Jeunes Infirmières Libérées
Cette histoire fait partie du cycle : "Histoires de la Bienheureuse Agnès"
Ses études dinfirmière terminées, Agnès avait été affectée aux services des
soins aux accidentés à lHôpital Sainte-Anne à Paris. Un des très gros hôpitaux de la
capitale, où il fallait faire face à de très nombreux malades souvent jeunes et
parfois dans un état grave avec dimportantes blessures. La journée (et la nuit !) de
ces jeunes infirmières se passaient à courir dun côté et de lautre sans le moindre
répit. Et quand il pouvait y avoir à quelques moments de décompression, ils étaient
les bienvenus
Un jour Agnès eut a donné des soins à un jeune homme denviron 25 - 26 ans. Le
garçon, suite à un accident où sa moto avait pris feu entre ses jambes, avait celles-
ci gravement brûlées et en particulier lintérieur des cuisses avec deux plaies
ouvertes jusquau périnée. Pour lui prodiguer les soins, il fallait bien évidemment
lui faire écarter le plus possible les jambes, et lui soutenir le sexe et les parties
pour accéder aux endroits atteints.
Il va de soi que ces soins sont très délicats compte tenu de la situation et la
technicité requise pour panser ces brûlures. Aussi la surveillante, chef du service
des soins avait-elle demandé à ce quil y ait toujours deux infirmières pour soigner
ce patient.
Agnès faisait souvent équipe avec Cécile, une jeune infirmière de son âge, jolie brune
bien faite et plutôt avenante. Il fallait deux séances de soins par jour, matin et
soir. Chaque séance était fort longue, durant laquelle, lune ou lautre devait
prendre en main la verge du garçon et lui soutenir, ainsi que les testicules pour que
lautre puisse prodiguer les soins
Il faut dire que le gars était hyper bien membré.
Une verge qui au repos faisait déjà plus de 15 cm de long pour un diamètre de plus 5 !
Et mettons-nous à la place de ces jeunes filles : tenir ainsi un membre en main
pendant plus de 20 à 30 minutes, cela ne peut laisser indifférent, même si on est très
professionnelle et si on est là pour soigner
Justement pour soigner et donc pour
soccuper de lautre !.
Et puis le gars en question, malgré ses brûlures et la douleur vive, dêtre ainsi pris
en main avec douceur lamenait invariablement à bander. Dabord un peu, puis de plus
en plus au fil de la séance. Souvent, alors quelle sactivait, le nez à quelques
centimètres des plaies, Agnès regardait à la dérobée le beau membre qui se dressait
juste à côté de son visage. Elle sentait sa jeune fente la démanger et la picoter dans
son string. Si elle avait eu une main de libre, elle se serait volontiers caressée ! A
plusieurs reprises le gars surprit son regard et elle rougit sans pouvoir contrôler ce
fait, jusquà la racine des cheveux. La brune Cécile, elle aussi, matait du coin de
lil la verge qui lui grossissait dans la main. Elle aussi avait une forte
démangeaison de son entrejambes. Elle serrait ses cuisses lune contre lautre et
insensiblement effectuait un mouvement imperceptible de lextérieur, mais qui lui
branlait le haut de la fente, le clitoris et les petites lèvres.
Elles nen étaient pas encore à la moitié de la séance de soins que le jeune gars
bandait à fond. La menotte gantée de Cécile était plus que largement débordée par le
membre. Sa main nen faisait plus le tour et la bite décalottait déjà à fond
Dautant que de lautre main mise en creux, elle soutenait les couilles chaudes du
jeune type
Tout en restant attentive aux soins quelle donnait au garçon, Agnès sentait sa petite
moule se mouiller, tant cette bite superbe lui faisait de leffet
Elle se disait
quil y avait longtemps quelle navait pas eu un engin comme ça entre ses jambes et
dans sa fente
Dailleurs en avait-elle déjà vu daussi gros et daussi longs
Et
disons le mot : daussi jolis ! Depuis quelle était entrée dans ce service, donc
depuis maintenant 5 mois, cétait le désert sexuel
Certes sa dernière année
dinfirmière, "son internat" comme on lappelait avait été bien occupé de ce côté-là,
et les internes ne lavaient pas laissée chômer !.
Et un si beau membre qui reste inutilisé se disait-elle en revenant au présent de ses
soins
Non, cest sûr, elle ne sétait jamais fait baisée par un aussi beau braquemart
!... Tout en effectuant les pansements, elle narrêtait pas dimaginer ce membre entre
ses lèvres de sa bouche et sa langue aller et venir sur lénorme gland
Elle avait
beau se concentrer sur son travail, sans cesse cette image du vit dans sa bouche
revenait à son esprit
Quand ce nétait pas limage de la bite directement dans son
trou de femme !
"Arrête de penser comme une salope ! " se disait-elle pour stopper le
dévergondage de son esprit
Mais rien à faire. Plus elle se linterdisait et plus elle
sentait que son désir augmentait et que sa fente se mouillait de ses idées trop
précises
Elle serrait les jambes pour contenir son envie de se passer la main entre
les cuisses.
Elle jeta un regard rapide vers Cécile. Celle-ci était cramoisie, rouge jusquà la
racine des cheveux. Elle se tenait raide le long du lit essayant de fixer son
attention sur le travail dAgnès, pour ne pas regarder le vit magnifique quelle
tenait en main
En réalité, ce soutien était complètement inutile, tant le pieu tenait
tout seul. Dailleurs dès quAgnès eut terminé les soins et navait plus que les
affaires à ranger sur le chariot, Cécile demanda précipitamment :
- " Agnès, je vois que tu as terminé, tu veux bien que je te laisse ranger ?
La séance a duré particulièrement longtemps, je vais voir si on a besoin au P.C. ".
Elle nattendit pas la réponse et séclipsa rapidement sans un regard vers le patient
qui restait dans sa position tendue.
Agnès fut surprise de la réaction de Cécile. Ce brusque départ était en effet
inhabituel, la consigne étant de rester à deux pour effec la totalité des soins,
rangement compris. Mais elle ny prêta pas davantage attention et rangea avec soin
tout le matériel.
au jeune homme. Elle se disait que si elle se retournait vers lui, elle ne répondrait
plus de rien : maintenant quelle était seule avec le type, elle navait plus quune
envie : empoigner la bite si tentante et lenfourner pour la sucer à fond et qui sait
peut-être même la chevaucher !
A la fin du rangement, il fallu pourtant aller remettre le drap sur le corps du
garçon. Pour les soins, le drap avait été replié tout à fait au pied du lit pour quil
ne gêne pas le travail des infirmières. Lorsquelle ramena le drap sur le corps
superbe du patient, elle sentait quelle était rouge comme une pivoine et la vue de
nouveau du vit tendu à lextrême et pointant vers le plafond la troubla si
profondément quelle sentit ses jambes fléchir et se dérober sous elle. Elle dû
sappuyer sur le bord du lit. Le type lui sauva la mise car il avança le bras et pris
le drap quelle avait en main en disant :
-" Laissez !... Je vais le remettre
Heureusement mes bras sont valides ! " Dérobant
ainsi à la vue dAgnès lobjet de sa convoitise
Elle sortit de la chambre, les jambes encore flageolantes. Elle sentait son
entrejambes inondé par sa cyprine. Sans doute dailleurs, se disait elle, sa mouille
avait du déborder son mini string, car même lintérieur de ses cuisses étaient
mouillées. Elle alla au P.C. ranger le chariot des soins. La surveillante lui demanda
si la séance sétait bien passé et où était Cécile. Cela ne manqua pas de surprendre
Agnès qui croyait que Cécile était passée au P.C. Elle comprit soudain et dit pour
couvrir sa jeune collègue :
- " Elle arrive, madame. "
Dailleurs cétait vrai, Cécile arrivait au bout du couloir.
Agnès profita dun moment où elle était seule avec Cécile et lui demanda :
- " Mais où étais-tu passée ? La surveillante a failli te pincer
".
sourire à ladresse dAgnès et lui répondit sun ton chargé de sous entendus :
- " Devine !... " Agnès comprenait tout à fait ce quelle ne faisait jusqualors que
supposer
-" Non, dit-elle, tu étais aux toilettes et tu
"
-" Oui, ma vieille, la coupa Cécile, je me "faisait un doigt", justement !... Non,
mais tu as vu comment il est monté le mec ?!... Lengin quil a le salaud !... Et il
ne peut sempêcher de bander comme un taureau
Ou alors, il le fait exprès !... "
- "Oui, ça jai vu !... Tu parles !... Jen étais toute retournée !... Et tu crois
quil le faisait exprès ?... ", dit Agnès.
- "Jen sais rien, répliqua Cécile, en tous cas je ne pouvais plus tenir !... Putain
la bite !! Enorme elle est !
Et moi qui la tenais, je peux te dire leffet produit
!... Dailleurs cest simple, jen pouvais plus !... Une minute de plus et le mec je
le branlais à fond
Et je vais te dire, il naurait sans doute pas fallu lasticoter
beaucoup pour quil envoie sa purée
Putain de dieu
! Jen ai le con encore tout
mouillé
Tu aurais vu ce que jai mouillé !?
Surtout quil y a longtemps que je nai
pas baisé !! Et de plus, avec un engin comme ça !
Tu aurais fait le moindre signe,
on se le faisait le gars
Tu sais, il ne demandait que ça !..."
- " Oui, dit Agnès, moi aussi jen avais envie !... Tu sais, jai mouillé énormément
aussi, hein !... Daccord pour se le faire, mais si la surveillante était arrivée là-
dessus, on était bonne pour le conseil de discipline !... Tu sais, cest pas des trucs
à faire ce genre de choses
Ca ne pardonnerait pas !... "
- " Tas toujours peur de tout toi !..., repris Cécile, qui ajouta en riant, mais si
la surveillante était entrée, on laurait invitée !... Et après un petit temps elle
continua : Nempêche, je me le ferais bien moi le type !... Oh lala, le passage aux
chiottes ne ma pas suffit, hein, il va me falloir plus
Puis baisant le ton : là
maintenant à cette heure présente, jai tellement envie de baiser que je suis prête à
me faire mettre par nimporte qui ! "
- " Et moi, alors quest-ce que tu crois ?!... Je suis dans le même état que toi,
évidemment !... Moi aussi je suis prête à menvoyer lair !... Mais toute seule, cela
ne me dit pas trop
"
Lévénement fut clos pour la journée. Et rentrée dans son studio, Agnès ne manqua pas
se faire plaisir avec ses godes, beaucoup plus longuement que dhabitude
Le lendemain, ce fut le tour de Cécile de faire les soins et à Agnès de tenir la bite.
Agnès avait pris un slip un peu plus grand que celui de la veille et elle avait pris
soin de se garnir dune serviette périodique absorbante. Sage précaution parce dès
quelle eut pris le chibre dans sa main droite gantée pour la soulever, elle sentit
quelle commençait à décharger. Le gars ne tarda pas à grossir du côté de son engin.
Tout doucement, il atteignait des dimensions vertigineuses. Agnès remarqua alors que
Cécile tout en nettoyant les plaies et faisant les soins attendus, caressait
subrepticement le bas des couilles du type, juste en dessous de la main gantée dAgnès
qui les soutenait. Evidemment le jeune homme bandait de plus belle.
Pour faire les soins Cécile devait se tenir debout très près du lit, juste au-dessus
des plaies du patient, la tête à quelques centimètres de lintérieur des cuisses du
jeune homme, tout près de la bite qui maintenant bandait pratiquement à fond
Agnès
remarqua alors un curieux manège : le type avait passé sa main droite sous la jupe de
Cécile (à cette époque, les infirmières portaient un uniforme avec une jupe et une
blouse) et sans doute il devait lui peloter les fesses. Cela était si discrètement
fait que si quelquun était entré, il naurait rien pu voir de la situation, la porte
de la chambre étant à lopposé de Cécile. Agnès voyait nettement les mouvements du
bras droit du mec qui allait et venait doucement. De façon synchrone, Cécile
effectuait de légers mouvements du bassin et de temps à autres fléchissait sur ses
jambes. Agnès compris vite que le jeune homme avait mis sa main dans la fente de jeune
brune et que celle-ci aidait aux mouvements qui la branlaient en écartant doucement
les cuisses par le fléchissement de ses jambes
La situation était torride et Agnès
sentait quelle déchargeait encore et que ses mains serraient maintenant plus fort la
hampe dressée du vit du garçon
Elle eut une forte envie de le sucer, mais elle
réussit à contenir son envie.
La jupe plutôt courte de Cécile, qui était de plus en plus remontée, laissait voir par
moment les doigts du type qui étaient dans la chatte de la belle infirmière. Agnès à
une ou deux reprises pu voir quen réalité, Cécile avait pris un slip fendu en son
milieu, slip qui laissait ainsi le libre accès direct à la moule. La garce, pensa
Agnès, elle a bien préparé son coup la salope, elle avait mis ça dès ce matin, sachant
que cétait à elle dêtre debout près du mec. Celui-ci sactivait avec adresse dans
la fente de Cécile, qui avait arrêté de prodiguer les soins aux brûlures. Elle était
tendue au-dessus du lit, les reins creusés, les jambes écartées. Elle avait passé une
main dans son soutien-gorge et se caressait doucement la pointe dun sein. Bientôt,
elle avança une chaise à côté delle et y mit son pied gauche, de sorte quainsi elle
avait la moule ouverte face à lhomme qui la branlait tout à son aise
La jupe
maintenant complètement remontée laissait voir tout le travail du jeune gars au con de
Cécile. Agnès malgré son excitation et le déferlement de cyprine au fond de son slip,
fut brusquement prise dune grande crainte.
- " Cécile, dit-elle doucement, dune voix où perçait la peur
Et si quelquun
entrait
Nous serions perdues !... Cécile, penses-y !!... " Cécile la regarda durement
de ses yeux pleins de jouissance et elle dit à ladresse dAgnès dune voix
entrecoupée de halètements :
- " Branle-le Agnès
Branle-le !... Vas-y, chérie, branle-le où je me baise sur sa
bite ! " Agnès eut un temps bref de réflexion. Elle alla à la porte et mis prestement
le verrou avant de revenir prendre en main le braquemart qui nétait pas retombé. De
la main gauche elle baissa sa culotte à mi-cuisses, puis sempoigna la chagatte
quelle commença à malmener tout en branlant de lautre main, le vit énorme du type.
Elle faisait allait et venir sa main serrant ferme la hampe. Elle sétait mis un doigt
dans le trou de son jeune con et le gars la regardait se branler. Lui, de sa main
gauche, lui tenait la jupe relevée pour bien voir comment elle sastiquait la
craquette. Agnès sentait que maintenant toute sa main dans sa culotte ruisselait de sa
mouille chaude et onctueuse. Elle eut envie de venir sempaler sur le membre tendu
quelle branlait à grands coups de poignet
La bite énorme et bien bandée devrait
glisser superbement dans sa fente tant celle-ci ruisselait, pensa-t-elle
Elle
entendait Cécile gémir doucement sous les doigts que le garçon lui avait enfoncés dans
le con, la branlant à grands va-et-vient de sa main droite.
Agnès vit nettement le moment où Cécile déchargea abondamment sa cyprine brûlante sur
lavant bras de son branleur. La décharge de la brune détermina celle du mec. Le
foutre chaud partit en un énorme jet à une hauteur formidable, avant de retomber en
une gerbe éparse sur le lit, les jambes, le ventre, le torse du gars, et le bras
dAgnès. Ce jet fut suivi de deux puis de trois autres, tout aussi intenses, mais dont
la hauteur samenuisait chaque fois
Bientôt le sperme blanchâtre sécoulait de la
papille au sommet du gland et venait engluer la main gantée dAgnès. Elle aussi
déchargea inondant de façon définitive sa culotte et sa protection, tandis quelle
saffaissait sur le bord du lit
Elle eut une forte envie de prendre en bouche le braquemart quelle sentait samollir
dans sa main et de le sucer pour lui pomper le reste de foutre. Agnès raffolait du
sperme chaud des hommes. Elle adorait sucer les bites et elle ne manquait jamais une
occasion de les faire décharger dans sa bouche. - On retrouvera cette gourmandise dans
plusieurs récits Elle réussit à se retenir et tandis quelle rajustait son slip de
sa main gauche, elle porta à sa bouche et à son nez sa main droite et son gant doù le
sperme dégoulinait. Lodeur forte et âcre du sperme chaud la fit défaillir. Se
tournant légèrement vers le fond de la chambre, elle lécha furtivement le foutre
poisseux sur son gant de deux ou trois coups de langue rapides. Le goût si particulier
de la décharge dont elle raffolait tant, se rappela à son souvenir et lui fit chavirer
les sens. Elle sentit quelle tirait une nouvelle bordée de cyprine dans sa culotte
déjà outrageusement mouillée.
A regret elle déchaussa son gant quelle mit dans la poubelle. Elle sentait sa moule
complètement ouverte et avide de bites de fort calibre, comme elle en avait connu à la
fin de ses études dans les soirées avec les internes
Il lui semblait quil y avait si
longtemps déjà !... A cet instant elle se serait fourrée nimporte quoi dans le con
pourvu quelle se sente remplie
Elle avait hâte de sortir dici maintenant, pour
aller le plus vite possible dans les toilettes avec un flacon de nimporte quoi,
quelle allait enfin se mettre dedans
Oh oui, alors !... Cest ça, quil lui fallait
maintenant !
Elle prit conscience que de lautre côté du lit Cécile avait commencé à ranger les
ustensiles de soins. Elle sétait rajustée et adressait à Agnès des coups dil
complices. Le garçon avait la bite amollie sur le ventre ; elle était toujours énorme
bien que devenue flasque. Il regardait les filles avec un sourire satisfait. Il était
comblé et soulagé. Les deux infirmières dun commun accord du regard, avaient pris
chacune une compresse avec du sérum physiologique, quelles passaient chacune de leur
côté, sur les jambes, le corps, le ventre et le torse du type. Elles enlevaient ainsi
les gouttelettes de sperme qui sétaient éparpillées ça et là un peu partout sur la
peau du garçon et sur le lit.
Alors quelles allaient sortir, le gars leur demanda un baiser, juste un petit baiser
pour les remercier de leurs "soins". Ce fut Cécile qui y alla la première, Agnès
tenant la poignée de la porte au cas où
Cécile se pencha au-dessus du lit du côté
opposé à celui où elle sétait tenue lors des soins. Agnès ne vit pas Cécile embrasser
le mec, mais elle aperçut nettement quil lui remettait une dernière fois la main à la
chatte un court instant. Elle vit Cécile fléchir légèrement les genoux ; les doigts du
mec devaient de nouveau lui entrer dans la fente
Après quelques instants, elle se releva et vint à la porte prendre la place dAgnès
qui alla vers le lit. Elle se pencha à son tour sur le visage de lhomme et lui roula
un patin fort intense et profond. Elle sentit quil empoignait son entrejambes. Il
contourna le bord du slip et lui insinua un doigt dans la fente. Il ne put saventurer
davantage, la protection périodique imbibée de mouille faisant obstacle. Rapidement,
elle lança sa main gauche sous le drap et se saisit de la bite encore turgescente,
même si elle ne bandait plus et la prenant à pleine main, elle vint déposer un baiser
furtif sur le bout du gland, retrouvant un temps bref, lodeur du mâle mêlée à celui
du foutre. De nouveau elle sentit ses sens chavirer
Mais elle se ressaisit très vite
et rejoignit rapidement Cécile à la porte. En hâte, elle sortit la première sans se
retourner. Alors quelle filait vers les toilettes, Cécile, rouge et le souffle court
linterpella :
- " Tu vois que lon a bien fait !... Oh putain, ce mec !
Quelle bite ma douée !...
Tu sais, il part dans 3 jours, il faut absolument que lon prenne un service de nuit
dici là
Et là, cest sûr, on va sarranger pour quil nous baise
On sait maintenant
quil ne demandera pas mieux !... Oh oui, oui
Il nous faut ça maintenant chérie,
hein
Tu serais daccord ? "
- " Et comment, lui répondit Agnès encore sous le choc de lépisode. Il nous faut AU
MOINS ça !... "
Ce qui fut dit, fut fait.
Mais ceci, est une autre histoire
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