Jour De Canicule
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La température est lourde de chaleur en ce jour de juillet.
Je suis habillée avec une robe dété au tissu léger, à petites bretelles cordon et
sans sous-vêtements.
Ce nest vraiment pas une journée à changer la vitrine qui plombe sous le soleil, mais
cest quand même le bon moment
Les clients se font rares. Je les imagine sur le bord
de leur piscine, un verre de pastis sur glaçons au bord des lèvres
.de penser à ces
corps plus ou moins vêtus me fait de leffet
un désir se love au creux de mon sexe.
Ça y est, je mouille. Je me caresse en oubliant que je suis à la vue des quelques
passants ou plutôt, je veux me faire croire que personne ne me voit.
Cest la main entre les cuisses, quun client en sueur décide de pousser la porte de
la librairie
.Gênée, jabandonne la vitrine pour aller à sa rencontre, avec mon désir
de sexe non assouvi.
Le client est un habitué de la librairie. Il est reconnu dans notre petite communauté
comme un homme instable psychologiquement, mais extrêmement cultivé. Cest un artiste
peintre, issu dune très riche famille, qui reconnaît avoir de la difficulté à vivre
en société, faisant de lui un solitaire malgré lui.
Il me trouve jolie et me le dit sans détour. Il mavoue également candidement se «
toucher » parfois dans son lit en pensant à moi
.
Ma gêne saccentue et lui demande sil a une femme dans sa vie.
Non, me répond-il. Mais jaimerais bien en avoir une comme vous avec une si belle
peau.
Je peux toucher votre bras ? me demande-t-il en approchant la main sur mon épaule
dénudée.
Jaccepte de lui faire ce plaisir innocent.
Il dépose dabord le bout de ses doigts
me caresse doucement
Puis applique la paume de
la main, entoure le galbe de mon épaule et descend
descend
descend avec lenteur.
Jentends sa respiration changer
.Sa main est descendue sur mon bras et se trouve au
niveau de mon sein.
Je ne bouge pas et lui demande ce que je peux faire pour lui.
Pour toute réponse, il se passe la langue sur les lèvres en laissant sa main bifurquée
sur mon sein libre de tout soutien sous le tissu de ma robe.
Mon désir de sexe étant toujours présent je profite de cette aubaine. Mon mamelon
réagit instantanément. Jinvite le client à poser son autre main sur lautre sein. Il
ne se fait pas prier et le voilà quil me pétrit les boules avec ferveur.
Ne voulant pas être seule à jouir de la situation, je tâte son entre-jambe
Lhomme
pousse un grand soupir et semble vouloir saffaisser
.je retire ma main de peur de le
voir sévanouir.
Non, non
Continuer me dit-il le souffle entrecoupé. Voilà des années quune femme
navait pas poser la main sur moi. La dernière en date remonte à une quinzaine
dannées et cétait une infirmière que mon père avait engagé pour soccuper de moi.
Elle aurait pu être ma mère. Un jour, jai surpris mon père en train de sodomiser la
vieille infirmière
Continuer, sil vous plaît
cest si bon
Ça vous dérange si je vous raconte pendant que
vous me caresser la bite ? Elle durcit
la sentez-vous ?..
Oui, votre queue prend une belle ampleur. Je crois quelle serait mieux à lair libre.
Aussitôt dit aussitôt fait
.Son sexe dressé me faisait une invitation à être sucé.
Je me mis à genoux et au moment où jenfournais son pieu, il continua à me raconter
Jai dit à mon père que je lavais vu forniquer avec mon infirmière et, ayant peur que
je le raconte à ma mère, il a accepté que je copule avec cette femme qui ne demandait
pas mieux que de se taper le père et le fils. Parfois un par un, parfois les deux
ensemble.. Une vraie salope aux cheveux gris et aux nichons ramollis par lâge.
aimait nous pomper le nud en même temps
Dans sa bouche, je sentais la queue de mon
père tressautée. Ah ! Elle savait sy prendre, la putasse.
Au fil de son histoire qui me faisait mouiller de plus en plus, je sentais la queue de
mon client prendre de lexpansion dans ma bouche. Je le suçais avec avidité pendant
quil me malaxait les seins.
Un jour, me dit-il, la putasse à demander à mon père de lenculer pendant quelle me
prendrait dans sa bouche
.au bout de quelques minutes, elle exigea que lon renverse
les rôles
moi dans sa rondelle, lui dans sa bouche. Ce fut lextase
.
Tu es une vraie diablesse, toi
.tu me suces à merveille
.AHhhh ! cest bon..Attends,
je vais jouir
.laisse-moi souffler un peu
masturbe-moi un peu
je vais faire la même
chose avec ta rosette
Oh ! tu mouilles
tu es appétissante
.
Sur ces mots, il menfile deux doigts dans la fente, les retire, les respire, les
lèche en émettant des bruits de satisfaction.
Laisse-moi te lécher la chatte, me dit-il en sagenouillant et en relevant ma robe.
Lorsque sa langue épaisse et humide se mit à me fouiller, mon il accrocha un
mouvement du côté de la vitrine. Un adolescent boutonneux nous regardait avec
envie
.mon exhibitionnisme mexcitait au point ou je me mis à juter avec abondance
dans la bouche de mon client-artiste qui en redemandait en émettant des sons
gutturaux. Je mactivais et frottait mon sexe sur le visage de lhomme sans lâcher du
regard le jeune de la vitrine qui se masturbait en pleine rue
.Je jouis férocement,
inondant mon lécheur de moule.
Ne voulant pas le laisser en plan, je lui ai offert de le faire jouir a mon tour en le
suçant ou en menculant
il choisit de menculer, mais seulement après lavoir repris
en bouche quelques minutes. Ce que je fis goulument avec plaisir et gourmandise
pendant quil reprenait son récit de vie personnelle.
Un jour, me dit-il avec le souffle court, ma mère nous a surpris en train de baiser
linfirmière
.
Retourne-toi
vite
je veux sentir ma queue dans ton cul
.pendant que je te raconte
..et
le voilà quil me défonce de ses coups de butoir
je sentais ses couilles pleines
claquer mes fesses
.Mmmm ! Cétait bon
Le jour où ma mère nous a surpris avec linfirmière
.nous navons pu nous arrêter
nous
étions trop prêt de la jouissance. Elle sest assise confortablement dans un fauteuil
en face de nous, son mari et son fils, et nous observât jouir en se caressant les
seins dune main et le sexe de lautre.
Son va et vient se faisait plus rapide
Il sortait de mon anus pour y replonger jusquà
la garde
.jallais jouir une seconde fois
.
De regarder ma mère pendant que je labourais férocement le cul de linfirmière et
quelle, elle se caressait en regardant mon père se faire sucer par une autre femme
fut une expérience jouissive extraordinaire.
En terminant son histoire, mon client-artiste lâcha un grognement dhomme des cavernes
en me remplissant le trou de son sperme chaud et épais pendant que moi je hurlais de
plaisir. Il se retira et me demanda si je voulais bien lui nettoyer la bite avec ma
langue
.
Soulagé et satisfait, il me remercia, remit sa queue molle dans son pantalon et
repartit sans dire un mot de plus.
Ladolescent était encore dans la vitrine
je lui ai fait signe dentrer
..
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