Josée

Devant sa boutique elle parait toujours désirable. J’aimerais bien lui dire quatre
mots : « J’ai envie de vous ». J’ai pu voir un jour qu’elle ne portait pas de dessous
dignes de ce nom, tout juste un léger string qui me laissait voir la moitié de sa
chatte. Quand on est une femme  dire à une autre qu’on la veut est délicat.
J’en suis réduite à me donner du plaisir seule le soir dans mon lit. Je caresse
d’abord mes seins lentement, en faisant ressortir mes tétons. Ensuite mes mains sont
sur ma chatte, la gauche ne sert qu’à écarter mes lèvres pour faire bien ressortir mon
clitoris. A partir de ce moment je pense uniquement à elle. Il me semble même que sa
bouche lèche mon abricot. Je fais durer le plaisir au maximum en arrêtant souvent mes
mouvements. C’est encore meilleur quand je recommence. Je sors ma langue comme pour la
sucer. Il me semble trouver le goût de sa cyprine.
Je n’en peux plus, je vais plus vite en appuyant plus fort : mon orgasme est là. Mes
deux mains posées sur ma chatte le retiennent ; il me semble le plaisir dans mon
ventre.
Le lendemain je la vois encore. J’ose lui parler :
- Bonjour, je vous invite pour boire un thé, vers 15 heures
- Je préférerais un café bien fort.
- D’accord, je vous attends, j’habite un peu plus haut.
- Je sais où vous habitez. Oh, je m’appelle Josée.
Ainsi elle sait où je loge. Je rentre chez moi pour me préparer. Ce qui me conforte
est qu’elle ne m’ignore pas. Seulement elle viendra l’après midi. C’est encore loin.
Je sens dans mon ventre venir l’envie de jouir. Je la vois déjà chez moi, dans mon lit
où je suis nue. Je suis nue et je me masturbe encore une fois. J’espère que ce sera la
dernière fois que j’aurais à me satisfaire seule.
Les heures coulent lentement, trop lentement. Je commence à m’habiller à ma façon :
j’oublie tous les sous vêtements.

Je ne porte que ma jupe courte, celle en tissu
transparent. Un simple débardeur suffira pour le haut. Elle comprendra vite ce que je
veux. Elle pourra même apercevoir ma fourrure intime. Tans pis si elle me trouve
salope : je le suis de toute façon. J’espère être sa première fille : je pourrais
tout lui apprendre mes façons lesbiennes.
Un bref coup de sonnette : c’est elle. J’ouvre la porte sur une autre fille : elle est
bien coiffée, porte un gilet presque ouvert couvrant à peine ses seins. Le dessous est
une jupe courte plus courte que la mienne. Pas possible elle sait bien pourquoi elle
est venue. Nous nous faisons une bise sur les joues. Elle m’aide pour préparer le
café, en réalité c’est elle qui le fait.
Au séjour, Josée s’installe sur le divan pendant que je m’assoie sur le fauteuil en
face d’elle. Le café est vite dégusté. La conversation tourne presque court, sauf
qu’elle aborde la première le sexe.
- Je n’ai plus d’ami depuis deux mois. Ce n’est pas que je l’aimais, il me bourrait
bien ma chatte, alors je me contente seule.
- Je n’ai jamais eu d’amis. Je n’aime pas tellement les hommes. Je me suis faite
prendre une seule fois : il m’a dégouté des hommes, sauf que je ne suis plus vierge.
Par contre j’aime les filles.
- Je ne connais pas les étreintes entre filles, certaines en disent du bien.
- Je peux vous apprendre, si tu veux ;
Je passe au tutoiement normalement comme si elle était déjà mon amante.
- Je ne sais pas trop.
Elle hésite, pourtant je vois qu’elle écarte un peu les jambes. Je vois ses cuisses
jusqu’en haut : j’aperçois sa chatte. Elle suit mes yeux, elle sait que j’ai envie
d’elle. J’écarte aussi les jambes : elle regarde ma chatte sans pudeur. J’en profite
pour monter ma jupe. Cette fois elle peut non seulement voir l’ensemble de ma chatte ;
elle peut même voir que je mouille.

Je vais près d’elle, ma main vient sur son genou. Elle regarde ce que je fais sans se
retirer. J’en profite pour monter ma main jusqu’à sa chatoune. Je sens l’humidité
avant d’arriver. J’écarte sa jupe pour mieux la caresser. Josée se laisse faire. Ou
elle connait les amours féminines ou elle découvre excitée.
Je touche le sexe de cette fille. C’est la première depuis le départ de mon ex. J’ai
l’occasion de me trouver une amante, je vais en profiter pour d’abord la faire jouir
avant moi. Sa moule est dans une véritable fournaise. Son sexe pourra faire bouillir
une grosse quantité de cyprine.
Ses jambes s’ouvrent encore plus pour me laisser le passage. Je n’ai pas à chercher
longtemps son petit bouton : je le décalotte à peine avant de le caresser lentement :
elle se contracte aussitôt. J’espère qu’elle ne va pas me rejeter. Il semble que ce
soit normal puisque je suis la première à la masturber. Sa tête est sur mon épaule :
elle s’abandonne totalement confiante dans la suite du plaisir qui l’envahit
lentement.
Si elle savait combien j’ai envie qu’elle me branle aussi. Je continue mon œuvre de
déstabilisation : Elle laisse passer un léger cri juste avant que je sente ses spasmes
de jouissance.
Je peux maintenant l’embrasser sur la bouche. Nos langues connaissent déjà la danse
qu’elles doivent faire dans la bouche de l’autre. Mes mains passent sous son gilet :
les seins sont durs, je pince à peine les tétons qui bandent rapidement. Ma bouche
remplace mes mains. Je la tète comme un nourrisson. J’ai gagné quand je sens sa main
monter dans le débardeur. Elle caresse aussi mes seins. Je lui laisse toute latitude
pour me faire ce qu’elle veut. Elle me fait enlever ce qui la gêne : je suis torse
nue. Sa bouche est sur ma poitrine. La garce, elle lèche bien. Et enfin elle aussi
vient cherche mon abricot.
Elle est maladroite pour me branler. Josée arrive tout de
même à me faire jouir.
C’est à moi à lui montrer la suite. Nous sommes nues, debout, bien collées, pubis
contre pubis, seins contre poitrine, nos mains posées sur le fesses de l’autre. Elle
imite tout ce que je lui fais. Un seul de mes doigts est entre ses fesses. J’aime bien
faire ça. Je vais à la recherche du fondement. J’aime bien entrer un doigt à cet
endroit fragile : le petit trou.
Elle écarte un peu ses jambes pour faciliter ma pénétration.
- Tu sais j’aime me faire mettre par le cul.
- J’aime mettre au moins un doigt dans le cul d’une fille, si tu aimes ça, je peux en
mettre d’avantage.
- Oui, entre encore deux doigts.
Elle aime la sodomie, je vais lui en donner à ma façon. J’entre trois doigts quand je
fais aller et venir : elle gémit sans cesse. Et je sens les spasmes autour de mes
doigts quand elle se laisse partir dans l’orgasme.
- Donne-moi tes doigts dans la bouche.
Je lui donne les trois doigts qui étaient encore dans son cul un instant avant : elle
les déguste. Elle m’excite tellement que je me laisse aller à un cunnilingus, le
premier entre nous deux. Pour être à l’aise, elle retourne s’assoir sur le divan ses
jambes largement ouvertes. Ma tête trouve un refuge entre ses cuisses. Ma bouche est
sur sa chatte. Je me régale de sentir son gout et son odeur de fille presque trop
propre. Son clitoris est la cible du début : quand elle jouit, je change d’endroit,
j’entre ma langue dans son puits. Je fais des aller et venues. Elle se laisse toujours
aller au plaisir. Je retrouve son anus, ma langue entre un peu dans le cul, j’ai remis
deux doigts dans le con et mon pouce s’occupe de son bouton.
Je ne pensais jamais qu’elle soit si chaude, je finis à peine une caresse osée qu’elle
en redemande pour toujours jouir.
Je change de position : nos jambes sont mêlées nos sexes se touchent largement.
J’aime
cette position pas très commode, mais combien excitante de sentir un autre sexe contre
le sien. Je la sens partir comme moi plusieurs fois.
Pour la suite elle me demande de nous mettre en 69. C’est rare que la première fois
une fille me demande directement cette position particulièrement agréable pour jouir
ensemble. Je reste sous elle pour mieux la lécher et lui mettre deux doigts dans le
cul.
Elle adore ce que je lui fais comme j’aime ce qu’elle me rend. Elle a encore des
progrès à faire. Je sais que la prochaine fois Josée saura mieux baiser encore, c’est
prévu pour demain soir.

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