Confessions D'Ado

Ces diverses nouvelles assemblées sont situées dans le midi languedocien de
Montpellier aux plages, stations balnéaires et rivages proches.
. J’ai eu un copain de mon âge que j’ai connu dans notre lycée tout près de
Montpellier. Un lycée avec internat (chambre de quatre avec cabine de douche) mais
exclusivement pour garçons presque toujours excités le matin. C’était un lycée chic et
d’excellent niveau.
La cabine de douche (une par chambre de quatre) recueillait nos jets. Mais nous
n’allions pas au-delà de caresses manuelles réciproques. A 12 ans je ne m’étais jamais
masturbé alors que j’avais des érections qui me surprenaient. Vers un âge très jeune,
j’ai eu un excellent copain de chambre, qui aimait me regarder le sexe sous la douche.
Il s'appelait Michel il n’essayait pas de dissimuler sa bite très raide alors que moi-
même avec innocence je la lui laissais saisir sous la douche. Il est vrai qu’il en
était de même pour mes autres camarades de chambre.
Un matin je sortais de notre chambre, ce n'était pas encore l'heure de se lever, mais
j'avais envie d’aller vite aux toilettes. Je rentrais dans l'unique cabine et alors
que j'allais fermer la porte, Michel qui m’avait suivit la retint et me dit « j'ai un
super envie de pisser, je pisse avec toi, soit sympa ». Bien sur que je ne le
repoussai pas. Nous connaissions déjà nos organes ! Nous baissons nos pantalons de
pyjama et commençons à uriner de concert. Il finit avant moi et avait sa queue en
érection. Puis subitement il prit mon sexe et me dit –« Quand on a fini il faut la
secouer pour faire tomber la dernière goute » et il secoua ma bite. Je me laissais
faire et pris la sienne en lui disant « si tu me le fais je te le fais aussi » et je
lui secouais doucement sa queue. Le problème c'est qu’il n'avait pas envie de lâcher
la mienne et continuais à la caresser.

Il appréciait cela et avec un consentement
silencieux nous avons continué à nous caresser, palper les bourses, avoir des prémices
de masturbation. Nous avons été dérangés par un camarade de dortoir qui arrivait et
nous sommes sortis.
Vers je ne sais pas quelle heure de la nuit je sentis une main qui me caressait le
dos, je sursautais et m'aperçu que c'était Michel qui me disait discrètement de me
taire. J'entendais le souffle des autres garçons qui dormaient. Michel était passé de
son lit à mon lit et me dit silencieusement à l'oreille
- Ça ne t'embête pas que je vienne?
J’acceptai et il vint se coller à moi.
Alors il a baissé doucement mon slip puis le sien et nous avons caressés nos fesses
pendant longtemps. Il adorait pétrir mes fesses qui étaient épaisses et bien rondes.
Sa queue était devenue très dure, la mienne aussi et cela pendant une heure faite de
caresses et de palpation... Il m’avait pris la verge dans sa main et lui imprimait des
pressions régulières. Puis cette caresse fut telle que j’en ressentis une étrange
sensation, un bien-être extraordinaire et un sentiment de plaisir intense qui montait
de mon sexe. Et c’est à ce moment que j'ai eu mon premier orgasme et ma première
éjaculation dans la main de Michel. Surpris par cet évènement, je m'étais arrêté de
caresser Michel qui discrètement s'essuyait sa main dans mon drap. J’étais stupéfait
et gêné. Toujours allongés cote à cote, Michel me demanda silencieusement de continuer
à le caresser en lui faisant la même chose qu'il venait de me prodiguer. Aussi, du
mieux que je pu, je lui palpais son membre devenu très dur et je sentis jaillir sur ma
main un jus chaud qui s'écoulait de son sexe. Il me donna son mouchoir et me dit
d'essuyer ma main. Il m'embrassa sur la joue, me dit merci puis il retourna se coucher
dans son lit. Cette expérience me paraissait bouleversante.
Je découvrais que je
produisais dy sperme !
Certes Michel était un peu plus âgé que moi et j’avais déjà constaté l’épaisseur de
son membre le jour où nous avions uriné côte à côte en nous passant la main sous les
bourses.
J'ai fait vers le matin des rêves érotiques intenses. Le lendemain nous avons fait
comme si rien ne s'était passé et la journée se déroula en études, cours,
repas.........jusqu'au soir. Nous sommes allé nous laver les dents comme d'habitude,
l'un près de l'autre au lavabo, il me demanda doucement si j'avais envie que l'on
recommence. Je lui dis oui d'un signe de la tête.
La nuit suivante, le temps que tout le monde s'endorme me parut très long, quand
silencieusement Michel se glissa à nouveau dans mon lit. J'avais déjà retiré mon slip
et je senti son corps se coller au mien et sa queue contre la mienne toute dure. Il
m'a fait ce deuxième soir jouir deux fois et moi aussi avant de rejoindre son lit.
Comme les deux derniers soirs il vint dans mon lit et nous commencions nos jeux
silencieux. Coller l'un contre l'autre, je sentais sa respiration, il avait la peau
très douce, c'était un plaisir de le caresser, j'aimais beaucoup ses fesses bien
rondes et charnues. Tout en se masturbant réciproquement, j'ai senti un baiser dans
mon cou, je le lui rendis et on s'échangea une suite de baisers ou sa bouche trouva la
mienne. J’avais déjà embrassé une fille sur la bouche mais je sus que c'étais là aussi
comme mon premier baiser. Très vite nous nous sommes aperçus que nos baisers
attisaient nos envies et nos bouches ne se quittaient plus. Sa langue s'insinuait dans
ma bouche, la mienne ne restait pas inactive non plus. Il s’allongea Mais sa position
avait changé.
Soudain je sentis qu'il se détachait de moi et se mit à bouger dans le lit. J'avais
peur qu'il fasse du bruit et qu'il réveille un de nos camarades de dortoir.
Il se mit
à l'envers de moi, j'avais ses cuisses devant mon visage. Je ne me doutais pas de ce
qu'il voulait faire, je pensais qu'il voulait être plus près de mon sexe, puis soudain
je senti sa bouche engloutir mon gland et le sucer. Cette découverte fut torride. La
chaleur de sa bouche, sa langue qui tournait autour de ma queue et l'aspiration qu'il
m'appliquait ont fait que je ne résistais pas longtemps et j’éjaculais dans sa bouche.
Ce qui ne l'empêcha pas de continuer.......Avec sa main il me mit son sexe prés de ma
bouche et je compris qu'il voulait que je lui fasse de même. Je trouvais un réel
plaisir à le sucer et je crois que lui aussi parce que presque immédiatement j'ai
senti sa queue se contracter et son sperme jaillir dans ma bouche par deux, trois,
quatre jets. Il explosait avant de se détendre. Je ne trouvais pas le gout très
agréable mais pas désagréable non plus. Nous sommes restés dans cette position pendant
une bonne partie de la nuit, et nous nous sommes fait jouir au moins quatre fois sans
que nos bouches ne quittent nos sexes. Nous venions de découvrir une part seulement
des plaisirs que l'on peut avoir entre garçons.
Les jours ne se sont passés que dans l'attente de ces moments ou nous avions découvert
ensemble ces plaisirs intenses. Il nous est arrivé lors de ballade alors que nous
allions dans une clairière, de réussir à nous isoler et nous cacher dans un fourré
pour se sucer réciproquement. Cela ne nous empêchait pas de recommencer le soir.
Avec beaucoup de naïveté j’appris par Michel que tous nos camarades produisaient plus
ou moins de sperme et que la plupart le faisait discrètement gicler. Le plus souvent
sous la douche alors que je ne m’en étais pas encore rendu compte. Je me mis dès lors
à les observer et je vis que cette petite opération était discrètement faite par
certains sous les jets de la douche.
Désormais l’ambiance de notre chambre changea.
Michel initia nos deux autres camarades à la fellation. On se suçait mutuellement ce
qui les passionna et les faisait gémir de plaisir. Grâce à Michel nous nous sommes
intéressés à l’organe de nos camarades.
Bien sûr les filles restaient mon but de rêverie mais j'aimais être peloté par
les mains de mes copains qui étaient attirés par mes fesses charnues. Michel qui
m’avait initié restait mon préféré de cul et de cœur. Quand je partais en promenade,
j'arrivais toujours à faire en sorte le matin d'emmener mon voisin de chambre se faire
caresser par moi, juste lui prendre les petites boules en main et lui caresser le sexe
en faisant sortir le gland. Souvent il me le faisait aussi, j'aimais cela.
Le bus des plages
A la belle saison, nous avions des sorties récréatives. Dans le car appartenant à
notre lycée privé. Michel et moi étions les plus jeunes, mais il y avait aussi de
nombreux garçons entre 12 et 16 ans. Les plages du Languedoc sont douces et
nombreuses. Nous devions les connaître toutes.
Le vieux bus nous conduisait du phare de l’Espiguette à Palavas en passant par la
route la plus proche des plages et s’arrêtait près de chacune d’elles pour nous donner
le temps d’une baignade.
Les plus hardis prenaient les places assises. Les autres restaient debout dans la
galerie centrale. Mais le bus nous serrait comme des sardines en boite ! Nous étions
tous en slip de bain avec un petit sac de plage entre les pieds. J’étais un garçon aux
fesses bien rondes et bien épaisses. Un garçon fessu disait-on, ce qui attirait de
gentilles moqueries.
Je me trouvais au fond du bus. Pas tout a fait quand même ! Un gentil garçon était
derrière moi. Devant moi : un garçon de ma taille. Le vieux bus nous secouait comme
une salade.
Comme d’autres, j’étais coincé fortement entre les fesses du garçon de devant et le
bas-ventre du garçon de derrière qui était écrasé tout au fond du car. Les secousses
nous provoquèrent assez vite des sensations que l’on devine.
Les fesses du copain de devant m’excitaient malgré les épaisseurs des deux slips l'un
contre l'autre, mais surtout je compris vite qu’un membre dur comme un bâton me
frottait aussi les fesses. Le membre du garçon qui était derrière moi paraissait comme
vouloir s’y coller. En fait, cela n’était pas possible. Je sentais sur mon cou le
souffle de ce camarade super excité. De sa main il était arrivé à baisser légèrement
mon slip. C’est ainsi que je compris qu’il avait libéré son membre qui frottait plus
que jamais entre mes fesses. L’arrêt du bus provoqua un mouvement de va et vient et je
sentis sur mes fesses et dans mon slip un gros flot ruisselant que je n’attendais pas.
Le bus se vida plus vite que ne s’était vidé l’organe du garçon. Mon organe à moi
était visiblement très tendu. Mon slip montrait à l’arrière une humidité qui ne
s'arrêtait pas de s’écouler le long de mes cuisses. Je ruisselais et courus me jeter à
l’eau. Mais certains avaient vu cette humidité suspecte !! Comment oublier çà ! J'en
ai gardé un tel souvenir que j'ai repris deux fois le bus dans les mêmes conditions et
mon derrière a été aussi ruisselant !
Je connaissais le vers latin de Virgile : "Utroque clarescere pulchrum" (Il est beau
de briller des deux côtés). J’en faisais mon adage personnel.
Michel a rit de ma petite aventure.
Des vacances de nudistes

Oui j’étais comme Michel, toujours puceau à cet âge bien jeune que je n’ose
révéler ici. Quand pendant les vacances, je le rencontrais, il occupait avec ses
parents une villa proche de la Grande Motte. Il restait aussi puceau que moi-même avec
un an de plus, et notre bonheur passait vite par la recherche d’un endroit discret
pour nous sucer mutuellement.
J’étais en vacances avec mes parents et des couples amis (mon père ne venait que
le week-end)..Nous étions tous naturistes et notre villa de vacances était à quelques
encablures de la Grande-Motte.
Nous étions nus sur la plage nudiste toute proche. Tous se rhabillaient avant de
rentrer à la maison. Sauf moi. Comme ma mère, (belle femme d’ailleurs) aimait me voir
nu elle était fière de mon corps et m’encourageait à rester ainsi, même sur les
terrasses de la maison qui était abritées du soleil par des toiles dont on changeait
la position. Je ne devais revêtir un short qu’à l’intérieur de la maison pour les
repas. Quand j’invitais Michel que ma mère trouvait aussi joli garçon que moi, c’était
pour lui le même régime si l’on peut dire. Deux garçons nus sur la terrasse attiraient
les regards ce qu’aimait ma mère.
Ma mère avait invité pour deux semaines, une lointaine cousine au visage peu amène
mais qui ne parlait presque jamais et qu’on voyait peu. Sur la terrasse, elle portait
sur moi et aussi sur Michel quand ce dernier était là des regards étranges et je ne
comprit pas si elle aimait ou non la nudité que ma mère nous demandait gentiment de
garder.
J’étais un joli garçon blond on n’hésitait pas à le dire à le dire malgré une peau
quasiment féminine ce qui ravissait ma mère (mon âge que je dois taire ici !) mais
j’étais comme tous le disaient « un garçon très fessu ». J’étais en effet doté d’un «
organe de devant » assez long et volumineux pour mon âge avec seulement un soupçon de
pilosité à dessus d’une longue verge. Une peau de fille assortie d’un tel organe
pouvait étonner mais surtout plaisait. La caractéristique de mes fesses joufflues me
passera avec trois à quatre ans de plus en grandissant encore ! Seul mon organe sera
fortement dimensionné. Mes fesses attiraient des regards tant sur la plage qu’à la
maison. Les regards mais aussi les frôlements plus ou moins discrets des mains des
hommes amis de la famille et invités aussi. Finalement cela m’amusait mais je
n’encourageais pas ces gestes toujours cachés. Mais mère ne m’autorisait la baignade
que le matin et après 15 heures (après la digestion disait-elle !) Je restais le plus
souvent allongé sur le sable, fasciné par les filles qui passaient ... nues
évidemment. Mon regard allait au-delà du livre ouvert. Leur fesses surtout me
produisait de fortes érections. Allongé sur le ventre je creusais un peu le sable pour
y loger plus agréablement mon organe plus gros que celui de bien des hommes.
J’éjaculais souvent en regardant le derrière des filles. Aujourd’hui encore, alors que
j’ai 19 ans passé, je suis surpris non par l’abondance que je ne jugeais pas mais par
le nombre d’éjaculations qui me venait ! l Il est vrai qu’il en était de même dans le
pensionnat où je me trouvais avec trois camarades presque aussi souvent excités. La
cabine de douche (une par chambre de quatre) recueillait nos jets. Mais nous n’allions
pas au-delà de caresses manuelles réciproques.
Le spectacle de la plage nudiste m’excitait plus fortement. Je courrais me tremper
dans la mer après chacune de mes éjaculations pour me laver. Il est évident que ces si
jolies filles me trouvaient trop jeune pour accepter mes avances.

Une seule fois deux filles bien moins jolies acceptèrent de faire avec moi une
petite conversation où malgré ma timidité je leur avais déclaré mon désir à les
regardant passer plusieurs fois comme elles l’avaient fait. Cet aveu les fait sourire.
Mon membre se raidit à cette évocation et je le dissimule en tenant ma serviette. Ce
geste les fait sourire aussi . Alors pour vérifier les effets de ce désir que je leur
déclare tout en le cachant difficilement elles me proposent de m’accompagner derrière
les dunes. Je marche devant elles. Arrivés derrière la dune elles m’avouent qu’ayant
eu le temps de regarder mon derrière elles sont surprises de la rotondité de mes
fesses. L’une d’elles soulève ma serviette que je laisse tomber au sol. Mon gros
membre développé par une très grosse érection les surprend et elles le disent sans
détour en riant et en disant que je suis très confortablement doté sur mes deux côtés.
Nous nous mettons à genoux sur le sable. Elles touchent du doigt mon membre
érigé qui vibre. Elles caressent mes fesses qu’elles trouvent un peu épaisses. Trop !
Vraiment trop ! D’ailleurs elles jouent à les claquer de la main. Nous rions de cette
fessée dont je suis la victime consentante. L’une d’elles se lève. Elle se place
hardiment devant moi en écartant largement ses cuisses devant mon visage. Elle me
montre ce qu’elle désire en passant ses deux doigts qui écartent son organe. Elle me
montre comment la faire jouir en passant aussi mes doigts puis ma langue sur un petit
organe qu’elle découvre devant moi. Je savais cela pour l’avoir lu dans quelques
revues illustrées interdites aux garçons de mon âge, mais ici je le découvrais ! La
fille qui l’accompagne m’invite à me branler, ce que je commence à faire, mais elle
préfère prendre mon organe entre ses doigts. La fille que je suce gémit bruyamment
pendant plusieurs minutes puis se tait brusquement ; elle semble repue. Sa compagne
me suce le bout de ma bite devenue rigide et qu’elle trouve très grosse. Mais elle me
fit éclater mon jus trop vite. Mon sperme jaillit fortement dans le sable et un peu
sur les doigts de la branleuse. Cette dernière doit ressentir de la frustration car
elle reprend la fessée sur mon derrière avec une force qui me semble vengeresse. Elle
arrive à me faire mal mais je n’ose pas m’éloigner. Finalement, par une sensation
totalement inconnue de moi jusqu’à présent cette douleur qui doit me faire rougir les
fesses me provoque une nouvelle érection. Nous sommes tous étonnées. « Regardes, dit
la branleuse devenue fesseuse, il bande encore. Et même plus fort ! Mais il aime ça !
Mais son cul est gros ! » En fait j’ai mal et je supplie d’arrêter le supplice. Je
suis étonné de cette érection et de la sensation qui est la mienne. Elle continue.
Brusquement je sens venir la sensation qui précède l’éjaculation. Je pousse un râle
dont on ignore s’il résulte du plaisir ou de la douleur. Mon organe vibre mais rien ne
sort. « Je suis sûre qu’il aurait juté si j’avais continué dit la fille ». Je ris
maintenant et sans doute déçue elle dit : « Attendons qu’il recharge ses couilles. Ce
garçon est jeune et doit retrouver vite son jus ». Toujours en riant nous avons couru
vers la mer. Les bains nous redonnaient comme prévu de la vigueur et un renouveau de
désirs. Demi-heure plus tard la fesseuse proposa de revenir dans la dune pour jouir à
nouveau, car ces demoiselles devaient terminer leurs vacances le lendemain. J’en fus
si heureux que j’embrassai ses petits seins en sortant de l’eau. Je reprenais ma
serviette pour dissimuler mon érection en traversant la plage. La fesseuse aussi avait
pris sa serviette mais j’étais un peu étonné de voir qu’elle l’avait plongé dans
l’eau. Arrivé derrière la dune sa compagne tente de me sucer le bout de la bite
devenue terriblement rigide mais la fesseuse veut me garder pour elle. Comme soumis. A
genoux. Les fesses bien présentées. Elle les trouve à nouveau très grosses et c’est
elle qui veut me faire éclater mon jus. A sa manière. Pas trop vite. Mon sperme doit
jaillir quand elle le voudra. Mais par la fessée. Je suis à genoux et sa compagne
écarte ses cuisses sur mon visage pour que je la fasse jouir. Elle jouit vite. Je
bande toujours monstrueusement. C’est alors que je sens la fessée à laquelle je
m’attends. Sévère. Mais cela me plait. La fesseuse me promet de me sucer mais après.
Mais c’est alors que la fessée devient plus douloureuse. La fesseuse a changé son
instrument. Elle utilise sa serviette mouillée. Ce tissu mouillé bien appliqué est
terrible. Dès le troisième coup ma verge érigée envoie plusieurs jets de sperme dont
un s’écrase sur elle. Comme promis elle prend immédiatement ma verge dans sa bouche.
La sensation est telle que j’éjacule à nouveau. Nous sommes épuisés. Nous devons nous
séparer. J’aurais voulu les retrouver toutefois. Dommage de ne plus espérer une
nouvelle rencontre.
Par contre ce sont des hommes qui souvent venait s’allonger à mon côté.
Ils ne disaient que quelques mots en me désignant les dunes mais leurs soupirs étaient
autant d’invitations muettes. Voulaient-ils me branler comme le faisaient mes copains
d’internat sous la douche ? Pour marquer mon refus je me tournais à l’opposé rendre
compte que cette attitude, en présentant mes fesses charnues de manière plus évidente
ne pouvait que les exciter plus encore. Leurs gémissements et le râle qui accompagnait
la fin de leurs masturbations cachées par leurs serviettes m’étonnaient quand même.
Aucun n’osa toutefois poser une main indiscrète qui aurait été vue sévèrement par
les autres plagistes ! Mon silence et mon attitude les décourageaient. Et pourtant
c’est en dehors de la plage que j’eus la faiblesse de me laisser caresser par un
homme.

a

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