Leslie Ar38

Leslie AR37 - Les confessions d’une adolescente, suite

Deux jours plus tard, ma mère m’annonça une nouvelle qui allait changer ma vie :
- Je vais partir en séminaire pendant quelques jours, je vais te laisser de quoi
vivre, un peu d’argent pour tenir, les clefs de la voiture, mais maintenant je vais
être souvent en déplacement et tu vas être obligée de te débrouiller toute seule.
- Ne t’inquiètes pas maman, je suis grande et cela va aller.
- Bon, je suis heureuse, tu vas être seule maintenant, alors sois prudente.
Le lendemain matin je la déposais au train et rentrais directement à la maison.

En fin seule et libre, j’allais pouvoir vivre toutes mes folies et en profiter un
maximum…
Curieuse j’ai été dans la chambre de ma mère, pour fouiller sa chambre et découvrir
ses éventuels trésors. J’y découvris des revues pornos où de beaux mâles s’exhibaient
et des revues de lesbiennes, des godes de différentes tailles, des boules de geisha,
des plugs, enfin tout un arsenal de gadgets pour le plaisir solitaire ou à plusieurs.
Je me suis accaparé quelques objets en me disant que je les testerais dans mes grands
moments de solitude.
Depuis la fois où Richard m’a fait l’amour sur le canapé de l’appartement, je ne peux
pas m’empêcher de me caresser en pensant à lui et à sa queue me pénétrant les
orifices, cela devenait une obsession.
Le matin, le soir, et même toute la journée, je ne pense qu’à une chose, me faire
encore et encore baiser. Maintenant seule, j’espère que Richard passe à l’appartement
et me saute dessus. Mais je ne sais pas pourquoi, il n’est d’ailleurs jamais revenu me
voir et j’ai l’impression qu’il m’évite.
Bon, je n’allais pas en mourir, il devait bien y avoir d’autres membres disponibles,
je devais me mettre à chercher…

J’ai commencé à surfer sur le net, à regarder des sites où des hommes et des femmes
s’exhibaient, j’ai aussi été sur des sites de rencontres, mais rien ne m’accrochait et
je restais dans ma solitude.


Au bout de deux mois de ce régime je n’en pouvais plus, je sentais que j’allais faire
des bêtises, d’autant que mes études s’en ressentaient. Il me fallait me ressaisir,
trouver une queue pour me satisfaire et reprendre mes études sérieusement.

C’est Audrey, une amie, qui sans le vouloir a débloqué la situation, lors de la fête
pour ses vingt et un ans, moi j’en avais dix-neuf.
Une soirée d’anniversaire chez elle, avec son copain, le rendez-vous est pris pour
samedi soir et Audrey me dit qu’elle a invitée Franck un copain, et en parlant de lui
elle me dit :
- Il est super beau et c’est un bon coup, en plus il est super gaulé, fais-moi
confiance mon copain qui fait du foot avec lui me l’a dit.

Samedi, je me sens en forme et ce soir j’ai très envie de me lâcher et je me demande
comment je vais m’habiller ce soir. Pourquoi pas habillée sexy pour attirer le regard
de Franck, c’est vrai que mon envie de sexe est au maximum.
Bien décidée à faire effet, j’opte pour un chemisier blanc transparent sans soutien-
gorge, laissant libre ma poitrine arrogante, une jupe mi-cuisse et un string ouvert,
comme chaque jour maintenant, et des talons hauts.
J’ai hésité à mettre des bas, mais il fait assez chaud et je préfère encore sentir
l’air sur mes jambes nues et sur ma petite chatte imberbe légèrement découverte.
Ma mère, qui maintenant à un bon poste et gagne bien sa vie, m’a payé une petite
voiture pour me déplacer, et c’est à vingt et une heure que j’arrive chez Audrey, et
Michel.
Il y a du monde et j’ai peine à me garer et je suis en retard, je trouve enfin une
place et me dirige à pied vers leur petite maison qu’ils ont pris en location.
Je sonne et Audrey ouvre.
- Ah, c’est toi enfin, on pensait que tu ne viendrais plus. Tu es superbe.
- Merci. J’ai fait un effort pour l’occasion.
- Tu as bien fait, Franck est là et il s’impatiente de te connaitre.

- Ah, bizarre.
- Faut dire que Michel lui fait l’article depuis déjà un bon moment.

Magalie me présente Franck et continue avec moi le tour de la maison.
Franck, a vingt-huit ans et une belle situation, plutôt beau gosse et je dois avouer
qu’il ne m’attire pas plus que cela, mais il a du charme et il fera l’affaire pour un
one-shoot, ou plus peut-être.
Dans le salon, la fête bat déjà son plein, les verres sont déjà bien remplis et
l’alcool coule à flot, un buffet froid est installé et la baie vitrée qui donne sur le
grand jardin est ouverte.
Il fait bon et avec Magalie nous allons boire un verre dehors, je repère quelques
connaissances que je salue et nous commençons à papoter.

La soirée continue et je danse avec les mecs présents, certains même sont un peu
entreprenants et cela me flatte de sentir que je plais, et soudain, à la fin d’une
danse on me prend par la taille et l’on me glisse un bisou dans le cou.
- Maintenant c’est mon tour, dit Franck.
Il s’est jeté sur moi comme un affamé, si nous avions été seuls, il m’aurait peut-être
sauté dessus et je me serais laissé faire, je me retourne et il me sourit.
- Ah oui et pourquoi ?
- Ne fais pas ta naïve, tu le sais bien. Tu as dansé avec pratiquement tous les
mecs de la soirée sauf moi, dois-je comprendre que tu me fais languir ?
- Non, pas du tout, enfin, si peut-être un peu.
- Alors dansons…
S’il connaissait mes pensées les plus profondes, les plus enfouies, il ne danserait
pas, il me prendrait par la taille et m’emmènerait dans la première chambre qui se
présente pour me sauter et me faire jouir.
Car le manque qui me ronge chaque jour un peu plus va me rendre folle et un de ces
jours je vais me faire prendre par tous les mecs qui seront présents.

Bref, Franck danse avec moi et ne me lâche plus, trop heureux que je sois dans ses
bras, je me dis que si je me laisse draguer j’aurais enfin quelqu’un pour me faire
l’amour.

Soudain il se colle à moi et me serre contre lui, c’est un slow langoureux, il pose
une main dans mon dos pour me presser contre lui, ma poitrine s’écrase contre son
torse, tandis que sa deuxième main vient se poser sur mes fesses et presse mon pubis
sur son bas-ventre.
Oh oui, qu’elle sensation, dès que Franck est collé à moi, je sens contre mon pubis la
raideur de son membre, Audrey ne m’a pas menti, il doit être de belle taille, je fonds
littéralement et me je me mets à mouiller comme une folle en pensant qu’il, Franck, va
pouvoir assouvir toutes mes ardeurs, avec un tel membre.
Faire l’amour tous les soirs et même plusieurs fois par jour, un rêve.

La soirée file à la vitesse de la lumière, ça papote et ça chante, avec Franck on
danse et on rigole. Au moment où Franck s’absente, Audrey vient me voir et me glisse à
l’oreille :
- Je crois que tu vas y passer.
- Certainement dis-je, mais je n’ai rien prévu.
- T’as de capotes sur toi, viens j’en ai dans ma chambre.
Audrey m’emmène à l’étage dans sa chambre et sort du tiroir de sa table de nuit une
boite de préservatifs en me disant :
- Tiens, ceux-là sont super !
- Et tu n’aurais pas un tube de gel ? Demandais-je à Audrey.
- Dis-moi, Tu as l’intention de te faire prendre le petit ?
- Pourquoi pas ! Dis-je.
- Alors toi, dis Audrey, t’es vraiment une sacrée…
- Tu sais, peut-être qu’un jour, avec toi…
- Quoi, tu voudrais quoi avec moi…
Sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit, je m’approche d’Audrey, la prends
par le cou et l’embrasse à pleine bouche, ses lèvres s’entrouvrent et nos langues se
mêlent. Audrey répond à mon baiser sans pudeur, et nous voilà parties dans les
caresses, la main d’Audrey se perd sur mon intimité à moitié offerte, tandis que je
lui doigte la chatte, elle ne porte pas de culotte.
L’espace d’un instant nous nous perdons ensemble enlacées dans nos jeux saphiques, et
Audrey se séparant de mon étreinte me dit à l’oreille :
- Samedi prochain, vient passer la nuit à la maison, Michel va chez ses parents,
nous serons toutes les deux.


Nous retournons à la fête, bien émoustillées toutes les deux et allons boire un verre
pour nous remettre de ces émotions.

A suivre…

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