La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 157)
Histoire écrite par Caline - (suite de l'épisode 155)- :
Walter fut le premier à s'approcher d'Olivier, il s'exprima ainsi :
- " Tu es à nous, donc direction l'écurie, je prévois quelque chose de spécial pour
toi"
Le soumis pris la direction de l'écurie, suivi de Walter, les poids toujours attachés
aux testicules et le plug bien en place, avec un pas hésitant le trajet fut long pour
traverser limmense cour aux graviers rouges. Les pieds nus lui faisaient mal et de
plus Olivier sentait réellement ses testicules être attirés vers le bas, il en
souffrait physiquement et psychologiquement en pensant à la déformation apportée à son
corps, reviendrait-elle bien en place après un tel traitement ? Au fond de la cour, et
à l'approche de l'écurie, près de la croisée de plusieurs chemins menant aux
différentes parties du château Walter ordonna à Olivier de s'arrêter. Walter alla
chercher à l'écurie un espèce de chevalet servant de reposoir pour les selles. Walter
positionna le chevalet et poussa le soumis, il lui précisa :
- "Allonge-toi en avant sur ce chevalet, je vais t'attacher dessus et tes pieds seront
bien écartés, penchés en avant, ton cul sera une offrande. Je prépare un panneau
indiquant que tu es à la disposition de tous, au château tout le monde sait ce que
cela veut dire, de plus saches que je dépose un martinet au pied de ce chevalet, il
servira si tu te montres rétif "
Olivier fut allongé buste en avant sur le chevalet effectivement sa position laissait
apparaître son sillon fessier d'où on distinguait le plug. Pieds et mains attachés, il
ne pouvait pas bouger, d'ailleurs le moindre mouvement lui procurait une inévitable
douleur dut à la morsure des poids sur ses testicules. Walter concluait :
- " Je m'en vais maintenant, tu vas rester ainsi jusqu'au souper, courage espèce de
chien"
Olivier se retrouva seul, bien seul, il essayait de compter les minutes et les heures,
quand il entendit des bruits de pas vers lui, et surtout une voix masculine:
- " Mais ? Qu'avons-nous là ?
Je crois savoir par Walter qu'il est disponible à
tous, un petit cul comme cela, je vais pas laisser passer l'occasion"
Olivier savait que dans quelques instants il serait pris, qu'à aucun moment il
distinguerait l'homme, seul son sexe en lui se ferait sentir.
brutalement du plug, son anus était libre, le passage ouvert vers ses reins, deux
doigts écartait son sillon fessier indiquant l'imminence de la pénétration. L'homme
sûre de son fait, poussa d'un seul coup, la longueur de sa tige pénétra le soumis et
il allait apprécier cette saillie... L'homme accéléra le mouvement, habitué à des
saillies brutales qui n'avait pour but que son seul plaisir, il labourait
littéralement le soumis de Monsieur le Marquis, c'est uniquement quand il sentit son
plaisir arriver qu'il se retira, des longs jets de sperme fusèrent alors sur le dos
d'Olivier. L'homme grogna de satisfaction, content du résultat, sachant l'obligation
du port du plug, il le remit bien en place, sans un mot et il s'éloigna. Olivier
sentit le sperme coulé de son dos, quel spectacle il devait montrer, c'est la perverse
Marie qui passa en deuxième une dizaine de minutes après.
- "Tiens, dit elle, Walter ne m'a pas menti et la cravache est bien à sa place, tu te
rappelles du peu de plaisir que tu m'as donné et bien maintenant je vais en prendre du
plaisir, ha ! ha ! ha !"
Olivier sentit durement le coup de cravache, Marie aimait viser les fesses, voir cette
partie du corps passer du blanc au rouge. A chaque coup Olivier gémissait, il compta
mécaniquement le nombre de coups, c'est à dix que Marie s'arrêta. - "Si tu voyais
tes fesses, elles sont écarlates, je sais que Monsieur le Marquis va passer tout à
l'heure, il va apprécier de te voir comme cela, en même temps Monsieur le Marquis te
tient en haute estime pour la façon dont tu te comportes, en suivant sans rechigner le
protocole du château; je vais donc te détacher et t'enlever ces poids sur tes
testicules."
Olivier fut surpris par son initiative, mais Marie en femme de tête, tint parole, il
fut ainsi libéré de sa terrible position.
les testicules, il le fit devant Marie, elle apprécia le spectacle du soumis perdant
toute pudeur devant elle, satisfaite elle dit :
- " Sache que Monsieur le Marquis ne devrait pas tarder, mon travail à la cuisine
m'appelle, Je te laisse maintenant"
Olivier resta seul, que devait-il faire, il se sentait mal à l'aise, le retour vers sa
chambre s'imposait, mais il choisit une autre voix, celle de la satisfaction du
Seigneur et Maître de la demeure, puisque celui-ci devait arriver. Il se devait de
reprendre sa place sur le chevalet offert au bon soin de son Maître. De lui-même, il
repris place offrant ses entrailles à son Maître, docilement. Monsieur le Marquis
arriva peu après, en voyant Olivier dans la position qu'il avait prise de lui-même, il
fut fort satisfait, son enseignement portait ses fruits, c'était lui qui avait
ordonner à Marie de libérer Olivier pour le tester et voir la façon dont il allait se
comporter. Olivier était devenu une bonne petite chienne qui connaissait la position à
adopter, "satisfaire son Maître" Le châtelain dit à Olivier :
- "Je vois que tu as pris une position que rien ne t'obligeait, tu as donc compris la
portée de la leçon du jour, l'obéissance, regagnes donc ta chambre, tu as quartier
libre. Ce soir, je te ferais amener un copieux souper, mais d'abord viens remercier
ton Maître". Olivier s'exécuta, il emboucha le sexe de Monsieur le Marquis essayant de
lui procurer plaisir et satisfaction, comme une bonne chienne. Olivier prodigua une
fellation tout en douceur, il prenait son temps, le Noble apprécia l'intention et
c'est avec plaisir qu'il libéra sa semence, il aimait ce moment où il pouvait jouir
dans cette bouche qui lui appartenait maintenant. Peu après, Olivier put regagner sa
chambre, satisfait d'avoir supporté cette journée, demain l'ouverture de la cinquième
boite marquerait sa dernière journée au château.
Olivier regagna sa chambre, ou effectivement un bon repas l'attendait, la nuit fut
tranquille, ses pensées allaient vers cette dernière journée au château, l'ouverture
de la dernière boite, son départ et le retour chez lui par le TGV du soir. C'est avec
anxiété qu'il remarqua le jour poindre derrière les volets de la fenêtre, il se leva
et alla prendre une douche voulant ainsi se préparer à cette dernière journée. A son
retour de la salle de bain, il remarqua la cinquième boite délicatement posée sur son
lit, un simple mot l'accompagnait A ouvrir. Olivier se saisit de la boite,
l'ouverture lui permit de mettre la main sur une feuille pliée en quatre, qu'avez donc
prévu Monsieur le Marquis ? "Jouissance" tel fut le mot qu'il put lire. Walter arriva
peu après, il indiqua à Olivier de descendre dans une heure et que Monsieur le Marquis
l'attendrait :
- "Aujourd'hui la journée t'est dédiée, dit Walter, rien de plus normal pour conclure
ton séjour au château.
Olivier se prépara, et conscient des usages du château, il quitta sa chambre plugé
pour aller rejoindre le Maître des lieux. Celui-ci attendait son soumis dans la
fameuse Bibliothèque Privée. Olivier ne connaissant pas cette pièce, fut surpris par
le nombre impressionnant de livres s'y trouvant. De hautes étagères remplies de
livres, manuscrits anciens, collections encyclopédiques etc .. occupaient les 4 murs
de la pièces, une richesse inestimables pour les historiens de tous poils. Le mobilier
était constitué de fauteuils club dont le cuir embaumait la pièce et d'un grand bureau
de travail flanqué au centre de la Bibliothèque. Monsieur le Marquis l'accueilli en
fermant un grand livre qui paraissait très ancien.
- "Cher ami aujourd'hui pour votre dernier jour, j'ai prévu de vous procurer
jouissance et félicité, vous allez pouvoir satisfaire votre plaisir d'homme, mais tout
d'abord, asseyez vous, je vais vous faire une certaine lecture.
pour une collation et pour vous permettre d'accéder au nirvana"
Olivier fut surpris par ce discours qui tranchait avec la réalité de son quotidien au
château, une journée dédiée à son plaisir, curieux et encore cette satanée de Marie
qui allait intervenir, tous les occupants du château avaient abusé de lui à des degrés
divers. Monsieur le Marquis commença la lecture du livre La Saga des esclaves au
Château du Marquis dEvans et Ses Origines par Monsieur le Marquis dEvans. Olivier
fut surpris par la qualité du texte, les scénarii décrits et la façon dont le
châtelain lisait le texte procurait à Olivier un début d'érection. Le Noble continua
la lecture de la Saga des esclaves
Il remarqua l'excitation du soumis, Olivier
bandait clairement.
"Cher ami, vous apprécier la lecture, à ce que je vois. Je vous ai dit qu'aujourd'hui
vous prendriez du plaisir"
Et il continua son récit, au bout d'une demi-heure, Olivier ne pouvait plus cacher sa
gène, son esprit était perturbé, il était comme subjugué, hypnotisé par les écrits du
Châtelain. Son sexe surtout avait besoin d'être manipulé, le besoin d'une masturbation
se faisait sentir, il ferma les yeux imaginant se masturber devant Monsieur le Marquis
en buvant ses paroles. Le Maître des lieux et conteur de ses propres écrits remarqua
qu'Olivier commençait à ressentir le besoin de jouir, alors il continua sa lecture,
mettant encore plus de perversité sur le ton de sa voix tout en lisant délicieusement
ses propres textes. Il fallait maintenir son soumis sous pression pour le préparer à
l'intervention de Marie, de la jeune noire et de Firmin
Marie frappa à la porte puis
entra dans la pièce interrompant la lecture. Elle posa le plateau en argent où se
trouvait du thé accompagné de pâtisseries diverses, Monsieur le Marquis la remercia et
dit :
- "Merci Marie, revenez avec Firmin et cette jeune noire qui a tant plu à notre
invité, je pense qu'il est à point pour prendre son plaisir"
Olivier en entendant cela, se voyait déjà en train de chevaucher la jeune femme, son
sexe était gonflé, il sentait en lui le besoin de relâcher la pression de ces derniers
jours par une éjaculation puissante. Les minutes qui suivirent furent interminables
pour Olivier, surtout que Monsieur le Marquis continuait la lecture de la Saga des
esclaves
. L'arrivée de la jeune noire nue, au corps si gracieux et portant juste un
collier au cou et menée en laisse par Marie puis Firmin suivait derrière, le prit au
dépourvu. Ils firent leurs entrées dans la Bibliothèque, Olivier remarqua que Marie
portait un sac où se trouvait différents objets. Le Noble referma son livre et
indiqua:
- " Mon cher ami, vous allez pouvoir assouvir ce besoin qui vous tenaille. Vous allez
pouvoir regarder Firmin et sa jeune amie faire l'amour"
La déception d'Olivier fut vive, mince qu'elle était donc son rôle. Le Châtelain le
remarqua et indiqua :
-" Mais Marie va vous donner du plaisir, elle a l'habitude de traire mes soumis
méritants, elle va donc vous traire, vous masser la prostate, elle va vous soulager de
cette envie qui vous tenaille"
Olivier ne comprenait plus rien à la situation, Firmin commença à caresser la jeune
femme, seins aux tétons durcis et sexe trempé apparurent furent rapidement très
excités. Olivier allait assister à la scène de copulation sans pouvoir y participer.
Firmin commença la pénétration faisant gémir rapidement la jeune noire, Marie quant à
elle, demanda à Olivier de se mettre à quatre pattes au pied de Monsieur le Marquis.
Olivier s'exécuta, Marie enduisit sa main d'un gant de cuisine, et enleva prestement
le plug, l'ouverture ainsi constituée allait lui permettre d'atteindre la prostate
rapidement. Olivier sentait les doigts de Marie occuper son fondement, la pression du
majeur sur la prostate produisit un effet qu'il ne put pas maîtriser, il constata que
son sexe commençait à laisser passer sa semence, il éjaculait sans ressentir le
moindre plaisir. La vue du corps puissant de Firmin, les coups de boutoir virils, les
cris de plaisirs de la jeune femme contrastait avec la pauvreté de son plaisir.
Monsieur le Marquis apprécia le spectacle. Firmin connaissait son travail, le soumis à
ses pieds le regardait témoignant ainsi de sa reconnaissance envers son Maître, le
plaisir qu'il lisait dans ses yeux dans cette situation de soumission totale. Marie
massait la prostate avec régularité regardant avec plaisir le sexe d'Olivier perdre de
la vigueur au fur et au mesure de la vidange. A l'ordre de Monsieur le Marquis,
elle arrêta sa tache :
- "Stop cela suffit notre ami a pris suffisamment de plaisir, d'ailleurs qu'il lèche
maintenant son sperme, je ne veux pas quil tache mon parquet"
Olivier compris ce qu'il devait faire, puis il entendit de nouveau son Maître : - "
N'oublie pas aussi de me soulager, petit chien, j'aime éjaculer en lisant
tranquillement"
Olivier de nouveau accompli sa tache de vides couilles de son Maître. Monsieur le
Marquis d'Evans éjacula puissamment dans la bouche du soumis, marquant ainsi la fin du
programme de la matinée. - "Espèce de bon chien, j'apprécie la qualité de ta bouche.
Ma méthodologie a porté ses fruits, tu es plus obéissant, plus attentif, tu connais le
prix de la récompense après l'effort, tout cela va contribuer à te rendre plus fort,
meilleur dans ton travail, tu verras"
Olivier fut content d'entendre cela, effectivement il se sentait assagis, plus sûr de
lui-même. Monsieur le Marquis continua :
- " Tu vas partir tout à l'heure, prépares tes affaires, un taxi viendra te chercher.
Pour ma part, je te salue, ma tache est terminée, jai fais de toi, ce que tu
inspirais à être, un chien soumis"
Olivier quitta la luxueuse Bibliothèque, il allait enfin pouvoir rentrer chez lui, il
ne lui restait plus qu'à préparer ses valises
Le taxi arriva en début d'après-midi,
Olivier quitta ainsi le château comme il était arrivé. Le retour à la vie parisienne
se fit rapidement, la reprise du travail, dés le lundi suivant. Cette aventure lui
procura satisfaction, il se sentait plus tranquille, plus apte à remplir ses missions,
son chef un véritable salopard, remarqua ce changement positif.
- "Je ne sais pas, dit il, ce que tu as fait de tes vacances mais elles ont étés
profitables" Olivier lui répondit :
- "Je suis aller en séminaire dans un château, une méthode de relaxation, on se sent
plus doux après, plus apte à accepter les contrariétés". Son chef lui dit :
- " Ca m'intéresse, comment cela se passe t'il ? :
-" Il n'y a qu'à prendre contact par mail, je peux m'occuper de cela, vous recevrez
billets et planning en retour"
- " Ok, très bien, j'attends les informations"
Olivier jubila, son chef était le type même infect au boulot, abusant de sa situation
de supérieure. Le soir Olivier envoya un mail à Monsieur le Marquis ainsi libellé :
Monsieur le Marquis par la présente je vous prie de réserver bon accueil, comme vous
savez si bien le faire, à mon supérieure, qui est une véritable ordure, j'espère que
le meilleur des traitements lui sera fait dans la tradition de votre château.
La réponse de Monsieur le Marquis lui parvint peu après: Ne t'inquiètes pas, je lui
appliquerai la méthodologie la plus dure... pour en faire un gentil mouton très lope.
...
Caline
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