Leslie Ar46
Leslie AR46 - Les confessions dune adolescente, Sylvain, suite et fin
Cest en sursaut, le lendemain, que je me réveille.
Jai un peu la gueule de bois et je suis courbaturée de partout, jai aussi lanus en
compote.
Je me rappelle le plaisir que jai pris hier soir à me faire baiser et sodomiser par
Sylvain, la légère douleur qui chauffe mon anus, nest pas pour me déplaire, elle me
rappelle simplement que ce nest que le début et quil va continuer, comme il me la
dit hier sous la douche.
Rien que de repenser à ce moment et la vision que jai de moi, debout sous la douche,
me faisant prendre par-derrière comme une moins que rien finit par mexciter.
Je me lève, il est neuf heures du matin et il doit déjà être levé.
Jenfile un tee-shirt assez long sur ma nudité et je descends pour déjeuner, pieds
nus, le tee-shirt laisse mes seins libres et cest bon de les sentir bouger au rythme
de mes pas, je dois avoir les cheveux en bataille et mon image doit être celle dune
jeune fille sortant dune nuit torride. Bref, en un mot, une salope.
Jarrive dans la cuisine et me sers un café, je le déguste en regardant par la fenêtre
le jardin, quand je sens deux mains se poser sur mes hanches, je sursaute en criant :
- Ahhh !
Mon cur bat déjà à tout rompre, jai eu tellement peur, mais je le sens, il est là
derrière moi, tellement proche. Je sens son odeur et son envie de moi, réveillant mes
désirs.
Il dépose un baiser dans mon cou et ses mains déjà viennent caresser mon ventre.
- Bonjour, Charlie.
- Bonjour, Sylvain.
- Humm ! Tu sens lamour et le sexe.
Mon cur semballe, je pose mes mains sur le rebord des meubles de cuisine et cambre
ma croupe en arrière, comme un signe dinvitation.
Je suis penchée en avant, mes seins ballotent dans le vide et rapidement ses mains les
prennent pour les pétrir sans ménagement.
joue avec mes tétons qui sont tendus, puis ses mains glissent sous mon tee-shirt, le
remonte pour libérer mes fesses nues.
Je me sens déjà dégouliner. Ses mains caressent mes fesses, les écartent, les
pétrissent.
- Ohhh, ton cul, dit-il, quel cul tu as !
Il glisse un doigt par derrière et me le colle dans la chatte. Mon tee-shirt posé sur
mes reins, il me fait cambrer davantage. De lautre main, il sort mes seins pour les
mettre à nu. Ils pendent maintenant dans le vide. Il me doigte la chatte avec deux
doigts sans vergogne et déjà jondule de la croupe pour lencourager. Je me cramponne
au rebord du meuble.
Cest au moment où je sens son énorme gland se placer entre mes lèvres que je pose ma
tête sur le meuble afin de moffrir davantage.
- Charlie, petite salope, écarte bien les cuisses, me demande-t-il.
Jécarte les cuisses davantage et je sens son gland me pénétrer lentement, mais
sûrement. Il mécarte bien les lèvres. Quelle sensation divine. Je me sens élargie, je
sens mon sexe souvrir comme hier.
Et je constate que jadore cette sensation dêtre coupée en deux, lorsquil pousse son
membre en moi
- Tiens, prends-la bien, taimes ça !
Il senfonce finalement dune longue poussée pour venir buter au plus profond de mon
être. Enfoncé jusquà la garde en moi je pousse un feulement de femme en rut. Je ne
saurais dire pendant combien de temps il me lime mais jai jouis deux fois. Cest
incroyable lendurance quil peut avoir.
Puis il me fait mettre à quatre pattes sur le carrelage de la salle de bains après
mavoir enlevé tee-shirt et il commence à me doigter lanus, doucement au début puis
de plus en plus fermement.
Je gueule quand il me remet sa queue dans la chatte en me fourrant ses deux pouces
dans lanus. Puis il mencule à fond avec une force inouïe.
Ohhh, même si cest parfois douloureux, jadore dire quil mencule, quil me défonce
lanus. Durant un long moment, il me laboure le fondement à grands coups de reins. Je
hurle mon plaisir. Je nai jamais autant jouis et au bout dun moment, il finit par
jouir dans mon cul, minondant de sa semence et me laissant choir sur le carrelage.
Il est onze heures quand je passe sous la douche, mhabille et nous allons manger dans
un petit restaurant, dans larrière-pays. Eu retour après avoir arrêtée la voiture
dans un coin désert il me prend comme une chienne sur le capot de sa voiture, me
faisant jouir comme une folle.
Laprès-midi je me repose sur le bord de la piscine, essayant de calmer le feu qui me
ronge, dans un demi-sommeil je fais des rêves érotiques.
Le soir même, il vient dans ma chambre et il me refait lamour et il me sodomise à
nouveau. Puis une autre fois dans la nuit. Il est increvable.
Je me réveille le lendemain matin, complètement vidée, endolorie et lanus
complètement détruit. Je me lève tant bien que mal et vais prendre une douche. Je
menduis lanus de crème Nivea afin de lhydrater et de calmer le feu qui le ronge, en
espérant que cela puisse avoir un effet bénéfique.
Cest incroyable, cet état dexcitation permanente qui règne en moi depuis que je suis
avec Sylvain et je me demande si je vais pouvoir tenir toute une semaine
Alors que je suis encore dans la salle de bains en train de menduire lanus de crème,
il entre et me dit :
- Oh, Charlie tu te prépares déjà !
- Quoi, que dis-tu ?
- Je te vois tenduire lanus, alors je me dis que tu as encore envie !
Il est derrière moi et se colle à moi. Je sens déjà son sexe à demi bandé contre mes
fesses.
- Tu aimes ?
Il va me rendre folle.
- Oui, jadore. Dis-je.
Et je me mets à remuer ma croupe contre sa queue qui se dresse.
- Caresse-toi doucement.
Je passe mes doigts entre mes lèvres déjà trempées. Jintroduis des doigts dans ma
chatte et commence à me masturber profondément.
Il massied sur le meuble-vasque de la salle de bains en disant :
- Montre-moi ton cul, jai envie de tenculer.
Les pieds posés sur le meuble et les cuisses largement écartées, je moffre à son
regard comme une indécente, puis je me caresse la chatte par-devant en glissant de
temps en temps un doigt sur mon anus.
Il sapproche de moi, et me pointe lanus de son gros gland, puis en me regardant dans
les yeux, il me dit :
- Je vais te casser le cul, petite salope.
Puis il senfonce doucement mais à fond, je gémis, soupir et halète. Jadore cette
sensation dêtre complètement possédée, bref, jadore me faire enculer comme une
chienne.
Pendant de longues minutes, il me défonce lanus jusquà ce que je sente son sexe être
parcouru de soubresauts et sa semence minonder les entrailles. Il ressort de mon anus
qui doit être complètement ouvert, je suis une salope mais jaime ça, ma chatte
dégouline de cyprine alors que mon cul ouvert dégouline de son sperme, jadore ça.
Je serais gâtée toute la semaine par mon amant, et comme promis il me baisera et
enculera sans relâche comme jamais je ne lai été en si peu de temps, jusquau dernier
moment il me prendra les orifices dans tous les endroits et dans toutes les positions.
Cest avec le cul douloureux et dilaté, que je suis rentrée à Paris.
Pendant trois mois jai continué à être sa maitresse, puis il sest lassé de moi et
notre histoire sest terminée.
Parfois jy repense et je regrette cet amant qui me faisait si bien jouir, mais je
serais devenue accroc et il aurait fait de moi une trainée.
Bon, je le suis peut-être un peu, mais aujourdhui, il y a prescription
A suivre
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