Marlon, Mon Professeur De Théâtre.

Bonjour/Bonsoir, cher lecteur/lectrice de HDS.
Je tiens tout d'abords à vous dire que je suis nouvelle sur ce site et ceci est ma
première HDS que j'écris.
Je tiens aussi à préciser que je suis ouverte à toute critique, bonne ou mauvaise, je
posterais aussi que des HDS fictives. Sur ce, j'espère que vous aimerez me lire. Bonne
lecture <3

Je sors de la scène, épuisé par toute cette énergie que j’avais dépensée pendant tout
le spectacle.
Marlon, mon professeur de théâtre, s’avance vers moi avec son tendre sourire.

- Eh bien Illan, belle prestation ! Je suis fièr de toi !

Je lui sors mon sourire habituel, il me prend dans ses bras et lui rends son étreinte
en passant mes bras autour de sa taille. On se serre doucement avant de se quitter, je
lui annonce que je vais prendre une douche avant de rentré donc je fermerais le
théâtre à sa place. Il accepte et me dit qu’il mettrait la clef dans mes affaires. On
se quitte sur une simple accolade et je pars vers les douches du théâtre. Je gagne les
douches communes, n’étant pas réellement pudique, j’enlève lentement mon costume
trempé de sueur et me douche rapidement étant fatigué. Je sors de la douche, pars
nue dans mon vestiaire, là où, se trouve mes vêtements de la journée. J’enfile mon
boxer noir et mon jean, je commence à faire le tour du théâtre pour vérifier si rien
n’avait été oublié tout en remettant mon haut. Je fini par les coulisses et aperçois
Marlon penché sur des papiers et des photos en faisant des moues qui me faisait fondre
pour lui, car oui, j’ai des tendances homosexuel. Je viens à côté de lui et pose
doucement ma main sur son épaule.

- Marlon, il se fait tard, tu devrais toi aussi allé te reposer, comme tu me l’as si
souvent conseillé.

Je l’entends soupirer et le regarde se levé.

Il me sourit, et sans que je comprenne
pourquoi, sa main viens contre ma joue et ses lèvres se colle au miennes. Je ne réagis
pas sur le moment, mais fini par me laisser faire, mes yeux se ferment lentement. Nous
voilà partie dans un long et tendre baiser, où nos langues se joignent dans une danse
endiablé, peu à peu je sens ses mains caressé mon corps frêle. Je frissonne quand ses
mains se frayent un chemin sous mes vêtements, quant aux miennes elles s’étaient
perdues dans ses cheveux d’ébène mi- long. Je me sentis soupire d’un désire qui
commencer à brûler en moi, commençant par mon ventre et allant dans le creux de mes
reins. Je n’étais jamais allé aussi loin avec un homme bien, que j’ai déjà eu une
relation avec une fille auparavant. Je me retrouve bien vite nu, le corps pressé
contre le sien, nos lèvres toujours celé ensemble. Il m’installe sur le bureau, après
avoir préalablement tout viré sur le sol, nos lèvres se
détachent, pour glisser le long de mon corps. L’embrassant par fois, dans des baisers
chaud et doux, puis s’attaque directement à mon orifice encore vierge. Je me raidie un
peu, en sentant son souffle chaud mais je me détends bien vite quand il enserre
rapidement mon membre dans sa grande main brûlante. Ses lents mouvements me
divertissent du chatouillement qu’il me provoque avec sa langue sur mon orifice
imberbe. Je me mords fortement la lèvre, retenant un petit gémissement, qui ressemble
plus à un petit couinement. Une fois qu’il sent mon petit trou se dilaté au petit coup
de langue qu’il me donne, il insère doucement son index en moi, revenant m’embrasser,
me murmurant ensuite de le déshabillé. Je le déshabille alors lentement,
maladroitement, mes lèvres contre les siennes. Il me met à quatre pattes sur le
bureau, une fois qu’il fut nu. Je me retrouve le visage près d’une verge
incroyablement longue et épaisse, je me mords la lèvre avant de l’enfoncer dans ma
gorge, lentement, c’était la première fois que je prends un sexe aussi gros dans ma
bouche, ce qui m’étouffe légèrement. Je prends vite goût à le sucer, et je me mets à
le pomper avec acharnement, je voulais goûter pour la première fois au sperme, à son
sperme. Je n’eus pas à « m’acharner » longtemps, car très vite je sens sa semence
envahir ma bouche. Je prends bien le temps de le dégusté avant que ses lèvres vienne
contre les miennes, nos salive se mélange avec sa semence dans ma bouche. Il m’assoit
sur le bord du bureau, et vient doucement se frayer un chemin avec son membre démesuré
au fond de mon être. Je laisse un gémissement, à la fois de douleur et de plaisir,
m’échapper. Une fois qu’il sent que je me suis habitué à ce sexe qui me remplit
totalement au plus profond de moi, il commence d’abords de lent et doux vas et viens,
ressortant parfois pour mieux me pénétré. Mes gémissements, accompagné ses coups de
butoir qui commencer à être plus énergique et fougueux. Nos baisers se faisait plus
brulant et sauvagement. Je ne me rendis même plus compte de ce que je faisais, je lui
labouré le dos de mes ongles ce qu’il lui faisait poussé des grognements de bête. Nos
souffles se faisait s’accédé plus le plaisir monté en nous, nos bassin celle ensemble
on partit peu après dans un long et puissant orgasme, lui se déversant en moi et moi
entre nos corps trempé de sueur. Je me blottis contre lui, reprenant peu à peu ma
respiration, ses bras autour de moi, je sentais son souffle contre mon cou, qui me
fait frissonner. On passa un temps à nous embrasser et à nous donner des caresses
tendres et passionné.