Jean-Pierre, Catie
Il fait beau pour le début de cet après midi. Les filles sont légèrement vêtues, comme
moi. Je ne sais pas pour elle, en tout cas jai envie dun garçon. Je suis installée
au fond du bus, je nose pas écarter un peu les jambes; je ne porte rien sous la jupe
effrangée en jean, dautant plus quun beau garçon vient près de moi: nous bavardons,
je sais beaucoup de choses sur lui, à commencer par son prénom: Jean-Pierre. Après un
charmant sourire, nous parlons à peine de la pluie et du beau temps. Il aime le
cinéma, comme moi, il aime lire, comme moi et il aime une autre chose dont il ne peut
parler. Je suis prête à parier que cest la même. Cest bien la même: il se penche un
peu pour me coller un patin formidable. Nos langues sympathisent rapidement. Il ne
quitte pas ma bouche: il ose une main sur ma cuisse. Je laide en écartant les jambes.
Il ne semble pas étonné de ne pas rencontrer de slip ou autre string. Je nai aime pas
porter ce genre de vêtement qui me gêne. Il caresse à peine le clitoris, entre deux
doigts dans le vagin et un peu après un autre dans lanus. Jaime cette double
pénétration. Il me fait jouir deux ou trois fois.
Jai des difficultés pour sortir sa bite: cest lui seul qui y arrive. Elle est grosse
et longue, comme je nen ai jamais vue. Elle doit faire du bien dans un ventre.
Nous devions descendre à la même station, nous oublions. Du coup nous ne descendons
quau terminus. Cest presque isolé, il ny a quun petit hôtel dans le quel il
minvite: il aurait pu de demander si je voulais coucher avec lui.
Dans la chambre nous sommes vite nus. Je peux voir sa bite enfin: elle est grosse,
plus que la moyenne « miam », et plus longue: « remiam ». Enlacés je peux la sentir
sur mon ventre, elle me fait mouiller rien quà lidée de lavoir bientôt dans le
ventre. Je le masturbe lentement quand Jean-Pierre se couche pour mieux profiter de la
branlette.
Jabandonne sa queue pour venir me coucher à lenvers sur le lit. Après tout je ne
vais pas lui laisser prendre linitiative. Je suis sur le ventre, sa queue dans la
bouche. Je le trouve bon et dur. Je tiens sa bite dans une main pendant que ma bouche
commence son uvre. La langue le lèche avant que je lavale. Mes vas et vient doivent
lui faire du bien puisquil gémit doucement. Je caresse légèrement ses couilles. Je
crois quil est le premier subir mon traitement. Je nosais pas pour les autres. Il
me demande de lui donner mon sexe: je vais sur lui, il pend aussitôt ma chatte comme
terrains de jeu. Il lèche cette fois comme il faut le clitoris, en profite pour mettre
deux doigts dans la cul. Je ne peux pas tenir un tel rythme: je jouis volontiers. Une
musique extérieurs retendit: elle nous accompagne jusquau bout. Ma bouche arrive au
résultat, je reçoit une bonne dose de sperme dans la bouche. Normalement je ne garde
jamais de semence dans la bouche, et maintenant, je ne sais trop pourquoi je la
déguste un bon de temps avant daller la partager avec lui.
Je vais me réfugier dans ses bras: il me cajole comme un : cest vrai que je
devient une dans ces bras. Je lembrasse sans cesse. Je caresse sa queue
longuement; Elle grossit petit à petit. Je suis fière de moi quand il bande
normalement. Il nattend plus rien, il vient sur moi: jouvre les cuisses. Jean-Pierre
sy pose. Nos jambes sont entremêlées. Il fait son bonhomme de chemin en venant tout
seul dans mon puits. Je sens mes chairs souvrir quand il entre: cest bon, si bon
quil me donne le premier coup de grâce. Je le veux bien au fond de mon cratère: il y
est trop vite à mon gré. Il me lime tellement bien que je jouis encore.
Je nen peux plus quil soit dans ma chatte. Je le veux encore cette fois dans mon
petit trou. Il me fait mettre en levrette, me baise à peine, en me faisant jouir
encore une fois au passage.
Il est maintenant sur lanus. Cest extrêmement lent: son gland met au moins deux
minutes à traverser mon anus. Cest trop bon, je voudrais quil me la mette en entier,
au fond complètement. Cest-ce quil fait doucement tellement il ne veut pas me faire
de mal. Par contre le plaisir augmente sans arrêt. Cest le premier à menculer si
sensuellement. Habituellement jaime la sodomie, avec lui cest un plat de chez
Bocuse. Il me caresse le clitoris et essai de mettre deux doigts dans la vagin.
Cest un baiseur exceptionnel. En plus il prend son temps pour jouir. Cest agréable
dêtre sodomisée ainsi. Il est aussi dévoyé: il aimerai me voir avec une autre fille.
Je ne connais pas dautre filles susceptibles de satisfaire son désir. Lui oui, il en
connait au moins une. Jai peur dentrer dans un engrenage qui me donne gout à une
foule dinterdits. Si cest interdit, ce doit être bon, alors jaccepte.
Le soir même au, même hôtel je retrouve Jean-Pierre qui attend une autre fille qui
arrive: cest notre compagne de ce soir. Catie est blonde, belle poitrine, belle
fesse. Ses joues sont là pour recevoir mon baiser, ses lèvres sont sur celles de Jean-
Pierre. Jen suis presque jalouse.
Nous sommes dans la même chambre, cette fois à trois. Nous ne perdons pas de temps à
nous chauffer: cest déjà fait. Jean-Pierre nous demande de nous embrasser sur la
bouche, alors que nous sommes à peine nues. Jai un moment de rejet quand la langue
vient sur la mienne. Jaccepte surtout parce quil me caresse les fesses en même temps
quà lautre. Jai pu voir sa bite encore plus grosse que cet après midi.
Jespère quil sauras bien nous baiser les deux filles. En attendant je ne pensais
jamais mouiller en étant embrassée par une autre fille. Nos seins se caressent
lentement: je sens mes tétons durcir sous les siens. Finalement cest agréable davoir
affaire à une autre du même sexe.
Jarrive la première sur son cul. Je nhésite pas une seule seconde jentre la moitié
du doigt. Je sens un autre doigt venir pour partager lanus de notre amant. Il se
laisse faire avec deux doigts. Je ne pensais jamais lui perpétrer cet outrage auquel
il ne semble pas hostile.
Jai une surprise qui mattend quand la main de Carie est sur ma chatte. Il cherche
mon clitoris pour me faire du bien. Et du bien elle men fait, comme quand je me
branle. Mon autre main va aussi sur sa chatte. Je préfère la doigter, elle se laisse
faire pendant que nos lèvres sont toujours jointes. Je ne pensais jamais avoir et
donner autant de plaisir à une autre.
Reste maintenant à découvrir le reste. Je crois savoir quelle est la suite logique.
Je nai jamais fait cette chose qui me plairait dessayer. Nous sommes couchées lune
près de lautre. Nous nous branlons lentement, nous nous caressons les seins devant
Jean-Pierre qui se branle devant nous. Il attend manifestement la suite. Elle arrive
sans que jy soit pour quelque chose: cest Catie qui se met la tête aux pied. Elle me
fait écarter les cuisses. Elle peut voir toute ma fente. Elle ouvre ses jambes pour
passer sur mon visage; à mon tour de la voir en détail. Je sens sa langue venir sur
mon bouton. Je suis tentée de fermer mes cuisses. Sa tête men empêche. Mon clitoris
est absorbée par sa bouche. Elle suce comme une reine. Je commence à comprendre les
lesbiennes qui ne se font que se sucer entre elles. Jécarte maintenant mes jambes
pour moffrir complètement. Ma langue fait comme la sienne. Je suis étonnée de sentir
son orgasme en même temps que le mien. Je suis encore plus étonnée quand je vois la
bite de Jean-Pierre venir dans le cul de Catie. Cest drôlement excitant de voir une
bite aller dans un cul. Il me semble quune partie de lanus entre aussi.
le couille pour ensuite poser un doigt sur la cul de Jean-Pierre: je fais plus que le
poser, jentre complètement. Je sens juste sa main venir vérifier ce que je fais. Que
je me régale, dautant plus que nous changeons de place: je suis sur Catie, la bite
change de place, cest à mon tour davoir sur ma fente, une bouche de fille et une
pine dans le cul. Cest un plaisir aussi bon quune bonne double pénétration.
Jaurais voulu faire une autre pénétration: ma main entière dans le cul de Catie qui
en a peur. Dommage, jaime bien jouer avec une main dans mon cul. Jaime le fisting.
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