L'Éducation De Papillon - Episode 18
(Ou nous retrouvons Papillon et sa bande)
- Bon, on fait quoi aujourdhui, lance Anne. 8heures, pas de courses à faire
(sourires de tous autour delle), rien que du farniente et du bon temps à prendre.
- Si on faisait un tour à la plage ? Pas longtemps, mais le matin, ya pas trop
de monde, à part les jeunes un peu sportifs qui courent sur le sable.
- Je vois, à peine levé et Louis veut mater de la chair fraîche dit Papillon.
Remarque, ya des beaux mâles aussi !
- Je suis Ok, dit Jean, mais si tu attires un musclé dans les dunes, tu me
préviens, je me joindrai à vous.
- Oh, mais tout le monde est bien en forme ce matin ! Je me joins à vous, je
commence à mouiller rien quà vous imaginer.
- Bon, si tout le monde est daccord, allons-y
Et les amis, emportant quelques affaires pour la matinée, partent à pied vers la mer,
vers une longue plage de sable sur laquelle on peut aussi trouver quelques
renfoncements près des rochers, un peu abrités du vent, et de la vue.
Une fois posés, ils contemplent la mer, papotent. Il ny a quasiment personne, aussi
ils décident de passer au bronzage intégral. Jean passe un peu dhuile solaire dans le
dos de Papillon, Louis fait de même avec Anne. Bien sûr, les mains des garçons
traînent sur les fesses, les massant légèrement, et dans la raie qui soffre à eux,
apercevant le petit trou mignon qui frémit au passage de leur doigt. Ils se sourient,
et échangent leurs femmes. Jean caresse Anne maintenant.
Il reprend le massage, partant du cou, descendant sur la colonne vertébrale, remontant
par les côtés, effleurant au passage les rondeurs des seins écrasés sur la serviette,
revenant vers les fesses. Il lui semble quAnne les tend un peu vers lui. En tout cas,
elle a écarté un peu les jambes. Il voit Louis qui fait de même avec Papillon, et elle
aussi a maintenant sa vulve exposée aux regards.
Les membres des garçons ne restent pas insensibles à ce spectacle.
Ils décident dun mouvement commun, de poser leurs mains sur les sexes féminins
offerts. Juste la paume, le pouce en haut se calant sur lillet. Les majeurs, du bout
du doigt, appuyant légèrement sur les clitoris en un mouvement circulaire qui fait
sécarter un peu plus les jambes de ces dames.
Les pouces entrent dans les anus, saccrochant au muscle qui se serre à leur passage.
De lindex, ils entrent dans les chattes qui, déjà humides, les accueillent avec joie.
Quelques grognements de plaisir se font entendre. Les culs se tendent un peu plus.
Le branle continue, très lent, la main libre de chacun caressant le corps de la femme
quil surplombe.
Les anus sont bien détendus maintenant, et les pouces senfoncent totalement, pour
mieux prendre appui pour bouger les doigts qui fouillent les fentes et le bouton
damour.
A ce rythme, le souffle des filles saccélère un peu, toutes à leur plaisir, se
laissant totalement faire par les doigts experts de leurs amants.
- Je crois que je vais avoir envie de quelque chose dun peu consistant en moi,
lance Papillon dans un souffle.
- Et moi, je sucerai bien un beau membre, renchérit Anne.
- Oh, pas tout de suite, les filles, vous êtes bien pressées.
- Et on na pas finit de vous préparer pour la suite, dit Louis.
- Quelle suite ?
- Ah, surprise pour tout le monde, répond Louis.
Et les caresses continuent, les dos ondulent, et Papillon, puis Anne, finissent par
jouir, leurs clitoris gonflés sapaisant après une dernière étincelle
..
- Ca commence très fort ! dit Papillon. A peine arrivées et vous voila en train
de nous exploser le clito. Cest trop bon, les gars, mais va falloir que lon soccupe
de vous aussi.
- Non, non, nous, pour linstant, on reste sage, répond Jean. On est là pour
vous, nous cela peut attendre.
- Oui, mais maintenant on a envie dêtre défoncées, dit Anne, ce nest pas bon
de nous laisser en plan.
- Ne tinquiètes pas, ma chérie, tu vas être comblée, jen suis sûr, dis Louis.
En attendant, pour patienter, on va aller prendre un bain puis nous vous masserons le
dos.
Les voilà bientôt dans leau, à profiter des vagues calmes, du soleil, de la
fraîcheur, de la mer.
Louis guette la plage, et bientôt, il aperçoit ce quil attendait : deux beaux mecs
musclés qui font leur jogging.
Il sort de leau, les aborde, parle un moment avec eux.
Les autres le voient faire, mais constatent que les deux jeunes reprennent leur course
et séloignent.
Louis les rejoint, et ayant rapporté une balle, ils entament tous un simili volley-
ball.
Jean adore voir les femmes courir vers le ballon, leurs seins tressautant. Cela la
toujours excité, cette partie de lanatomie féminine. Excité et fasciné : ces
ornements certes destinés à lallaitement, mais si opportunément placés par la
providence (le créateur ?), ou linstinct de conservation de lespèce, afin dattirer
le regard du mâle et linviter à la fécondation.
Quand elle oublie ses seins, une femme nue est merveilleuse pour nous, car nous
observons les petits mouvements, les gigotements, les tremblements, les imperceptibles
signes du désir par le raidissement des tétons, tous ces ballotements et
tressaillements qui nous font rêver et nous donnent envie de donner douceur, caresses,
baisers, suçotements, de nous retrouver si près de notre petite enfance
.
Jean aime donc regarder les seins des femmes ! Il en rate la balle qui lui arrive
dessus et rebondit sur son nez.
- Alors, mon Jean, dans la lune, ou encore plongé dans de coquines pensées ?
- Les pensées bien sûr, je regardais les seins dAnne se soulever et redescendre
en tapant la balle.
- Je le savais, tu es incorrigible.
Les amis jouent encore un peu, puis retournent dans leur petit coin abrité, se sécher,
boire un peu, puis sallongent mollement sur leurs serviettes. Ils sassoupissent un
peu, bercés par le bruit des vagues.
Puis Louis recommence à masser le dos dAnne, et rapidement il va à nouveau vers son
entrejambe. Anne encore une fois écarte les jambes pour laisser laccès aux doigts
agiles de son mari.
Papillon qui entend Anne glousser ouvre un il, et réclame à Jean un traitement
similaire, la moiteur de sa chatte étant manifeste. Louis propose de bander les yeux
des filles pour quelles ne voient pas qui les caresse.
Et hop, les doigts à nouveau excitent ces femmes si promptes à senflammer.
Louis fait un clin dil à Jean, et lui montre le rocher sur leur gauche. Jean
aperçoit les deux garçons que Louis avait abordés. Ils sapprochent, lair hésitant,
mais on distingue une barre dans leur caleçon.
Louis leur fait signe de se taire.
- Bon les filles, on va bientôt vous baiser en levrette, Jean et moi, il faudra
deviner qui vous enfile. Mettez-vous en position, on va vous lécher encore un peu puis
on sintroduira dun coup.
- Mmm, enfin, dit Anne, jai envie dun bon gourdin !
Les filles se positionnent. Les deux invités ont ôté leur slip, et se branlent en
matant ces deux cochonnes qui se font masser leur moule par leurs maris.
Jean leur tend une capote à chacun, et une fois prêts, il les positionne chacun devant
une chatte ouverte, et leur fait signe dy aller.
Les deux membres sintroduisent dun coup, en même temps, à fond, et les deux femmes
laissent échapper un cri de surprise et de contentement.
Elles se font labourer par les jeunes, excités.
- Ahhaaahha, je crois que jai Louis en moi, dit Papillon.
- Mmm oooooo, non je crois que cest moi rétorque Anne.
- Ouuuummmmff, je reconnais pourtant bien son membre large répond Papillon
- Moi aussi, je le reconnais, ça ne peut pas être Jean, je ééééé
le sais bien
- Jai moins lhaaaaaaaaaaabitude que toi, mais je suis sûre aussi que ce nest
pas Jean
- Dites, les gars, si vous nous disiez qui est avec Louis, et qui avec Jean ?
Louis répond
- Vous donnez votre langue au chat ? Alors ouvrez la bouche en grand !
Les deux hommes ont fait le tour des filles, et dès quelles ouvrent la bouche, Louis
senfourne dans Anne et Jean dans Papillon.
Les deux filles sont trop surprises pour réagir, et elles sucent ces queues tout en
constatant que lon continue à leur bourrer la chatte.
Enfin, Papillon reprend son souffle.
- Salauds, on pouvait débattre longtemps ! Et si vous enleviez nos bandeaux, que
lon puisse apprécier le minois de ces deux biens membrés que vous avez invités à nous
prendre en douce.
- Bonjour mesdames, disent en chur les deux garçons, et lun continue : merci
pour ce plaisir de pouvoir coulisser dans vos intimités aussi librement. Vos maris
sont très sympathiques de vous partager ainsi, et vous, de vrais déesses. Vos culs
rebondis sont de toute beauté, et si nous osions, nous irions bien dans vos oignons.
- Faites messieurs, faites, répond Anne, il me tarde dêtre enculée, et votre
raideur dans mon con me laisse augurer de beaucoup de joie dans mon cul. Et toi
Papillon ?
- Mais de même très chère, de même ! Allons, jeunes gaillards, foutez-nous le
cul, derechef !
Et les membres senfoncent dans les anus palpitants, pendant que Jean et Louis passent
dune bouche à lautre.
Jean est le premier à craquer. Les cris des femmes, les ahanements des garçons, la
vision de la queue de Louis dans la bouche de Papillon, tout cela lui a enflammé la
tête, et il envoie un gros jet sur le visage dAnne, qui récolte autant de sperme que
possible pour sen délecter.
Le gars qui encule Papillon part en second et, enlevant le préservatif, balance sa
sauce sur ses fesses en grognant. Louis et le quatrième partent en même temps, lun
dans la bouche de Papillon, lautre au fond du cul dAnne, duquel coule bientôt un
petit filet de semence que le garçon sempresse de recueillir en sagenouillant,
empoignant les fesses dAnne en signe de remerciement.
- Bien, voila qui ouvre lappétit, dit Anne, si nous rentrions déjeuner ? Jeunes
hommes, navez-vous pas des amies qui se joindraient à nous pour un repas convivial ?
- Euh, peut-être, mais je ne sais pas si elles sont aussi libérées que vous.
- Amenez-les, on verra bien, dit Papillon, et on ne leur fera rien quelles
naient envie de faire, soyez-en sûrs, et nous ne leur raconterons pas tous les
détails de notre rencontre. En tout cas pas tout de suite !
Louis leur donne ladresse de la maison, convient quils se rejoignent dici une
heure, et chacun part de son côté.
- Pourquoi les as-tu invités à déjeuner demande Jean ?
- Mmmm, jai vraiment apprécié la queue du mien, mais javais envie de tester
celle de lautre, que Papillon a eu lair de trouver à son goût. Et puis, sils ont
des copines, vous nallez pas vous plaindre !
- Pas du tout, pas du tout, merci de ton attention ma chérie, japprécie
beaucoup !
- Allons nous reposer un peu avant la prochaine séquence, qui je le sens, va
être un peu folle lance Papillon.
Et chacun se pose dans un coin, au calme, laissant retomber lexcitation de la
matinée, mais fantasmant déjà sur laprès midi
.
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