Jocelyne Femme De Militaire
Jocelyne et deux copines ont choisi, ce soir, d'aller en discothèque. Ces femmes
d'officiers de marine ont pris soins de confier la garde de leurs s, pour
réserver la soirée. En effet, leurs maris sont embarqués depuis déjà trois semaines,
pour encore deux mois. Afin de briser cette solitude et cet isolement, ces femmes de
militaires ont créé une sorte d'association, par laquelle, elles se retrouvent de
temps en temps.
Ce soir là, trois d'entre elles, ont opté pour une soirée en discothèque. Jocelyne, 28
ans, jolie femme de taille moyenne, a laissé ses deux jeunes s pour la nuit,
chez ses parents, qu'elle a la chance d'avoir presque sous la main. Ce soir, elle a
envie de se détendre et de s'amuser un peu. Les trois femmes sont accostées par des
jeunes hommes proches de la vingtaine, pour danser un slow. Pourquoi pas ! se disent-
elles. Elles dansent donc chacune d'elle en compagnie de ces jeunes hommes.
Jocelyne est la plus jeune des trois femmes. Les autres sont âgées de 32 et 35 ans.
Jocelyne écoute le jeune homme, qui lui caresse le dos en lui parlant de banalités qui
finissent par la faire rire. Ce jeune, impertinent, est intéressé, comme ses copains,
par ces trois femmes à la fois jolies, mûres, et vêtues de façon classique. Le slow
terminé, les deux autres femmes retournent près du bar alors que Jocelyne est
entraînée à la table des trois jeunes hommes. Elle va y passer la soirée à discuter,
rigoler, et danser de temps en temps. En fait, elle est là pour s'amuser. Vers 1 heure
du matin, ses copines viennent la chercher.
- Jocelyne, tu viens ? On s'en va
- Déjà ! Vous vous couchez comme les poules, ma parole ! dit un des garçons !
- Et oui ! On n'a nos s à récupérer et demain, il faudra se lever pour les
emmener à l'école.
Jocelyne commence à se lever.
rétorque :
- Toi aussi tu as des s ? Allez ! Reste encore un peu je te ramènerai chez toi.
Jocelyne se rassoit :
- Bon je reste. IL me ramène. Rentrez bien les filles.
- Comme tu veux Jocelyne ne rentre pas trop tard !
Les femmes s'embrassent et se quittent. Jocelyne continuera la soirée à danser et à
discuter d'elle répondant à chacune des questions indiscrètes. C'est dans ses propos
qu'elle avouera être mariée très jeune, ne pas avoir connu d'homme, ni d'expérience
avant son mari, se consacrer à l'éducation de ses s sans son mari souvent
absent.
Jocelyne va danser seul sur la piste. Elle est observée par les jeunes hommes, la
regardant de la tête aux pieds en faisant des commentaires. Pour la circonstance, Elle
est vêtue d'un pantalon, et d'une veste tailleur, ouvrant un large décolleté. Cet
ensemble lui permet de suggérer une poitrine qu'elle n'a quasiment pas, et de cacher
ses fesses plates. Mais, sous ses airs de femme de bonne éducation, est très agréable
à regarder, avec ses longs cheveux bruns. L'heure de la fermeture de la boite est
venue.
Les deux copains du jeune homme et Jocelyne qui a un peu la tête qui tourne se
regroupent près de la voiture de l'un d'eux. Elle a bu 2 ou 3 verres de vodka orange,
elle qui n'a pas l'habitude de consommer d'alcool habituellement. Après avoir guider
le conducteur jusqu'à son domicile, Jocelyne sort de la voiture et commence à
remercier les jeunes hommes, à voix basse, pour la soirée passée. IL est presque trois
heures du matin. Le petit lotissement résidentiel, dort d'un profond sommeil. Le
moteur de la voiture s'arrête.
- On ne va pas se quitter comme ça, tu nous offres un petit verre pour finir ou un
café.
Sous la pression des trois effrontés, et la peur d'ameuter le quartier par le bruit
des jeunes, insistants, elle ne peut que les laisser rentrer dans sa maison.
- Eviter de faire du bruit, vous allez réveiller les voisins. Ce sont des officiers de
marine qui vivent dans le quartier. Je ne voudrais pas que l'on pense n'importe quoi
sur moi.
- Alors, il vaut mieux qu'on discute à l'intérieur, n'est ce pas les gars ?
Après avoir bu un verre et un café, pendant lequel temps, les langues se sont déliées
au point de brancher la discussion sur le sexe, les trois jeunes hommes commencent à
regarder Jocelyne avec un air intéressé. Mais elle est fatiguée, est pressée d'aller
se coucher.
- Tu dois être en manque de rapport vu les absences de ton mari ? dit l'un d'eux.
- Je suis fidèle à mon mari. Je suis mariée et mère de famille.
- L'un, n'empêche pas l'autre.
- Tu devrais nous sucer tous les trois avant de partir. Ou plus si tu veux.
Jocelyne, gênée se relève de son fauteuil en se penchant en avant. L'un d'eux en
profite pour lorgner dans son décolleté.
- En tout cas, les copains elle porte un soutif en dentelle rose.
- Bon, maintenant je suis fatiguée. J'aimerais aller me coucher. Ne compter pas sur
moi pour faire des cochonneries de la sorte.
- OK ma belle, si on part les mains vides, ou plutôt les couilles pleines, on va te
faire de la publicité dans le quartier. Imagine peint à la bombe sur tes murs. "
Jocelyne baiser bien" Imagine le scandale. Et ton mari, à son retour, tu y penses.
Penses à tes mômes qui vont apprendre que tu sors avec des mecs pour te faire sauter.
Alors un conseil, fait nous plaisir. Allez On va te consoler. trois bites à ta
disposition. Allez
Mets toi à poil.
Jocelyne est figée, est incapable d'agir. Elle sanglote doucement. Mais a quand même
une grande envie de sexe. Pendant ce temps, le leader déboutonne sa veste tailleur.
Les deux autres se sont placés debout à côté.
est retirée doucement, tandis qu'elle n'oppose pas de résistance.
- Joli petit soutien-gorge. C'est pour faire plaisir à qui, si ce n'est pas à nous ?
Jocelyne porte un petit soutien gorge à balconnet de dentelle rose pâle. Sa petite
poitrine y est parfaitement moulée. La transparence de la dentelle laisse voir les
petits mamelons roses se détachant de sa peau blanche.
- Maintenant, on voudrait bien voir le bas.
- Je vous en supplie, laissez moi. Je suis une femme respectable.
Le leader défait le pantalon de Jocelyne et le descend à ses pieds.
- Ouha ! ! ! Le petit slip. La cochonne ! " Des sifflements, des réflexions affluent
des trois jeunes hommes en direction de Jocelyne, restée figée comme une statut au
milieu du salon. Elle porte un mini slip de dentelle rose assortie au soutif. Slip
tellement petit, qu'il couvre juste le sexe par une partie triangulaire de dentelle et
de tulle. Les parties avant et arrière du slip sont juste reliée par un fin élastique
de dentelle. La transparence laisse deviner une petite touffe brune.
- Alors, la petite femme modèle lorsqu'elle est en petite tenue, elle ressemble plutôt
à une petite cochonne.
- Tu vois, tu nous attendais ! Maintenant enlèves tes dessous, toi-même en disant :
'Je suis une cochonne'.
troublée et un peu honteuse elle retire son soutien en disant à voix basse : " Je
suis une cochonne, je suis une cochonne ". Elle baisse ensuite son mini slip en
réitérant les mêmes propos sous les sourires et les regards vicieux de son public. Sa
toison fraîchement épilée couvre juste la fente de son sexe.
- Ma parole, j'ai du mal à croire que tu es aussi fidèle que ça. Avoues que tu
attendais que cela depuis longtemps. Tu ne va pas être déçue ma belle. Trois d'un seul
coup.
que je te prends en levrette. Allez, mets toi à quatre pattes.
Jocelyne exécute sans rien dire. Elle se positionne à quatre pattes. La leader lui
afflige une tape sur les fesse pour lui demander d'écarter les jambes. Cette
humiliation supplémentaire l'excite encore plus. Elle est trempée. Elle a l'impression
que son sexe coule. L'homme lui enfonce son sexe sans ménagement.
- Ca glisse tout seul. Elle est trempée la cochonne. Allez suces mes copains
maintenant.
Maintenant elle engouffre un sexe dans sa bouche. Le va-et-vient de l'un se coordonne
avec la fellation de l'autre. C'est la première fois de sa vie qu'elle est dévoilée,
nue devant des inconnus, qu'elle subit cette humiliation. Elle découvre une nouvelle
forme d'excitation, autre que celle qu'elle imaginait dans ses fantasmes.
Jocelyne a l'habitude de se caresser le soir dans son lit durant les longue s'absence
de son mari. Lorsqu'elle rentre le soir de ses réunions, elle se déshabille devant un
miroir, elle s'imagine qu'elle le fait devant un public de vicieux, elle se caresse le
sexe en pensant qu'un inconnu la viole. Ce soir, elle vit son fantasme mais ça va plus
loin que ce qu'elle imaginait. Elle change de sexe dans sa bouche. Les hommes la
tiennent par les cheveux. Le leader la burine, faisant claquer les fesses de sa
partenaire. Au moment de jouir, il accélère la cadence ne laissant pas insensible
Jocelyne, qui dans un élan de plaisir accélère son rythme.
- Ah je jouis dans cette petite bourgeoise.
Après en avoir terminer avec elle, le Leader laisse sa place pour se boire une bière
qu'il s'est procurée dans la cuisine. Jocelyne est aussitôt chevauchée par un deuxième
partenaire qui a préféré la prendre par devant.
Placée sur le dos sur le tapis, il lui écarte les jambes au maximum.
- Fais voir ta petite chatte et ton clito. Prends ça ! ! !
- Tu m'appelles quand tu en as fini avec elle dit le troisième. Je vais aussi boire
une bière.
Jocelyne continue à prendre du plaisir et se met à jouir avant que le deuxième de
l'équipe en n'ait terminé avec elle. Des gémissements profonds sont sortis de sa gorge
tandis que son bas ventre s'est contracté. Le deuxième sentant cela, s'est
immédiatement mis à jouir.
- A toi, elle vient de jouir. Remets lui cela.
Le troisième prenant la même position, se met à entamer les mêmes gestes que le
précédent. IL ne tardera pas à jouir aussi. Jocelyne épuisée reste allongée, nue, sur
le tapis. Les trois jeunes hommes se rajustent et son sur le point de départ. Il est
cinq heures du matin.
- On serait bien restés mais notre devoir nous appelle. Salut Jocelyne et merci. Si
tes copines en veulent autant, fait nous signe !
La porte se referme et elle rentre dans la salle de bain pour se prendre une douche
avant de se coucher épuisée, mais riche d'une expérience qui la motivera pour se
caresser durant ses longue nuits de solitudes. Le lendemain, elle a rencontré ses
copines à qui elle a dit qu'un des jeunes hommes l'avait sagement raccompagné chez
elle.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!