes, mes doigts la fouillent fort et commencent à la faire
jouir, puis elle se colle contre la paroi, cambre ses reins au maximum et me demande :
- Oui pénètre-moi de tes doigts, fais-moi jouir ma chérie !
Je reprends ma pénétration, bientôt toute sa main s’occupe de son sexe et la met au
supplice.
Puis je place mon gros sexe entre ses cuisses, elle dans l’attitude d’une soumise,
offerte, attendant la pénétration.


Passy, les mains collées contre la paroi de la douche, me laisse la pénétrer une
nouvelle fois et à nouveau elle crie de plaisir.
Je me retire, et en lui appuyant un peu sur les reins je la fait descendre un petit
peu et mon gland se bloque contre son anneau. Je durci ma prise, enserre ses frêles
épaules avec mes bras et ses seins s’écrasent contre la paroi.
D’un coup je la force en bloquant son bassin pour ne pas qu’elle bouge.
Son corps maintenant tendu comme il arc est baigné par les eaux brûlantes, elle hurle
de douleur et de plaisir mélangés. Ma pénétration bute sur son anneau qui résiste un
moment et à la deuxième tentative mon membre ouvre son petit cul serré, écartelé par
ma virilité.
Je ne bouge d’abord pas, puis commence un petit mouvement de bassin, ses deux mains
ont attrapé mes cuisses avec une force folle et sous la douleur elle plante ses ongles
dans les chairs de mes cuisses.
Tétanisée par la pénétration infligée elle attend immobile mes assauts, je libère une
main et la passe par le devant de son corps pour caresser son sexe libre, son intimité
caressé la fait vibrer et gémir, puis hurler quand mon doigt caresse son clitoris
dressé et dur, largement sorti de sa gangue.

La rondelle complètement écartelée par mon sexe, Passy se retourne pour me souffler :
- Ohhh, ma salope tu m’écarte le cul comme jamais !
Je l’embrasse dans le cou en lui disant :
- Tu es divine.
Je me suis mis à la posséder par de amples aller et venus dans ses chairs intimes et
s’est laissé faire les yeux fermés et un rictus sur le visage, puis elle a crié sans
retenu son plaisir anal quand mon membre au fond de ses entrailles l’a rempli. Elle
s’est laissée descendre contre la paroi bercée par l’orgasme et la chaleur. Ses chairs
foncées incroyablement ouvertes même après que je me sois retirée.
Nous nous sommes lentement lavés et essuyés avec une infinie douceur, avant de nous
rhabiller et d’aller au bar attendre Benoît et Laure.


A suivre…

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