La Patronne Du Sex-Shop
Guillaume m'appelle le lundi soir. Il faut battre le fer tant qu'il est chaud, et il a
contacté la patronne du sex-shop sans perdre de temps. Elle est d'accord pour une
rencontre à quatre, sans surprise puisque c'est elle qui a eu l'idée, mais elle tient
à poser ses conditions.
Elle veut nous baiser tous les trois, que l'on accepte toutes ses envies, et ce n'est
qu'après, si elle est satisfaite de nous, qu'elle s'offrira sans tabou ni interdit.
Ils ont été un peu hésitants avec sa femme, puis ont accepté sans me demander mon
avis, sachant que salaud comme je suis je serais partant sans aucun doute.
On a rendez-vous le samedi en début d'après midi, et je ne les rejoins que peu avant
pour déjeuner avec eux, sans baiser, pour garder nos forces.
Quatorze heures, elle sonne à la porte et Guillaume la fait entrer. Il l'emmène nous
rejoindre au salon, et la présente à Peggy. On prend un café, et elle est assise face
à moi. Elle est habillée comme une pute, en cuir, bas et talons hauts, et une mini
jupe ras la moule. J'ai une vue imprenable sur sa culotte transparente et sa toison
épaisse. Je bande déjà, et devine Guillaume en faire autant. Elle s'en rend compte et
donne le signal du départ.
Elle nous rappelle les règles, on fait tout ce qu'elle veut puis elle s'offre à nous,
sinon elle s'en va. On répond tous un "oui maîtresse" qui la ravit.
Elle nous ordonne de nous déshabiller entièrement, tous les trois, et se défait elle
aussi pour rester en bas jarretelles et chaussures à talons hauts. Elle nous annonce
alors le programme tel qu'elle le voit.
Elle est bi comme nous, et aime tout. Pour commencer elle veut nous voir se sucer
entre hommes, tandis qu'elle va s'occuper de Peggy. On forme ainsi deux couples "hors
nature" pour les coincés, mais tellement agréable pour les initiés.
Je suce mon amant chéri de mon mieux, pour m'exhiber devant nos deux femelles, et il
en fait autant à son tour.
lui obéit. Elle a Peggy dans ses bras, et elle lui roule des pelles et lui fouille la
chatte:
- Hummmm, tu es belle ma chérie, on va se faire du bien toutes les deux.
Elle s'affale sur le canapé, cuisses ouvertes, et Peggy vient entre ses jambes pour la
lécher:
- Ohhhh, ouiii, lèche moi bien ma chérie, c'est bon...... Fais moi jouir mon chaton,
laisse moi couler dans ta bouche....... Ouiiii, tu es trop bonne, tu lèches à
merveille ma puce. Continue, et je te lècherais aussi bien si tu aimes
ça...............
Elle se fait lécher longuement, tandis qu'on se suce en permanence en alternant les
positions.
On a fini sa première mise en scène, et on passe à la suivante. Elle ne bouge pas, et
Peggy se relève pour s'affaler elle aussi dans un fauteuil. Brigitte distribue les
rôles, et Guillaume se retrouve la gueule entre ses cuisses, et moi entre celles de ma
petite copine. Il n'y a que notre maitresse qui a droit a la parole, et elle ne s'en
prive pas en s'adressant à son lécheur:
- Mais c'est que tu lèches bien mon salaud.... Tu aimes bouffer à tous les râteliers,
autant les bites que les chattes.... Il n'y a pas que toi remarque, si tu voyais ton
copain comme il se régale avec le minou de ta femme.... Tu es vraiment un enculé de
pédé qui n'hésite à offrir sa femme pour profiter de son partenaire................
Je crois que Guillaume n'apprécie pas trop les vulves géantes comme celle de notre
invitée, mais il s'efforce à la satisfaire; quand le vin est tiré, il faut le boire.
Pendant ce temps je me délecte délicatement de la chatounette de sa femme.
Brigitte siffle la fin de la séance, et on change de place. Guillaume va lécher son
épouse, et moi notre salope d'un jour. Je suis fasciné par sa moule ouverte, son
huître appétissante et dégoulinante, et je me vautre dedans sans retenue, la faisant
m'adresser des obscénités qui me flattent:
- Ohhh, mon salaud, tu es trop bien, toi.
chatte l'autre jour, j'étais sûre que tu étais un bon coup. Mais là, c'est mieux que
tout ce que j'imaginais, tu es un dieu, un gros porc, mais un dieu. Ohhh, c'est bon ta
langue qui me fouille, personne ne m'a jamais donné autant de plaisir avec sa bouche.
Je m'empiffre de sa choune comme un affamé, un assoiffé; elle enchaine les orgasmes,
et je bois tous avec des sslluuuppppp bruyants:
- Ouiiii, encore, fais moi jouir, encore, salaud, pédé, fumier, tu l'aimes ma mouille,
je vais t'en donner des litres espèce de vicieux, pervers........
Elle n'en finit de jouir, jusqu'à épuisement, et j'entends Peggy qui prend son pied
elle aussi avec son mari. Brigitte décide d'une pause, juste pour les femmes.
Notre maîtresse de jeu donne toujours ses directives: elles vont rester seules,
chacune dans leur fauteuil ou canapé, à se caresser tendrement le minou, et se lécher
les doigts. Pendant ce temps on va devoir s'enculer avec Guillaume, et bien s'offrir à
leurs regards, qu'elles voient nos bites disparaître chacune leur tour entre les
fesses de l'autre.
J'ai hâte de sentir mon homme me pénétrer, et je me penche en avant en écartant mes
miches. Il s'accroupit derrière moi et me bouffe le cul avant de se relever pour
fourrer son membre dans mon trou impatient. Il me lime sauvagement, sort entièrement
pour mieux me reprendre. Je jouis du cul à n'en plus finir, mais Brigitte demande un
changement. C'est à mon tour de brouter le fion de mon chéri, puis de le sodomiser
profond. On inverse régulièrement les rôles, au gré de notre invitée. Elle se masturbe
de plus en plus fort, ainsi que Peggy, et nous encourage en s'adressant à elle:
- Ohhh, oui, c'est bon tes deux mecs qui s'enculent. Mon mari aussi baise avec ses
clients, il les monte et se fait monter, comme ta pute de mari et ta salope de copain.
Hummm, j'aime trop voir ça, des gros pédés qui s'enfilent...................
On a bien perçu ses paroles, et on redouble d'efforts pour se défoncer. Je prends
alors une initiative, même si c'est défendu: je relève mon amant tout en restant en
lui, je caresse ses seins, l'embrasse dans le cou et cherche sa bouche. On se bouffe
la poire, et loin de nous engueuler notre maîtresse devient hystérique et se branle
plus fort:
- Ouiiii, pédés, salopes, lopettes, c'est trop bon de vous voir............
On sait que l'on est libre de nos actes, et à chaque changement d'enculé et
d'enculeur, on en profite pour se rouler des pelles voraces, face à face, en se
pelotant les couilles.
Brigitte nous dit qu'il est temps de passer aux choses sérieuses, elle sort un énorme
gode ceinture d'un sac qu'elle a amené, et demande à Peggy d'aller chercher le sien.
Elles sont équipées toutes les deux, et nous entrainent à la chambre, à quatre pattes,
en nous tirant par les cheveux, comme des chiens soumis.
On s'installe au bord du lit, toujours à quatre pattes, le cul offert. Brigitte
enfonce son engin d'un seul coup dans l'anus de Guillaume, et ordonne à Peggy de faire
pareil avec moi. On s'est bien dilaté la rondelle à se mettre l'un l'autre, mais ces
énormes manches d'un seul coup nous surprennent et nous font crier. Elles n'en ont
rien à faire et s'activent entre nos reins, sous les mots de Brigitte:
- Ouiiin vas-y ma chérie, on va bien les enculer ces pédés. Ahhhh, ils aiment les
grosses queues, on va leur en donner de la bite, ouiiiii, bourre le bien ton ami,
ensuite je vais te laisser ton mari....................
Et c'est ce qu'elles font. Elles nous défoncent, nous matraquent, en changeant
régulièrement d'orifices. Brigitte est comme une folle, elle aime casser du pédé, et
c'est quand Peggy monte son mari qu'elle est la plus à fonds, et que j'en prends plein
le cul, pour mon plus grand plaisir.
J'ose ouvrir la bouche pour annoncer que si elles continuent ainsi je ne vais pas
tarder à jouir. Toujours sous le commandement de notre dirigeante, elles se retirent,
et nous font mettre en 69, sur le côté, pour nous reprendre aussitôt. Elles nous
liment vigoureusement, et Brigitte nous ordonne de nous faire gicler dans nos bouches,
et de bien faire voir le sperme de l'autre, avant d'avaler. On s'active rapidement sur
le manche que l'on gobe, et on se fait jouir en même temps. On décharge, on éjacule,
on balance tout ce qu'on peut. On exhibe chacun notre récolte de foutre, et on avale
tout.
Brigitte nous félicite pour notre obéissance, et elles se retirent pour nous laisser
reprendre des forces. Elle espère nous revoir bander pour qu'on s'occupe d'elle, mais
en attendant elle veut se faire Peggy. Elle va l'aimer sous nos yeux, et on va se
branler en profitant du spectacle.
Peggy retire son attirail, et s'allonge cuisses ouvertes. Brigitte fourre sa gueule
entre ses jambes et lui bouffe la chatte et le cul, avec une voracité à me rendre
envieux. Notre petite salope jouit tant qu'elle peut, mouille de partout. Sa maîtresse
se relève et lui ordonne de se mettre en place pour pouvoir la prendre. Elle enfonce
alors son gode dans la chatte de sa jeune proie, histoire de le lubrifier avec sa
cyprine abondante, puis le retire pour lui planter dans le cul. La petite pousse un
cri, un énorme cri de plaisir. Ses cris, ses gémissements, sont autant
d'encouragements pour son enculeuse qui met toutes les forces qui lui restent pour lui
casser le cul. On est comme des fous avec Guillaume, et on s'astique le manche
réciproquement, en espérant se faire enfin cette salope.
On n'a pas à attendre longtemps. Notre grosse pute se retire, et s'allonge sur le lit,
épuisée par ses performances. Elle est ravie de notre conduite, à tous les trois, nous
remercie, nous félicite, puis nous dit qu'elle est à nous, soumise et offerte à toutes
nos envies.
Je retire son joujou, puis me vautre dans sa choune pour la dévorer tel un gros porc.
Je la bouffe comme un chien, j'ai régulièrement des poils dans la bouche, que je
recrache avant d'en cueillir d'autres. Pendant ce temps Guillaume lui donne sa queue à
manger, mais aussi ses couilles et son cul. Peggy ne veut pas rester seule, et se met
en place pour me tailler une bonne pipe.
On trique comme des ânes, et on va la farcir cette grosse truie. Elle est maintenant à
quatre pattes au bord du lit, comme on l'a été pour elle, et on va l'embrocher comme
elle nous a embrochés, on va tout donner jusqu'à épuisement. Je passe le premier,
rapidement dans sa chatte, puis luis prend le cul à sec. Elle pousse un cri, me traite
de salaud, mais enchaîne aussitôt pour me dire que c'est bon et m'encourager à bien la
limer. Je lui mets de bons allers retours, puis me retire pour laisser la place à
Guillaume.
Peggy se caresse en nous regardant, je devine son désir, et elle ne se fait pas prier
pour se mettre elle aussi à quatre pattes contre cette putain que l'on fourre. Elle a
encore sa rondelle dilatée suite au passage du gros gode, et je m'y enfonce sans
aucune résistance. On se relaie avec Guillaume dans le cul de l'une et l'autre, on
tringle Brigitte comme des bourrins, on la défonce sans retenue, tandis qu'on prend
Peggy avec tendresse, histoire de lui donner du plaisir tout en se reposant un peu, et
garder nos bites tendues.
Je vais bientôt jouir et demande à Brigitte si je peux jouir dans ton trou à bites.
Elle me répond de faire comme je veux, dans le cul, la chatte ou dans la bouche, elle
aime tout. Je m'active alors plus fort entre ses miches, et décharge violemment entre
ses reins avec des râles vainqueurs. Je me retire et lui donne ma queue à nettoyer
tandis que Guillaume se prépare à éjaculer lui aussi dans son vide couilles. Elle
prend son pied cette salope, avec une bite dans la bouche et une dans le cul. Peggy se
retrouve seule, et je lui demande de s'équiper avec un des deux godes.
Guillaume jouis à son tour, l'inonde de son foutre, se retire, et je lui laisse la
bouche de notre chienne pour se faire décrasser. Peggy est hésitante à sodomiser sa
nouvelle copine, et je me saisi de son manche pour l'enfoncer dans ce trou bien
graissé de nos décharges. Je l'encourage à la ramoner, aussi fort qu'elle nous ramone
moi et son mari, aussi fort que cette vicieuse l'a enculée. Elle se prend au jeu, et
la pénètre sans retenue, la faisant gémir de plaisir comme une chienne en chaleur.
Elle la bourre longtemps, de toute ses forces, puis stoppe, éreintée. Elle se retire,
et j'enlève son gode pour le donner à lécher à notre trainée. On se branle toujours
avec Guillaume pour ne pas débander. Je demande alors à Peggy de fouiller le cul de
notre partenaire toujours offerte. Ca l'excite cette morpionne, et elle n'hésite à
glisser ses doigts, puis sa main toute entière. Elle la retire, les doigts couverts de
sperme, et je lui fait recouvrir le gland de son mari. Elle refout sa main, tandis que
je suce le gros bonbon au foutre de mon amant chéri.
Elle recommence avec mon gland, et c'est lui qui me suce. Une nouvelle fois avec nos
deux glands, et c'est elle qui enroule sa langue dessus.
Notre grosse cochonne devine ce que l'on fait, et nous dit son envie de bouffer du
sperme elle aussi. On lui dit de patienter, que son tour va venir. Peggy se régale à
fourrer ce cul accueillant. Elle y va poing fermé, et s'enfonce jusqu'à mi-bras. Elle
continue à nous couvrir le gland du jus qu'elle récupère, et on se suce entre mec, et
elle nous suce.
A force de se branler et se faire sucer je sens la sève qui monte. On laisse Peggy
s'amuser toute seule avec ce cul béant, et on vient s'astiquer le manche devant la
gueule de notre femelle hystérique. Elle ouvre grand la bouche, tire le langue,
espérant nos éjaculations. Je sens que ça vient, et je m'enfonce jusqu'aux couilles.
Je la tiens plaquée contre moi et je me soulage dans sa gorge. Je me retire satisfait,
elle tousse, crache, et Guillaume lui laisse juste le temps de reprendre souffle avant
de s'enfiler à son tour en gorge profonde et de balancer sa purée.
On est vidé, épuisé, les filles aussi, et c'est la fin de nos ébats.
Brigitte se rhabille, et nous remercie pour ce merveilleux moment. On est tout ce
qu'elle aime, soumis quand il faut, mais aussi vicieux et pervers comme elle aime.
Elle nous dit qu'elle se fait des plans régulièrement avec d'autres clients du sex-
shop, en compagnie de son mari qui est bi lui aussi, et qu'elle voudrait bien
recommencer avec nous, mais que ce ne sera au mieux qu'une fois par mois. On a son
numéro, et Guillaume lui donne le sien pour reprendre contact.
L'après midi est bien avancée, Peggy à suffisamment baisé pour aujourd'hui, et on fini
la journée en douceur. On fait un petit jeu de société, puis on prend l'apéro, on
dine, et on regarde un film à la télé. Il est vingt-trois heures et on va se coucher,
Peggy toute seule, et moi avec son mari. Je suis tout fébrile à l'idée de passer la
même nuit qu'il y huit jours, une nuit blanche où mon amant m'a aimé plusieurs fois,
et s'est offert à moi une fois. Une fois encore Guillaume s'est montré à la hauteur et
j'ai jouis comme une chienne toute la nuit.
Le dimanche se passe calmement, grasse matinée, cuisine, bouffe, et repos devant la
télé. Je vais bientôt partir, et on se décide pour un au revoir coquin. Je suis dans
le fauteuil et Peggy me défait pour me sucer. Guillaume baisse son froc et s'approche
de moi pour m'offrir sa queue. Hummmmm, c'est bon, trop bon, je le pompe et me fait
pomper par sa femme. On s'attend pour jouir en même temps, et j'avale son sperme
tandis que Peggy avale le mien.
Je suis sur le départ, et on prévoit nos prochaines rencontre. On reparle de Brigitte:
pour moi c'était génial et j'ai hâte de recommencer, Guillaume est d'accord avec moi
même s'il a eu une petite réticence au début avec cette grosse choune poilue qui
contraste avec le joli petit minou tout lisse de sa femme. Quant à Peggy elle est
mitigée. Elle est ravie de redécouvrir le plaisir entre filles, mais en même temps
elle trouve notre invitée trop directive, dominatrice. Elle aimerait recommencer à
quatre, mais avec une fille plus douce, plus sympa, plus cool, une fille dans son
genre. Elle sait mes aventures et me demande si je n'ai pas la perle rare. Je fouille
dans mon passé, et elle m'apparaît comme une évidence. C'est elle qu'il nous faut.
A suivre...........................
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