Club Des Cinq - Denise 4
Bizarrement, après cet épisode, je n'eus plus de nouvelle de Serge et Joël n'insista
plus. Peut être trois semaine plus tard, je risqua un appel à Serge qui prétexta un
emploi du temps vraiment trop chargé pour s'accorder, en semaine, le temps d'étreîntes
voluptueuses. Il ne restait que le week-end.
Une quinzaine plus tard (cela commençait à me démanger il faut le dire) d'un ton
dégagé je demandais à Joël si nous pouvions pas inviter Serge un samedi soir. Son air
entendu me renseigna. Il ne se méprenait pas sur le genre d'invitation que j'allais
lancer. Pourtant, il la transforma :
"Ça tombe bien que tu en parles, justement, je voulais te demander quelque chose. Tu
sais quand nous allons au foot, Chris et JP payent souvent au resto. Pour leur rendre
un peu la pareil, on ne pourrais pas les inviter en même temps que Serge. À la fin du
repas au moment de partir on les laisserait aller et on retiendrai Serge sous un
prétexte quelconque et ensuite
hop !"
Je fus peine enchantée. Juste Serge, et sans préambule aurait été suffisant. Mais
enfin
et puis je connaissait bien, Christian, le boucher et Jean Pierre le patron du
Tabac journaux local. Joël les connaissait depuis longtemps, ils faisaient aussi parti
de l'association des commerçant et artisans du village et de plus étaient aussi
supporter des "verts et blancs"
tout un programme !
Je fis contre mauvaise fortune bon cur et acceptais cette idée. J'allais un peu
m'ennuyer (dans la première partie) car Christian était divorcé et Jean Pierre
célibataire se serait donc foot, foot et re-foot. Quand les hommes sont entre eux de
quoi parlent-ils ?... foot, peut être voiture
et sûrement cul mais je serais là et
par correction
.
Joël avait voulu que je mette ce soir là un petit pull qu'il m'avait offert. Je ne pus
refuser. De plus le décolleté restait (presque) sage quand je faisais attention.
Toutefois si je me relâchais et me penchais trop
. J'avais mis une jupe portefeuille
et des bas gris. J'avais aussi relevé mes cheveux pas question de faire pute. Joël
venant, justement, m'embrasser la nuque et le cou me demanda si je portais un slip. Je
répondis que oui, j'avais un string. Il me demanda de le quitter.
"J'aime tellement te savoir nue au milieu de tas de gens !"
C'était si "gentiment" demandé que je cédais devant cette sollicitation.
Je préparais un assez bon repas et Joël de bonnes bouteilles.
Ils arrivèrent JP tout seul, puis Christian en compagnie de Serge. Ce dernier vraiment
impeccable, digne et tout
sauf un petit clin d'il très discret. Fleurs champagne que
je mis au frais
galanterie et gentlemen's. L'ambiance semblait un peu tendue au
départ plus se réchauffa au cours des apéritifs. Nous passâmes à table et le foot fut
abandonné pour des choses plus légères. Ce fut mon mari qui débuta, je crois les
histoires un peu lestes. Devant cette permission tacite, les autres y allèrent de bon
cur et perdirent de leur réserve. Tout le monde (moi y compris) riait beaucoup et le
bon vin aidant la conversation dérapa pour devenir égrillarde. Étant la seule femme
présente mon avis ne cessait d'être recueillis sur des choses salaces et inconvenantes
(taille, longueur
vous voyez le genre). En vérité, tout en essayant de rester calme,
j'avais très, très chaud à l'intérieur et je me entais mouillée. Je tentais
d'accélérer le mouvement pour enfin me retrouver seule en compagnie de mon mari et de
Serge. Comme le repas s'éternisait à table, je proposais de servir le café au salon.
Je le préparais et vint le servir. Là, je dois dire que ma garde avait baissé et je
m'aperçus un peu tard de la vision que j'avais offert en me penchant pour servir le
café. D'ailleurs aucun des hommes n'avait fait mine détourner leurs regards.
même au contraire. Naturellement, je pris la place restée libre entre Serge et JP sur
le canapé.
Alors que tout le monde sirotait son café et que Joël proposait le pousse-café, je
sentis imperceptiblement Serge se rapprocher de moi, puis plus franchement. Un peu
ennuyée, je me poussais un peu, mais pas trop pour ne pas me rapprocher à l'excès de
JP. Si cela continuait, tout le monde allait remarquer ses manigances. Ce fut complet
quand il se pencha pour essayer de m'embrasser dans le cou. Je le repoussai gentiment
puis plus fermement devant son insistance. Devant son obstination gênante, je finis
par interpeller mon mari (étrangement muet) pour qu'il invite son ami à cesser ses
privautés. La phrase, telle qu'elle arriva à mes oreilles puis à mon cerveau qui
lentement eu du mal à la décrypter, me cloua au canapé :
"Allons ma chérie ! Tu vas gentiment te laisser faire ! Tu vas voir quatre hommes pour
toi toute seule ! Tu vas être la reine de la soirée ! Nous allons te combler et toi
aussi tu vas nous combler !"
Tellement je fus interloquée que j'en restais sans réaction regardant sûrement
stupidement mon mari. Serge profita de ce moment de flottement. Sa bouche se posa
gloutonnement sur la mienne et sa langue s'y introduisit. Un instant d'égarement la
mienne répondit involontairement à ce baiser. Le temps de me reprendre trop tard il
m'embrassait à nouveau et une mains se posa sur un de mes seins. Quand sa bouche
quitta la mienne, je n'eux même pas le temps d'esquisser un mouvement de rébellion. JP
me fit tourner la tête vers lui et imitant Serge, lui aussi m'embrassa à pleine
bouche. le combat cessa faute de combattants disait Rodrigue
. Je repris cette phrase
à mon compte. Que vouliez vous qu'une faible femme sans défense oppose comme
résistance à quatre hommes déterminés qui en voulaient à sa vertu.
Je rendis son baiser à JP cependant que Serge continuait à me peloter les seins. En
fait je passais d'une bouche à l'autre sous les yeux de mon mari et de Chris. Serge
avait tiré sur l'échancrure de mon pull et avait passé ma poitrine par-dessus. JP, lui
avait passé un main sous ma jupe et me caressait une cuisse. Bien que sachant qu'il
n'en resterait pas là, je gardais toujours les genoux joints. Entre mes paupières mi-
closes, je vis Chris cesser de se toucher l'entrejambe se lever et venir vers notre
trio. Arrivé devant moi, il attendit que ma bouche se libère pour la prendre, lui
aussi. Quand il eut fini de goûter mes lèvres, il s'agenouilla devant moi. il posa
tranquillement chacune de ses mains sur chacun de mes genoux, puis tranquillement,
mais fermement il commença à les écarter. JP en profita, vous pensez bien. Il releva
le pan de ma jupe et fit apparaître le renfort de mes bas et ma peau nue au dessus
qu'il commença à caresser. Serge aussi avait progressé. Il avait rabattu les bonnets
de mon soutien gorge et titillait mes mamelons durcis. De temps à autre, il se
penchait pour embrasser et sucer le plus près. Seul, pour l'instant, mon mari ne
participait pas à l'action. Il se régalait du spectacle de sa femme piégée et aux
prises avec les attouchements impudiques des trois compères. JP arriva
enfin
à la
fourche de mes cuisses et se doigts rencontrèrent ma vulve. Il fut ravi de ce qu'il
découvrit et crut bon d'annoncer qu'il adorait les femmes épilées. C'est peu être pour
cela que Chris releva encore ma jupe et me fit écarter encore plus les jambes,
histoire de faire apparaître mon bas-ventre. Il continua à me caresser les cuisses à
la limite des bas. JP glissait un doigt fureteur entre mes lèvres, bien décidé à s'y
immiscer. Quand à Serge, le plus en avance d'une longueur, il avait déjà sorti son
sexe, pris ma main et posée sur sa hampe.
directement, je pus éviter un sursaut et un gloussement de plaisir. De toute évidence
la femelle était mûre. Ce fut Chris qui déclencha les hostilités. Il se leva, toujours
face à moi et tranquillement ouvrit son pantalon. Son sexe bandé en fit irruption.
Serge posa une main sur ma nuque et me poussa vers l'avant. J'avançais le visage vers
cette belle verge si tentante et ma bouche gourmande s'ouvrit pour l'absorber. JP
avait fait de même que Serge et désormais j'avais une pine sur ma langue et une dans
chaque main. Serge profita du fait que j'étais un peu avancée pour glisser une main
sous mon pull dans mon dos et faire sauter habilement l'attache de mon soutif. Cela
allait lui faciliter la tâche pour s'occuper de mon buste. Il en profita aussi dans le
bas de mon dos pour dégrafer ma jupe. C'est ainsi, que pelotés, suçant, branlant,
j'entendis Joël rappeler tout le monde à l'ordre :
"Hé les mecs ! Vous ne pensez pas qu'il faut la foutre à poil maintenant !"
Exactement de dont j'avais envie
moi aussi ainsi que tous les hommes. En quelque
secondes, je fus nue, uniquement vêtue, si lon peut dire des mes bas et de mon porte-
jarretelles. Pendant que les hommes se mettaient nus eux aussi, je passais de bras en
bras. Etroitement enlacée, joffrais ma bouche à de monstrueux patins goulus et
baveux. Certains, tous même, je pense, y compris mon mari qui c'était joint à la fête
ma crachèrent aussi dans la bouche. Bien sûr, ceux qui me ne métreignaient pas ne
restaient pas inactifs, loin de là. Ils en profitèrent ou, pour commencer à visiter de
leurs doigts mon vagin et mon anus ou pour presser mes mamelles. Assez vite, je fus
placée sur le dos, allongée sur la table du salon. Chris avait relevé mes jambes et
bientôt je me retrouvais avec une queue dans la chatte, un dans la bouche et de mes
mains je branlais les deux dernières. Hyper chauds, les hommes se mirent à me
forniquer sans retenue en me traitant de tous les noms, bien incités par Joël. La
situation tourna à lorgie quand ils se mirent à changer de place pour ne pas faire de
jaloux. Evidemment ainsi écartelée sur ma table mes gros seins étaient à lentière
disposition de ces messieurs qui ne se privèrent pas la moins de monde pour mes les
pincer, me les malaxer, me les manipuler et en triturer les tétons.
Ce fut Joël, sans aucun doute très excité par la situation et tout ce plan échafaudé
avec ses complices qui éjacula le premier à gros bouillon dans mon sexe, plus que
trois
. Un qui prit vite la place laissé par mon mari et désormais un à droite de ma
tête et un à gauche qui se faisaient sucer alternativement. Parfois javis les deux
glands sur les lèvres et je pouvais aisément les lécher. De plus quand ils reprirent
leur mouvement tournant, javais, ne plus le goût du foutre de Joël sur la langue. Ce
fut ensuite Chris qui me fit don de son sperme épais en ma lançant un "je vais tout
balancer !" accompagné d'un sempiternel "suce salope" qui me ravit, autant, je pense
qu'il ravit toute les femmes dans mon genre. Les deux dernier me mirent en levrette
sur la table m'achevèrent assez vite JP me inondant mon intimité et Serge se vidant
dans ma bouche. Je ne vous ai pas dit, mais tout au long de ces diverses possession
j'avais jouit incroyablement quatre ou cinq fois en en redemandant sans cesse.
J'allais être exaucée au delà de tout ce que je pensais. Joël décida de continuer
cette folle soirée à l'étage, immoralement sur le lit conjugal. Les hommes ayant pris
cette habitude depuis le début décidèrent sans me demander mon avis. Ils eurent l'idée
et l'envie de me sodomiser. Placée en levrette sur mon lit, ils me forcèrent à
réclamer ce quadruple enculage. Serge, si je puis dire, prit les choses en main. Il me
doigta progressivement pour, au final, à la demande générale me mettre trois ou quatre
doigts dans l'anus. Une fois que tout le monde eu bien salivé entre mes fesses, il
fourra lentement mais profondément. Quand il eut prit ses aises il m'enfila
gaillardement faisant bien remarquer au autres combien j'aimais cela. Puis il céda sa
place au deuxième qui fit un peu après de même et ainsi de suite. Les quatre hommes se
relayèrent dans mon cul m'amenant à jouir de nouveau. L'un d'eux au sortir de mon
conduit voulu que je prenne sa pine dans la bouche. Je rechignais. Ce que voyant, il
me pinça le nez. Obligée d'ouvrir la bouche pour respirer, il en profita et je fus
bien obligée d'engouffrer son membre. L'idée plut
donc à chaque fois que l'un d'eux
sortait d'entre mes fesses, il me présentait sa pine à sucer. Bien vite, très vite
immédiatement même je cessais ma timide rébellion et engloutissais leur virilités.
Pour corser l'affaire, Joël et Serge voulurent que je sois prise en double. Chris et
Joël furent désignés pour ouvrir le bal. Mon époux s'allongea, je m'accroupis au
dessus de son membre et le guidant dans ma moule puis je tendis mes fesses au second
assaillant qui prit mon petit trou avec vigueur. Les deux autres, en attendant leur
tour, jouèrent les voyeurs. Mes deux partenaires me pilonnèrent véritablement et je
jouis
. Il changèrent de trou et repartirent de plus belle
jusqu'à ce que je les
sente fuser en moi. Dès qu'ils eurent débandé un peu essoufflés Serge et JP qui entre
temps se touchaient pour s'entretenir se présentèrent. Ils exigèrent une nouvelle
variante que je n'avais encore pas pratiquée à l'époque. JP s'allongea sur le dos lui
aussi mais cette fois là, je dus prendre son phallus, non pour me l'insérer devant,
mais je dus lui tourner le dos pour cette fois m'empaler véritablement. Une fois
emmanchée, en appuis sur les talons et sur mes poignets, le dos soutenu par JP, cuisse
bien ouverte je n'eus qu'à attendre (oh pas très longtemps) que Serge vienne me mettre
par devant. Tout de suite ils se mirent à me ramoner les conduits en me faisant
bramer. De plus ils étaient appuyé dans leur entreprise par JP et surtout mon époux
qui regrattant que je n'aie pas quelques biroutes autour du visage pour les sucer
encourageait les deux hommes a "tringler la salope !" et a "défoncer le cul de la pute
!". D'ailleurs mes deux amants inversèrent eux aussi les rôles et je pus me faire
évaser la rondelle par le gros pieu de Serge qui, écrasant la mince paroi, glissait
contre la verge de JP. Sous ces agressions j'eux encore un orgasme épuisant. Je
pensais que ce serait le dernier de la soirée et j'avais, moi aussi, éreinté mes
amants. Les deux hommes furent super
un double raidissement ou les vits se tendirent
à l'extrême, un moment ou oubliant le monde entier, les deux hommes ne vivaient plus
que pour ce qu'ils avaient entre les jambes et moi pour ce qui dilatait mes conduits
jumeaux
. Puis la libération ! Un double flux accompagné d'un double mugissement de
plaisir.
Quand ils eurent repris leur souffle, ils s'aperçurent qu'ils avaient soif. Et moi
donc
après avoir tant sucé
. Tout le petit monde redescendit à la cuisine et Joël
ouvrit la bouteille de champagne que Serge avait amené nous triquâmes à notre "sacré
soirée" mais aussi "la cochonne de service" qui goûta modérément l'hommage même si au
fond il représentait une vérité indéniable. Je trouvais cette scène un peu
surréaliste, appuyée les fesses contre la table de cuisine à coté de JP, les trois
autres nous faisant face. Ce qui était inhabituel pour le lieu était que nous étions
nus tous les cinq. Naturellement tout en buvant j'étais l'objet de légères caresses.
Je n'était pas en reste et passais la main sur des virilités un peu ramollies. La
bouteille fut vite achevée et Joël en ouvrit une seconde. Je ne sais plus trop qui, JP
je crois, fit remarquer, pendant que mon époux me servait, qu'apparemment j'aimais
bien le champagne. Avec un air particulièrement salace, Serge demanda à mon mari, en
lu faisant un clin d'il, si j'aimais autant le contenant que le contenu. Devant la
réponse incertaine Serge poursuivit :
"Il n'y a qu'un moyen pour le savoir !"
En disant cela, il contourna la table et m'attirant par les épaules il me renversa sur
dos. Il demanda ensuite qu'on me maintienne les jambes. Joël et Chris s'en emparèrent.
Obéissant à Serge ils me les levèrent et les maintirent écartées. JP fut prié de venir
me peser sur les épaules pour ne point que me redresse. Je ne voyais pas où il voulait
en venir. A coup sûr il n'y avait que moi car les autres ricanaient grassement. Voyant
faire Serge je compris
. Il avait retiré le papier métallisé du goulot de la bouteille
et s'approcha du compas de mes cuisses conservées grandes ouvertes. Je n'eus même pas
le temps d'émettre une protestation. Le goulot était contre les lèvres de mon sexe,
puis entre celles-ci qui furent franchies avec facilité. Je sentis la fraîcheur du
goulot glisser en moi. Alternant vas et vient et mouvements rotatifs Serge se mit à me
besogner avec ce godemiché improvisé. De temps à autre, il poussait un peu plus loin
la bouteille. Visiblement, une chose était certaine. Je ne saisi pas si tel était son
but, mais il lui serai impossible de la faire pénétrer en entier. Il parla d'une femme
qui arrivait à les admettre
une certaine Gisèle je crois, d'après ses dires une
véritable salope, qui les prenaient devant, mais aussi derrière
.
"D'ailleurs
."
Fit-il en ressortant la bouteille. Il revint de l'autre coté de la table et présenta
la bouteille souillée de semence et de cyprine et me la fit lécher et sucer. Je
remarquais que finalement peu ou prou les bite de ces messieurs commençaient à
reprendre du poil de la bête. Il refit le tour et ce replaça entre mes jambes et cette
fois écarta mes fesses pour dégager mon orifice anal encore béant et sûrement bouffi
et écarlate. Je suppliais :
"N
hannnon
Non
Seeerge
pas çààààààà noooooonnnn hnnhnn.. paahan
hnn
hnn
Ah
! Ha nooon
arrêêêêêêêteeeeee
Joêêêêêêêêêêl
haaaaaaaaa !"
Trop tard !... et pour ainsi dire sans jeux de mots : je l'avais dans le cul.
J'essayais de ma détendre, de ne point me crisper. Pour tout dire j'avais peur que le
verre ne tienne pas le coup. Il tint bon et fin de compte je trouvais que ce n'était
pas si désagréable que cela, surtout quand il poussait en tournant pour en entrer
davantage. J'arrêtait même de me débattre et commençait éprouver du plaisir. Ce que
voyant, JP relâcha la pression sur mes épaules et me fourra sa verge dans la bouche.
Devant mes bonnes disposition Serge proposa à mon mari que petit à petit mon
entraînement soit programmé pour mon anus puisse se accepter ce type de diamètre. Ce
ne fut que plus tard et après beaucoup, beaucoup d'essais que ce fut possible, entre
autres
.
La retirant, Serge passa la bouteille à JP qui me la fit nettoyer, toujours avec la
bouche. Serge en profita et remplaça la bouteille dans mon fondement. Les deux autres
cessèrent de me tenir et vinrent rejoindre JP pour se faire pomper à tour de rôle ou
se branler au-dessus de mon visage. Je savais que je ne pourrai plus jouir, trop
fatiguée sans doute. Pourtant je me laisser enculer avec délectation. Cette saynète
dura jusqu'à ce que Serge se retire précipitamment et vienne m'éjaculer sur la figure
en me criant d'ouvrir ma bouche de pute. Il fut imité par les trois autre qui finirent
de se masturber au dessus de moi et, bien que visant ma bouche, m'écamoussure
copieusement la figure. Chris regretta un peu (après coup) cette éjaculation faciale
il aurait préféré que tous se vident dans un verre que j'aurais pu déguste ensuite
.
L'idée fut retenue pour une prochaine fois
retenue et exécutée
.
Il faut dire qu'il eut, bien sûr d'autre soirée de ce type. Et ces fois là j'étais
prévenue et consentante (c'est peu de le dire). Au surplus Joël gagna, car en plus de
ces parties de jambes en l'air collective, je devins la maîtresse séparée des trois
autres. Suivant leur humeur, j'allais chez l'un ou l'autre pour me faire sauter et le
soir venu tout raconter à mon époux ce qui le mettait dans un été pas possible et très
souvent j'y repassais
. De plus mes amants n'étaient jamais à cours d'idées
diaboliques. Un jour JP me fit placer sous son comptoir pour le sucer pendant qu'il
vendait journaux et cigarettes. Un autre Chris me lia les mains et les fixa un croc de
boucher à coté d'une carcasse qu'il venait de recevoir. Il me fit lever une jambe et
me prit debout appuyée à la bestiole. Il se retira et me retourna et écrasée la face
et les seins contre l'ex bovin il me sodomisa comme une bête.
J'ai dit tout à l'heure " la maîtresse séparée des trois autres" ce fut vrai un temps.
Car un jour, ils furent deux au rendez-vous. Ce fut torride. La fois suivante
ils
furent tous les trois, avec l'évidente permission de mon mari. Si j'aimais bien les
soirée avec les quatre hommes, et m faire prendre devant mon mari, j'avoue que je
préférais presque quand je m'offrais à mes trois amants. Non pas qu'ils se sentent
gênés par la présence de Joël, mais sans lui ils étaient comment dire
plus machos,
plus exigeant, plus goujats, plus vicieux aussi se comportant en parfait salaud et en
soudards dévoyés.
Et
et
j'adorais
C'est dans ce moment que je connus la double pénétration vaginale, qu'ils reproduirent
ensuite devant mon cher et tendre. Ce fut aussi eux qui m'habituèrent (le mot est peut
être une peu fort) à me faire fister par devant (pour le derrière ce fut plus tard).
Ma vie avait, je croyais, complètement basculée. A tel point que, il faut dire
encouragée par Joël, je ne pris plus garde à être prudente dans ma manière de
m'habiller dans le village. Un petit bouton défait de plus, une fente un peu osée, des
talons un peu plus fins, un maquillage légèrement plus prononcé valurent à la femme du
menuisier quelques regards envieux de la population masculine et des regards noirs et
courroucés des bigotes et commères locales. A près tout
j'étais
nous étions heureux
!
Je croyais avoir atteint un cap. En fait j'en avait franchi un et mon mari allait
persévérer dans son entreprise de dévergondage avec l'aide de Serge.
V
Cette fut tellement spontanée et devenue disons coutumière que nous étions presque
devenu un ménage à trois. Je fis mentir le proverbe qui disait en substance "Deux coqs
vivaient en paix, une poule survint
". Mes deux coqs à moi continuèrent à vivre en
paix
. Je fus leur trais d'union habituée que je fus à me faire prendre par ces deux
cochons simultanément. De plus agissant en parfait salaud, il s'ingénièrent à
renforcer mon coté "poule". Ils m'adoraient pute
.
Un jour Joël fit venir Serge pour l'attendre je dus revêtir sa tenue préférée, celle
de prostituée et en pleine journée, donc au vu et su de tous ils décidèrent de
m'emmener à la ville voisine me baiser dans un hôtel louche. Quelques personnes me
virent ainsi, interloquées
. J'eux un peu honte cette fois là.
Arrivé en ville, après nous être garés, ils me guidèrent vers un quartier réputé un
peu chaud. Là ils me donnèrent l'adresse d'un hôtel et je dus m'y rendre en avance sur
eux d'une bonne vingtaine de mètre. La consigne était simple m'y rendre d'une démarche
suggestive. Bravement, sentant leurs regards braqués sur mes fesses j'obtempérais en
ondulant. Pour l'anecdote, je vous préciserais que je fus accostée deux fois. J'en
déduis donc que je faisais plus vraie que nature. Je dois avouer également que cela me
fit terriblement mouiller et qu'en arrivant à l'hôtel je me sentais particulièrement
chaude. Serge et mon mari en profitèrent bien et me coïtèrent deux fois chacun sans
oublier mon petit cul particulièrement disponible.
En récupérant, les deux hommes (comme d'habitude de connivence) me demandèrent mes
impressions. Tête baissée, je fonçais dans le piège en disant que cela m'avait fort
excité.
Joël me proposa d'aller le lendemain rendre une visite à un client de Serge qui tenait
un endroit un peu spécial et qui était à la recherche de quelques femmes mures n'ayant
pas froid aux yeux
ni ailleurs
.
Ce type s'appelait Goran
.
Donc dès le lendemain nous reprîmes le direction du même quartier, mais de nuit cette
fois l'ambiance avait changée. Les boutiques "normales" avaient fermées. Ne restaient
ouvert que les hôtels, petit restaurant et bar de nuit en plus des trois sex-shops de
la ville. Abrités dans les encoignures de quelques portes ouvrant sur les couloirs
blafards quelques femmes de petite vertu attendaient leurs clients. Tout cela était un
peu glauque et je m'inquiétais de savoir dans quelle galère mes deux chéris
m'entraînaient. Quelques mètres à pied et nous nous trouvâmes devant un établissement
que j'aurais pudiquement qualifié de bar à hôtesses. J'avais comme un léger
tremblement. Je n'avais pas mis la tenue fétiche de mon mari, heureusement. J'étais
presque élégante. Sous ma veste, je portais une robe bustier noire sans bretelle très
ajustée et un peu courte. Là-dessous une paire de dim-up noirs sur des talons hauts et
rien d'autre vu comme la robe me moulait. Les regards se tournèrent vers nous dès
notre entrée. Serge alla au bar et annonça que "Goran nous attendait". Nous longeâmes
le bar ou une prostituée (vraie ou fausse) était assise sur un haut tabouret pour
gagner le fons de la salle. Une petite porte, un sas genre vestiaire, une autre porte
et une salle avec un petit podium et des chaises en demi cercle ou se trouvait une
bonne dizaine de silhouette. Plus en retrait quatre ou cinq petites alcôves elles
aussi ouvertes vers la scène mais un peu plus intimes quand même. Un homme s'en
détacha
pas mal du tout
. Serge fit les présentations et Goran (puisque c'était lui)
me fit la bise (appuyée). Il avait des yeux libidineux qui me déshabillèrent.
L'examen de surface fut sûrement positif car il s'adressa à Joël :
"Votre femme est très belle
. Serge ne m'a pas menti
sur ce point
."
Serge lui avait à l'évidence fait aussi d'autres confidences.
Vous arrivez juste, le show va commencer. Il nous guida vers un box et servit le
champagne.
Les projecteurs s'allumèrent et une femme fit son apparition. Un murmure parcourut la
salle. Elle n'était plus toute jeune, comme moi ou a peu près. Très maquillée et
uniquement vêtue de ses talons aiguille vertigineux. Lascivement elle commença à se
caresser d'abord les seins, puis la vulve jambes écartées et enfin elle nous gratifia
de la vision de son anus plissé qu'elle offrit en écartant ses fesses à deux mains.
Goran précisa :
"C'est Gisèle, la femme d'un ami
."
Je l'interrogeais :
"Et la femme au bar, c'est une professionnelle?"
"Pas davantage ! Il n'y a pas de professionnelle ici
. Martine est la maîtresse d'un
autre copain il adore qu'elle vienne ici !"
Immédiatement deux hommes firent leur apparition. Un blanc et un noir tous deux genre
culturiste en string. La femme voluptueusement s'approcha d'eux tour à tour et les
priva de leur seul et unique vêtement. Les deux sexes qui me parurent énormes se
redressèrent lentement. Elle se laissa tomber à genoux et alternativement les
emboucha. Quand ils furent dans leurs états maxima. Il tirèrent une sorte de matelas
et se mirent à prendre la belle. Ce fut une suite d'enchaînement de position ou elle
avait toujours un membre dans la bouche et un dans le sexe. Rapidement ils se mirent
en devoir de la sodomiser. la salle apprécia
. Joël et Serge ne quittaient pas la
scène des yeux. Moi-même j'avais la bouche sèche. Seul Goran semblait s'amuser. Il me
souffla à l'oreille tout en posant sa main sur ma cuisse :
"Ça te plais ?"
"Oui beaucoup !"
"Tu crois que tu pourrais en faire autant ?"
"Je ne sais pas
en privé oui
mais là
."
"Tu sais que ton mari le souhaiterai et qu'il aimerai te voir faire la pute ?"
"Je me doute
."
Pour finir en beauté les deux hommes terminèrent leur sandwich et ayant placé le femme
à genoux éjaculèrent sur son visage comme dans les plus beaux fils pornos. Le public
applaudit.
Il se passa quelque instant puis la femme revint. Toujours aussi peu habillée mais la
figure nettoyée et remaquillée. Du podium elle jeta un regard concupiscent sur
l'assistance, semblant faire son choix. Elle alla, revint s'arrêta comme tentée,
hésitante puis finalement descendit vers un homme qu'elle prit par la main pour faire
monter sur scène. Elle fit retirer son pantalon l'heureux élu et lui administra une
fellation très sensuelle. Elle lui demanda ensuite de la prendre en levrette. Puis de
l'enculer. Visiblement à bout de résistance l'homme ne put s'y résoudre et éjacula sur
son dos. Bonne fille, elle le reprit un peu en bouche pour un câlin post jouissance.
Applaudie elle s'éclipsa.
Les deux mâles refirent leur apparition et cherchèrent dans l'assistance. Ils parurent
dépités. Je compris vite. Il n'y avait aucune femme présente
à part moi et un
tentèrent un pas vers nous. Goran leur fit un signe de dénégation. Cette fois tout le
monde c'était retourné vers nous. Goran refit le même geste. Quelques voix s'élevèrent
pour protester. Une ou deux furent franchement hostile. Apparemment les gens n'en
avaient pas pour leur argent. Goran regarda mon mari, visiblement très gêné. Serge fit
semblant d'être ailleurs. L'atmosphère s'alourdit. Ce fut Joël qui dénoua la situation
:
"Puisque Denise pourrait être destinée à devenir une de tes employées, pourquoi pas
tout de suite ? Si tu veux elle peux sucer tous les hommes présents
cela les
calmera
.".
L'immonde salaud
je sus plus tard que rien n'avait été organisé mais quand même
quel
opportunisme ! Je me doutais depuis le début de ce qu'il voulait. Me voir "travailler"
ici et voir Goran me prosti d'une façon ou d'un autre mais là
il exagérait et ce
bon Serge qui ne disait rien (bien au contraire). Goran trouva l'idée assez bonne et
d'un mouvement de visage chercha mon accord.
Il faut dire que depuis ma visite dans cet hôtel crapuleux, je rêvais de choses un peu
sordides et obscènes en plus de faire enfiler. Je regardais mon mari et mon amant qui
semblaient suspendu à ma décision, puis en souriant sensuellement je fis un signe
affirmatif à Goran.
Il me prit par la main et m'emmena vers la scène. Il annonça que j'allais bientôt
faire partie de son équipe. L'approbation parut générale. Il continua en précisant que
pour inaugurer cette embauche, mon mari souhaitait que je suce tous les hommes qui le
souhaitaient. Ultime explication, non prévue celle là, il était bien entendu que
j'avalerai l'intégralité de ce qui me serait expédié. Il en profitait
. Les
applaudissements furent nourris. Goran amena une chaise, j'y pris place et une file se
forma devant moi. Dans la salle il y avait douze hommes présents. Neuf se mirent en
file indienne. La tournée de pipe commença. Au troisième une voix demanda que je
retire ma robe pour mieux apprécier la marchandise. Des voix reprit en cadence et à
l'unisson "la robe! la robe! la robe!...". Mon "chef" me conseilla :
"Allez Denise fait leur plaisir
. "
Sous les commentaires canailles je retirais ma robe et reprit mes activités buccales.
Pour accélérer le mouvement Goran intervint. À partir de cet instant, les hommes
viendraient deux par deux. Un à droite, un à gauche et me voilà bientôt dans un des
mes exercices préférés (entre autres
beaucoup d'autres). Deux verges à sucer
alternativement. A chaque fois, sans en perdre ne serais-ce qu'une goutte, je
m'évertuais à tout bien prendre dans ma bouche et à ingurgiter ces semences épaisses.
Arrivée au dernier j'avais la bouche comme un peu pâteuse.
"Pas mal
pas mal !"
Fut le jugement de Goran sur ma coopération. Il fit savoir qu'avant de s'attacher mes
services et que je collabore effectivement à l'accroissement de son chiffre d'affaire,
il fallait qu'il "m'essaye". Il ajouta à l'attention de Joël et Serge :
"Si cela ne vous gêne pas, bien sûr
"
Comme cela ne les gênaient pas comme vous pouvez le penser, il s'installa plus
confortablement et me demanda abruptement de faire voir ce que je savais faire.
Je m'accroupis entre ses jambes et déboutonnais sa braguette. Je fus pantoise
pantoise et troublée
une queue de
je sais pas
cheval, peut être
. Un truc d'acteur
de porno et dans les mieux équipés
longue et grosse
. il eut un sourire habituée.
Visiblement, il avait souvent vu ce genre de réaction. Malgré mes mâchoires un peu
ankylosées, bravement j'ouvris ma bouche en grand pour m'attaquer à ce beau morceau.
Avisant mes deux amants les yeux écarquillés et envieux, il décrocha son téléphone.
"Martine est là ?"
"
"
"Elle est en main
bon ! Gisèle est encore là ?"
"
"
"Ok ! Dis lui de venir !"
La vedette du show revint dans la pièce habillée cette fois. Quand je dis habillée
juste ce qu'il faut pour faire le trottoir. Décidément, c'était la tenue de la
maison
. Goran la pria de s'occuper de ses deux invités. Servilement, elle fit comme
moi et ouvrit les pantalons avant de soumettre mes amants au même doux traitement que
je soumettais le patron. Le dit patron que me demanda de monter sur lui. Je
m'agenouillais donc de part et d'autre de lui et précautionneusement, à cause de la
taille, je me laissais glisser pour m'emmancher lentement. Jamais je n'avais été prise
par un si gros sexe. L'effet était sidérant et in petto je me mis à craindre un
sodomie éventuelle. Lentement je me mis à le chevaucher en lui offrant tour à tour mes
seins à sucer ou à malaxer et ma bouche à embrasser.
Mes craintes furent fondées car au bout d'un moment, il décida de voir ce que je
valais au niveau cul. En levrette sur la banquette j'attendis son bon vouloir. Il me
dilata presque assez pour je ne déguste pas trop mais quand même
. Cette intromission
me parut interminable, mon anus allait avoir du mal à se refermer. Levant la tête, je
vis que le petit groupe avait changé lui aussi de situation. La belle Gisèle était
assise sur Serge (coté pile) et pompait mon mari. Puis elle changeait s'introduisant
Joël dans le fion et suçant Serge. Ils ne mirent pas longtemps à jouir excités par la
soirée. Gisèle s'approcha de moi, je ne compris pas pourquoi immédiatement. C'est
quand sa bouche se colla à la mienne et que je sentis le foutre de Joël se répandre
dans ma bouche que je réalisait qu'elle me redonnait ce qui m'appartenait en quelque
sorte : le jus de mon homme. Son baiser fut long, sensuel et ardent prémices, si je ne
me trompais pas à d'autres jeux futurs. Je fus si troublée que je jouis immédiatement
sous l'impact du bélier qui me défonçait le cul
et Goran se laissa venir
à foison
.
Goran se rajusta et me demanda :
"J'espère que tu as déjà fait ça avec des femmes ?"
En souvenir de ma jeunesse, je répondis que oui. S'adressant à mon époux, il déclara :
"Bien ! Dans trois semaines j'aurais besoin d'elle pour un show avec Martine !"
Voilà j'étais admise, enrôlée et convoquée
. Mon avis
celui de mon mari
à l'évidence
cela ne lui importait que peu. Je faisais parti de son cheptel.
Pour la plus grande satisfaction de mon mari j'allais devenir une pute
. A jouer avec
le feu
.
De fait notre vie s'en trouva changée. Moi qui la croyais depuis peu axée sur le sexe,
je n'avais rien vu
.
Il y eut ma première séance : un show lesbien avec Martine. La blonde et la brune
enlacée. J'étais un peu crispée pour cette première. Surtout de me livrer à des jeux
saphique devant des spectateurs. Je faillis jouir quand même quand Martine se para
d'un gode-ceinture noir, de belle taille, et qu'elle m'encula sous les
applaudissements. Après avoir salué notre public nous nous éclipsâmes. La suite du
programme débutait. Goran vint nous voir pendant que nous nous remaquillions.
"Ce soir les filles pas de tirage au sort ! Comme tu es nouvelles Denise, ils veulent
tous faire connaissance. Donc c'est toi qui t'y colles ! Je te préviens, pour ne pas
laisser passer l'occase ils vont certainement se grouper pour emporter le morceau. A
toi de jouer pour les satisfaire
. Je te veux salope au dernier degré
sans cela le
chantier
."
En finissant de me refaire une beauté, je demandais craintivement à Martines qu'est ce
que cela voulait dire.
"En guise de punition, il a toujours promis de m'emmener sur les chantiers de
rénovation de la ville me livrer aux ouvriers
ils sont nombreux
. Gisèle y a déjà
été
pendant les jours qui suivirent elle ne pouvais plus ni marcher ni serrer les
jambes
. "
"Elle avait désobéit ?"
"Non ! C'est son amant qui le voulait. Il est terriblement vicelard. Pas toujours
ment actif mais vraiment compliqué et il s'y entend pour débaucher ses compagnes.
C'est lui l'âme damnée de Goran
il lui souffle des idées et l'autre les mets en
pratique avec ses amis et empoche
. Ce Roger n'arrête pas de seriner mon chéri pour
que je participe à ces gang bang géants ou à des tournantes. Comme Goran à prêt à les
réaliser
je ne pense pas que j'y échapperais bien longtemps."
"Mais
tu peux refuser ?"
"Non, je ne crois pas que j'en ai envie
j'aime trop le sexe
. Tu verras je suis sûr
que tu y viendras
et ton mari aussi
quand il verra des vidéos
et puis, si tu es ici
c'est que ton amant et ton mari son de fameux cochons, alors
."
Ce que je peux dire c'est qu'elle avait des dons de voyances
ou de fortes
connaissances de la nature humaine
.
En compagnie de Goran je revins donc sur scène ou je fus présentée comme "Denise, la
nouvelle salope de l'établissement". Les enchères commencèrent individuelles
effectivement. Puis comme Goran vantait la douceur de ma langue, la fermeté de mes
gros seins et la dilatation aisée de mon petit illet ces enchères devinrent
collectives et je fus adjugée à un groupe de trois hommes. Les perdants quittèrent la
salle, pleins de regrets. Je fus bien entendu utilisée à discrétion par les trois
hommes selon leur bon vouloir. Je ne fus libérée de ma dette qu'une fois les burnes
asséchées.
Je venais de faire mes débuts dans la "Goran Team" !
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