Leslie Ar43

Leslie AR43 - Les confessions d’une adolescente, Sylvain

J’étais avec Franck et de temps en temps, comme vous l’avez lu, avec mon amie Audrey
nous avions des relations lesbiennes, j’appréciais cette liberté et enfin j’étais
comblée sexuellement.
Franck me comblait aussi, mais un jour j’ai rencontré Sylvain…

Lors d’un tournoi d’arts martiaux, où Audrey m’avait emmené, elle connaissait Sylvain
et me l’a présenté, et là, j’ai mouillée ma petite culotte…
Sylvain, à trente-deux ans, c’est un balaise, un karatéka, il mesure au moins un mètre
quatre-vingt-dix et doit peser pas loin des cent kilos. Des yeux verts magnifiques et
des mains comme des battoirs, énormes. Ses cheveux taillés au plus courts et son
regard perçant lui donne un air de brute, il m’impressionnait énormément et me
fascinait tout autant.
Quand il m’a embrassé pour me dire bonjour, j’ai sentis ses mains puissantes autour de
ma taille. Il m’a soulevé comme une plume sans le moindre effort.
Sa musculature tendue sous sa tenue de combat et son regard au plus profond de mes
yeux, à ce moment là je me suis sentie une petite puce qu’il aurait pu écraser entre
ses doigts et à la fois une femme qui au fond aurait aimé être à lui, et qui mouillait
comme une gamine.
En plus, il traine derrière lui une réputation de tombeur, de baiseur infatigables,
c’est Audrey qui me l’a dit, elle était sortie une fois avec lui et elle m’a avoué
qu’il faisait l’amour divinement bien et qu’en plus il était très membré, alors
comment résister à un de tels arguments…

A la fin du tournoi, il est revenu vers nous pour nous inviter à prendre un verre,
j’ai bien senti qu’il s’intéressait à moi, mais de là à penser qu’il m’inviterait une
semaine en vacances avec lui, c’était de la démence.
Mais il l’a fait, et comme s’était les vacances la semaine suivante, j’ai accepté.

Le
départ étant fixé au lendemain matin.
Tout excitée par son invitation et sachant que où nous allions dans le sud à Bandol,
je choisis une petite robe légère, coupée largement au-dessus des genoux et fermée sur
le devant, sans soutien-gorge pour être plus libre et aux pieds de petites chaussures
style spartiate plate. Mon décolleté est raisonnable, il laisse malgré tout deviner ma
poitrine sans pour autant rien dévoiler et bien sûr, quand même un petit string
ouvert.

Le trajet de Paris à Bandol, en voilà une belle épopée. Il est quatre heures du matin,
j’ai bu mon café et nous voilà en route. Nous arriverons en fin d’après-midi juste
avant l’apéro.
Le trajet est agréable et je fais plus ample connaissance avec Sylvain puis
rapidement, bercée par le doux ronronnement de la voiture je m’assoupis.
Quand j’ouvre les yeux je remarque son regard sur mes cuisses qui du fait de la
légèreté de la robe, se découvrent, suffisamment à son goûte et parfois il essaye de
deviner ma poitrine sous ma robe, mon ventre et mes cuisses. Cela me trouble.
Je me souviens avoir légèrement ouvert les yeux et surpris son regard sur moi. Je vois
une grosse bosse dans son pantalon, que dis-je une énorme bosse. Aussitôt, je referme
les yeux avant qu’il ne se rende compte que je ne dors plus.
Mon esprit se met à vagabonder en repensant à certaines scènes de films ou certains
dialogues que j’ai eus avec des hommes sur internet en faisant avec eux des scénarios
très cochons, et j’avoue y avoir pris du plaisir.
Sylvain allait-il faire de même avec moi ?
Je mets un long moment à me calmer et me rendormir pour de bon. Des milliers d’images
toutes plus cochonnes les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens ma
chatte s’humidifier. J’ai une furieuse envie de me caresser.

Nous avons passés Lyon et Sylvain me réveille gentiment en posant sa main sur mon
épaule et me dit :
- Nous allons nous arrêter déjeuner.

- Bonne idée. J’ai aussi très envie d’aller aux toilettes.
- Oui je me doute, moi aussi. Il est temps de faire une pause.
Je sors de la voiture toute engourdie. Je m’étire les bras en l’air faisant ainsi
relever et bien saillir ma poitrine. Sylvain me regarde et a visiblement du mal à
contenir un début d’érection.
La situation sans me gêner, m’amuse un peu, je suis fière d’être capable de faire
bander un homme, mon charme opère et je me suis mise à penser que je pourrais peut-
être jouer avec lui oubliant ce que j’avais entendu sur sa réputation de tombeur et de
baiseur invétéré.
Avant d’aller manger un morceau, je fais un détour par les toilettes. J’ai, comme
toutes les femmes, emporté mon sac à main et je me refais une beauté.
Pas de maquillage, mais un peu plus sur le rouge à lèvre, je défais un bouton de ma
robe laissant un peu plus la vue sur mon décolleté, hésite à en défaire un second mais
je ne veux pas donner l’air de l’aguicher et je me rends compte que finalement on peut
avoir une vue suggestive de ma poitrine.

Nous voilà donc à table. Nous échangeons quelques futilités, et une fois le repas
terminé nous remontons dans la voiture et repartons pour finir le trajet. Encore
quelques heures et nous serons rendus.

Dans la voiture, nous continuons à discuter et rapidement je me sens en confiance.
Sylvain est vraiment charmant. Je regarde longuement sa carrure et ses mains de
sportif, dans mes pensées j’aimerais qu’elles parcourent mon corps, qu’elles le
caressent.
Voilà que mon corps réagit à nouveau à ces pensées, ma chatte une fois de plus
s’humidifie et mes tétons se dressent malgré moi sous ma robe, alors je me dis que le
mieux est que je fasse une sieste avant qu’il ne se rende compte de mon état.
Dans mon sommeil, je suis encore à la merci d’images pornographiques ou des femmes se
font pénétrées par des hommes bien montés.
Elles se font prendre debout, assises,
couchées. Mais dans quel état je suis, je suis une grande malade.
Il faut que je me calme.
Le temps passe. Et nous voilà arrivés. Enfin !

La maison est magnifique, en bordure de Bandol. On pourrait presque aller à la plage à
pied. La ville n’est pas très loin, c’est vraiment superbe.
À l’intérieur, un grand salon avec une grande cuisine américaine et un immense canapé
avec une méridienne face au téléviseur. À l’étage, quatre chambres, salle de bain avec
une douche et une baignoire à bulles
Puis derrière, un grand jardin et une piscine relativement grande. Je m’imagine déjà
en train de bronzer.
Rapidement nous vidons la voiture et il me donne la chambre à côté de la sienne. Je
regrette d’ailleurs un peu parce qu’il va me falloir être discrète et j’ai bien
l’intention de pratiquer mon exercice favori, la masturbation. Et cela le plus
rapidement possible.
Je n’en peux plus, il faut que je jouisse.

Il me dit que nous allons dîner dans un petit restaurant au bord de la plage. Je
décide donc d’aller me rafraîchir et de prendre une douche. Il acquiesce en me disant
qu’il va ranger la maison en attendant et regarder son courrier.
J’entre dans la salle de bain et me déshabille. Dans la douche, dont le verre est
totalement transparent, je fais couler l’eau. Hum l’eau tiède sur ma peau me redonne
vraiment un coup de fouet. Je passe la pomme de douche sur mes seins qui réagissent au
quart de tour, les images, à nouveau, se bousculent dans ma tête, mon Dieu j’ai
tellement envie de jouir, je passe entre mes cuisses arrose mon bouton d’amour, je me
sens défaillir au moment même où l’eau frappe mon clitoris, je ferme les yeux, je sens
que ça vient, je vais jouir, ma respiration s’affole, j’ai les tétons tendus à m’en
faire mal, c’est irrémédiable, je vais exploser là, maintenant.

Mes jambes menacent de céder sous la pression de mon orgasme, il m’a fallu toute la
force de mon corps pour ne pas hurler. Mon Dieu que c’est bon !

Je mets un moment à reprendre mes esprits mais je ne suis pas calmée pour autant.
Drapée dans une serviette de bans je file dans la chambre pour me préparer. Je ne sais
pas quoi mettre, j’opte pour une autre petite jupe très courte et un petit chemisier
transparent, toujours seins nus et un string ouvert comme d’habitude
Le chemisier ne se ferme pas trop haut ce qui permet de laisser un joli décolleté et
une vue imprenable sur ma poitrine, et mes seins que l’on devine grâce à la
transparence, je finis avec une paire de spartiate mais à petits talons cette fois.
Sylvain me félicite sur mon choix et me dit que je suis ravissante, je le remercie en
rougissant. Et il file sous la douche. Il revient trente minutes plus tard vêtu d’un
pantalon en lin et d’une chemise ouverte sur son torse velu et fort. Mon Dieu qu’il
est beau cet homme, un homme superbe, une montagne de muscles. J’en mouillerais encore
ma culotte.
- Allons-y, dit-il.
- Oui j’ai faim.

A suivre…

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