La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 153)

Les esclaves dans l'entreprise du Marquis - (4e partie) -

Je venais de franchir le sas et la porte se refermait déjà derrière moi... je
ressentis soudain toute l'absurdité de ma situation. Je me retrouvais nu, seul dans le
couloir à l'étage de la direction et, de chef de service au lever, ce matin, j'étais
devenu l'assistant du PDG mais aussi... son esclave ! Je n'arrivais pas à considérer
comme vraiment réel tout ce que j'avais vécu depuis ce matin. Une sorte d'incrédulité
m'habitait encore. Et pourtant j'étais bien là, nu, frôlant le mur du couloir, sans
trop savoir que faire. La femme Domina qui venait de m'asséner de nouvelles règles de
vie, de fonctionnement m'avait fait sortir sans autre forme de procès et surtout sans
rien me dire de ce que je devais faire. J'étais comme perdu dans ce couloir, conscient
soudain de façon plus forte et plus gênante de ma nudité... Et si quelqu'un survenait
? Si un de mes collègues était convoqué à l'étage, s'il me découvrait dans cette tenue
! Ou plutôt cette absence de tenue ! Comment pourrais-je expliquer ? Je me sentais
comme un rat de laboratoire dans son labyrinthe, sans la moindre idée de ce que l'on
attendait maintenant de moi. Un bruit de porte me fit sursauter...

La double porte menant au bureau directorial venait de s'entrouvrir. Emeline apparut.
La jeune femme, secrétaire-esclave de Monsieur le Marquis, notre patron, s'avança d'un
pas hors de son bureau et me fit signe de la rejoindre, ce que je fis avec
empressement.

- "Heureusement que tu..."

D'un doigt barrant ses lèvres, elle me fit comprendre que le silence était de mise. Je
me tus donc, reconnaissant envers elle de m'offrir une option pour échapper au
couloir. Je la suivis donc à l'intérieur. Sans prononcer un mot, elle me fit signe
d'ouvrir une petite porte sur le coté de son bureau.

Cette porte ouvrait sur un petit
espace ressemblant en tous points à une cabine d'essayage. Avec tout un pan de mur
recouvert d'un vaste miroir dans lequel je découvris intégralement ma nudité et la
condition humiliante dans laquelle j'avais glissé inexorablement. A une patère étaient
suspendus un costume, une chemise, une cravate, il y avait aussi des chaussettes et
une paire de chaussure en cuir italien, supposais-je à la vue des coutures fort
soignées. Ne manquait, constatais-je, qu'un slip ou un caleçon... Un boxer comme je
préférais. Mais de cela, point !

- "Habille-toi et attends", me dit simplement Emeline avant de refermer la porte...

J'obéis immédiatement, éprouvant une étrange sensation en enfilant ces vêtements de
qualité... les tissus étaient fluides, la coupe élégante, les coloris sobres et
distingués, je me regardais dans le grand miroir... et je trouvais l'image qui m'était
ainsi renvoyée presque... incongrue ! Les quelques heures passées avaient suffi à
instiller une nouvelle façon de penser. Je m'étais totalement perdu dans ce rôle
d'esclave nu et battu que l'on m'avait fait subir. Le costume me redonnait au moins un
semblant de prestance. Mais en même temps, je devais demeurer dans cet étroit
cagibi... confronté à mon image que je n'osais trop regarder, tant j'avais le
sentiment d'avoir perdu toute dignité en me pliant aux exigences de mon Patron Le
Marquis d'Evans et plus encore en ayant conscience du plaisir irrépressible que
j'avais ressenti en le faisant, de la sensation qui m'avait habité d'avoir trouvé ma
place dans cet univers nouveau qui s'ouvrait à moi, qui me faisait peur et qui,
pourtant m'attirait tant ! J'attendis ainsi un long moment... J'avais le sentiment que
l'attente allait souvent faire partie de mon nouveau statut. moi qui avais l'habitude
de diriger des équipes, de vivre dans l'intensité et le rythme effréné de l'actualité,
je découvrais un rythme totalement différent, fait d'attente,de patience, de langueur
presque.
..

Enfin, émeline vint me chercher. Elle semblait tout aussi sérieuse et indifférente
qu'à son habitude, mais dans son regard peut-être, il me sembla deviner en elle une
sorte de tension. Elle me fit signe de la suivre et je pénétrai à sa suite dans
l'immense bureau de Monsieur le Marquis, notre Maître. Il se tenait dans l'un des
canapés de cuir du coin salon, en compagnie de deux hommes, des asiatiques aux allures
totalement opposées. L'un était presque obèse, affalé sur un fauteuil face Au Marquis,
l'autre se tenait sur le même canapé que notre Patron. Il était grand, mince, presque
sec, le visage anguleux et le regard acéré. Sans un mot, émeline prit place sur un
fauteuil dont la position la plaçait à une distance égale des trois hommes. Elle était
assise, le buste droit, les genoux serrés et je remarquai, sans trop deviner de quoi
il s'agissait, qu'elle tenait à la main un objet dont j'ignorais de quoi il
s'agissait, mais de couleur rose... Le Marquis me fit signe de m'avancer jusque entre
les deux asiatiques afin de ne pas faire écran entre eux et la position de la
secrétaire…

- "Mon nouvel assistant, me présenta-t-il, ... Je pense que vous l'apprécierez, il a
encore peu d'expérience, mais c'est un sujet prometteur… "

Sur la table basse, plusieurs documents étaient éparpillés, certains manifestement
attendant une signature.

- "Range tout ça !" me lança Le Marquis en les désignant.

Immédiatement, je me penchais sur la table et commençais à rassembler les documents,
lorsque je sentis une main glisser à l'intérieur de mes cuisses, me caressant à
travers le tissus coûteux de mon pantalon... tandis que je poursuivais ma tache, la
main remontait, se faisait plus inquisitrice, jusqu'à se saisir de mes couilles et les
presser doucement... J'avais honte, mais je n'osais plus esquisser le moindre geste et
je demeurais ainsi penché sur la table, les documents entre les mains.
.. La main de
l'asiatique obèse (car il était directement derrière moi) pétrissait mes couilles et
je bandais ! Lentement, tout en enserrant mes boules dans son énorme main, il me
tirait en arrière, vers Lui... me forçant en douceur à venir m'asseoir sur ses genoux,
me renversant contre lui et passant sa main devant, saisissant à nouveau mes parties
intimes, dans un geste de possession si évidente que j'en étais paralysé. Sur le côté,
Le Marquis et son autre interlocuteur nous regardaient amusés...

- "Laisse-toi faire petite putain, me dit Le Marquis, sois bien gentil avec notre
futur associé"...

Je m'abandonnais docilement entre les mains de l'obèse entre lesquelles je me sentais
comme une poupée minuscule, qu'il pouvait désarticuler d'un geste... un léger
froissement me fit alors tourner la tête... émeline avait écarté ses genoux et ouvert
largement ses cuisses. Elle relevait maintenant sa jupe et révélait la blanche douceur
de ses cuisses, de ses hanches, et révélait aux regards la fente rose de sa vulve
lisse. S'ouvrant ainsi, elle avait mis en marche le gode vibreur en matière souple
qu'elle tenait... L'objet rose que je n'avais pu définir quelques minutes
auparavant... tout en se déhanchant afin d'exhiber au mieux son sexe ouvert, elle
promenait doucement l'engin sur son pubis, et descendait lentement... d'une main, elle
ouvrait sa chatte et de l'autre guidait le gode vibrant et le poussait lentement dans
ses chairs les plus intimes... Toujours assise, mais renversée en arrière, elle
offrait le plus impudique des spectacles, s'ouvrant au maximum d'une main et se
fourrant le gode dans sa chatte béante de l'autre, avant que de commencer à se
masturber ainsi, pour le plus grand plaisir Du Marquis et de son voisin, tandis que
l'obèse avait commencé à me branler à travers le pantalon, tout en me maintenant
allongé contre lui d'une main ferme.
..

Je me sentais comme sur un coussin moelleux, mais qui aurait eu des bras et des mains
pour me maintenir contre lui et m'imposer des attouchements de plus en plus précis. Je
me tortillais légèrement sous ses caresses mais sans aucune volonté de lui échapper...
la puissance de ses bras rendait toute tentative totalement illusoire et de toute
façon, mon Maître et Patron m'avait ordonné d'être "bien gentil"... Je découvrais donc
l'un des aspects de ma nouvelle fonction d'assistant et m'y abandonnais docilement...
Et l'obèse en profitait, manifestement habitué à ne pas rencontrer d'opposition à ses
désirs. Il avait défait les boutons de mon pantalon, fourrant sa main dans la
braguette pour se saisir de ma queue tendue qu'il branlait lentement, tandis que de
l'autre, il avait fait sauter plusieurs boutons de ma chemise pour pouvoir caresser ma
poitrine et titiller sans ménagement mes tétons érectiles. L'homme murmurait à mon
oreille des mots incompréhensibles, probablement du chinois, mordant parfois le lobe,
ou glissant dessus sa langue épaisse et humide. Je sentais sa salive qui glissait
lentement sur la peau de mon cou...

Emeline avait poussé le gode tout entier entre ses cuisses et avait sans doute mis les
vibrations au plus fort, car elle était maintenant comme prise d'une excitation
intense, se livrant à de superbes acrobaties sur son siège, en prenant cependant garde
de ne jamais manquer d'offrir une vision intégrale de son sexe rempli et dégoulinant
des sucs de son plaisir... mais si elle mouillait abondamment, je savais qu'elle
n'avait pas joui... et j'admirais son contrôle, moi qui peinait tant à résister sous
les doigts boudinés mais experts de l'homme entre les bras duquel je n'étais plus
qu'une poupée de chiffon dépenaillée. Si elle semblait experte à contrôler sa
jouissance jusqu'aux plus extrêmes limites, la secrétaire ne parvenait cependant pas à
retenir quelques gémissements qui venaient se mêler aux miens, moi qui n'était alors
qu'un pauvre néophyte dans l'art de retenir une jouissance qui ne doit dépendre que de
la volonté et du bon vouloir de Celles ou Ceux auxquels nous sommes livrés.

Le Marquis et son voisin s'étaient levés du canapé et approchaient de la femelle qui
s'agitait frénétiquement dans son fauteuil, les cuisses ouvertes, le sexe dégoulinant
sous les impulsions bourdonnantes du vibro qui l'emplissait... Quant à moi,
j'éprouvais d'étranges sensations, saisi de stupeur par le plaisir que je prenais à
être traité comme un jouet par cet homme énorme dont les mains démesurées semblaient
s'emparer de la totalité de mon corps... jusqu'au moment où il cessa et commença à
entreprendre de quitter son fauteuil, sans pour autant arrêter de me tenir contre
lui... Ce ne fut pas le mouvement le plus facile, mais il parvint à s'extraire et me
tenant sous son bras, comme un quelconque objet, il m'entraîna vers les autres.
L'autre asiatique s'était placé derrière émeline et penché sur elle, avait ouvert son
chemisier, pétrissant fébrilement les seins ainsi libérés de la secrétaire qui ne
cessait pas de se goder, les yeux quasi révulsés... Le Marquis, quant à Lui, s'était
retiré et installé dans son siège directorial. Et c’est en savourant un luxueux cigare
qu’il venait d’allumer avec un briquet tout en or qu’il appréciait manifestement la
scène qui se déroulait sous Ses yeux.

L'obèse parlait à son acolyte dans une langue que j'ignorais et leur échange semblait
les réjouir... Le maigre saisit alors fermement les tétons d'émeline pour la forcer à
se lever en la tirant sans ménagement... Lui, menant la secrétaire par le bout des
seins et elle, avançant maladroitement pour le suivre sans perdre le gode qui vibrait
encore en elle. L'obèse me traînant comme un paquet sous son bras... Ils nous menèrent
jusqu'au bureau et nous placèrent à plat ventre dessus, face à notre Maître, côte à
côte, seule la pointe de nos pieds touchant le sol. Tandis qu'émeline avait déjà
remonté sa jupe et présentait donc un cul parfaitement nu, l'obèse n'hésita pas un
instant à arracher d'un geste mon pantalon, afin que je sois moi aussi cul nu au côté
d'émeline, chacun des asiatiques se tenant derrière nous... Le Marquis nous regardait
depuis son siège, tirant d’onctueuses fumées de son Habano (cigare de La Havane) tout
en relevant la tête et échangeant quelques mots avec les deux hommes.

- "Eh bien, il semble que vous plaisez à nos amis chinois ! Et j'en suis heureux, car
ils ont encore quelques contrats à signer afin de valider définitivement notre
accord... Alors ne me décevez pas, car ils n'ont pas tout à fait fini de s'amuser et
je veux qu'ils soient parfaitement comblés..."

Tandis que notre Patron nous disait ainsi Sa volonté, le maigre s'était approché et
retirait le gode vibrant de la chatte d'émeline qui ne put retenir un petit cri... moi
aussi je laissais échapper un couinement lorsqu'il poursuivit son geste en me fourrant
le gode entre les fesses, l'enfonçant d'un coup dans mon cul... L'engin vibrait
encore, suscitant en moi une étrange sensation, jamais éprouvée auparavant... Le
chinois, avait pris place derrière émeline et la fourrait maintenant, poussant son
sexe là où le gode avait parfaitement "ouvert" la voie... l'obèse quant à lui avait
défait son pantalon et d'un geste, me fit pivoter pour me faire mettre à genoux devant
lui... tandis que le gode vibrait maintenant dans mon cul, je vis apparaître devant
mes yeux une queue plutôt courte mais d'une épaisseur impressionnante ! Le chinois
bandait et d'un coup de reins, il enfonça son pénis entre mes lèvres, emplissant ma
bouche et l'entrée de ma gorge... J'étouffais... mais peu lui importait, tant qu'il
pouvait ainsi faire aller et venir son sexe dans la gaine chaude et humide de ma
bouche soumise... Sa main pesait lourdement sur ma nuque et j'étais dans
l'impossibilité de résister... Je commençais à paniquer car j'étouffais vraiment.
L'air manquait... mais c'est alors avec soulagement que je sentis un flot épais emplir
ma gorge... Il venait d'éjaculer et sa semence abondante se répandait dans ma bouche
tandis qu'il se retirait et que je restais à genoux, avalant son jus épais et acide,
l'anus toujours secoué par les vibrations du gode qui y avait été enfoncé...

Presque en même temps, l'autre chinois venait également de lâcher son plaisir en
émeline... qui épuisée demeurait allongée, inerte sur le bureau Du Marquis.

- "Bien !"

Lança alors notre patron, puis il échangea quelques mots en chinois avec ses invités
avant de s'adresser à nouveau à nous :

-"Il nous reste quelques documents à signer, toi (me dit-il) tu restes car tu dois
nous assister pour la signature... émeline, vas te changer et apportes nous du thé
!"Tandis qu'émeline quittait la pièce, j'avançais à quatre pattes jusqu'à la table
basse, ramasser les documents que j'avais abandonnés là lorsque l'obèse s'était saisi
de moi...

(à suivre)

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