A La Découverte De Plaisirs Nouveaux
Je mappelle Julien, jai 35 ans, je suis marié et jai 2 s. Je suis un pur
hétéro. Jamais je nai pensé à une aventure avec un autre homme. Surtout pas une
histoire sentimentale avec un homme ! Totalement inenvisageable pour moi. Mais
également dun point de vue sexuel. Je me vois mal au pieu avec un mec. Embrasser un
gars, sucer un pénis, sodomiser un amant, ou pire me faire prendre, absolument
impensable ! A la rigueur, me faire faire une fellation
Même dans les douches, après
le sport, je nai jamais même effleuré un mec ou une queue. Certains se sont parfois
hasardés à tenter des caresses ou à approcher mon sexe. Ils ont chaque fois été
rapidement repoussés.
Je nai pourtant rien contre les gays ou les lesbiennes. Je pense que chacun est libre
de ses pensées et de ses actes. Si certains ou certaines trouvent leur équilibre et
sépanouissent ainsi, je ne peux que men réjouir pour eux. Tant que le respect est au
rendez-vous et cest valable également pour les hétérosexuels , je nai rien à
dire. Si chacun pouvait vivre sa vie comme bon lui semble et surtout foutre la paix à
son voisin... Nous vivrions sans doute dans un monde meilleur.
Néanmoins, en dépit de cette position « hétéro », je dois avouer que jaime mater les
beaux sexes masculins. Des queues bien épaisses et pesantes au repos aux chibres de
gros calibre bien bandés, des verges à la toison impressionnante à celle
impeccablement rasées ou épilées, les gland turgescents, les bourses bien pleines,
voir de temps à autres, une jolie rosette
Cette attirance est venue à lorigine de
lenvie de comparer mon attirail avec ce qui « existe ailleurs ». Par curiosité ou
sans doute pour me rassurer alors que, nétant pas mal loti avec une bite au garde à
vous de 19 cm, épaisse et bien veinée, un gros gland que je trouve très beau et 2
couilles de bon calibre, il nen est nul besoin.
belle bites, ça mexcite vachement et me fait bander bien dur ! Mais passer de lautre
côté de la ligne, je ne lenvisageais pas. Et pourtant
Cet été, en vacances en Italie, il se passa une chose totalement inattendue pour moi,
mais qui ne fut pas désagréable, que du contraire. En voici le récit.
Comme chaque matin, en lève tôt que je suis, vers 6h15, jétais sur mon vélo pour la
ballade matinale. Plus tard, il fait beaucoup trop chaud.
Au bout dun chemin, je débouche face à la mer. En contrebas dune dizaine de mètre,
une belle plage, et la mer lisse comme un lac. A droite, quelques maisons de vacances
encore endormies. A gauche, un gros éperon rocheux de 10 ou 12 mètres de hauteur au
sommet duquel est installée une aire de stationnement pour les camping-cars. Une
dizaine dengins sont stationnés face à la grande bleue. En face de moi, engoncée
entre la falaise et un petit amas rocheux, une petite plage de sable en arc de cercle
denviron quarante mètres de largeur avec bon nombre de transats et de parasols prêts
pour la location. Ensuite, en continuant sur la droite, une longue plage de sable fin.
Tout est si calme et désert. Le soleil na pas encore émergé de derrière les
montagnes, mais il fait déjà bien clair. Cette luminosité, légèrement rougeoyante,
donne une dimension particulière au paysage. Je pose ma bicyclette, retire mes
chaussures et descend sur la plage pour marcher un peu au bord de leau. Alors quil
doit déjà y avoir 20 ou 21°C, leau apparaît assez chaude. Quest-ce que ça doit être
bon de plonger à cette heure ! Ce nest pas lenvie qui manque, mais voilà ! Jai
juste enfilé un short et un tee-shirt pour être à laise. Pas de maillot de bain, ni
de slip qui aurait pu faire laffaire.
Une idée me traverse lesprit. « Mon ptit Julien, toi qui aime tant te balader à
poils dans la maison ou dans le jardin, pourquoi tu ne prendrais pas un bain dans le
simple appareil ? ».
Mais il y a ces maisons là-haut et ces camping-cars en haut de la falaise. Tout a
lair calme. Allez ! Jose ! Je retire mon tee-shirt, mon cur bat la chamade. Si
quelquun débarquait ! A cette idée, je sens ma queue qui commence à enfler. Je fais
quelques pas les pieds dans leau pour me calmer tout en scrutant les environs. Pas
moyen de maîtriser mon excitation. Je suis maintenant avec une belle érection
difficile à cacher avec ce short léger.
Je remets mon tee-shirt et continue ma ballade les pieds dans leau. Le bain sera pour
une autre fois. Après quelques minutes, je fais demi-tour pour retourner vers mon vélo
pour poursuivre mon exercice matinal. Il doit être à peu près 7h00 et lendroit est
toujours aussi désert. En remontant, je croise un pêcheur auquel je ne prête guère
attention et qui se dirige vers la falaise. Lidée du petit bain matinal ma poursuivi
toute la journée.
Le lendemain matin, je noublie pas denfiler un maillot en dessous du short car cette
fois, je compte bien en profiter. Jenfile mon vélo et me dirige vers la plage
découverte la veille. Je laisse les baskets près du vélo et descends vers la plage.
Lendroit est toujours désert et la mer aussi calme. Je retire short et tee-shirt que
je laisse sur le sable. Leau est, comme hier, assez chaude par rapport à la
température de lair, et je my enfonce directement. Je fais quelques mouvements de
brasse puis de crawl.
Et puis lidée de se baigner à poils ressurgit. Cette fois, jy vais. De toute façon,
dans leau, qui peut me voir ? Jenlève le maillot. Me voici entièrement nu dans la
mer. Cest vachement agréable. On ne croirait pas quenlever un aussi petit bout de
tissu donne un tel sentiment de liberté. Je continue de nager le maillot à la main,
mais ce nest pas pratique.
suffisamment haut pour quil ne soit pas emporté par les quelques faibles mouvements
de leau. Et me voilà reparti, cette fois totalement libre. Cest une immense
sensation de liberté qui menvahi. Je fais quelques allers et retours le long de la
plage à une vingtaine de mètres du bord. Cest un bain des plus tonifiants.
A un moment, japerçois un jogger qui descend le petit sentier puis part en courant
sur la plage, sans même détourner la tête vers moi. De lautre côté, sur la falaise,
je vois un pêcheur. Était-il déjà là quand je suis arrivé ? En tout cas, je ne lai
pas vu approcher. Quimporte, je continue de nager.
Quelques minutes plus tard, je vois le pêcheur qui est toujours dans les rochers de la
falaise, mais qui sest bien rapproché de moi. Jai impression quil me matte avec
insistance. Il faut dire que vu du haut, bien que je ne sois pas tellement bronzé, la
trace du maillot doit bien se voir à travers leau clair. Et je ne sais pas pourquoi,
mais être nu et savoir que lon me regarde de la sorte mexcite énormément et voilà
que je bande à nouveau.
Je continue de nager un moment tout en surveillant de temps en temps la falaise. A un
moment, je ne vois plus le pêcheur, mais son matériel est toujours là. Voilà sans
doute une demi-heure que je suis dans la mer. Je nage vers le rocher où jai déposé
mon maillot. Ouf, il est encore là. Je lenfile tant bien que mal dans leau et je
sors.
Sur la plage, je fais quelques allers et retours en me frottant pour me sécher un peu.
Après quelques minutes, le haut de mon corps presque séché, mais mon maillot est
encore bien mouillé et dégouline sur les jambes. Que faire ? Un rapide coup dil tout
au tour. Personne. En 3 secondes, je tombe le maillot et enfile le short. Voilà ma
bite et mes couilles tout humide qui ballotent dans mon short.
sensation que japprécie. Dailleurs, en vacances, je porte rarement un slip pour être
plus à laise dans la chaleur. Je ramasse mon tee-shirt et remonte vers mon vélo.
En chemin jentends un bruit deau et me retourne. Quelquun nage ! Sans doute le
pêcheur. Mais où était-il ? Il me regarde à nouveau fixement. Ma-t-il vu me changer ?
Et soudain, une question me traverse lesprit : est-il nu ? Pourquoi est-ce que cela
mintéresse ? Jessaie de voir malgré tout. Mais le reflet du soleil qui vient
dapparaître de derrière la montagne mempêche de voir.
Toute la journée et toute la nuit, jai repensé à cette baignade matinale, à cette
sensation de liberté, à ce pêcheur qui me matait peut-être, à mon excitation
Cest
sur, je remettrai ça.
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