Leslie Ar44
Leslie AR44 - Les confessions dune adolescente, Sylvain, suite
Diner parfait et échange de banalités, retour à la maison enduite.
Une fois rentrés, après mavoir embrassé en me souhaitant bonne nuit, chacun va dans
sa chambre. Je me mets aussitôt nue et me jette sur le lit pour me caresser en pensant
à lui, jai honte mais ne peux men empêcher. Je finis par jouir en essayant dêtre
discrète, mais des cris séchappent involontairement de ma bouche
Deux secondes plus tard il rentre dans ma chambre, alors que je suis nue, la main
encore sur ma chatte les doigts enfoncés dedans.
Cest une baraque poilue, aux muscles saillants qui est à lentrée de ma chambre et,
ohhh, je vois un paquet au bas de son ventre, je nen reviens pas, ce nest pas
possible, ça ne peut pas exister. Jai vu des trucs énormes sur le net, jamais je nai
pensé quon puisse en trouver en vrai. Enfin bref Sylvain est membré comme un taureau.
- Que se passe-t-il Charlie, je tai entendu crier, me demande Sylvain.
- Je
Euhh
- Mais tu es dans un tel état
Son regard ne quitte pas mes seins, mes tétons rigides et mes seins encore gonflés par
lexcitation retiennent toute son attention, et je lentends me dire :
- Mais je ne peux pas te laisser dans un tel état toute la nuit !
Puis son regard va sur ma main encore ancrée dans ma chatte, il me regarde et me dit :
- En plus tu es toute épilée, jadore !
Il sapproche du lit, je suis en transe et je sens ma chatte dégouliner entre mes
cuisses. Je suis au bord de lorgasme rien quà le voir se rapprocher, je serre mes
cuisses inconsciemment comme pour me protéger et il rajoute :
- Je vais bien moccuper de toi, belle Charlie.
Sylvain se penche vers moi et membrasse à peine bouche, puis je sens sa grosse langue
investir ma bouche et senrouler autour de la mienne, tandis quun de ses doigts me
laboure le clitoris, ma vue se trouble.
Nous nous embrassons fougueusement, nos langues se mêlent, il sallonge sur moi, je
sens son sexe contre mon ventre, et je manque de défaillir.
Puis doucement, il me retourne pour me mettre dos à lui. Cette fois, je sens son
membre entre mes fesses. Il prend mes seins à pleine main et les pelote fermement
tirant sur les pointes sans trop de ménagement. À ce moment-là, jai failli mévanouir
tellement il les a pressé fort et tellement ils étaient tendus.
- Je vais te donner du plaisir, Charlie et je sais que tu nattends que ça.
Pour seule réponse, je pousse mes fesses en arrière, contre lui.
- Sens comme je suis dur pour toi.
Il me doigte la chatte, je suis à point il va faire avec moi ce quil veut.
Doucement, il me prend par les hanches pour me mettre en levrette.
Jadore cette position, quand je sens mes seins qui pendent et ballottent dans le vide
pendant quun homme me pénètre. Il descend lentement le long de mon dos en
membrassant. Posant sa tête entre mes fesses quil maintient largement écartées.
À linstant même où il pose sa langue contre ma chatte, jai frémis de bonheur, puis
il a extirpé mon clitoris de sa légère protection, la pris entre ses doigts et la
fait rouler avec, jai joui comme une furie en poussant un cri.
Mes mains entourent un oreiller et ma tête est posé dessus, je me cambre au maximum
pour mieux moffrir et je suis prise de convulsions, mon ventre est secoué de partout.
Comme cest bon !
Il continue à me lécher, je sens le plaisir revenir au galop. Il introduit deux doigts
dans ma chatte tellement je suis déjà dilatée et prête à laccueillir, je ne rêve que
dune chose, quil me prenne avec sa grosse queue et quil me transperce le corps
avec.
Il me prend un sein dune main et le malaxe, tout en me doigtant de lautre, comme
cest bon, je sens que je vais jouir une fois de plus, ça monte en moi et jexplose.
- Ahhh ! Ouiii, ohhh putain, je jouis !
- Vas-y ma belle, jouis encore avant que je ne te la mette !
- Ohhh !
Une fois de plus, mon corps est parcouru de spasmes. Incroyable, mon cur va exploser,
il va me à cette allure-là et je perds la notion du temps et de lendroit.
Il se met debout au pied du lit et me tire par les hanches vers lui et soudain, je
sens son gland qui me fait leffet dun poing à lentrée de ma chatte.
Il pousse doucement, il a du mal à entrer tellement il est gros. Rien que le bout du
gland déforme déjà mes lèvres et les écarte inexorablement, je sens que ça va être
magique.
- Vas-y ! Baise-moi ! Dis-je dans un cri.
- Je vais te faire mal.
- Baise-moi ! Dis-je en hurlant.
- Ma petite salope, tas envie dune grosse queue, ton vu va être exaucé.
Prenant appui sur ses pieds, il force lentrée de ma chatte qui sélargit sous la
pression. Je me mets à gueuler tellement la sensation est douloureuse, mes chairs
sécartent et il me possède de plus en plus.
Sa grosse queue me transperce, je suis tellement élargie que le souffle me manque, ma
bouche est sèche et je la folie me gagne.
- Ohhh putain, ohhh ! Sylvain, Ouiii !
- Tu la sens, là et tu laimes ?
- Ohhh !
- Que tes serrée.
- Ohhh, oui, je lai à fond ?
- Non.
Je suis tétanisée par lorgasme qui me foudroie alors que dun dernier coup de reins
en senfonçant en moi, il jouit en moi et je sens son sperme gicler au plus profond de
mon ventre en longues saccades. Je tressaute comme une carpe hors de leau, la bouche
ouverte manquant dair.
Puis il seffondre à côté de moi, me laissant, la chatte ouverte remplie de sa
jouissance, je suis épuisée. Doucement, il se relève et maide à faire de même.
Il membrasse tendrement, me caresse les fesses, sa langue dans ma bouche me fouille
et je lui rends son baiser.
Nous restons là un moment à reprendre nos esprits, et me demande :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui ! Un rhum.
- Ok !
Il revient avec deux petits verres et la bouteille de rhum, une serviette autour de sa
taille me cachant la vue de son membre. Il me sert un premier verre que je bois dun
trait et lui tends le verre pour quil me resserve en disant :
- Le premier cest pour les émotions passées, le deuxième pour celles à venir.
- Tu en veux encore ? Me demande-t-il.
- A ton avis, dans une traversée il y a un aller et un retour, nous navons fait
que laller..
- Toi, tes une gourmande
On boit nos rhums sans rien dire.
Quand je pense quil vient de me baiser et que je nai même pas vu sa queue.
Je suis assise sur le lit, cul nu et les seins à lair, sans aucune pudeur, et jai
encore les tétons pointés, mes seins durs me font encore mal.
Nous buvons notre verre sans un mot. Puis je me lève.
- Où vas-tu ? Me demande-t-il.
- Je vais prendre une douche.
A suivre
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