Sous Ses Haillons Sommeillait Un Trésor

Comme tous les matins quand je ne suis pas de garde a la caserne des pompiers je vais
à la galerie marchande du super marché prendre un petit crème et acheter le journal,
jenny ma femme, trente cinq ans comme moi, est infirmière a l’hôpital
Ce matin là il pleut a verse, je me gare au plus prés de la porte, dans le sas d’entré
il y a trois s d f qui ont l’air bien agités, deux gars et une fille plus jeune
discutent ferme, apparemment ils sont déjà ivres a dix heures du matin ! Les gens ont
l’air agacé ce qui est normal, la fille qui a vue d’œil n’a pas la vingtaine me prend
a parti
- Monsieur auriez vous une pièce pour manger ?
- Désolé, je n’ai rien sur moi mais je vais au distributeur, nous verrons a mon
retour
Il est vrai que si je veux prendre un café je dois retirer du pognon avant ! une
demie – heures plus tard a ma sortie, j’entends des éclats de voix encore plus forts
qu’au début, les trois compères sont dehors mais ce qui est plus grave c’est que la
fille recroquevillée a terre hurle de douleur les deux mecs lui donne des coups de
pieds au hasard dans le bas ventre dans la poitrine, elle git complètement trempée
dans une flaque et tous le monde passe au large même le vigil a les bras croisés et
regarde le spectacle
– hé bien vous ne faites rien ?
- Boff laissons les régler leurs comptes j’ai appelé les flics
Je fonce sur le groupe et joue des coudes, les gars bourrés n’oppose pas de résistance
et se reculent
- Vous n’avez pas honte de frapper ainsi une jeune fille ?
- Ben elle n’a rien à foutre ici c’est notre territoire
- Elle n’a pas voulu nous faire de pipe alors qu’elle se barre !
- Venez mademoiselle ne restons pas là, vous êtes bien amochée je vous conduis
aux urgences
Accrochée à moi comme a une bouée de sauvetage son humidité se transmet a mes
vêtements, elle ne doit pas avoir grand-chose sur la peau car sont corps est
parfaitement dessiné même très bien dessiné par la robe collante …
- NON ! pas les urgences les flics vont me cueillir
- Quel âge a tu ?
- Dix huit …
- Pourquoi a tu peur de la police ?
- Ben j’ai chouré des biscuits et de la vodka au magasin
- Bon, ne restons pas là
- Ou m’emmenez-vous ? ah ! mon sac là prenez le……
Sa voix est pâteuse mais je comprends ce qu’elle dit ! Je l’appui sur la voiture pour
qu’elle trouve l’équilibre et ramasse un genre de sac en toile aussi trempé qu’elle,
puis je dispose a la hâte une couverture sur le siège afin qu’il reste sec ! Je
démarre, il est temps la voiture de police arrive sirènes hurlante
- J’ai mal j’ai mal !!
- Ou as-tu mal ?
- Ici et aussi aux nichons ils m’ont tabassée à coup de pieds ces cons !
Elle se tient le bas ventre entre les cuisses
- Nous allons chez moi je vais voir ce que je peux faire, j’ai mon brevet de
secouriste, que fait tu toute seule dans la rue ?
- Il y a huit jours j’ai fugué avec un type de trente ans, il m’a amenée ici et
m’a baisée pendant deux jours avant de me lourder
- Et tes parents ?
- Je n’ose plus retourner chez moi et comme je suis majeure ils attendent que je
revienne
Elle a aussi besoin d’une bonne douche ! Les cheveux collés très sales, la robe
immonde, une odeur de chien mouillé flotte dans la voiture je n’ose imaginer le reste
du corps qui au demeurant doit être bienfait à en juger par les seins moulés par le
tissu trempé
- Nous voilà arrivés, je te propose de prendre d’abord un bain et ensuite je
verrais tes blessures OK ?
- OK
J’ouvre les robinets sème des sels de bain et la laisse se déshabiller seule
- Si tu as besoin de moi appelle …
- J’appelle qui ?
- Yoann, je m’appelle Yoann et toi ?
- Coralie
Une minute plus tard …
- Venez vite Yoann !
Je me précipite, je la trouve la tête empêtrée dans sa robe relevée jusqu'à la
poitrine son bas ventre est nu, son pubis blond est maculé de sang, ses cuisses et ses
seins portent des bleus, je reste médusé devant sa beauté filiforme
- Aidez-moi !!! je suis coincée dans ma robe !
Visiblement elle n’est pas dessoulée, le tissu mouillé adhère a elle comme une seconde
peau, je tire tant et si bien que le tissu craque, de toute façon ce vêtement était à
jeter a la poubelle, la voilà nus face a moi, je la regarde un bon moment, avant de
pouvoir dire quelque chose
- Tu ne porte pas de sous-vêtements ?
- Je les aie jetés il y a deux jours ils puaient trop !
- Bon je t’en donnerais de ma femme, maintenant monte dans la baignoire et lave
toi je verrais tes blessures après
- j’ai peur de me noyer si je lâche les bords… aidez moi
Bondieu ! Me voilà coincé, mais comment résister a poser les mains sur cette beauté …
Je passe mes doigts dans les cheveux mêlés tout en admirant ses tétons qui flottent a
la surface , une fois la tête lavée je prend une éponge et commence par frotter le dos
… tout le dos , jusqu’à la raie des fesses pommées, je l’avoue … je bande alors qu’il
me faut passer devant !
Mes mains décrivent des cercles sur ses seins, j’en apprécie la fermeté, puis le
ventre plat… et ….

Le pubis, mais elle me ramène a la réalité
- Attention j’ai mal ici
- Je vais contourner de toute façon il va falloir raser
- Vous allez me raser la chatte ?
- Il le faut si je veux désinfecter
- Ah bon ….
Je descends dans les aines ? Les lèvres sont là je n’ai qu’un geste a faire pour
enfoncer un doigt dans son intimité …
- Tant que vous êtes là pouvez vous toucher pour voir si mon vagin est blessé ?
- Te toucher ?
- Ben oui enfoncez un doigt pour voir !
- Comme tu veux …..
- Aaaaaahhhhhhhhh ……
- Ça te fait mal ?
- Non ! au contraire ! vous pouvez continuer, a voir la bosse de votre braguette
ça vous fait du bien a vous aussi !! !
- C’est parce que tu es trop belle ….
- Merci, allez y touchez moi encore …. OOOOOuuuuuuuuuiiiii hhhhhoooooooooooo
c’est bon
- Assez joué finis toute seule sinon...
- Sinon quoi ?
- Rien …dépêche toi que je soigne ton pubis, quand tu sors enveloppe toi dans ce
drap de bain et rejoins moi au salon
- Oui monsieur hihihi !
Cette petite peste me trouble, au fait voyons voir ce sac ……ah effectivement une
bouteille de vodka a moitié vide et une carte d’identité heureusement qu’elle est
plastifiée !.... Coralie M dix huit ans tout juste ! Bon elle n’a pas menti …..Elle
habite a deux cents kilomètre d’ici, vite fait je tape sur les pages blanches de
l’ordi, l’adresse correspond le téléphone existe… vite fait je compose le numéro…
- Allo ?
- Oui ?
- Vous ne me connaissez pas mais voulez vous avoir des nouvelles de Coralie ?
- AAAAHHH vous savez ou elle est ? comment va-t-elle ?
- Coralie va bien elle est chez moi, elle a grand besoin de vous, venez la
chercher de toute urgence voici mon adresse…….
Il était temps Coralie déboule dans le salon, une serviette enroulée su ses cheveux
mouillés le drap de bain accroché a ses pointes de seins, bon ses parents viennent en
fin d’après midi tout va bien
- Voilà je suis prête ! je sens booooonnnnnnn
- …va dans la chambre et allonge les fesses au bord du lit je vais te raser le
pubis
- Vous me rasez complètement, je ne l’ai jamais fais je veux voir ce que ça
donne
Il va falloir que je me penche sur sa chatte, même si c’est pour des soins c’est quand
même une jeune chatte qui semble adorable, ma queue va surement réagir encore une
fois, j’opte pour de la crème épilatoire pour le plus gros volume et le ciseau et le
rasoir pour les contours de la plaie qui ne doit pas être bien important
- Ça ira comme ça ? Vous voyez tout ?
La fille visiblement dessoulée articule bien elle est responsable de ses propos, vue
sa position jambes repliées et très écartées, pour tout voir je vois tout, jusqu’a son
petit trou boursouflé qui palpite, je devine la fente rose parmi les poils blonds, la
blessure sur le pubis est finalement superficielle, trois centimètres provoqués par un
coup de chaussure certainement, des bleus énormes apparaissent a l’intérieur des
cuisses et sur les seins, ces cons voulaient visiblement lui faire très mal
- Je vais garnir tes poils de crème ensuite je raserais ce qui reste
- Vous jetterait un coup d’œil sur mes seins ça me fait mal
- Bien sur je vais les palper…
- Vous n’allez pas être a l’étroit dans votre pantalon ?
- Surement que si, mais je vais me contrôler !
- Pourquoi serai-je la seule a poil ? allez monsieur faites moi plaisir mettez
vous en slip !
- Si tu y tiens ……
Me voici en boxer déjà tendu comme une toile de tente a genoux sur la descente de lit
après enduire les poils pubiens de crème, je passe délicatement au plus prés de
l’intérieur des grandes lèvres et très prés de l’anus
- Voilà pendant que ça fait effet voyons ces seins ……
- Doucement …
De la descente de lit je monte a ses cotés, mes doigts appuis délicatement prés des
hématomes, mon dieu quelle poitrine ….
- Ça va ? pas trop mal ?
- Juste un peu vous pouvez me peloter franchement
- Pourquoi le ferai-je ?
- Parce que j’en ai envie pardi ! s’il vous plait juste un peu !
- Mon slip est tendu a rompre !
- alors ôtez-le
Joignant le geste à la parole elle agrippe l’élastique à la taille et tire dessus,
résultat mon membre bondit à l’air libre
- Woooouuuuuaaaaaah quel queue !
- Bon je vais racler la crème et raser le reste de poils, ne bouge pas si tu ne
veux pas que j’entaille ton clitoris !
- Ce serait dommage il fonctionne très bien, je sens qu’il est gonflé !
Une demi-heure plus tard la chatte est aussi lisse que son genou ! Un sparadrap orne
son mont de vénus, je suis complètement nu avec une gaule d’enfer !
- Voilà y’a plus qu’a attendre dans quelques jours ce ne sera plus qu’un mauvais
souvenir
- Moi j’aurais bien voulus garder un bon souvenir !! aller on le fait ?
- Coralie j’ai quelque chose à t’avouer … ce matin j’ai téléphoné a tes parents,
ils arrivent dans la soirée
- Vous avez fait ça ?
- Tu ne veux pas rentrer chez toi ?
- Ben si ! raison de plus pour ne pas trainer, je vous dois bien ça pour m’avoir
sortie des pattes de ces deux cons ! approche
Coralie prend mon membre a deux mains et approche sa bouche, sans hésiter elle gobe
mon gland, jeune mais experte elle me suce merveilleusement, mes mains triturent ses
seins meurtris, elle geint de plaisir et de gourmandise, la réaction saccadée de ma
queue annonce l’éjaculation, mais elle ne se recule pas au contraire sa bouche arrête
de pomper pour recevoir mon foutre, un excédent coule sur sa poitrine
- Aaaaahhhh c’est bon de sucer une queue propre ! , oh il ne faut pas que ce qui
c’est échappé se perde ça va faire du bien a mes nichons ! étale-le sur mes bleus…. ma
chatte aussi a besoin de cette crème
- Ne t’en fait pas elle va être servie mais avant je vais lécher ta mouille
- Si tu avais mis le nez dessus ce matin tu serais parti en courant !
- Ta moule est très propre et sens très bon, même trop bon le savon ôte les
bonnes effluves féminines
- Sois rassuré ma mouille va compenser regarde ça coule à flots !
- Huuuuuuummmmmmm ……. Chloup !
- On dirait un chien qui lape ! mmmmuuuuuummmmmmm que c’est booooooonnnnnnnnnnn
! YOANN !!! je jouiiiiiiiiiiiiis Aaaaaahhhhhhhhh !
Ses cuisses enserrent ma tête je reste bloqué entre ses jambes tant que la cyprine
jaillit de son trou puis elle se détend apaisée, sa chatte imberbe qui baille me rend
fou, je saisie ma queue et la dirige sur la fente, d’instinct elle relève les jambes
sur mes épaules je plonge dans ce puits bouillant
Les deux mains sous ses fesses je la besogne à grands coups de bitte, le plaisir est
plus fort que la douleur elle gueule a faire trembler les murs, heureusement que le
drap de bain est resté sous elle j’aurais du mal à expliquer l’inondation du couvre
lit ! Je me suis vidé au fond du vagin qui serre ma queue comme un étau
- Hou la la !quelle séance ! ça se voit que tu as de l’entrainement sportif !...
mais au fait, je n’ai plus rien à me mettre ?
- Suis-moi, a première vue tu fais les mêmes mensurations que ma femme qui dit
qu’elle n’a rien pour s’habiller mais les tiroirs débordent ! string ou slip brésilien
?
- Mini string voyons !
- Voilà un petit ensemble coquin, et cette robe te plait ?
- Ooooh ouuiii elle est belle
- Alors habille toi vite tes parents vont arriver
- Tu viendras me voir ? si tu veux je peux me déplacer mon père a les billets de
train gratuitement !
- Ok mais plus de fugues hein ????
- Promis ! à part pour venir me faire sauter par toi une fois par mois ! touche-
moi encore le minou…….