Leslie Ar45

Leslie AR45 - Les confessions d’une adolescente, Sylvain, suite

Une fois dans la douche, je me lave de partout puis soudain, Sylvain entre dans la
salle de bain, je sursaute, il est nu et entre dans la douche avec moi.
Maintenant je vois son énorme sexe pendre entre ses jambes, il me caresse en passant
ses mains partout sur mon corps, je redémarre et les désirs reviennent.
Il bande, devant moi et cette fois, je le vois, dure, raide, énorme, son membre. Je le
caresse et le branle, pendant qu’il me chuchote des insanités aux creux de l’oreille :
- Ça t’excite une grosse queue et tu l’aimes !
Il me prend la tête m’obligeant à me mettre à genoux en disant :
- Vas-y suce bien ma grosse queue, petite salope.
Pendant que je le suce tant bien que mal, je l’entends me dire :
- Suce moi bien car après tu vas la prendre dans le cul, tu vas voir je vais te
déchirer le fion petite salope.
Ses propos m’excitent et je redouble d’effort et lui continue :
- Ahhh, tu suces bien !

Puis il me redresse et me retourne contre la faïence, il enduit mon anus de savon et
soudain je sens son doigt entre mes fesses sur mon anus.
Je sais ce qu’il a en tête pour me l’avoir dit quelques minutes plus tôt. Son doigt
entre tout seul, tellement je suis excitée, je pousse pour l’aider à entrer. Il
enfonce son doigt et déjà je sens sa main contre mes fesses. C’est qu’il me l’a mis en
entier. Il tourne, entre et ressort.
J’adore cette sensation de soumission dont le seul but est de me fourrer sa queue dans
mon cul. Puis au bout d’un moment, il en met un second qui entre plus difficilement.
Mais bientôt, je les ai tous les deux bien profond dans mon fondement. Il les écarte,
les tournes, les bouges en rajoutant toujours du savon pour que je sois bien
glissante.
Dans cette situation qui est un peu humiliante, je commence à une sensation me
remonter dans les reins et mon ventre.



Je suis là, indécemment offerte et consentante, la tête contre la faïence, en train de
me faire doigter l’anus par un homme que je ne connais même pas quelques heures
auparavant.
Rien que d’y penser, je mouille comme une folle. Je ne peux m’empêcher de passer, sans
qu’il me le demande, une main entre mes cuisses pour me masturber.
- Mais dis-donc. C’est que tu y prendrais goût à te faire ramoner le cul.
Ses paroles me rendent folle et je pousse un long soupir de plaisir.
- Avoue que tu aimes ça, que je prépare ton petit œillet.
Et tout en me parlant, il se met à entrer et sortir ses doigts de plus en plus vite et
de plus en plus profonds dans mon cul. Puis il met un troisième doigt qui cette fois
me détend fortement l’anus. Je pousse un petit cri de surprise et de douleur.
- Tu vas voir ! Tu vas adorer quand je vais mettre ma queue dans ton trou serré
!
- Ohhh, non ! T’es trop gros, tu vas me déchirer, dis-je sans conviction.
- T’occupe. Tu vas voir, je vais bien te défoncer le fion et tu vas adorer.
- Non ! Je vous en supplie. Ne m’enculez pas.
- Je sens que t’en as envie.

Puis il ressort ses doigts de mon cul et pose son énorme gland sur mon anus. D’une
poussée, il me pénètre. J’ouvre la bouche comme un poisson hors de l’eau recherchant
l’air. Je sens comme un coup d’électricité entre mes reins quand son membre me vrille
le cul.
- Voilà, le gland est passé, dit-il.
Il le ressort, l’enduit de savon et le remet. Il rentre plus facilement. Je gémis.
- Allez ! Maintenant, je vais t’enculer, ma belle. Je vais t’enculer et te
baiser toute la semaine.
- Ohhh, Sylvain tu me fais mal. Tu vas me déchirer l’anus.
- T’inquiète, je sais comment m’y prendre, c’est le seul endroit où je vais
pouvoir te la mettre jusqu’aux couilles. Tu vas voir, tu vas adorer et en redemander.
Doucement, par à-coups, je le sens me pénétrer.
Je n’ai pas vraiment mal, c’est une
sensation étrange qui m’envahit, mi douleur, mi plaisir. Une sensation qui me parcourt
les reins de long en large, qui me fait un genre de courant électrique et à la fois
des chatouillis dans le ventre bien que mon anus me fasse mal et semble se déchirer
sous la pression. Ce mélange de sensations me rend complètement folle.

J’ai envie de l’encourager à continuer plus fort pour ressentir ce bien-être d’être
remplie et de le supplier d’arrêter par honte et douleur de mon anus.
- Tiens ! Prends-la toute. Voilà, sens comme ça rentre bien, il en reste encore
un peu, mais tu vas tout prendre.
- Ahhh !
- Tu vois que tu aimes déjà.
- Ouiii, vas-y, enfile-la moi à fond…
Me tenant fermement par les hanches, il enfonce les derniers centimètres qui restaient
encore dehors d’une seule poussée dans mon cul.
- Ahhh, je meurs !
- Voilà, te voilà bien emmanchée sur ma queue et tu me presses la bite tellement
t’es serrée, c’est un vrai régal.
- Ohhh, comme elle est grosse. J’en ai plein le cul.
- Maintenant je vais bien te limer le fion, et tu vas prendre ton pied, petite
salope…
- Ohhh oui, vas-y, prends-moi à fond, fais-moi jouir du cul.
- Ma petite salope, je vais te casser le cul.
Il commence à aller et venir dans mon cul sur toute la longueur de son en me tenant
pas les hanches avec ses mains.
Il me dit des horreurs, que toutes les autres sont des nones à côté de moi, la plus
part ayant refusées de se faire enculer.
Il me dit que dans une semaine il m’aura tellement taraudé le fion, que je serais
ouverte pour accueillir n’importe quel autre membre,
Quand mon orgasme explose, je hurle dans la douche alors qu’il me défonce le cul à
grand coup de reins.
Je suis pleine de son sexe et je le sens jouir en moi, je suis morte, écrasée contre
la faïence, sa queue raide toujours au plus profond de mon cul.
Il finit de se vider
dans mon intestin, puis ressort.
Je suis haletante, pantelante, heureuse mais l’anus en compote et je ressens un grand
vide en moi, je reprends mes esprits sous l’eau de la douche qui coule sur mon corps.
Il est parti, alors je sors de la douche, me sèche et retourne dans ma chambre, me
jette sur le lit et m’endors aussitôt.

A suivre…

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