La Punition
Un jour lidée mest venue de mettre Chantal dans une situation dhumiliation.
Très fière bourgeoise, imbue de sa qualité de femme libre (idée cependant, à laquelle
jadhère au demeurant), la soumettre pour quelque raison ou obligation, me mettait
dans une érection instantanée. Laffaire nétait pas facile à réaliser et pas gagnée
davance.
Lui offrir un cadeau pour obtenir ce sacrifice en retour, impossible ! La convaincre
froidement ? Peu probable. Attendre quelle se mette en faute vénielle, pour la
culpabiliser et sous forme de jeu, la faire devenir mon obligée, me semblait le
scénario le plus accessible. Loccasion sest présentée avec un repas jambon purée,
bâclé. Mauvais vin, purée froide et jambon gras. Plus de fromage et de pain de
surcroît ! Loccasion se trouvait trop belle. Je dramatise, de mauvaise foi. Sur le
ton du jeu je lui promets une punition quelle devra accepter sans condition. Et là,
moment de faiblesse ? Envie de jouer ? Faute dinattention ? Toujours est-il quelle
accepte !
La situation devait se présenter seulement deux jours plus tard. Je devais rencontrer
mon agent dassurance qui, partant à la retraite venait actualiser nos contrats. Il
connaît bien Chantal. Le rendez-vous est fixé à 15h laprès midi. Cest un jour de
juin, il fait chaud et le soleil tape fort. Une heure avant je vais voir Chantal et
lui annonce sa punition. Je crains le pire mais lui rappelle ses engagements. Elle
joue dabord je jeu. Je lui annonce la venue du notre agent. « Tu vas tallonger dans
le salon sur le grand divan et faire semblant de faire une sieste. Tu dors sur le côté
le dos à la table de la salle à manger face au mur. Va mettre ta petite jupe bleue
dété et un teeshirt. Il pourra mater tes jambes pendant que tu dors ». Elle sexécute
en riant, ignorant encore le clou de la punition.
en chien de fusil, tournée vers le mur, les fesses vers la salle à manger. Ainsi elle
montre ses jambes et ses fesses sans rien voir de ce qui se passe derrière elle. Elle
accepte. Les volets sont mi clos, il règne une pénombre qui la laisse quand même bien
voir.
Quand la sonnette retentit, juste avant d aller ouvrir, je lui soulève la jupe et
descend sa petite culotte à mi cuisses ! « Ne bouge pas, tu es punie, rappelle-toi.
Fait semblant de dormir, cest lheure de ta sieste, je vais marranger pour quil ne
regarde pas dans cette direction ». Le moment est critique, tout peut capoter. Je la
sens qui se raidis pour se relever, jinsiste, elle se soumets et reste allongée. Je
coure vite ouvrir à mon voyeur assureur. Quand il entre dans la salle à manger, son
regard, comme je le souhaitais, se porte tout de suite sur les fesses exposées de
Chantal. Elle joue ! Je détourne tout de suite son attention en linvitant à
sasseoir. Je lui offre une chaise qui le place de côté du tableau, pas en face mais
presque. Il na quun petit tour de tête à faire pour mater. Nous parlons, je névoque
jamais lexistence de Chantal dans la pièce mais il est évident quelle est bien
présente pour lui comme pour moi. Je bande, je suis tendu de savoir le cul de ma femme
sous le regard vicieux de cet homme qui ma souvent parlé de ses charmes. Au bout de
quelques minutes, je nen peux plus, je veux quil mate à loisir ce cul nu. Prétextant
un papier manquant, je quitte la pièce. Je le laisse seul, mais je reviens
discrètement sur mes pas pour épier et voir ce quil va faire. Cela ne manque pas, il
tourne la tête vers le salon et mate le cul exposé. Il regarde doù je viens de
disparaître et rassuré semble-t-il, il se lève et sapproche pour mieux voir.
Jentends sa respiration saccélérer, puis soudain, il sort rapidement son téléphone
portable et jentends nettement le déclic de son appareil photo.
du cul offert. Un cliché puis un autre, puis plus près, une dizaine de clichés se
suivent. Puis je le vois porter sa main sur son sexe au dessus du pantalon : il se
frotte la bite. Jai peur quil se mette à faire du bruit et dalerter Chantal qui
doit bien se douter de sa présence tout près delle. Je choisis de revenir. Quand
jentre dans la pièce il a repris calmement sa place mais son émoi est bien visible.
Nous nous séparons, Chantal me saute dessus en minjuriant, mais comme je lui mets la
main à son minou, je maperçois quil est tout humide, signe que cette saynète la
bien excitée. Je lui saute au cou et nous nous retrouvons sur le canapé à faire
lamour. Quelques jours plus tard, notre courtier est revenu apporter les contrats.
Subrepticement, il jette un il au divan et cest alors que je lui ai dévoile ma mise
en scène. Il devait mavouer sêtre masturbé plusieurs fois en matant les photos
volées ce jour là. Il a eu la délicatesse de men confier une que je peux montrer à
qui veut la voir en me communiquant une adresse mail. Arsène
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