Leslie Ar37
Leslie AR37 - Les confessions dune adolescente, suite
« La semaine suivante, un matin, alors que jétais encore au lit, on sonna à la porte.
Javais sur moi un long tee-shirt de nuit qui descendait un peu sous les fesses, mais
pas de petite culotte. Pieds nus, jallais jusquà la porte pour ouvrir.
Richard se tenait debout devant moi.
- Tiens, tes là toi ? Ta mère est là ?
- Non, elle travaille aujourdhui et es déjà partie.
Je sentais son regard sur mon tee-shirt sous lequel mes seins nus pointaient car en le
voyant mes tétons sétaient mis à bander, tendant le tissu de mon tee-shirt.
- Rentres-tu es presque nue !
- Oui ! Répondis-je.
Sans réfléchir et en le faisant rentrer, comme si je linvitais à me prendre sur le
champ. Il referma la porte derrière lui et me dit :
- Toi tu as une idée derrière la tête, car je te trouve déjà drôlement excitée.
Il dit cela en portant la main sur mes seins, et rajouta :
- Ils sont déjà durs, tas envie ?
- Ohhh, non, dis-je.
Tout en feulant sous la caresse de ses mains sur ma poitrine.
Je nosais pas bouger, jattendais immobile, comme tétanisée, surtout que je sentais
déjà ma chatte réagir à la situation.
Il mentraîna dans le salon, sans brusquerie mais fermement et debout contre le canapé
il membrassa à pleine bouche, nos langues se mêlèrent dans ce baiser qui me faisait
mouiller, soumise à cet homme qui éveillait mes désirs.
Pendant le baiser sa main se posa sur ma chatte imberbe et nue, et il me dit :
- Mais tu es nue et tu mouilles comme une petite cochonne !
- Ohhh, Richard, dis-je, je suis à toi
Il me poussa sur le canapé dans lequel je tombais et me prenant par les chevilles il
me tira à lui pour que je moffre intimement à sa bouche et il commença à me bouffer
la chatte. Cétait le premier homme à me faire cette caresse et, sous la nouveauté et
la situation, je démarrais au quart de tour en feulant comme une petite salope.
Pendant un long moment il me dévora la chatte et le clitoris, jouant avec en tournant
sa langue autour memmenant dans des terres encore inconnues pour moi, je jouissais
sans interruption. Parfois, comme pour me tester, il passait sa langue sur ma
rondelle, me faisant sursauter et hurler de bonheur.
Continuellement, je gémissais en mouvrant à ses caresses, maintenant de plus en plus
précises et appuyées aux endroits si sensibles.
Il sentit certainement que je me laissais aller et se dit, peut-être, que jétais
prête à tout accepter, alors tout en aspirant mon clitoris et me faisant hurler, il
caressa mon anus du bout du doigt.
Complètement partie dans la jouissance, je réagis aussitôt et sans le vouloir mon
corps est partit au-devant de sa caresse, cest à ce moment quil sut quil pouvait
aller plus loin avec moi, aujourdhui ou une prochaine fois.
Mais Richard nétais pas le genre de mec à remettre à plus tard ce quil pouvait avoir
le jour même, alors il menfonça son doigt dans lanus, me faisant me cambrer et
coller ma chatte sur sa bouche en poussant un cri rauque.
Jamais je navais ressenti cela, cest un intense plaisir qui montait au creux de mes
reins jusque dans mes entrailles, me faisant gémir et parfois même crier.
Plus Richard me léchait, plus je sentais cette onde de choc monter dans mon ventre, ma
poitrine, ma gorge, jusquà ce quun hurlement de jouissance traverse mes cordes
vocales encourageant mon amant de ne pas sarrêter et à enfoncer son doigt encore plus
loin dans le cul.
Puis Richard commença à me doigter aussi la chatte, et lanus de plus belle, je
vociférais, hurlais, criais jusquà en perde conscience, jusquà ce quil remonte mes
cuisses sur mes seins et quil senfonce dune seule poussée dans ma chatte trempée.
- Ohhh, dis-je.
Un cri, surprise une nouvelle fois par la taille de ce membre qui venait de me
pénétrer, je me sentais remplie.
faisant jouir comme une dingue, mais sans éjaculer en moi.
Je sentais quil voulait autre chose, complètement offerte dans la position dans
laquelle jétais, les cuisses largement écartées il me prenait et, lidée me vint,
quil pouvait en un instant changé dorifice.
Il ma regardé dans les yeux, comme si il avait compris ce que je pensais, il a souri
et ma dit :
- Je vais tenculer !
Lidée dun tel acte me fit frémir et soudain la peur lemporta sur le désir. Bien-sûr
que jaimerais un jour me faire sodomiser, ne serais-ce que pour voir, et le plus tôt
serait le mieux et aussi pour que je sache ce que lon ressent quand on est possédée
par le cul.
Mais là, pour une première javais un peu peur, me faire enculer avec un membre comme
celui qui me défonçait la chatte, cétait une pure folie, mon petit trou allait
déguster.
Comme je ne répondais pas, Richard sortit son membre de ma chatte et à la vue de son
sexe, raide et gonflé, je me mis à trembler. Je me raidis quand il posa le gland sur
ma rondelle et je devais avoir lair effrayé, car Richard ma dit :
- Ne tinquiètes pas, tu vas adorer !
Il allait me déchirer, car jamais je ne pourrais accepter un tel membre en moi, je
nétais pas prête, et même si, pendant mes instants de solitude, je métais déjà
pénétrée avec le gode danus de ma mère, la finesse de celui-ci ne mavait en aucun
cas préparé à la sodomie que jallais subir.
- Non, ohhh, non, dis-je.
Jimplorais Richard, partagée entre envie et peur, il recula légèrement et en me
regardant droit dans les yeux, il me dit :
- Je vais bien te préparée et tu vas adorer !
A nouveau il ma doigter la chatte et le petit trou, en lubrifiant bien ma rondelle de
mes sécrétions, puis il ma enfoncé un doigt, puis u deuxième dans mon cul qui se
détendait et souvrait.
Je commençais à me détendre sous les caresses de Richard, emporté par le plaisir de
ses doigts sur moi, puis il ma enduit le cul de salive et a repositionné le gland de
son membre ma rondelle frémissante.
Me tenant fermement par les hanches, les jambes sur ses épaules et calée au fond du
canapé, il a poussé son membre en moi, me vrillant le cul de douleur pendant deux
secondes, juste le temps que mon sphincter cède sous la poussée et que le gland
sengouffre dans lintimité de mon antre.
Marquant une pause, il ma laissé le temps à mhabi et ressentir mon muscle
distendu par son membre enfoncé en moi, puis il a poussé en moi de façon continu
jusqu'au moment où jai senti ses couilles butées contre mes fesses.
Il était complètement en moi.
- Tu vois, me dit-il, maintenant tes une petite enculée !
Et il sest mis à me pistonné le fion comme un forcené, me faisant hurler et éructer
des mots sous la frénésie de cette sodomie que je subissais :
Salaud ! Enfoiré ! Tu me déchires avec ta grosse bite, arrêtes je nen peux plus, tu
vas me faire mourir.
Mourir de plaisir, petite salope, dit-il.
Ohhh, ohhh, cest trop gros, arrêtes.
Attends, tu vas sentir le plaisir monté et tu en redemanderas
Petit à petit, la douleur sestompait laissant place à une étrange sensation de
chaleur, partant de mes reins et envahissant mon ventre mon fion irradiait en moi une
onde de plaisir que je pouvais contrôler.
Je me suis mise à jouir en hurlant tandis que Richard me remplissait de sa jouissance
mon boyau offert.
Il sest retirée un peu après et je suis restée là, pantelante sur le canapé, pendant
quil se rhabillait, puis a quitté lappartement après avoir déposé un baiser sur mes
lèvres, en disant :
- Tes trop bonne, avec toi cest le pied !
Je suis restée un long moment allongée sur le ventre, à retrouver mes esprits, le cul
encore ouvert par la sodomie de Richard.
personne maurait trouvé dans une position indécente et bien embarrassante à
expliquer, le petit trou entrouvert, plein de sperme, et ce liquide poisseux qui
sécoulait lentement de ma rondelle et descendait dans ma raie.
Mais javais encore envie, encore envie de me faire baiser et enculer, lentement je me
suis levée pour aller prendre une douche et mhabiller.
Je savais, maintenant, que jétais une petite salope qui aimait le cul et que jallais
bien en profiter. »
A suivre
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